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n° 17084Fiche technique37805 caractères37805
Temps de lecture estimé : 22 mn
23/10/15
Résumé:  Un homme fantasme depuis longtemps sur la femme de son meilleur ami. Lors d'une chaude journée de juillet, tous un peu désinhibés par l'alcool, l'objet de ses désirs s'offre à lui tandis que son épouse montre un vif intérêt pour son ami.
Critères:  2couples extraoffre copains danser fellation pénétratio
Auteur : PapaTangoCharlie
Un vieux fantasme assouvi



Mon épouse a toujours la délicieuse habitude d’être en retard. Elle se précipita dans le couloir menant à notre chambre et s’y enferma en claquant la porte. Voilà quinze ans que nous sommes mariés et c’est toujours pareil, Véronique ne supporte pas d’être esclave de la pendule. On ne peut pas dire qu’elle perde son temps, non, mais elle laisse l’heure filer. Avant notre mariage déjà, elle arrivait toujours à nos rendez-vous avec quinze ou vingt minutes de retard. Mais je l’aime ainsi ma jolie petite blonde aux yeux marron… je devrais plutôt dire fausse blonde, puisqu’elle n’assume pas la teinte châtain foncé de ses cheveux qu’elle trouve trop sombres, aussi s’est-elle toujours faite teindre en blonde.


Si elle est souvent en retard, en revanche elle ne l’est jamais pour faire l’amour. Ma petite femme est d’une sensualité à fleur de peau qu’une simple caresse suffit à raviver. Que je glisse une main dans son décolleté ou sous sa jupe et ma belle m’offre ses charmes sans retenue, et ce quel que soit l’endroit où nous nous trouvons. Je me souviens d’un jour où, au cinéma, ma main remontant sous sa jupe avait caressé l’intérieur de ses cuisses jusqu’à atteindre sa petite culotte et où, pour se venger de mon impertinence, elle sortit mon sexe du pantalon et se mit à le masturber si violemment qu’elle me fit éjaculer en un rien de temps. Elle est comme ça ma Véronique.


Je me dirigeai donc vers la porte d’entrée afin d’ouvrir à nos invités. Nous attendions Géraldine et Stéphane, un couple d’amis proches que nous connaissions depuis une dizaine d’années. C’est toujours pour moi un grand plaisir de les voir. Ils sont simples, agréables, toujours souriants, la plaisanterie facile et le cœur sur la main. Bref, on se sent bien avec eux. Je dois avouer d’autre part que je ne suis pas insensible au charme de Géraldine… Je devrais même dire que le premier jour que je l’ai vue j’ai ressenti une sorte de coup de foudre. Depuis ce jour, je fantasme constamment sur Géraldine, imaginant dans mes rêves les plus fous la baiser dans toutes les positions et en toutes circonstances. Mais voilà, Géraldine est la femme de mon meilleur copain et la femme d’un pote, pour moi, c’est sacré. On ne touche pas !


Laissez-moi quand même vous la décrire. Géraldine a de longs cheveux très noirs qui s’étalent largement sur ses épaules. Elle a le visage fin et d’un modelé parfait, le regard sombre et profond, à tel point que lorsqu’elle le pose sur moi, je ressens toujours un grand émoi que j’essaie de dissimuler comme je peux. Ses seins, autant que j’ai pu les deviner sous ses vêtements, ne sont pas trop arrogants, juste assez gros pour remplir la main d’un homme. Je n’aime pas les trop gros seins. Je trouve ça vulgaire. Et puis de petits seins vifs valent tellement mieux que de gros nichons flasques !


Géraldine a de longues et fines jambes qu’elle sait si bien mettre en valeur avec ses jupes courtes, remontant la plupart du temps dix centimètres au-dessus du genou. Très élégante et très BCBG, elle s’habille souvent en tailleur, mais je ne l’ai jamais vue avec le même. Elle doit en avoir des dizaines, de toutes les couleurs, de tous les genres, mais avec toujours un point commun : la jupe courte.


J’étais encore en train de fantasmer sur elle, m’imaginant lui passer la main aux fesses, lorsque je leur ouvris la porte. Le soleil envahit l’entrée en même temps que la chaleur de juillet. Depuis quelques jours en effet, le thermomètre descendait rarement au-dessous de trente degrés et nous vivions donc au rythme de cet été torride.



Avec cette chaleur, terminé les tailleurs, elle était vêtue d’une simple robe rouge très légère, modérément décolletée, mais laissant son dos nu. Deux très fines bretelles sautaient ses épaules accentuant cette impression de légèreté. Comme d’habitude, ses genoux étaient largement dégagés, la robe remontant suffisamment haut pour laisser voir ses jambes sublimes mises en valeur par d’élégants escarpins noirs. Enfin, sans doute à cause de la chaleur, elle avait arrangé ses cheveux en un chignon très chic qui lui allait à ravir.


Je les fis entrer, serrai la main de Stéphane, et embrassai Géraldine sur les deux joues, découvrant alors un parfum capiteux et enivrant, qui me fit un instant tourner la tête.



Je les engageai à se rendre au salon et leur emboîtai le pas, en profitant pour jeter un coup d’œil sur le petit cul de Géraldine qui dandinait joyeusement… une invitation au crime !

Je les fis s’installer dans un canapé, tandis que je m’assis dans le canapé d’en face.



Géraldine croisa les jambes tout en se calant dans le canapé, ce qui fit remonter sa petite robe jusqu’à mi-cuisses. Mon regard appuyé n’échappa pas à la belle qui sembla tout à fait satisfaite de l’effet qu’elle produisait.

C’est alors que ma femme parut.



J’eus un coup en la voyant. Ma chérie avait mis une petite jupe bleu uni, légère et plutôt courte, qui ondulait au rythme de ses pas. Mais surtout, elle arborait un petit haut vert clair qui lui laissait le dos nu et qui, devant, formait un triangle cachant les seins et se terminant par une bretelle unique en tour de cou, fermée par un simple petit bouton. Le tissu, peut-être trop fin, laissait deviner la pointe de ses seins et dissimulait mal leur naissance. Un homme normalement constitué n’aurait eu qu’une idée, enlever cet unique bouton et laisser retomber ce triangle de tissu, frêle rempart cachant la poitrine. C’est sûrement à ça que devait penser Stéphane, qui, s’étant levé et approché de mon épouse pour l’embrasser, eut le regard scotché sur ce petit haut décidément très suggestif.


Je me suis souvent posé la question de savoir si mon copain était sensible au charme de mon épouse. Je crois que j’avais là la réponse. La femme d’un pote c’est sacré, sauf si ce pote s’intéresse à ma chère et tendre… Le plaisir, ça se partage ! Nos épouses étaient si attirantes aujourd’hui que je me sentais venir des idées échangistes… et peut être mon copain aussi.

Il embrassa ma femme, puis, la tenant toujours par les épaules et s’en écartant légèrement pour mieux l’admirer lui dit :



Je méditais un moment sur ce « diablement », me persuadant de plus en plus que mon meilleur copain, avec ses airs à ne pas y toucher, avait certainement des vues sur ma chérie.


Nous nous installâmes à nouveau dans les canapés, les couples se faisant face. Je notais que ma chérie, les jambes croisées, semblait avoir relevé sa jupe plus que nécessaire, découvrant assez largement ses cuisses. Le compliment de Stéphane l’avait peut-être un peu émoustillée et peut-être voulait-elle le remercier à sa manière, laissant penser par ce geste discret que ce dernier ne la laissait pas indifférente. Je me dis que je pourrais mettre cette situation à profit. Si ma femme tombait dans les bras de mon copain, je n’aurais aucun scrupule à draguer Géraldine. Je posai donc ma main sur la cuisse de ma femme dans le but inavouable de remonter discrètement sa jupe à ses dépens.


Notre conversation toutefois ne reflétait pas nos pensées érotiques. Nous parlions boulot, vacances ou sorties, descendant en flèche le dernier Woody Allen ou nous extasiant devant l’excellente cuisine de tel restaurant.


Ma femme proposa de servir l’apéritif. Très opportunément, je lui suggérai de ne pas bouger et de m’en occuper moi-même. Je tenais en effet à ce qu’elle reste assise ; ayant déjà commencé à remonter sa jupe de manière significative, je ne voulais pas repartir de zéro… Je m’éclipsai donc dans la cuisine pour préparer l’apéritif et quand je revins avec un plateau chargé de verres et de bouteilles, je constatai que le regard de Stéphane revenait sans cesse sur les cuisses de ma chérie. Ma stratégie semblait donc marcher !


Chacun eut bientôt son verre en main et, comme on le sait, l’alcool désinhibe et donne des ailes aux plus timides. Géraldine, qui avait pris un whisky assez fort, montra assez vite les premiers signes d’une gaieté très avancée. Elle riait pour un rien et plaisantait sans complexe sur tout un tas de sujets, y compris sexuels.



Mon copain, très gêné par cette révélation, se mit à rougir légèrement.



Alors, à mon grand étonnement, mon épouse, qui n’a pourtant pas l’habitude d’étaler en public nos ébats amoureux, surenchérit :



Me disant que c’était là l’occasion de faire avancer les choses, je continuai :



Joignant le geste à la parole, j’en profitai pour relever brutalement et très largement sa jupe découvrant complètement ses cuisses. Mon geste ravit mon copain qui, maintenant, ne quittait plus des yeux les jambes de ma femme. Quant à cette dernière, ne voulant pas croire qu’elle n’avait rien remarqué, j’étais persuadé qu’elle prenait plaisir à s’exhiber devant lui.


Alors il se passa une chose que je n’aurais jamais pu imaginer. Tout en me fixant de son regard troublant, je vis Géraldine soudain décroiser les jambes et écarter légèrement les cuisses. En tout cas suffisamment pour que j’aperçoive une petite culotte blanche. Nul doute qu’il s’agissait d’une pure provocation, une réponse à la complaisance de mon épouse. D’ailleurs cette dernière ne tarda pas à en faire autant, dévoilant à tous un joli string noir à dentelles.



L’atmosphère commençait à s’échauffer et j’avais maintenant la conviction que mon copain désirait ma femme autant que je désirais Géraldine.



Je mis un CD dans la platine, allumai l’ampli et bientôt une douce musique envahit la pièce. J’invitai Géraldine à danser tout en lui tendant la main afin de l’aider à se lever. Je sentis que mon aide n’était pas superflue, en effet, la belle ayant un peu abusé du whisky eut un peu de mal à trouver son équilibre. Elle se pendit littéralement à mon cou, ce qui n’était pas pour me déplaire. Je posai la main droite vers le haut de son dos nu et la gauche beaucoup plus bas, à la naissance des fesses. Elle gémit d’aise en se laissant entraîner par mon pas. Ma tête dominait légèrement la sienne et je sentis bientôt le contact de son chignon contre ma tempe. Son parfum enivrant, je devrais même dire ensorcelant, me fit m’approcher un peu plus, jusqu’à ce que nos joues se touchent. Puis, de plus en plus excité, je me penchai pour l’embrasser dans le cou. Loin de sentir une réaction de rejet chez la belle, qui au contraire se colla un peu plus à moi, mes lèvres remontèrent sur ses joues pour se rapprocher de plus en plus de sa bouche. Dans le même temps ma main droite glissaient doucement sur son dos nu, l’effleurant à peine, tandis que ma main gauche était largement descendue, caressant maintenant le tissu soyeux de sa robe sous lequel je sentais frémir ses petites fesses. Sa robe était si légère que je pouvais sentir son petit string en-dessous et je m’amusais à en suivre le délicat liseré.


Mon excitation grandissait de minute en minute. Il y avait déjà un moment que j’avais commencé à bander, mais maintenant je sentais que mon sexe était devenu très dur et même presque douloureux. Ma partenaire s’en était bien rendu compte, évidemment, et elle prenait un malin plaisir à s’y frotter sans la moindre gêne. C’est alors qu’elle s’écarta légèrement de moi et me fit son regard le plus tendre et le plus envoûtant. Tout sourire disparut de son visage et ses beaux yeux noirs m’invitèrent à l’embrasser. Nous échangeâmes alors un baiser des plus chauds, nos langues s’entremêlant, se cherchant, jouant l’une avec l’autre. Je me rendis compte tout à coup que j’étais en train de réaliser mon fantasme. Géraldine, la belle Géraldine que j’avais si souvent baisée dans mes rêves, était là, dans mes bras, offerte comme un fruit mûr.


Après ce baiser brûlant, je décidai de changer un peu notre façon de danser. Je passai derrière elle, la pris par la taille et continuai à danser dans cette position qui allait m’offrir bien d’autres opportunités. Géraldine fut d’abord un peu surprise, puis adoptant cette manière peu orthodoxe de danser le slow, continua comme si de rien n’était. Je commençai par l’embrasser dans le cou pendant que mes mains remontèrent vers sa poitrine. Je constatai avec satisfaction que ses seins emplissaient parfaitement mes deux mains, comme s’ils avaient été modelés pour moi. Elle bascula alors sa tête en arrière pour manifester sa satisfaction alors que ses deux mains passèrent dans son dos à la recherche de mon sexe.


Dans mon excitation toute égoïste, j’en avais complètement oublié ma femme et mon copain. Ils dansaient eux-aussi et étaient en train de s’embrasser. Je constatai par ailleurs que mon Stéphane n’était pas resté inactif lui non plus, car le petit haut de mon épouse avait légèrement été descendu d’un côté et découvrait le téton d’un sein. De plus, ce cochon avait réussi à remonter sa jupe déjà courte, au point que sa main touchait presque le string.


Revenant à ma Géraldine, qui maintenant s’était saisie de mon sexe au travers du pantalon, il me vint l’idée de commencer à la déshabiller. Sa robe avait une fine fermeture éclair dans le dos qui descendait jusqu’au niveau des fesses. Je la tirai jusqu’en bas, puis écartai les deux pans dénudant entièrement son dos et laissant apparaître le ravissant petit string que la petite salope m’avait déjà exhibé sur le canapé. Un string si fin qu’il pénétrait entre ses fesses, laissant ces dernières quasiment nues.



Elle se mit à rire. La belle était alors devenue mon jouet, incapable de lutter contre mes assauts, en femme soumise, bien trop désireuse de sexe. Il n’y avait plus maintenant que deux frêles bretelles pour retenir sa robe légère. Je les fis lentement glisser sur ses épaules et bientôt la robe fila le long de son corps avec la rapidité d’une ombre. Elle s’en débarrassa d’un léger mouvement du pied, se retourna, m’offrant toute sa nudité et plongea son regard envoûtant dans le mien. Puis elle se pendit à mon cou et me donna un nouveau baiser encore plus brûlant que le précédent. Décidément, cette fille était un vrai volcan ! Que n’ai-je attendu si longtemps pour le découvrir ?


Alors je décidai de l’emmener dans la chambre. Mû par une excitation incontrôlable, je n’avais plus qu’une idée en tête : la baiser ! Je la saisis par les fesses d’une main énergique et l’entraînai vers ce lieu de plaisir où j’avais déjà si souvent baisé ma Véronique. En passant devant l’autre couple, qui était toujours en train de danser, je glissai à l’oreille de mon épouse :



Elle me fit un clin d’œil et me chuchota à l’oreille :



Je me contentai de lui sourire et je disparus dans la chambre, poussant toujours ma conquête par les fesses.

Dans la chambre, je dois dire que Géraldine prit les choses en main. Elle commença par déboutonner ma chemisette, lentement, en prenant soin de bien l’écarter un peu plus à chaque bouton, me prodiguant tantôt une caresse, tantôt un doux baiser sur la poitrine. Puis, une fois que j’en fus débarrassé, elle défit la ceinture de mon pantalon et ouvrit la braguette tout en me jetant un regard de défi, comme pour me rappeler que c’était elle maintenant la « maîtresse de cérémonie ».

Je sentis alors sa main envelopper la bosse de mon boxer et serrer mon sexe au travers du tissu afin de mieux en apprécier la rigidité.



Géraldine avait en effet quelque chose d’une déesse grecque, avec un corps parfait, des seins superbes, bien dressés et formant un joli galbe invitant à la caresse.


Sans plus attendre, elle s’agenouilla, puis saisissant mon boxer à deux mains tout en continuant à me regarder droit dans les yeux avec ce même air de provocation, elle le tira violemment vers le bas. Je poussai un petit cri de surprise à ce geste si soudain, tandis que mon sexe, enfin libéré, se dressait allégrement à trois centimètres du nez de ma partenaire. Elle le prit en main, le masturba légèrement et très lentement, déposa un baiser sur le bout du gland et me déclara d’un sourire coquin :



Je me débarrassai de mon boxer gisant alors lamentablement à mes pieds, puis approchait mon sexe de la bouche de la belle tout en lui maintenant la nuque afin de l’encourager à le prendre en bouche. Je n’eus nul besoin de la forcer car elle l’emboucha d’emblée entamant ce qui fut une des plus divines fellations qu’une femme ne m’ait jamais faite. Le sang me monta rapidement à la tête et je dus me contrôler pour ne pas éjaculer tout de suite. Elle, de son côté, accélérait sans cesse son mouvement de va-et-vient sur ma tige, ce qui engendrait de sonores bruits de succion. Quand elle me prit les testicules pour les malaxer sans retenue, je faillis exploser…



Elle lâcha prise et se recula un peu :



Géraldine se releva alors pour aller s’étendre sur le lit. Elle écarta légèrement les cuisses et se trémoussa comme une chatte en mal de caresses. Ainsi offerte, elle était follement désirable dans sa nudité presque totale. Seul son minuscule string blanc cachait encore son intimité, dernière et fragile barrière contre les assauts du mâle en rut. M’approchant, je m’assis sur le rebord du lit et posai mes deux mains sur ses seins que j’enveloppai d’une douce caresse, titillant au passage un téton, puis l’autre. Elle ferma les yeux pour mieux s’abandonner, mais, toujours désireuse de maîtriser la situation, elle saisit mon sexe et le serra très fort.


Mes mains continuèrent leur exploration, descendant maintenant sur son bas-ventre qu’elles effleuraient à peine, quand l’une d’elle atteignit la limite du string. Cette main fit d’abord la timide, se promenant le long de l’élastique sans paraître oser aller plus loin. Puis enfin, elle glissa en-dessous et je sentis bientôt au bout de mes doigts une petite toison chaude et humide. En intrépide Indiana Jones, ma main poursuivit plus loin son exploration au travers de cette douce jungle, jusqu’à atteindre les lèvres brûlantes de la belle Géraldine qui maintenant n’en pouvait plus.



Puis, minaudant à nouveau tout en me faisant les yeux doux elle continua :



Tout en me disant cela et sans lâcher ma queue, la petite salope se souleva pour encourager ma main à poursuivre son chemin.



Sa chatte totalement trempée témoignait de son extrême excitation. Mes doigts entamèrent d’abord un mouvement d’aller-et-retour le long des lèvres, butant à chaque fois sur le clitoris. La belle répondait par un long soupir de satisfaction. Puis mon index et mon majeur la pénétrèrent, fouillant le vagin sans retenue. Elle poussa un cri de surprise et en même temps se mit à me masturber violemment, comme pour se venger. Tout en maintenant ma pénétration, mon pouce vint se poser sur son clitoris qu’il frotta avec insistance. Cette nouvelle épreuve lui arracha une série de petits cris de bonheur, tandis que son corps se tendait vers ma main comme pour en redemander. Elle avait atteint l’orgasme.



Je retirai ma main. Elle soupira d’aise en rouvrant les yeux et en me gratifiant d’un joli sourire.



Je le saisis par un côté, le descendit légèrement, puis saisis l’autre côté, réitérant l’opération et ainsi de suite, sans me presser, par petites touches successives, le string en découvrit de plus en plus. Chaque fois que ma main passait d’une hanche à l’autre, elle effleurait son sexe d’un frôlement contrôlé. Je sais que cette lenteur exaspérante est insupportable à une femme ivre de désir. Je savais qu’elle aurait voulu que j’arrache brutalement ce petit triangle de tissu… Mais j’avais tout mon temps.



Finalement, quand son sexe fut totalement découvert, je descendis brusquement l’objet et l’en débarrassai. Maintenant elle était totalement nue, offerte à toutes mes volontés, à ma portée. Je ne pouvais plus quitter des yeux ce corps de nymphe, partagé entre un sentiment d’admiration béate et un puissant désir de la baiser comme une bête. Je sentais ma bite tendue à craquer.



Alors je m’approchai d’elle et m’apprêtai à la chevaucher…



J’obéis bien volontiers à cette injonction et me couchai sur ma partenaire selon ses désirs, la bouche contre ses lèvres intimes que j’avais si ardemment investies l’instant d’avant. Pendant que le bout de ma langue commençait un balayage systématique de son nid d’amour, je sentis ma queue absorbée par quelque chose de chaud et mouillé.


Ce que j’aime dans le 69, c’est qu’une action de la part de l’homme entraîne une réaction immédiate de sa partenaire et que chaque réaction de sa partenaire pousse l’homme à en faire encore plus. Cette escalade de la « violence » (mais quelle douce violence), amène l’un et l’autre vers une sorte de délire paroxysmique. Lorsque je le fais avec mon épouse, celle-ci jouit parfois si fort qu’elle est obligée de lâcher ma queue pour pousser un cri à réveiller les voisins… Elle est comme ça ma belle et tendre Véronique.


Mais pour l’heure je n’oubliais pas que je baisais Géraldine, pas mon épouse, qui d’ailleurs faisait Dieu sait quoi en ce moment-là. Mon ardente amante eut son deuxième orgasme, tandis que moi, sentant que bientôt je ne répondrais plus de rien, je sortis vivement mon sexe de la bouche de la belle afin de pouvoir me reprendre.


C’est là que nous vîmes arriver Stéphane et mon épouse. Curieusement, ce n’était pas ma femme qui était à poil, même si ses deux seins ressortaient maintenant largement de son petit haut, mais c’était mon copain. Elle l’avait mis dans le plus simple appareil et le tenait, non pas par la main, mais par sa queue, certainement alors bien dure. Décidément, les femmes sont aux commandes ce soir, pensai-je.



Stéphane se mit alors en devoir de déshabiller sa partenaire. Il dégrafa d’abord sa jupe, en tira la fermeture éclair, et la laissa tomber à ses pieds. Puis, il défit l’unique bouton qui maintenait encore le petit haut et fit glisser celui-ci par le dessus. Ma Véronique exhibait désormais un mignon petit string noir à dentelles, seul vêtement qui lui restait. Elle était bandante, ce qui mettait mon copain très en forme à en juger par son sexe tendu à l’horizontale.



Me fixant de nouveau avec ce regard de provocation amusée, Géraldine me déclara :



Sa provocation eut un effet immédiat sur mes neurones. Déjà énervé par les beautés que dévoilaient mon épouse, je me jetai littéralement sur le corps de Géraldine et la pénétrai d’une seule poussée de toute la longueur de ma queue, lui arrachant un sonore cri de bonheur. Puis je la limai vigoureusement, bien décidé à la faire hurler de plaisir. Son souffle se fit de plus en plus rapide, ses cris accompagnaient chacun de mes coups de boutoir, ses mains s’accrochèrent aux barreaux du lit, comme si elle eut été victime d’un violeur qui les lui auraient liées solidement.


C’est à ce moment-là que, n’en pouvant plus, j’eus un formidable orgasme, me vidant en elle en d’innombrables giclées qui ne semblaient plus en finir (non j’exagère !). À ce même moment, elle poussa un cri encore plus violent que les autres, son corps se tendit soudain, puis se relâcha. Elle venait d’avoir son troisième orgasme. Je me laissai retomber à ses côtés, heureux et comblé par ce merveilleux moment d’amour qu’elle m’avait offert. Mon amante me fit un doux sourire tout en déposant un tendre baiser sur mes lèvres.



Voilà le genre de compliment qu’un homme aime à entendre d’une jolie femme.



Pendant que Géraldine et moi laissions retomber petit à petit notre excitation, l’autre couple, lui, était encore en pleine action. Stéphane était maintenant assis sur une chaise et mon épouse l’avait enfourché, s’empalant sur son sexe. Elle se faisait coulisser dans un mouvement de haut-en-bas, la tête en arrière et les yeux fermés. Râlant de plaisir, elle semblait être dans une complète extase. Lui, pendant ce temps, malaxait les seins de son amante, ne cessant de porter un regard pour le moins lubrique sur ce corps nu.


C’était la première fois que mon épouse prenait du plaisir avec un autre sous mes yeux, mon meilleur copain de surcroît. J’en éprouvais un étrange sentiment mêlé à la fois d’une grande gêne, d’une terrible jalousie, mais aussi d’une très forte excitation. D’ailleurs, devant ce spectacle, mon sexe commençait à reprendre de la vigueur.



Elle me fit un sourire coquin.



Ma femme se retira de Stéphane et vint s’allonger sur le lit près de Géraldine et moi. Heureusement que nous avions un grand lit où l’on tenait facilement à quatre. À croire que nous avions déjà prévu cette situation. Ma belle épouse semblait déjà comblée, pourtant, elle appelait toujours son amant.



Véronique m’avait un jour demandé pour s’épiler totalement, mais je n’aime pas voir un sexe totalement glabre. Je lui avais dit que je préférais qu’elle garde une petite toison en forme de rectangle. Ce qu’elle a fait pour mon plus grand bonheur.



Stéphane, on s’en doute, ne resta pas de marbre à cet appel. Il vint couvrir mon épouse, la pénétra lentement jusqu’à ce que son membre disparaisse complètement. Puis il le ressortit complètement, laissant son gland juste en contact avec les lèvres intimes de sa partenaire. Il resta ainsi quelques secondes afin de la faire attendre. Puis soudain il la pénétra à nouveau, mais cette fois d’un mouvement rapide. Son amante, surprise, poussa un cri de plaisir… Puis il ressortit à nouveau et encore la fit attendre… Ma femme n’en pouvait plus.



Alors la pénétrant à nouveau avec force et il se mit à la pilonner avec une vigueur extrême. Mon épouse était aux anges. Elle criait son plaisir tout en tendant son corps.



Le langage cru de mon copain, ma femme totalement soumise à sa volonté, tout cela m’excitait à tel point que mon sexe avait retrouvé la forme. Géraldine s’en aperçut, le saisit et, le masturbant légèrement, me dit :



Bientôt, ils atteignirent tous deux l’orgasme dans des cris de folies, puis mon copain se laissa retomber sur le côté, fourbu mais heureux.



Puis s’adressant à moi :



Puis il poursuivit :



Elle hésita :



Nos femmes éclatèrent de rire.