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15/11/15
corrigé 07/06/21
Résumé:  Le boss accompagne Nicole à des obsèques. Toujours aussi pervers, il insère un oeuf vibrant télécommandé dans la vulve de la femme ; elle doit le porter pendant la cérémonie.
Critères:  fh collègues fsoumise cérébral exhib lingerie fellation pénétratio fdanus coprolalie jeu fouetfesse
Auteur : P-hpassage            Envoi mini-message

Série : Porte-jarretelles day

Chapitre 07 / 07
Aux obsèques en porte-jarretelles

Résumé des épisodes précédents :


Un déjeuner perturbant

Nicole, DAF d’une entreprise, cadre un peu coincée, est choquée par la liberté d’esprit d’Eléanore, une jeune intérimaire qui – selon ses dires – aurait une relation avec son patron, fétichiste des bas et des porte-jarretelles. Au cours d’un déjeuner au restaurant, la cadre guindée est excitée à tel point par les confidences de la jeune femme qu’elle se réfugie dans les toilettes de l’établissement pour apaiser le désir qui l’enflamme.


Des achats qui changent tout

Eléanore réussit à convaincre Nicole de porter des vêtements plus sexy. Son boss est enchanté de l’audace de cette femme habituellement austère. Il le lui prouve en posant sa main sur sa cuisse…


Le jeu des boutons

Le lundi suivant ses achats, l’esprit perturbé et excitée, Nicole arrive dans l’entreprise en tenue classe et sexy. Son boss, admiratif et satisfait, entame avec elle un jeu de domination pervers.


Visite inattendue

Le patron de Nicole lui rend une visite impromptue à son domicile ; subjugué par sa transformation, il ne peut se contrôler… et la digne femme comprend enfin ce qu’est un orgasme.


Une étrange séance autour d’une tasse de thé

À la sortie de la messe du dimanche, une chanteuse de la chorale paroissiale invite Nicole à passer l’après-midi ensemble. Autour d’une tasse de thé, la grenouille de bénitier lui confie sa dépravation tout en se mettant nue.


Le lounge du porte-jarretelles

Le boss emmène Nicole et Eléanore pour prendre un verre dans un lieu cossu où la luxure règne en maître. Pour y être admises, les femmes doivent porter bas et porte-jarretelles sous leurs jupes.



__________________________



Aux obsèques en porte-jarretelles




La DAF a revêtu une robe aux motifs bleus et mauves s’arrêtant au-dessus des genoux, très près du corps, moulant la croupe et les seins. Depuis les aventures qu’elle a récemment vécues, elle a pris confiance en elle. Plus enjouée qu’auparavant, elle sait qu’elle plaît aux hommes, alors elle en joue.



Le boss émet un petit rire, contourne le bureau pour faire face à Nicole.



Un sourire illumine le visage du boss.



« "Proches" ; il a dit "proches". Après ce qu’il m’a fait faire, je comprends ce qu’il veut dire ; et puis lundi, c’est… » Il lui prend la main, plonge ses yeux dans ceux de Nicole.



Elle sourit, un frémissement qu’elle connaît bien court le long de son dos.



Il la saisit à la taille, la colle contre lui, glisse ses mains sur ses fesses, flattant les rondeurs. Leurs lèvres se joignent. Le baiser est voluptueux, les langues se mêlent dans un échange de salive chaude. Elle s’imagine dans l’église, le boss assis à ses côtés, collant sa cuisse contre la sienne, en tenue de femelle prête à se faire enfiler. À cette idée, sentant l’excitation monter, elle presse son pubis contre le sexe dur.



Quelques secondes d’hésitation ; elle soupire, remue les hanches pour mieux sentir le désir de l’homme qui la trouble avec cette histoire de porte-jarretelles, puis :



Elle dégrafe la fermeture Éclair de sa robe ; le haut tombe à sa taille, puis le soutien-gorge, exhibant ses seins alourdis par l’excitation. Elle s’agenouille, et avec frénésie elle plonge la main pour extirper la queue dure. D’une voix rauque chargée d’excitation, elle lui crie presque :



En fixant des yeux le membre qu’elle s’apprête à déguster, elle demande :




o o o O o o o



Le lundi suivant, le boss passe prendre Nicole chez elle.

En jupe ample de couleur gris foncé, chemisier blanc transparent, foulard mauve autour du cou, elle a choisi ses escarpins les plus hauts, noirs, aux talons fins. Pour rester d’apparence décente, son manteau la couvre jusqu’au bas du cou.



« Je suis une femelle faite pour exciter les hommes, "sa femelle préférée" ! » Une sourde excitation l’envahit. En conduisant, il a posé sa main sur le genou de Nicole, flattant des doigts l’attache de la cuisse couverte de bas couleur taupe. Quelques minutes plus tard, le désir de Nicole est trop fort. Les cuisses légèrement écartées pour offrir son genou à cette main qui le caresse, qui remonte lentement sur la cuisse pour redescendre aussi vite, l’incite à en vouloir plus. À environ un kilomètre de l’église, elle demande :



Il trouve une place, se gare le long du trottoir.

Elle se penche vers lui, le fixe d’un regard trouble. Puis, d’une voix rauque :



Il remonte sa main sous l’ourlet de la jupe, lentement, trop lentement pour Nicole. Elle écarte les cuisses de plus en plus au fur et à mesure que la main progresse vers le haut. Les doigts accrochent l’attache d’une jarretelle, glissent le long de la peau chaude et moite.



Elle adore cette main qui prend possession de son intimité, ces doigts qui courent le long de sa peau. Les cuisses largement écartées, un talon posé sur l’accoudoir de la portière, elle se prête à la caresse.

Les doigts écartent avec fébrilité la culotte de soie beige, puis plongent dans la masse de chairs trempées d’excitation. Elle se cambre, avance les fesses sur le devant du siège de cuir pour mieux s’offrir à cette main diabolique.



« Mon Dieu, c’est bon, trop bon ! Je vais jouir s’il continue. Je suis folle de faire ça en pleine ville ; si un passant nous voit… » Nicole, sous l’emprise des vagues de plaisir qui déferlent dans son ventre, saisit le poignet de l’homme.



Elle abdique, attrape difficilement les bords de sa culotte, la fait glisser le long des cuisses en se tortillant, puis des jambes ; un bord du tissu s’accroche au talon d’un escarpin. Le visage rouge d’un mélange d’excitation et de honte, elle la lui tend.



Il ouvre la boîte à gants, en sort une boîte bleue, déchire la feuille plastique de protection.



Il ouvre la boîte, en extrait un objet noir de forme oblongue ressemblant à une grosse gélule de trois centimètres de diamètre et six de long et un petit boîtier, noir lui aussi, avec six touches. Il l’ouvre, vérifie que la pile est en place, se penche entre les cuisses de la femme.



Il écarte les grandes lèvres de la vulve aux poils collés par la cyprine, fait glisser la grosse gélule le long des chairs gonflées et l’enfonce au plus profond de la chatte.



Il saisit le petit boîtier, appuie sur un bouton. Nicole sursaute : l’objet qu’il a introduit en elle vient de se mettre à vibrer légèrement.



Elle comprend… Cette grosse gélule qu’il a introduite dans son sexe est télécommandée. « Il ne va pas me faire aller aux obsèques avec ça dans ma chatte ! C’est… c’est démoniaque, je ne vais jamais tenir le coup ! »



Elle abdique, reprend la culotte qu’il lui tend et l’enfile avec difficulté, tant l’excitation est forte.

Enfin arrivés devant l’église, ils descendent de voiture, elle lui tenant le bras.




o o o O o o o



Assise au deuxième rang, aux côtés de sa sœur, derrière la famille du défunt, son cœur bat la chamade. Elle appréhende le moment où il va actionner la télécommande. Rien ne se passe pendant la première demi-heure ; elle finit par se calmer, pensant qu’il n’osera pas. Elle en oublie presque la grosse gélule enfoncée dans son sexe.


Le prêtre soulève le calice en marmonnant quelques versets qu’elle entend à peine ; son esprit divague, elle a hâte que l’office soit terminé. C’est à ce moment précis que l’objet se met à vibrer. Elle sursaute. La vibration est tout d’abord lente, puis de plus forte intensité. Elle rougit, saisit le bras de sa sœur. Puis plus rien.



« Le salaud ! Il a choisi le pire moment ; j’ai failli crier. Je me suis mise toute seule dans cette situation, c’est n’importe quoi ! Comment ai-je pu accepter ça ? Je suis devenue une dépravée… »

Puis ça recommence ; des vibrations oscillant entre rapides et lentes, d’intensité forte ou faible. Ce n’est pas tant la sensation de l’objet vibrant dans son corps qui l’excite – après tout, ce n’est pas vraiment excitant – mais le fait de savoir qu’il est à quelques rangs derrière elle, la main dans sa poche actionnant la télécommande ; d’être à sa merci la transporte dans une excitation qu’elle ne peut pas contenir. Il joue ainsi avec elle jusqu’à la fin de la messe. Elle croise et décroise les jambes, sa sœur lui jetant de temps en temps un coup d’œil.



Elle tente de maîtriser l’excitation malsaine qui l’a envahie, serrant convulsivement les cuisses, mais ses pensées sont constamment tournées vers les scènes lubriques auxquelles elle a participé avec veulerie. Elle écarte un peu les genoux, les resserre, puis ouvre un peu plus les cuisses, imagine qu’elle offre le compas de ses jambes ouvertes à son boss, au curé. Elle aimerait remonter sa jupe pour montrer à sa sœur le haut de ses bas, les attaches des jarretelles, comme pour lui dire « Tu devrais faire comme moi, exciter les hommes ; ils te feraient jouir. »


Enfin la cérémonie se termine. En se relevant, elle constate que sa culotte lui colle aux fesses. Heureusement, son manteau est suffisamment épais pour ne rien laisser paraître. Elle a hâte de le retrouver, lui dire qu’il n’aurait jamais dû faire ça, mais aussi combien elle a adoré. Lui dire qu’elle voudrait qu’il la baise, violemment, lui dire qu’elle aime être sa femelle préférée.



o o o O o o o



De retour à la voiture, elle s’assoit en soupirant, le fixe du regard, longuement, puis lui sourit.



Il lui sourit, pose la main sur son genou et remonte la jupe. Machinalement elle écarte largement les cuisses. En soupirant, elle fixe la main qui prend possession de sa chair, la peau moite au-dessus de la lisière des bas. « Vas-y, touche ma culotte, elle est trempée, elle sent la femelle excitée. Tu veux la baiser, ta femelle, tu veux qu’elle coule ? Salaud, tu veux que ma chatte gicle son sale jus de salope ! »



Excitée comme une folle, elle obéit.



Puis après quelques secondes, d’une voix gémissante elle lui demande :



Ils entrent dans l’église, elle avec le cœur battant la chamade. Il l’entraîne vers l’escalier menant aux orgues. Dans le silence du bâtiment vide, elle a l’impression que le bruit des talons qui claquent sur le sol de vieilles pierres est assourdissant.



Excitée à la folie, en tortillant exagérément des hanches, elle monte lentement l’escalier, faisant grincer le vieux bois des marches. L’homme en profite pour flatter des doigts le nylon couvrant les jambes. Elle s’arrête quelques secondes, le laissant prendre possession de sa peau avec veulerie. Lorsque les doigts atteignent la lisière des bas, elle reprend sa marche. Mais il l’arrête, saisit l’ourlet de la jupe et la remonte à la taille, la coince dans la ceinture pour qu’elle ne retombe pas. Il a devant lui, dans les marches menant à la mezzanine, une femme, les jambes gainées de bas marron foncé, les fesses moulées par une fine culotte ne cachant rien de sa chair.


« Il voit tout ! Mes cuisses, mon porte-jarretelles, mes bas, mon… mon cul. Je suis folle de me laisser faire. C’est tellement bon… Vas-y, sers-toi ! » Elle reprend sa marche, sublime, en se déhanchant pour mieux l’exciter.



Arrivée en haut, elle colle son ventre contre la rambarde de la mezzanine, le regard face à l’autel en contrebas, se cambre.



Elle rabat prestement sa jupe, croise les bras sur sa poitrine pour tenter de cacher ses seins totalement visibles à travers le corsage transparent.



« Elle m’a vue les fesses à l’air… Elle nous a certainement entendus. Elle… elle va tout raconter au curé, aux gens de la chorale ! » Michelle les regarde alternativement en souriant. Personne ne bouge. Le silence règne pendant quelques interminables secondes. Nicole est en mode panique, aucun mot ne peut sortir de sa gorge. Alors le boss tente de dédramatiser la situation.



« Une amie proche… Elle est gonflée ! Nous n’avons jamais été amies, ni même copines. Quelle garce ! »



Nicole la regarde d’un air effaré. Toujours incapable de parler, de réagir, elle subit la situation avec angoisse. Toujours en souriant, Michelle fixe le boss, se penche pour saisir l’ourlet de sa jupe qui lui couvre les genoux et la remonte lentement jusqu’à ce que la chair blanche des cuisses apparaisse au-dessus des bas, la peau barrée par les lanières d’un porte-jarretelles de couleur rouge-orangé et d’un slip assorti, l’ensemble étant un peu vulgaire. Les cuisses sont un peu maigres, avec du jour à l’entrejambe. « C’est pas vrai, elle va quand même pas faire ça… »



Nicole sent la panique monter en elle. « La salope… Elle va me piquer mon amant, mon mec ! Qu’est-ce qu’il attend pour l’envoyer balader ? » Elle fixe son boss d’un regard cherchant du secours.

Le boss s’approche de Michelle, lui saisit le bras, la retourne, la plaque contre le clavier de l’orgue, appuie sur le haut du dos pour la forcer à se courber. Puis il baisse la culotte et lui assène une claque sonore sur chaque fesse.



Pour appuyer ses dires, il assène une autre paire de claques encore plus fortes sur les fesses de Michelle.



Nicole s’ébroue, avale un grand bol d’air et s’approche.



Et elle se met à asséner des claques sur les fesses de Michelle, ne s’arrêtant que lorsque la main lui fait mal.



Nicole souffle, reprend le dessus sur la panique qui un moment l’avait laissée sans réaction. « Ouf, il me défend. Mon Dieu, j’ai eu peur… » Et elle reprend la fessée, évacuant la peur qui l’avait envahie. Puis elle cesse, raconte à son boss ce qui s’était passé le dimanche après-midi chez Michelle qui s’était mise nue devant elle en prenant le thé, se faisant jouir en s’enfonçant un gode dans le vagin, les aveux qu’elle avait faits au sujet de son mari l’emmenant dans un sous-bois où elle s’exhibait et suçait les sexes des voyeurs, mais en prenant soin de ne pas faire mention de l’épisode où elle s’était fait lécher la chatte par la garce.

Pendant ces explications, Michelle n’a pas bougé. Les fesses écarlates, elle écoute sans oser interrompre Nicole.



Il s’approche de sa maîtresse, l’enlace, prend ses lèvres pour l’embrasser profondément tandis que Michelle n’ose toujours pas bouger. Il remonte la jupe de Nicole, flatte les cuisses en faisant crisser le nylon, et lui murmure :



Puis, s’adressant à Michelle en utilisant son ton autoritaire :



Elle se tait et s’assoit en baissant la tête.

Nicole respire, l’excitation reprend le dessus. Son amant a maîtrisé la situation. Rassurée, son amant ayant réagi comme il le fallait, elle lui adresse un large sourire puis lui tourne le dos, le cul bien en vue du regard de l’homme, baisse sa culotte en gardant les jambes tendues. La grosse gélule tombe dans le creux du tissu. Sa vulve étant tellement détrempée de cyprine, le poids de l’objet pourtant léger a fait le reste. Elle émet un petit rire, se débarrasse de sa culotte. Puis elle se tourne vers Michelle, lui donne la grosse gélule.



Michelle, ayant bien compris qu’elle a intérêt à obéir, prend l’objet gluant de mouille et le lèche tout en gardant les yeux baissés.



Fébrilement, elle dégrafe le pantalon de l’homme, extirpe la queue déjà dure du slip, s’agenouille les cuisses bien écartées et le suce goulûment avec veulerie.

Après quelques minutes, lorsqu’elle le sent au bord de l’éjaculation, elle se lève, se remet contre la rambarde face à la nef et lui présente son cul. En plein délire, utilisant le tutoiement, elle lui lance :



Il agrippe les hanches, fixe du regard le large cul et s’enfonce en elle, bien profond. Elle gémit, apprécie la sensation de la queue qui prend possession de sa chatte. Folle d’excitation, Nicole se met à délirer. Jetant un œil vers Michelle, elle l’aperçoit la jupe relevée, les cuisses écartées, se fouillant la vulve. Furieuse, elle lui lance :



Il la retourne face à lui, passe une main sous un genou pour lui relever une cuisse afin de mieux s’enfoncer en elle. Elle lui tend ses lèvres, l’embrasse furieusement. Une forte odeur de sexe couvre celle du vieux bois de la mezzanine.



Sous les coups de queue que son amant lui assène et le doigt qui fouille son anus, elle se met à gémir ; ses jambes tremblent, et elle jouit en lâchant un jet de mouille sur la queue de son amant.



o o o O o o o



Le lendemain matin, Nicole a tenté de se concentrer sur son travail, sans réel succès. Elle est constamment excitée, attend fébrilement que les bureaux se vident pour l’heure du déjeuner. En se levant ce matin, les souvenirs de la veille ont resurgi de façon lancinante. Alors elle s’est apprêtée avec soin : les cheveux bien tirés en chignon, elle a mis une jupe marron foncé, un chemisier beige assorti, des bas de couleur chair, un porte-jarretelles blanc, escarpins noirs aux pieds, puis des bracelets à chaque poignet, les ongles vernis, un long collier autour du cou dont la boucle basse repose sur le haut des seins.


Son boss est déjà venu la saluer lorsqu’il est arrivé au bureau. Un échange de regards a suffi pour qu’il comprenne : elle a envie de baiser. Il lui a lancé un « À tout à l’heure, midi trente ? » ; elle a acquiescé d’un hochement de tête accompagné d’un sourire complice.


Midi presque trente… Elle ferme à clef la porte de son bureau, retire sa culotte, change sa jupe pour une autre beaucoup plus courte, à la limite de la lisière des bas, laissant apparaître les attaches des jarretelles. Elle ouvre son chemisier, se débarrasse du soutien-gorge : son boss aime tant ses "gros nichons", comme il se plaît à dire… Elle vérifie son maquillage, sort de son bureau et entre dans celui du boss, tourne la clef de la porte. Debout face à lui, elle se laisse examiner, tremblante d’excitation. Puis, d’une voix rendue rauque par un désir trop longtemps contenu :




FIN