n° 17114 | Fiche technique | 14325 caractères | 14325Temps de lecture estimé : 9 mn | 16/11/15 |
Résumé: J'ai toujours eu un faible pour les écrits de Frédéric Dard. Alors ce texte (que j'avais déjà publié il y a 12 ans) est un hommage, <i>à la manière de...</i> | ||||
Critères: fh hplusag travail fellation cunnilingu fsodo pastiche | ||||
Auteur : Pericles Envoi mini-message |
J’avais eu tort de parler à Patrick de l’effet que me faisait Alexandra, la stagiaire du service depuis trois mois. Patrick, pas le dernier pourtant à me narrer par le détail ses multiples conquêtes féminines, voulait me persuader que le sexe dans l’entreprise c’était rarement bon pour l’évolution des carrières. Pour appuyer son propos, il venait de dénicher sur l’intranet de Megahard, notre entreprise, le règlement intérieur et son fameux article 17.
Le pire, c’est que j’étais d’accord avec lui : l’omnipotente radio-moquette est toujours immédiatement au courant de la moindre tentative d’ébauche de début de commencement de relation extra-professionnelle ou amicale entre deux salariés de sexe opposé… ou de même sexe, d’ailleurs ! Il faut dire que sur l’intranet des assistantes, ça y va à tout-va : j’en connais qui ont des bases de données comme ça ! Y’en a même une qu’on appelle "Database", c’est vous dire…
Mais bon, Alexandra, avec son air de ne pas y toucher, d’innocente vierge (pléonasme), elle me mettait au bord de l’éruption, la stagiaire… Et si ça continuait, j’allai devenir le "Krakatoa" de Megahard, moi, qu’à côté de ça, l’ouragan Katrina, c’était un doux zéphyr !
Que je vous la décrive, Alexandra : la première fois que je l’ai vue, je suis resté comme une vache admirant son premier TGV. Tout ce que je pouvais faire, c’était rester la mâchoire pendante, les mirettes paralysées et popaul dansant la samba dans son caleçon. En fait, elle était tellement belle que j’en avais mal partout.
Alors allons-y, sortons la machine à adjectifs, l’imprimeuse à superlatifs : elle avait tout d’une Miss Monde, mais en beaucoup mieux ! Une paire de seins taillés en poire et sculptée par un pull col-roulé qu’on aurait dit moulé sur elle avec une vertigineuse décroissance des mensurations entre les 95 bien sonnés du haut et les 60 maxi du milieu. Et des jambes… Ah là là, ces jambes ! Qui c’est, Mary Quant ? Parce que la minijupe, y’a qu’Alexandra qui pouvait l’avoir inventée, tellement ça semblait immédiatement évident que ce bout de tissu était fait pour révéler de telles jambes : allongées, soyeuses, fines…
Elle est châtain clair, à reflets un peu cuivrés, et ses cheveux tombent loin dans son dos, révélant les formes délicieusement rebondies, véritable appel au crime de Sodome, de ses fesses. Mais, le plus mieux, l’extra-top, c’est son regard. Bleu, puis vert, ou alors gris, toutes les couleurs de la mer y passent, dans ses yeux délicatement ourlés de longs cils.
Mais je digresse, là.
Je lui ai dit à Patrick :
Le lendemain, je me suis offert un ravalement de façade : rasé de près, liquette ultra clean parfumée à l’eau de toilette, dents blanchies au polissoir et haleine de conquérant, j’attends la venue de ma déesse.
Et là, re-coup en plein bide : il fait beau (on est fin juin) et la donzelle a sorti l’artillerie lourde. Elle porte un bustier blanc qui la dégage à partir de l’estomac. Sur son ventre plat, un joli tatouage avec trois étoiles stylisées. En dessous, la minijupe coordonnée semble peinte sur son corps, tellement elle est ajustée. Dans mon Dockers trop serré, un missile de croisière vient de se positionner sur sa rampe de lancement.
Toute la journée, me demande comment oser l’aborder. Enfin, vers les cinq heures, juste avant qu’elle parte en week-end, idée de génie (sans bouillir) :
Au moins, c’est un avantage des stagiaires : normalement, ils répondent jamais non.
Ça marche.
J’en profite pour la faire marner, attendant que petit à petit le service se vide pour qu’on se retrouve en tête-à-tête. Je l’observe en douce. Elle est devant son PC, et visiblement elle a trouvé des trucs marrants sur Internet, vu les bruits qui sortent des enceintes.
Enfin, seuls !
Je lance l’impression du PowerPoint et je m’approche d’elle. Absorbée, elle m’a pas vu arriver. Elle est sur un jeu où avec la souris on doit lancer des tartes à la crème sur Guillaume Portes, le patron de la Univers Warner Fox.
Nous voilà rendus dans la salle de repro. Les machines ont dû tourner toute la journée, il fait une chaleur d’enfer dans la pièce.
« Je rêve, ou y’a comme un sous-entendu dans sa remarque ? Allez, vas-y, Antoine, embraye ! » (au fait, je vous avais pas dit : je m’appelle Antoine).
Depuis qu’on est entré dans la salle, Alex me considère à la dérobée, mais avec intérêt. Je tente de lui sortir mon sourire primé au concours du plus beau bébé de Gonfreville-les-Gonesse, mais mes yeux se portent toujours, comme aimantés, sur le tatouage qu’elle a sur l’aine.
Pas bête, elle suit mon regard et me lance :
Gentille, avec ça !
Ça y est, je me suis lâché. Espérons qu’elle connaisse pas l’article 17…
« Mais elle m’aguiche, la mignonnette… » J’obtempère illico et me retrouve accroupi devant la demoiselle qui s’appuie nonchalamment sur l’une des photocopieuses. Il est vraiment bien fait, son tatouage, il a du coûter bonbon.
C’est étrange ; tout à coup, un baobab vient de pousser dans mon pantalon.
Après avoir fermé la porte, elle revient vers moi, et voilà-t-il pas qu’elle se colle à moi, noue ses bras à mon cou et se met à m’humecter sauvagement les amygdales.
Si je m’attendais à ça ! J’en reste tout ébaubi. Ne voulant pas être en reste, j’envoie ma main en éclaireuse vers sa minijupe et passe dessous : mince, elle a pas de culotte ! Elle avait donc tout prémédité.
Et elle en profite pour se décoller de moi et se débarrasser en deux temps trois mouvements du bustier et de la minijupe qui volent sur les imprimantes. Nue ! Elle est complètement nue, voire même absolument nue car la donzelle est intégralement épilée. Entre son nombril et le renflement de ses grandes lèvres où se niche son clitoris, la peau est totalement glabre et, comme je le vérifie immédiatement avec ma main, particulièrement soyeuse. Par contre, un peu plus bas, c’est une véritable fontaine.
Je me désape aussi vite que possible (mais les fringues de mec, c’est pas aussi facile à enlever, y’a des tas de boutons) et je finis par me retrouver aussi à poil qu’elle.
Un doute m’étreint
Moi qui croyais être l’unique, l’exception de sa vie chaste de jeune fille pure, je tombe de haut.
Me voilà soulagé : au moins, je suis sûr de ne pas être passé après Patrick, le don Juan de service…
Docile, je m’assois et elle entreprend une fellation qui m’en dit long sur l’étendue de son expérience. Elle a à peine commencé que déjà je suis satellisé et, ébullition oblige, je lui dis :
Elle s’allonge alors sur la Kodak 680, un monstre de la reprographie qui fait bien trois mètres de long. Le dos sur la vitre, elle a les fesses sur le rebord de la machine et elle écarte les jambes, totalement impudique.
Je m’exécute. Elle a un abricot juteux à souhait, d’un goût suave.
De ma langue, je lui turlupine le bouton d’amour pendant que j’insère mes doigts dans sa grotte mystérieuse, couleur corail. Elle geint d’une manière ensorcelante. Encouragé, je lui vrille le clitoris avec la langue pendant qu’ayant soigneusement lubrifié mon index, je le lui enfonce doucement dans l’anus. J’alterne les mouvements tournants autour du clito avec les grands coups de langue vorace s’enfonçant de plus en plus loin dans son vagin. Mon index est vite rejoint par le majeur, et ils entament une danse endiablée dans son fondement.
Ses gémissements, de plus en plus rapprochés, sont aussi bien plus bruyants maintenant !
N’en pouvant plus, je me redresse et, m’ajustant rapidement, j’enfourne toute la longueur de ma queue dans la chatte.
J’entreprends alors les travaux d’Hercule. Chacun de mes coups de reins la déplace de 10 centimètres sur la photocopieuse qui, avec nos mouvements, se met en marche et photocopie les fesses de ma belle en rafale.
Complètement emmanchés, nous sommes soudés l’un à l’autre et je rythme mes coups de mandrin sur la cadence ultra-rapide du monstre de plastique qui abrite nos amours.
Soulevant complètement le capot, je retourne Alex qui s’allonge, ses seins venant s’écraser sur la vitre, immédiatement photocopiés par la machine en folie. Ses jambes sont splendidement écartées, et dans cette nouvelle position sa croupe est encore plus belle, avec son abricot de velours surmonté de cet irrésistible œillet plissé, véritable pousse-au-crime pour mes mœurs sodomites.
Ahhh, la brave petite !
Aimable jusqu’au bout, j’insère doucement la tête de ma bite dans son anus, et voyant que la résistance y est très faible, je m’y enfonce irrémédiablement jusqu’à la garde. Alexandra lance alors des feulements d’une absolue sauvagerie.
Notre séance de photocopiage se poursuit pendant de longues minutes.
Enfin, c’est l’explosion ! Le volcan éructe, le geyser explose, toute ma sauce tapisse le fond de son anus pendant que je m’affale sur son dos, mort d’épuisement. Elle geint faiblement, tellement sa pâmoison a été intense.
Je lui susurre un langoureux et peu vigoureux merci, auxquel elle ne répond que par d’autres gémissements. Parcourue de grands frissons, elle n’en reste pas moins continuellement photocopiée, format A3. Penchant la tête, je peux apercevoir la pile de photocopies, images sans mouvements de notre rut en photocopieuse majeure.
Prestement, nous nous rhabillons et nous mettons à faire ce que nous étions venus faire ici : des photocopies de ma présentation. Pendant que je suis occupé avec la machine qui assemble et agrafe les feuilles, Alexandra lit un document affiché au mur, sur le panneau réservé aux syndicats.