Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 17102Fiche technique7874 caractères7874
Temps de lecture estimé : 6 mn
13/11/15
Résumé:  Une commerciale et un commerçant concluent leur affaire !
Critères:  fh inconnu magasin essayage amour exhib facial fsodo -totalsexe
Auteur : Alain.40  (Voyagez avec moi des mots de l'esprit vers des corps exultés)      
Gonflée

L’heure de fermeture vient de sonner dans ma parapharmacie. Mais la barbe, au dernier moment, une représentante, Sonia, vient me visiter. C’est une nouvelle. Avant j’avais un vioque de soixante balais, qui vient de prendre sa retraite.


Je ne connais pas toutes ses compétences, mais comme beaucoup dans le métier, je sais pourquoi elle a été recrutée. Ils sont malins les DRH : plus elles sont belles et sexy, moins on ne sait dire non à leurs propositions qui ne sont que commerciales ! Elle présente une gamme de collants et bas. Pour bien les présenter, elle en porte une paire sur ses longues jambes, potelées, mais pas trop. Quelle aberration ! C’est comme mettre une bâche sur un tableau de Van Gogh.


12 h 30 sonnent, les employées quittent le magasin. Nous voilà seuls. Sonia continue son travail alors que le rideau est tombé. Ça ne la dérange pas que je n’aille pas déjeuner. J’ai les crocs ! Et elle me donne sacrément faim. Elle se penche pour prendre des catalogues dans son sac de présentation. La jupe noire est bien ajustée et laisse apercevoir des rondeurs délicates. Son fessier semble ferme et augmente mon appétit. Elle se penche un peu plus et… la jupe étant un peu courte, on voit apparaître la bande de maintien de ses bas puis quelques centimètres de peau. Elle est sacrément canon. Je ressens l’excitation de mes quinze ans, quand dans le métro, une femme s’est assise à mes côtés et a laissé apparaître le haut de ses bas. Tout de noir gainée, elle fut mon premier souvenir de bandaison sur des dessous. Juste sur un souvenir, il pourrait me prendre l’envie de m’isoler quelques minutes et de me faire plaisir… Mais je n’ai pas fini mon histoire.


Ses seins sont petits, à Sonia. On ne les voit même pas par l’embrasure de son chemisier transparent. C’est sûrement pour cela qu’ils ne sont pas emprisonnés par un soutien-gorge. Ses lunettes lui donnent un côté sévère très fantasmant, genre bibliothécaire qui va me punir, car je n’ai pas été très sage…


Elle se retourne et passe près du bureau et oups… maladroitement, elle s’accroche, et son bas se file ! Quel comble ! Mais ayant du stock, je lui trouve vite une paire neuve que je lui tends. Je les ai choisis moi-même : des clairs, très satinés limite brillants, et doux au toucher. Elle va se changer dans la petite salle réservée aux essayages, salle entourée de plusieurs miroirs pour pouvoir se regarder. J’imagine qu’à chaque fois qu’elle passe devant un miroir, elle se regarde et est contente de la ligne qu’elle entretient. Elle peut en être fière.

Je la laisse, puis m’aperçois qu’elle n’a pris qu’un bas de la paire que je lui ai tendue. La porte n’étant qu’à moitié fermée, je me permets d’entrer… Oups ! elle était en culotte… Une petite culotte rose, avec un tissu en dentelle transparent laissant deviner un fin duvet brun. Elle était la plus gênée. Ne sachant quoi faire, elle a mis deux minutes avant de me dire merci pour le bas. Pendant cet instant, je lui ai maté les jambes… sa peau semblait douce et blanche, comme un prélude à la sensualité.


Je retourne dans mon bureau. Elle me rejoint et s’excuse de la situation. Je lui dis qu’il n’y a pas de raison de s’excuser. La manière dont je lui ai dit ça a dû me faire passer pour un gros pervers. On s’assoit, elle relève ses lunettes et a du mal à se concentrer. J’en suis troublé, ce qui augmente son trouble. On se regarde sans se parler. On a le regard fixé l’un vers l’autre.


Puis on se jette littéralement l’un sur l’autre. L’un et l’autre avons capté cette fraction de seconde, cette fraction qui nous envole dans l’impulsion et la bestialité quasi animales. On se relève et d’un grand geste magistral du bras je mets par terre tous les papiers qui se trouvaient sur mon grand bureau.


Elle s’allonge sur le dos. Je lui remonte la jupe. Elle m’arrache les boutons de ma chemise. J’en fais autant sur son chemisier blanc en satin. Elle ouvre ma ceinture. Je lui masse les seins. Elle me déboutonne. Je passe une main sur sa chatte humide. Elle me tire la queue du shorty. Je la laisse me branler en essayant tant bien que mal d’enlever mon pantalon et mes chaussures.



Ça semble l’exciter, au vu de ses lèvres qui se pincent. Elle se contorsionne et se libère de sa culotte. Ses lèvres sont charnues. Je les ouvre pour découvrir la beauté de son sexe en entier.



Elle me rejoint vers les capotes et prend un tube de lubrifiant. Ça lui a donné des idées… Elle l’ouvre et en met sur son doigt en le suçant. Puis en m’allumant du regard en remet sur sa main et commence à masser sa fente avec. Elle fait ça avec vice et provocation, si lascivement… Elle se claque les seins si petits. Il n’y a que ses tétons durcis qui bougent.



Et elle commence son show… elle se rentre un doigt, puis deux, puis trois tout en m’observant et en se massant le clitoris. Elle fait ça pour me faire plaisir, mais se prenant au jeu, se fait aussi plaisir à elle-même. Elle est torride et ses yeux sentent le sexe. J’aime cette odeur.


Moi c’est simple : je me masturbe. Pas trop énergiquement, pour pas tout gâcher, mais avec ardeur. Elle retourne vers le bureau, pose ses seins dessus et m’offre une croupe déjà béante qu’elle lubrifie… Pourquoi parler ? Je me lève et l’encule.


Je sais que là où l’on est, on est dans l’objectif d’une des caméras de surveillance, mais j’évite de le lui dire. J’aime bien revoir mes sexploits, tout est enregistré.


Elle se laisse faire ; elle ne peut plus bouger de toute façon. Elle crie plus qu’elle ne gémit. Dommage, mes caméras n’enregistrent pas le son. Elle ne bouge plus, elle est comblée. Les yeux au ciel, elle me voit l’empaler sans lui laisser de répit. Elle sort mon sexe, le suce un peu… puis s’allonge sur le dos sur le bureau. Elle se remet du gel dans son fion et sur sa chatte. Elle sait ce qu’elle veut.


Je la reprends par-derrière et elle me tend le tube de lubrifiant à l’aspect moderne et phallique. Je suis d’accord pour pénétrer son sexe trempé avec celui-ci. Ce godemiché improvisé à la taille prétentieuse rencontre mon gland, à peine séparé par une fine muqueuse.



Je suis interloqué. Je m’exécute pour lui faire plaisir, mais sans réelle motivation. Elle me griffe les fesses… non elle ne me les griffe pas, elle me les lacère pour que je le fasse mieux. Ça me redresse d’un coup et ça ne fait que planter mon dard plus profond en elle. Pour lui faire plaisir, j’envoie ma salive sur son bas-ventre et masse son clitoris avec, ce qui a l’air de la combler. Mes sécrétions mêlées à ma salive inondent son corps. Autant lui cracher dessus m’a fait ramollir, autant l’excitation que ça lui a procurée m’a fait redécoller… trop peut-être !


Vite, je me retire et enlève ma capote. Elle se met à genoux et se prend un premier jet violent sur le front. Le deuxième lui arrive près de l’œil et pour les autres… sa bouche les absorbe.


Dans nos aventures, son nouveau bas s’est filé. Vous me croirez ou non, elle me les a facturés !