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Temps de lecture estimé : 11 mn
22/10/15
Résumé:  Petit souvenir écrit au présent...
Critères:  fh forêt voir noculotte pénétratio fdanus nostalgie -exhib
Auteur : Patrik  (Carpe Diem Diemque)            Envoi mini-message
Du monde au balcon



Petit souvenir écrit au présent…



Ce vendredi fin d’après-midi de juillet, je reviens du boulot. Aujourd’hui, Véronique, ma nouvelle compagne, ne travaille pas : elle attend que je rentre à l’appartement afin que nous partions à la maison. Cette phrase vous paraît étrange ? J’explique le pourquoi du comment du parce que : ça va faire trois mois que nous nous partageons entre deux logements, le sien en ville et le mien à la campagne. Ce n’est pas évident d’avoir deux foyers, mais nos boulots sont tous les deux sur Lille, et ma maison est distante de presque cinquante kilomètres.


Comme de coutume, avec mon kit mains-libres j’ai téléphoné à ma compagne pour lui indiquer que je partais du boulot et qu’aujourd’hui j’arriverai dans dix à quinze minutes, en fonction de la circulation.



Fin de la conversation. C’est curieux qu’elle me demande de me garer devant la fenêtre de la cuisine alors que ça serait plus simple devant l’entrée principale. Peut-être qu’elle souhaite faire passer les bagages par la fenêtre afin d’aller plus vite, ce qui ne serait pas la première fois. Véronique habite au rez-de-chaussée d’un petit immeuble, ce qui est un avantage en cas de lourdes commissions. Mais beaucoup moins en termes de va-et-vient devant les fenêtres et de bruits diurnes et nocturnes, surtout quand on réside près de l’entrée principale. On ne peut pas tout avoir.


C’est vrai que chez moi c’est nettement plus calme et arboré. Elle adore folâtrer dans le jardin et y manger des fruits directement aux arbres, et aussi lire, allongée dans un transat sous une petite brise, chose qu’elle ne peut pas faire chez elle. En contrepartie, c’est quand même bien loin de nos boulots respectifs et on perd un temps fou dans les transports. Aller au travail en voiture ou en train, ça revient au même, car c’est mal desservi, et toutes les routes qui convergent sur Lille au matin sont surchargées, et je n’ai pas de moto. Sans parler du fait que, pour ma part, je ne vais pas toujours au même endroit…


Il n’y a pas trop de monde sur la route aujourd’hui. Je prends enfin la sortie ; je n’ai plus que quelques feux tricolores à franchir avant d’arriver. Manque de bol, ceux-ci se liguent tous pour m’empêcher de passer. Enfin, un dernier virage, et effectivement, il y a encore de la place devant les fenêtres de la cuisine. Je me gare aussitôt. Je prends ma sacoche puis je me dirige vers la fenêtre de la cuisine de notre appartement.


Ah, la fenêtre s’ouvre…


Waow ! C’est le seul mot qui puisse résumer la situation ! Innocemment, Véronique est nonchalamment accoudée à la fenêtre de la cuisine, habillée d’un haut tout blanc borduré de petites dentelles, et terriblement échancré. Aucun soutien-gorge ne s’offre à ma vue ; on sent le poids de ses seins contre le tissu où dardent deux petites pointes très avenantes. Accoudée comme elle est, sa poitrine est honteusement portée en avant, prête à déborder, pour le plus grand plaisir des yeux.


Un lourd collier composé de pierres, de perles diverses et d’anneaux métalliques épouse ses formes rebondies, les mettant plutôt en avant que les cachant. Une pierre s’insinue même entre ses seins, formant ainsi un petit creux dont on devine sans problème la douceur et le moelleux. J’adorerais être cette pierre nichée douillettement au chaud de ce décolleté vertigineux ! Il y a franchement des moments où l’on souhaiterait redevenir un bébé pour quelques instants… Plutôt subjugué, je m’approche :



Elle rit et elle se penche encore plus. J’ai droit à un effet tunnel très réussi, à une vue largement dévoilée sur ses seins pulpeux et son ventre qui se profile à l’arrière plan. Aussitôt mon érection augmente phénoménalement ! Dommage qu’il y ait un mètre de haies et d’arbustes divers entre nous, sinon j’aurais volontiers plongé illico mon nez entre ses deux globes laiteux et moelleux !


Mon cerveau en ébullition me signale que je vais faire tout un trajet en voiture avec une pareille allumeuse, et que le week-end ne fait que commencer ; c’est manifestement du pousse-au-crime, cette tenue ! Et pas que la tenue, la femme qui est dedans est totalement néfaste pour ma zen attitude ! Je me demande alors ce que peut bien être le bas de sa tenue…



Je sais que je vais être bientôt fixé car je me dirige à toute allure vers l’entrée centrale puis vers l’appartement dont la porte est entrouverte. En effet, le bas vaut largement le déplacement ! Elle est en réalité habillée d’une petite robe blanche (ou d’une nuisette ?) qui lui arrive à mi-cuisses, et le résultat est fort affriolant ! Trop affriolant et trop tentateur ! Si ma femme avait été le serpent de l’Eden, ce n’est pas que la pomme que j’aurais croqué à pleines dents, mais l’arbre entier !

Je ne suis qu’un homme, rien qu’un homme, et je sais trop bien qu’au premier sourire, au premier décolleté plongeant, je retomberai dans le guet-apens ! J’y plonge avec délectation, mettant mon nez entre ses seins si doux et chauds, me souciant peu de ces colliers de métal et de pierre, avide de vouloir dévorer ces deux masses si tendres.


Tout ceci amuse beaucoup ma tentatrice qui glousse sous mes baisers et mes mains qui farfouillent partout. Et en plus, elle n’a même pas de culotte ! Comment voulez-vous que je reste placide, imperturbable et zen ?



Néanmoins je continue un peu mon bordel, comme elle dit. Mais je sens bien que ce n’est pas tout à fait le bon moment. Alors je glisse vers le bas. M’agenouillant, puis passant sous le fin tissu blanc, j’en profite pour baiser son mignon pubis et donner un premier coup de langue dans une belle fente odorante que je trouve néanmoins un peu plus humide que sa propriétaire ne voudrait bien le dire…


C’est à regret que je quitte ce petit nid douillet. Reprenant mes esprits, je prends les divers sacs qu’elle a préparés tandis qu’elle se couvre : il serait assez dangereux qu’elle sorte ainsi dans son quartier. Peu après, nous sommes installés dans la voiture. Tandis que je tourne la clé de contact, je demande à ma belle allumeuse de voisine :



Nous partons de Lille, direction la maison à la campagne. Comme toujours, il y a beaucoup de circulation dans le secteur, surtout un vendredi en fin d’après-midi. Heureusement, nous nous dégageons assez vite du flot. Une fois que c’est devenu plus calme, ma belle Pupucette – qui a ôté son manteau dans la voiture sitôt la ville quittée – pose sa main sur ma cuisse. J’en fais de même, la grosse différence étant que, moi, j’ai droit au contact de sa peau, et que je sais que je peux m’aventurer encore plus haut sans rencontrer un seul bout de tissu. Amusé, tout en caressant amoureusement sa cuisse si fraîche, je lance :



Ce qui ne l’empêche pas de pouffer de rire. Je continue :



Une fois sur le grand rond-point juste après la sortie de l’autoroute je bifurque, puis un peu plus loin, sur un autre rond-point, je m’engage dans une voie plus réduite. Nous zigzaguons ainsi dix minutes, profitant de la verte campagne et du peu de monde que nous croisons. Tout au plus nous croisons un cycliste qui, visiblement, a pu zieuter sans problème le décolleté de ma compagne. Elle et moi, nous en rions.


Encore heureux que j’aie une assez bonne mémoire : je ne suis pas sûr qu’un GPS ait dans sa base de données ces diverses petites routes. Il est vrai que, dans mon adolescence, j’ai usé mes pneus à grands coups de pédales dans ce coin. Et si ma mémoire est effectivement bonne, j’approche de l’endroit qui m’intéresse… Bingo ! À la grande surprise de ma compagne, je m’engage dans un tout petit chemin et je m’arrête cinquante mètres plus loin. Tandis que je reprends ma clé de contact, elle me demande :



Je sors, puis je viens ouvrir la portière côté passager. Bien qu’intriguée, Véronique sort quand même de la voiture. Je lui prends la main et je l’entraîne un peu plus loin. Je la plaque contre un arbre, l’embrasse fougueusement, puis je commence à mettre un sérieux désordre dans ses divers colliers en couvrant ses seins de mille baisers. Elle rit doucement, assez flattée me semble-t-il. À moins qu’elle ne me trouve un peu grand idiot. Peu importe.



Mais elle se laisse faire sans aucun problème, mettant ses doigts dans mes cheveux, me pressant contre elle. Une de mes mains glisse sur sa cuisse ; c’est si bon d’être là… C’est si doux, onctueux ! Puis elle remonte doucement, lentement, pour capturer avidement l’arrondi de sa fesse nue.


Savoir que celle qu’on désire est cul nu sous une robe ultralégère n’est pas propice au refroidissement des sens. Le constater de ses doigts est pire encore ! Je n’en peux plus, je n’ai pas trop envie de faire le galant ! Après avoir caressé sa fesse avec délectation, de mon bras je soulève sa cuisse, sans oublier de laisser s’égarer mes doigts à l’orée de sa chatte. Comprenant le message, elle enroule sa jambe autour de moi tandis que nous nous embrassons comme des fous.


C’est avec une dextérité que je ne me connaissais pas que j’extirpe mon sexe bien tendu et raide hors de ma braguette. Ce n’est pas la première fois que je suis extrêmement excité, mais là, j’ai franchement l’impression d’avoir hors du pantalon une bite immense prête à éclater ! Et je veux en faire profiter cette allumeuse, entrer en elle, coulisser en elle, exploser en elle !


Sans hésiter, je pointe mon gland contre ses lèvres ; celui-ci s’engouffre sans souci, comme absorbé. Véronique m’aide en projetant son bassin vers moi. Mon évidente envie d’elle lui donne aussi envie. Mon pieu de chair s’enfonce avec facilité dans son vagin déjà bien lubrifié. C’est un plaisir démesuré que d’être dans son antre chaud et humide, à l’image de nos langues qui se cherchent, se caressent. Plaqué contre ma compagne affriolante, mon bras toujours sous sa cuisse, ma main englobant sa fesse ronde, un doigt taquinant son entrée sombre, mon autre main ayant capturé un globe doux et moelleux, je la pistonne frénétiquement à la hussarde, furieusement.


Véronique s’accroche à moi, plaquant furieusement son corps contre le mien. Sa bouche dévore mes lèvres ; elle aussi est très ardente ! Je donne de grands coups pour mieux entrer en elle, pour mieux la ressentir, la posséder, la prendre entièrement. C’est totalement frénétique, bestial, mais c’est si bon ! Mes doigts capturent sa cyprine qui dégouline autour de ma colonne plantée en elle. Mes autres doigts se rivent sur son sein martyrisé. Puis, me décidant, je viens taquiner d’un doigt englué sa petite rondelle. Elle réagit positivement en m’embrassant plus encore, en se soudant à moi. Encouragé, je m’introduis juste à l’entrée. Nos bouches se détachent dans un long filet de salive. Le regard trouble, elle dit :



Nous nous embrassons sauvagement à nouveau. Vicieusement, je force son entrée arrière, plongeant la moitié de mon doigt dans son étroite intimité tandis que ma queue carambole dans son autre accès détrempé. Je sens que je ne vais pas résister bien longtemps ; j’aurais aimé qu’elle jouisse avant moi, mais je crois que ça ne va pas être possible !


J’enfonce complètement mon doigt en elle, bien calé dans son sombre couloir chaud. Elle étouffe contre mes lèvres un petit cri. Elle en étouffe d’autres quand je commence à pistonner à son tour son entrée des artistes tandis que je continue mes va-et-vient infernaux par-devant. Elle s’arrache à mes lèvres et vient planter ses dents dans la courbe de mon cou ; j’en profite pour lui mordiller vicieusement l’oreille.


Soudain, c’est la déflagration ! Comme un volcan qui explose, de longues coulées de lave qui débordent ! Ma bite éclate dans son vagin brûlant ; mon sperme remplit ses moindres cavités, lourd, torride, poisseux. Ses dents toujours plantées dans ma peau, elle gémit de plaisir tandis que je pousse de longs râles, me vidant complètement en elle.


Nous restons là, fatigués, rompus, mais heureux de cette scène de sexe primaire, éprouvante mais très bienfaisante. Véronique halète contre moi tandis que je la serre précieusement ; nous récupérons petit à petit. C’est elle qui rompt le silence, levant le nez :



Elle ne répond rien, se laissant bercer entre mes bras, mais son sourire et ses yeux brillants parlent pour elle.


Lors du retour, Véronique est intarissable ; tout ça lui a beaucoup plu. Elle m’annonce qu’elle va rester habillée de la sorte durant tout le week-end et que je pourrai éventuellement abuser "un peu" d’elle. Bien sûr, je lui donne aussitôt ma bénédiction : mettez-vous à ma place !



--oOo--



Non, pas de grande folie dans ce récit, juste le souvenir d’une étape non négligeable dans nos relations naissantes, ce moment si fragile où une femme commence à basculer et que finalement, elle aime ça, osant l’admettre, balayant ainsi des années de carcan.


Cela méritait bien une petite histoire, non ?



Un grand merci à Jakin pour sa correction