Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 17108Fiche technique8617 caractères8617
Temps de lecture estimé : 5 mn
14/11/15
Résumé:  Enfin son amie devient la chienne dont il rêve...
Critères:  fh fhh copains grossexe groscul fépilée caférestau collection fdomine humilié(e) vengeance rasage cunnilingu pénétratio -vengeance
Auteur : Igitur            Envoi mini-message
Un petit sentiment

Isabelle avait un petit sentiment.

Était-ce le grand amour ? Sébastien la baisait bien. Ce n’est pas l’expression qu’Isabelle aurait employée spontanément, mais Sébastien ne disait pas autrement alors elle avait fini par adopter le mot : elle aimait tellement la chose.


Ce soir-là, ils recevaient chez Sébastien son plus vieil ami Luc. Vingt ans d’amitié. Ces deux-là se remémorèrent de nombreux souvenirs de l’école, du collège, du lycée, de l’université et surtout des souvenirs de vacances. Puis vint plus spécifiquement le sujet des filles, des gonzesses, des meufs, la baise, quoi. Sébastien, sans le moindre égard pour Isabelle, évoquait des nichons mafflus qu’il avait pelotés avant les siens, des culs monstrueux sur lesquels il s’était frotté le dard, des chattes dégoulinantes qu’il avait bouffées quand il ne la connaissait pas et nombre d’exploit de sa « bite magique » et de son incroyable façon de s’en servir, ce dont Luc attestait non sans vanter son propre instrument et sa propre technique.


Isabelle avait un petit sentiment. Elle se dit "les garçons sont comme ça" , elle réussit même à trouver quelques une de ces histoires amusantes. De souvenir en souvenir Sébastien en vint à évoquer son « actuelle », comme si elle n’était pas là.



Isabelle ne goûtait pas beaucoup le compliment dans cette circonstance. Mais c’était tout de même un compliment.



Isabelle avait un petit sentiment. Alors elle se contorsionna pour faire glisser le petit slip blanc et se rassit, jambes serrées. Sébastien, en s’emparant du morceau de tissu, lui écarta violemment les cuisses en aboyant :



Isabelle n’était pas à l’aise, elle rechigna un peu. Sébastien avait plongé son nez dans la culotte et semblait enivré par l’odeur, pendant que Luc s’était laissé glisser dans son fauteuil pour aligner son regard avec les cuisses d’Isabelle, tout en caressant la braguette de son pantalon.



Pendant qu’on l’entendait fouiller bruyamment le placard de la salle de bain, Isabelle resserra les cuisses, mais Luc plongea aussitôt le bras sous la jupe. Il écarta à nouveau ses cuisses sans ménagement et manipula brutalement sa vulve. Sébastien revint avec la tondeuse, la mousse à raser et deux rasoirs. Lorsqu’il le vit, Luc retira sa main, la porta à sa bouche et lâcha :



Et Sébastien et Luc se tapèrent les mains en signe de complicité, dans un grand éclat de rire.


Isabelle eut beau protester, les deux garçons se relayèrent pour la tenir, la déshabiller entièrement, la tondre, puis la raser minutieusement. Ils s’amusaient beaucoup et étaient très excités. Pendant que l’un officiait l’autre la tenait tout en lui tripotant grassement les seins, en lui suçotant les tétons et en lui léchant le visage en murmurant :



Ces deux-là avaient clairement été à la même école de baise. Lorsqu’elle fut rasée comme elle n’avait jamais souhaité l’être, ils continuèrent à se relayer pour lécher sa chatte baveuse, comme ils répétaient en boucle, sucer son clitoris et introduire dans son vagin doigts, langues et sexes fort bandés. Lorsqu’ils se furent bien asséché les bourses, Isabelle alla se coucher en les laissant siroter la vodka, elle se sentait complètement vidée.


Isabelle avait un petit sentiment. Quelques jours plus tard elle donna rendez-vous à Sébastien dans un café calme, au fond d’une salle pratiquement vide. Elle allait lui présenter son amie Corinne, une brune aux yeux bleus envoûtants, toujours très provocatrice. « Une femme qui adore les hommes », lui avait-elle dit.


Sébastien, impatient, n’avait pas été en retard au rendez-vous. Et il ne fut pas déçu, Corinne était une grande brune féline, qui ne craignait ni les profonds décolletés, ni les maquillages aguicheurs, ni les regards ambigus. Rien qu’en l’embrassant pour lui dire « bonsoir », elle laissa glisser sur le corps de Sébastien une main caressante qui termina sa course sur la raie des fesses et le fit bander immédiatement. Corinne raconta des aventures érotiques rocambolesques qui excitèrent d’autant plus Sébastien, si c’était possible, que, tout en écoutant, Isabelle lui caressait ostensiblement le sexe. À la fin d’une histoire dans laquelle Corinne racontait comment elle avait sucé le sexe de trois hommes en même temps dans un lieu public, Isabelle lui dit :



Alors Corinne mêla sa main à la sienne sur l’érection de Sébastien.



Sébastien était aux anges, ravi d’avoir su faire d’Isabelle la vraie chienne dont il rêvait, capable de tout pour satisfaire son plaisir, à lui. Corinne se leva.



Il ne se fit pas prier et suivit Corinne dans les toilettes où ils s’enfermèrent dans une cabine. Corinne prit l’initiative en manipulant fermement l’appareil reproducteur de Sébastien. Il était tellement hypnotisé par le désir que lui provoquait cette caresse ahurissante qu’il se laissait complètement faire. Corinne le débarrassa rapidement de ses chaussures, de son pantalon et de son caleçon :



Sébastien n’avait plus la présence d’esprit pour répondre quoi que ce soit, il n’en croyait pas ses sens. « Mais pourquoi Isabelle m’a-t-elle caché si longtemps cette fabuleuse salope ? » pensa-t-il. Corinne tripotait son gland avec une incroyable dextérité, créant des vagues de plaisir qui le clouaient littéralement sur place. Sébastien ferma les yeux et s’appuya contre le mur. Corinne se pencha, engloutit son sexe et le fit rouler entre ses lèvres pulpeuses. Tout en tétant goulûment la pine prête à exploser, elle ramassa le pantalon le caleçon et les chaussures, puis elle lâcha sa prise et sortit précipitamment de la cabine.


Il fallut un bon moment à Sébastien pour comprendre ce qui se passait, il appela doucement d’abord, « Corinne », puis plus fort et il finit par hurler « Isabelle », seul dans ce chiotte qui soudain lui apparaissait dans toute sa glauque sordidité. Entre ses jambes, sa verge abandonnée pendouillait maintenant piteusement, comme une chandelle au nez d’un morveux, comme une pitoyable gringuenaude.


Les deux amies étaient loin. Elles étaient retournées chez Sébastien où Isabelle avait récupéré les quelques affaires qu’elle y avait laissées. Elle embarqua également tous les caleçons et tous les pantalons de Sébastien. Elle abandonna enfin un mot sur la table, à côté des clés, du portefeuille et du téléphone portable récupérés dans le pantalon de Sébastien :


« Maintenant quand tu voudras humilier une femme, tu y réfléchiras à deux fois. Va au diable, minable ».


Isabelle avait un petit ressentiment.