Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 17103Fiche technique23524 caractères23524
Temps de lecture estimé : 14 mn
13/11/15
Résumé:  Thomas et Julie, jeunes amants, font déraper un massage une fois de plus.
Critères:  fh jeunes frousses massage fsodo init confession
Auteur : XXC      Envoi mini-message
Le massage

Je sortais avec Julie depuis presque un an. Tout allait bien entre nous, sur tous les plans. Je passe sur les petits différents passagers, mais nous pouvions parler de tout entre nous, chacun était très ouvert, et même si nous n’étions pas d’accord sur tout, nous nous écoutions, débattions. Cela nous donnait en particulier une vie sexuelle épanouie, les quelques ratés étant discutés ensuite, nous apprenions chacun à construire notre sexualité dans notre jeune vingtaine, et surtout à la construire ensemble.


Ce jour-là était l’un des premiers où l’on se sentait en été, le tennis de Roland-Garros allait commencer, il faisait chaud. Un jour de semaine – mais nous étions tous les deux en vacances ou de repos – où nous étions comme souvent allongés sur le lit non défait, à discuter de tout et de rien, de sujets plus ou moins sérieux. Les volets étaient entrebâillés, la fenêtre fermée, mais tous nos efforts pour garder la chaleur à l’extérieur avaient leurs limites. Cependant la pénombre, la chaleur, l’humidité donnaient à la petite chambre une ambiance propice aux confidences. Et tout d’un coup, entre deux broutilles complices, ma Julie se redressa :



Je sortais mon demi-sourire que nous le connaissions tous les deux, regardant le plafond. Je ne comptais plus les paris de massage perdus puis repoussés, l’ambiance était propice, et j’étais prêt à accorder ce moment de détente à mademoiselle.


Comprenant que j’acceptais, ma Julie me vira du lit rapidement et en moins de temps qu’il n’en fallait pour le dire, elle était sur le lit, allongée sur le ventre, vêtue uniquement de sa culotte. Pendant ce temps, j’étais occupé à me mettre à l’aise, moi aussi, ne gardant pour le bas que mon boxer, car le jean n’était pas adapté à la position accroupie que j’allais adopter. Et vu la chaleur déjà présente, je me mis torse nu et attrapai l’huile de massage dans le tiroir.


En me retournant, je ne pus retenir un temps d’arrêt devant cette vue : mon amoureuse étendue de tout son long, sur le ventre, les bras au-dessus de la tête, ses longs cheveux auburn ondulés que j’adorais repoussés sur un côté de la tête, placés de manière à me dégager au mieux ses épaules. La pénombre donnait une ambiance de noir et blanc à la scène, et lorsque je me plaçai à califourchon sur ses cuisses, j’en profitai pour admirer sa peau pâle de presque rousse, que faisait encore ressortir sa culotte simple de coton noir.


Je fis couler un peu d’huile le long de son dos, du haut vers le bas… en été, la fraîcheur du liquide était appréciable. Je refermai le flacon rapidement, quelques mouchoirs étaient sortis pour ne pas en mettre partout, et je me mis à la tâche.


Ce n’était pas le premier massage que j’effectuais, je m’améliorais de plus en plus, j’opérais maintenant sans conseils directs de sa part, à ma grande fierté ! Tout en finissant ses épaules, je descendais tantôt doucement le long de sa colonne vertébrale, admirant ses grains de beauté, tantôt sur ses côtés, appréciant sans forcer l’ébauche de la rondeur de ses petits seins fermes qui me plaisaient tant. Je remontais, redescendais, m’attardais par endroits, jouais de mes doigts, mes ongles, mes paumes.


Nos massages pouvaient facilement dériver sur des caresses, ce n’aurait pas été la première fois. Et de nouveau donc, une érection se formait bien malgré moi. Nous avions discuté de cela, elle ayant peur au début que je ne pense « qu’à ça ». De fait, il m’en fallait peu, dans la fougue de la jeunesse masculine, pour être prêt à toutes les galipettes, et dans ces conditions, même en me concentrant pour procurer un massage efficace, je ne pouvais empêcher ces érections réflexes. Elle le savait, et même si elle sentait mon sexe dur entre ses fesses, à travers caleçon et culotte, elle savait que je n’allais pas dériver vers le sexe, en tout cas pas sans signes explicites de sa part. Et puis je savais honorer mes paris perdus correctement ! Nous faisions l’amour très souvent et je voulais là lui offrir un vrai moment de détente. Mais ma nature de mâle s’imposait, au moins physiquement, et nous l’acceptions en faisant semblant de rien.


Je m’appliquais dans mon massage, doucement, tel l’élève studieux qui met en pratique ce qu’on lui a enseigné. Ma Julie ne bougeait plus, je la sentais de plus en plus détendue. Elle s’était déjà endormie sous mes massages à d’autres occasions, ce que je prenais comme des petites victoires. Mais tout d’un coup, sans bouger, sans ouvrir les yeux :



Je ne répondis pas, je changeai juste de position, elle savait que je l’avais entendue. Elle avait ma taille, environ 1, 75 m, et pour atteindre ses épaules confortablement, j’étais à califourchon sur ses cuisses. Mais dans cette situation, j’avais un accès moins facile aux bas de ses côtes et son coccyx, que j’oubliais souvent. À vrai dire, malgré la politesse de sa remarque, je m’en voulais d’avoir oublié cette partie de son corps magnifique.


Je descendis donc un peu mon poids sur ses cuisses, sans appuyer sur ses genoux. Je m’intéressai alors à sa taille assez fine, sous ses épaules un peu plus larges, surtout juste avant un bassin et des hanches qui me faisaient chavirer. J’appuyais de toutes mes paumes de part et d’autre de la colonne vertébrale, après un petit rajout d’huile. Et puis, pour m’intéresser au coccyx, j’avais descendu l’élastique de la culotte à mi-fesses. J’alternais de nouveau les pressions, les glissements de mes mains, remontais parfois. Elle semblait complètement endormie, la respiration régulière, ne frissonnant ou ne soupirant même plus sous mes doigts.


Je ne m’arrêtais pas, je savais que cela pouvait la réveiller. Cependant, cet élastique de culotte était mal placé, et pour plus de commodité je le descendis le plus délicatement possible sur la base de ses fesses. Je connaissais ces jolies fesses rondes, je la prenais souvent en levrette. Je continuai mon massage, puis du bas du dos je finis par dériver sur ses fesses. À ce moment, je pensais uniquement au plaisir que cela pouvait provoquer chez elle, même si ce n’était pas pour me déplaire non plus. Mes mains se faisaient plus douces pour englober chaque côté. Puis alternant droite et gauche, je plaçais un pouce à la limite entre le haut de la cuisse et la fesse, le reste des doigts malaxant la fesse concernée. Je savais comme cela pouvait être agréable.


Et puis, a posteriori, ce dût être ce qui changea tout. À pleines mains, je descendis sur son coccyx, chaque main agrippa une fesse pour les écarter et les refermer ensuite. Un mouvement rapide, intuitif, sans aucune arrière pensée.


Mais au passage je découvris une fois de plus le « petit trou » de Julie. La peau un peu sombre au centre, qui tranchait avec sa pâleur ailleurs. Les plis de la peau qui convergeaient vers ce délicat orrifice. Quelques poils qui rejoignaient ce sexe et ses grandes lèvres que je commençais à bien connaître. Je ne pus retenir l’accélération de mon cœur et l’envie d’en voir plus.


Julie était sûrement endormie ou en tout cas trop détendue pour réagir. J’en profitai pour en voir, en apprendre, en savoir plus entre ses fesses. Je me disais que je ne faisais rien de mal, je me concentrais toujours sur son plaisir, sa détente, mes mains chaudes enduites d’huile sur sa peau.


Mais petit à petit, les mêmes gestes se répétaient. Mes mains écartaient de plus en plus souvent ses fesses, la tranche d’une main restant sur sa fente pour mieux malaxer de l’autre une fesse, par exemple. Ou pour alterner, une main sur chaque fesse, les mouvements d’écartement et de compression des globes soyeux. Bref, je commençais à en profiter. Je découvrais beaucoup, n’ayant guère d’expérience de ce côté-là. J’étais agréablement surpris par la propreté de son entre-fesse, l’absence d’odeur. Ou alors j’en étais suffisamment loin ! Car même si comme beaucoup de jeunes hommes, j’étais très attiré par ce petit trou mystérieux, mon expérience était proche du zéro, à l’exclusion du porno que je savais artificiel.


Mais tout en profitant, je ne voulais pas brusquer mademoiselle, peut-être endormie, et j’étais très attentif à tout signe négatif de sa part face à mes actions presque entreprenantes.


Mais rien, aucune réaction… je la pensais endormie complètement. Je poussai alors mon exploration. D’une main j’écartais ses fesses alors que de l’autre je caressais doucement les parois sombres du sillon secret, assez fort pour que le geste ne puisse pas être pris pour une chatouille. Puis, à force, je me rapprochai tout en caresses du trou du cul de ma princesse. Mon érection était bien sûr toujours là, mais mon excitation était contrôlée, j’étais presque dans la recherche et la découverte scientifique ! Puis, suite à un geste trop doux – ou pas assez, je ne le sus jamais – elle eut un réflexe de contraction des sphincters. Je déplaçai immédiatement mes deux mains et revins à des caresses douces sur ses fesses, mine de rien.


Je me figeai presque lorsqu’elle changea sa tête de côté : elle ne dormait pas ! Des pensées se bousculèrent immédiatement dans ma tête : avait-elle apprécié mes caresses entreprenantes ? Ou avait-elle essayé de me piéger pour voir si j’étais prêt à abuser son fondement dans son sommeil ?

Mais je fus abasourdi en entendant une voix un peu pâteuse :



Je me figeai pendant de très longues secondes. Elle n’avait pas bougé, ni rouvert les yeux, je n’étais pas certain d’avoir bien entendu ou bien compris le message. En tout cas, mon sexe avait encore raidi, ayant compris ce qui l’arrangeait lui… Je ne pouvais risquer le quiproquo ici et fis confirmer :



Une voix un peu plus claire me répondit finalement :



Cette fois, plus de doute.


Bon, je cachai mon excitation qui était montée de 200% d’un coup. Nous avions en effet déjà parlé de sodomie. Elle n’avait jamais essayé, moi non plus (ni activement ni passivement d’ailleurs !). Elle avait peur évidemment, mais nous étions d’accord sur un principe : il vallait mieux dans la vie essayer les choses, au moins une fois, afin de savoir si on appréciait ou pas, quitte à ne jamais recommencer.


D’un côté, j’avais donc le champ libre. D’un autre côté, je n’avais pas droit à l’erreur. Mentalement, je revoyais automatiquement tout ce que je savais sur la sodomie, glané sur les forums internet, les films X, les conseils plus ou moins avisés ou véridiques d’ami (e) s. En fait, je n’avais retenu qu’une chose : y aller doucement.


Tout à mes réflexions, je n’avais pas cessé mes caresses et massages sur ses fesses. Alors je me relevai un peu, enlevai complètement sa culotte en la descendant sur ses jambes, les relevant d’une main pour m’aider. Rapidement, j’attrapai dans notre tiroir crapuleux un préservatif et notre lubrifiant.


Elle ne bougeait toujours pas, s’abandonnait à mes caresses. Je continuais à malaxer ses fesses blanches, les entrouvrant, caressant de pressions délicates sa rose des sables et son pourtour… Je remplaçai l’huile par le lubrifiant, largement. Et puis doucement, je plaçai ma main droite, le pouce vers le bas caressant son entre-fesse, de plus en plus doucement, mais de plus en plus appuyé, de plus en plus près du fameux trou. Elle semblait tellement détendue que j’osai et enfonçai un peu mon pouce. Pas de contraction des muscles. En fait, aucune réaction ! Je me demandais si j’avais raté un truc… je n’osais pas aller plus loin et je recommençai quelques caresses, cette fois-ci uniquement dirigées sur le petit orifice. Je profitais de la vue, je gravais ces images dans ma mémoire. J’aimais tout ce que je voyais, cette fille offerte à moi, me faisant entièrement confiance. J’aimais même ses quelques poils qui se densifiaient lorsqu’on descendait vers son sexe. Julie ne s’épilait presque pas, juste ce qu’il fallait pour le maillot sur les cuisses. J’adorais ça. J’étais conscient à ce moment de voir quelque chose d’elle que personne d’autre n’avait vu. En tout cas, c’était ce que je pensais, à tort ou à raison. En effet, à notre rencontre, elle avait déjà eu d’autres partenaires sexuels. Je savais qu’elle n’était plus vierge « devant » comme nous disions et je savais qu’elle avait déjà procuré des fellations à d’autres garçons. Mais elle n’avait jamais donné son cul. Je n’étais pas jaloux ou vexé, n’y attachant pas tant d’importance, mais quelque part, être le premier à qui elle l’offrait ajoutait pour moi à l’excitation du moment, à sa magie. Et je ne savais pas trop si c’était mon imagination, mais j’avais l’impression d’entrevoir plus bas de l’humidité luire sur ses grandes lèvres un peu entrouvertes… J’espérais effectivement que la situation l’excitait elle aussi !


J’étais conscient que ce qui se passait resterait gravé dans nos mémoires, que ce moment était important dans notre sexualité et notre vie.


Tout en continuant mes caresses appuyées, je tentai de nouveau un pouce, une phalange, doucement… je ressortis, mon doigt semblait étonnement propre… sûrement la semi-obscurité de la pièce pensais-je alors ! Puis après quelques dizaines de secondes, toujours la paume vers le haut de ses fesses, j’introduisis un majeur. Je savais le majeur plus fin que mon pouce, je voulais simplement aller plus loin.


Là, après l’introduction très, très lente, mais continue d’une phalange, elle eut une contraction réflexe, rien d’autre. Je m’arrêtai, retenant ma respiration. Je craignais évidemment qu’elle change d’avis et veuille tout arrêter. Puis, sans que je bouge, je sentis ses muscles se détendre à nouveau. Je continuai donc ma progression, doucement… J’avais l’impression qu’elle soulevait même les fesses légèrement pour aller vers mon doigt.


Et puis, j’étais au fond. En tout cas, autant que mon doigt le pouvait. J’appréciais déjà la chaleur du lieu, et son intérieur resserré sur ce majeur chanceux. Je le retirai délicatement et décidai de passer aux choses sérieuses. Je bandais comme un âne ! J’ouvris délicatement le préservatif, l’ouvris, le déroulai rapidement, puis apposai une épaisse couche de lubrifiant dessus. Une autre sur son anus.


Elle n’avait toujours pas bougé, mais je savais qu’elle ne dormait pas, cette fois ! Sa respiration était plus rapide, moins régulière. Elle était toujours allongée sur le ventre, les jambes légèrement écartées, les bras au-dessus de la tête. Qu’elle était belle ! Je me remis doucement sur elle, entre ses cuisses, les jambes serrées. J’écartai ses fesses d’une main. L’autre guidant mon sexe.


Je m’approchai du centre des replis de son cul. J’appuyai doucement mon gland et j’avançai. Et là, le drame.


Enfin, mon drame : je me rendais compte que compte tenu de ma position et de l’angle de nos corps, ça ne pourrait pas vraiment rentrer ! Je dus donc me repositionner plus haut sur elle pour descendre plus facilement mon sexe vers ses fesses détendues. Bon, pas de panique, ma Julie ne réagissait pas, elle me laissait gérer, en confiance.


Difficile d’exprimer ce que je ressentais à ce moment. D’un côté, il s’agissait de la femme que j’aimais, et d’un moment très intime qui nous liait plus encore. D’un autre côté, avide comme j’étais de nouvelles expériences, je ne voyais plus là qu’une fille que j’allais sodomiser !


Elle me confia par la suite avoir eu les mêmes sentiments partagés. J’étais le seul garçon à l’avoir amenée à ce niveau de confiance et de tendre offrande. Mais, couchée sur le ventre elle ne me voyait pas et pouvait m’oublier : une autre part d’elle-même ne pensait plus qu’à offrir son cul à une bite.


Je me suis donc repositionné. Je m’en voulais de ce premier ratage mais je fis table rase et repris en douceur. J’appuyai mon gland tout en écartant franchement ses fesses. Et là, je me rendis compte que mon sexe était beaucoup plus large que mes doigts, que mon pouce.

Aucune prétention ici, j’ai un sexe dans la norme, sans plus. Elle me l’avait déjà dit, mi-moqueuse, mi-sérieuse. Évidemment, je complexais sur la taille de mon sexe. D’habitude, je me demandais s’il était assez gros et long. Pour une fois, c’était l’inverse. J’avais peur de lui faire trop mal, que la différence avec mon doigt soit vraiment trop grande.


Mais tant pis, je tentai. Une occasion comme celle-ci ne se reproduirait peut-être jamais, autant essayer. Au pire, si ça n’allait pas, je savais qu’elle n’aurait pas souffert en silence et qu’elle m’aurait arrêté. J’étais à l’écoute, prêt détecter tout signe négatif qui m’aurait fait immédiatement fait mettre fin à l’opération.


Je poussai donc doucement mon gland. Je dus au début bien guider mon sexe, son petit trou n’acceptant pas naturellement la pénétration. Et puis le début du gland passa. Je gardais ma main sur mon sexe, contre son cul noyé de lubrifiant, mais ma main ne faisait plus qu’accompagner le mouvement. J’avançai encore un peu… tout mon gland n’était pas encore rentré, mais presque. Je fis une pause et ne bougeai plus. Et là, elle se contracta sur mon gland. Très rapidement, très fort, mais pas assez pour faire sortir mon sexe, que ma main guidait toujours. Après quelques secondes, je la sentis se détendre et monter doucement les fesses, signal positif. J’avançai alors lentement, mais fermement, et tout mon gland rentra.


Je me dis alors que c’était gagné.


Nouvel arrêt. Nouvelle contraction. Aucun bruit de sa part. Et enfin, nouvelle lente décontraction. Cette fois, elle ne bougea pas. Je la sentais toute offerte, tout mouvement ne pouvait que l’empaler plus. Je progressai encore, très doucement mais très sûrement. La main qui guidait mon sexe devint inutile, je vins m’appuyer près de son épaule en me penchant sur elle. Ma main gauche resta pour maintenir ses fesses écartées. J’utilisai mon poids pour peser de mon sexe sur son cul, et je m’enfonçai. C’était chaud, mais ça je connaissais. C’était aussi moins lubrifié, plus difficile à pénétrer. Mais c’était surtout plus serré. Différent. La pression sur mon sexe était constante sur toute sa longueur alors que dans le vagin elle est localisée à l’entrée.


J’arrivai au bout, écartant ses fesses au maximum pour être enfoncé le plus possible en elle. Elle ne disait toujours rien, immobile. Je pris quelques secondes pour profiter, les yeux fermés, puis demandai enfin, doucement, à son oreille :



La réponse arriva avec un léger retard, comme embrumée :



Je ne me fis pas prier. Maintenant ses fesses écartées, je remontai en prenant garde à ne pas sortir mon gland. Petite contraction suivie d’une détente très rapide. Puis je m’enfonçai doucement à nouveau, tout au fond, sans m’arrêter, laissant échapper un soupir. Elle lâcha un petit cri. Je remontai à moitié, m’enfonçai plus fort d’un coup, sans pouvoir contenir ce mouvement qui, je le sais, aurait pu lui faire mal. Pendant que je lançais mes coups de reins, elle se contractait comme jamais sur moi en lâchant des cris étouffés. C’était plus qu’il ne m’en fallait : appuyant mon bassin de toutes mes forces sur ses fesses, j’éjaculai dans le préservatif en plusieurs fortes saccades.


Il me fallut quelques secondes pour revenir sur terre. Je savais qu’elle n’avait pas joui, mais elle était consciente de mon plaisir et me laissait le savourer. Je finis par chuchoter :



Elle acquiesça simplement de la tête, avec un petit sourire et un regard bienveillant. Je me retirai donc, j’utilisai un mouchoir pour enlever le préservatif et ne rien tâcher. À sa demande, je nettoyai délicatement le pourtour de ses fesses. D’un ton sans appel, elle m’envoya me laver les mains.


Lorsque je revins, elle était allongée sur le côté sur le lit, en chien de fusil. Elle semblait dormir, toujours nue. Je me glissai derrière elle, nu moi aussi.



Petit sourire compréhensif. Je poursuivis, un peu gêné.



Pour toute réponse, elle prit la main que j’avais posée sur sa hanche et vint la poser à l’entrée de son sexe, en haut de ses lèvres. Je me laissai faire et elle poussa délicatement mes doigts vers son intimité. Elle était trempée. Elle mouille souvent beaucoup, mais là, je fus malgré tout impressionné !



J’en restai sans voix. Je me dis tout à coup que j’avais réussi ce passage, cette première fois si importante, et qu’on pourrait sûrement recommencer. Pour un peu j’en aurais presque eu une nouvelle érection !



Je ne me fis pas prier, j’adore lui donner du plaisir de ma main quand elle est contre moi comme ça, j’aime la sentir vibrer jusqu’au bout. Mais cette fois elle me parla en même temps :



Nous étions repartis sur un terrain connu, mais rien ne sera plus exactement comme avant, après cette première fois !