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n° 17120Fiche technique24470 caractères24470
Temps de lecture estimé : 16 mn
17/11/15
corrigé 07/06/21
Résumé:  Zoé, ma jeune et jolie voisine universitaire, cultivée mais néanmoins sportive accomplie s'est arrangée pour m'attirer dans un jeu de domination dans lequel je ne suis pourtant pas expert.
Critères:  fh hplusag voisins fsoumise cunnilingu anulingus pénétratio fsodo
Auteur : Vibescu      Envoi mini-message

Série : Zoé ma voisine

Chapitre 02 / 02
Zoé ma voisine - 2

Dans le premier épisode de Zoé ma voisine :

Zoé, ma jeune et jolie voisine universitaire, cultivée, mais néanmoins sportive accomplie, s’est arrangée pour m’attirer dans un jeu de domination dans lequel je ne suis pourtant pas expert.



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La semaine est très vite passée, je suis allé récupérer les résultats de la prise de sang que j’ai demandée à un copain toubib de me prescrire, je préfère remettre les pendules à l’heure avant d’approfondir les choses avec Zoé, je suis négatif sur tout, tant mieux.


Elle doit venir se soir, samedi, on a convenu 19 heures, je lui ai dit pas de dress code :



Le samedi, quand je pars faire mon jogging matinal à l’heure habituelle, j’entends une porte claquer deux étages plus haut, des pas rapides dans l’escalier et je vois arriver ma jolie voisine avec presque douze heures d’avance, mais vu la tenue de sport qu’elle porte, elle vient courir avec moi, pas batifoler.


Bien sûr je ne résiste pas au plaisir de mater son entrejambe à l’abricot toujours aussi bien moulé par son collant et quand mon regard remonte vers le sien, je vois qu’elle est troublée. Elle sait. On se dirige vers le parc à marche rapide, elle me félicite pour mes chaussures neuves achetées suivant ses conseils, sans aucune allusion à ce qui s’est passé entre nous la semaine dernière ni à notre rendez-vous de ce soir. Après la course on s’étire, on rentre pendant que le soleil se lève et que les joggers se font plus nombreux, j’ai du plaisir à être en sa compagnie. Le gardien de l’immeuble nous salue avec un air entendu, je dis à Zoé d’un ton sérieux qu’on devrait être prudents, qu’il va finir par croire qu’on couche ensemble, elle éclate de rire…


Et à propos de coucher, je lui dis que j’ai refait des tests, négatifs. Elle me répond qu’elle a fait ça après avoir viré son copain, infidélité et doutes obligent, et depuis les quelques fois où elle a rencontré quelqu’un, ça a été latex ou niet. Elle me laisse, elle part nager, Ciao, à bientôt, toujours aucune allusion à ce soir, je suis pourtant sûr qu’elle sera là, son attitude fait partie du jeu.


Et c’est effectivement le cas à l’heure prévue. Queue de cheval, robe noire toute simple, yeux discrètement maquillés, bas noirs et chaussures sans talons, un sac à main, elle sent bon. Elle a apporté du vin, Valpolicella, excellent choix. Ses lèvres sont brillantes, elle me les tend, je ne résiste pas au plaisir d’y poser les miennes, mais brièvement, je ne veux pas de geste trop tendre, je pense que je serais incapable de poursuivre le jeu de domination que j’ai prévu, je la désire trop pour ça.


Je la précède dans la salle de séjour, je note son coup d’œil sur la table mise pour deux dans le coin salon puis le coussin sur lequel elle était à genoux la semaine dernière qui a repris sa place sur le canapé. Je vais ouvrir le vin qu’elle a apporté pour l’aérer et je m’approche d’elle. En posant les mains sur ses épaules, je la fais doucement pivoter sur elle-même pour être dans son dos et je me penche sur elle. Sans talons elle fait exactement une tête de moins que moi, son eau de toilette est discrète, elle sent très bon. J’appuie sur la télécommande de la chaîne stéréo pour lancer le disque que j’ai préparé, la musique envahit la pièce, d’abord les cordes puis assez rapidement un chœur qui entonne le Kyrie. Je fais descendre la fermeture éclair de sa robe en lui demandant si elle connaît. Elle a une sorte de petit frisson de surprise quand elle se rend compte que je suis en train de la déshabiller et me répond que oui, c’est la messe en ut mineur de Mozart.


Je fais glisser la robe et découvre qu’elle a mis des bas Dim Up, elle est incroyablement sexy avec. Je dégrafe ensuite son soutien-gorge, je le lui ôte et je fais glisser son string le long de ses cuisses en essayant de ne pas trop effleurer sa peau. C’est bien sûr impossible et chose attendue, je la trouve très douce, je ne résiste pas à la curiosité de regarder l’entrejambe de son sous-vêtement qui était incrusté dans sa fente et j’y découvre une large trace de mouille.


Après avoir déposé ses vêtements sur un fauteuil, je lui demande d’écarter un peu les jambes et de se pencher en avant, ce qu’elle fait lentement de façon très gracieuse. Je m’accroupis si près derrière elle qu’elle doit sentir mon souffle. Les bas noirs font paraître la peau de ses cuisses et de ses fesses encore plus blanche, presque nacrée, ma queue est raide, j’ai l’impression que je n’ai jamais eu une telle érection. En pleine lumière je contemple les merveilles que cette position me révèle : la fente rose de son sexe à peine entrouvert, les grandes lèvres couvertes d’un duvet blond taillé si court qu’on le distingue à peine, et au-dessus le petit orifice de l’anus ni plissé ni pigmenté, un joli trou bien rond dépourvu de poils.


Zoé émet un petit cri de surprise quand je l’effleure du bout d’un doigt. J’aimerais y mettre la langue, aussi embrasser et lécher sa chatte, la boire, la manger, mais je m’en empêche en me disant que si elle revient après la séance de ce soir, je l’attacherai écartelée sur le lit et je lécherai le moindre recoin de son corps jusqu’à la faire gémir et hurler de plaisir. Mon doigt revient sur son petit trou, cette fois-ci humecté de salive, c’est serré, mais élastique, elle ne proteste pas quand je le fais aller et venir doucement, ni quand c’est mon pouce qui prend le relais pour l’habituer à plus gros. Après quelques allers et retours, je le retire pour regarder l’orifice qui se referme, mais l’état de sa chatte montre qu’elle est excitée.


Les grandes lèvres se sont gonflées et restent entrouvertes, laissant voir les petites lèvres toutes roses et humides. Je suis certain que si j’y glissais un doigt je trouverais un clitoris durci. Je lui dis de se masturber, je suis aux premières loges pour la voir faire. Elle glisse trois doigts dans sa fente, tout en haut, mais seul le majeur est un peu appuyé, elle se caresse avec ses petits mouvements circulaires. Je l’arrête avant d’éjaculer dans mon caleçon et lui dis de se relever. Je me saisis du fameux coussin qui va encore servir ce soir, je le dépose sur le tapis et je lui ordonne de s’y allonger à plat ventre. Pendant qu’elle s’installe, je me déshabille en admirant le spectacle de sa croupe cambrée rehaussée par le coussin, en écoutant la merveilleuse musique de Mozart, « Gloria in excelcis deo » chante le chœur, j’ai envie de chanter la même chose à pleine voix.


J’ai acheté un flacon de gel lubrifiant, je m’en enduis le pouce pour le réintroduire dans le petit trou où je compte bien glisser ma queue, je lui dis de placer sa main entre ses cuisses, comme tout à l’heure, mais d’attendre pour se caresser. Je fais doucement tourner mon pouce pour l’ouvrir un peu plus avant de placer mon membre bien lubrifié entre ses fesses. Son visage repose sur le tapis sur une joue, de telle sorte que je pourrai voir ses expressions pendant la pénétration.


Elle ouvre la bouche comme si elle cherchait son souffle quand mon gland pénètre sans trop de difficulté, je lui demande de se caresser, j’appuie un peu plus pour m’enfoncer plus avant, cette fois-ci elle pousse un gémissement de douleur, son visage me dit aussi qu’elle a mal. Je me retire un peu, seul le gland reste à l’intérieur, je remets du lubrifiant, je pénètre encore un peu, j’attends qu’elle s’habitue, je pousse à nouveau, et lentement je m’enfonce dans son cul, presque centimètre par centimètre. J’ai envie qu’elle se sente remplie, possédée, mais pas de lui faire mal. Elle pousse une sorte de feulement rauque quand j’arrive à mes fins au bout de longues minutes.


Je suis enfoncé en elle jusqu’aux couilles qui touchent sa chatte, je la préviens que je vais bouger, je veux qu’elle se caresse, mais qu’elle m’attende pour jouir, je la préviendrai. J’ai du mal à suivre la musique tant la situation m’apparaît surréaliste : je suis en train de sodomiser ma jeune et jolie voisine à même le sol alors que je ne l’ai jamais embrassée ni même caressée. Je ressors presque entièrement pour mieux me renfoncer jusqu’au bout, j’accélère le rythme pour faire monter mon plaisir, ses feulements accompagnent mes va-et-vient, je sens le plaisir monter, je le lui dis, elle accélère les mouvements de sa main, je peux sans problème imaginer ses doigts sur son clitoris puisque je l’ai vue le faire tout à l’heure, ça déclenche même mon orgasme, je me vide longuement au plus profond d’elle, enfoncé jusqu’à la garde, elle jouit aussi, tout son corps est agité de spasmes, ses fesses montent, se cambrent encore plus, je sens son sphincter se contracter deux ou trois fois un peu plus fort autour de mon membre.


Elle retombe comme épuisée, ses yeux sont fermés, le visage apaisé. Par une sorte de petit miracle, le disque se termine à l’instant où mon membre devient moins dur et me permet de sortir sans craindre de lui faire mal. Je me relève et me dirige vers la salle de bain pour une douche rapide. Quand j’ai terminé, Zoé sort des toilettes, ramasse ses vêtements et son sac et m’y rejoint. Je lui ai sorti une serviette et un gant, je lui propose de la laver, sans répondre elle me montre la porte du doigt, mais ses yeux rient.

Elle a sans doute eu raison, je sais comment ça aurait fini. Après m’être rhabillé, je change le disque, je vais dans la cuisine allumer le four, j’ai fait des lasagnes qui seront réchauffées dans quelques minutes, j’apporte un bouquet de fleurs que je place au centre de la table de la salle à manger, j’allume les bougies et je vais éteindre le plafonnier, puis j’allume une lampe près du canapé où j’ai bien sûr replacé le coussin qui porte une trace humide. Je me doute de quoi il s’agit, je le hume et sens comme je le pensais une « odor di femmina » chère à Don Giovanni, on reste dans Mozart décidément.


Je sens que mon sexe reprend de l’ampleur, les effluves du joli minou de ma voisine me font de l’effet. Retour dans la cuisine, je sers les portions de lasagnes dans les assiettes, j’ajoute de la salade, Zoé s’encadre dans la porte, me dit que la table est jolie et que ça sent bon. Elle s’est recoiffée, un peu remaquillé les lèvres, je la trouve extrêmement belle, mon cœur bat plus vite, je n’ai pas ressenti ça depuis bien longtemps. Elle me demande si elle peut m’aider, je lui suggère de prendre la bouteille d’eau gazeuse dans le frigo, elle me précède au salon, je la suis avec les assiettes odorantes. Je fais démarrer le disque pendant qu’elle verse du vin dans les verres, on trinque les yeux dans les yeux, on passe à table, elle trouve que est tout bon, ma cuisine, le vin, Pavarotti nous chante des chansons napolitaines, on parle de l’Italie, elle connaît, elle aime, surtout la Toscane, le repas passe comme un rêve, après le dessert je propose un café, elle m’aide à desservir et à remplir le lave-vaisselle comme si on faisait ça ensemble depuis toujours, la bouteille de vin est quasiment vide, je propose un café que j’apporte au salon. Je commence à me demander lequel de nous deux prendra l’initiative de mettre fin à la soirée, pour ma part je n’ai aucune envie qu’elle parte. Au lieu de s’asseoir sur un fauteuil ou sur le canapé à côté de moi, elle s’assied sur la table basse, je remarque qu’elle n’a pas remis ses bas, elle déguste lentement la boisson chaude et elle me dit :



Elle s’installe sur mes genoux et il est évident que je n’ai aucune envie de la repousser. Elle doit retrousser un peu sa robe pour s’asseoir face à moi, je pose les mains sur ses cuisses fermes et douces, elle saisit mon visage entre ses mains et pose ses lèvres sur les miennes. C’est un baiser très tendre, nos langues s’effleurent, se cherchent, se trouvent, s’enroulent doucement l’une autour de l’autre, la mienne envahit sa bouche qui l’accueille, je l’explore, elle se laisse faire un moment puis elle passe à la contre-attaque, vient à son tour dans ma bouche, m’envahit sans trouver de résistance, je suce sa langue, je quémande sa salive, elle m’en donne, je la savoure, j’aime le goût de sa bouche, son haleine, tout d’elle. Mes mains sont toujours sur ses cuisses, elle déboutonne ma chemise, pose ses mains sur mon torse et vient blottir son visage dans mon cou. Elle me murmure qu’elle avait envie de ça, ma peau sous ses mains, nos peaux l’une contre l’autre. Je saisis ses seins à travers le tissu de sa robe, je sens les tétons durcis sous mes paumes, j’ai l’impression qu’elle n’a pas remis son soutien-gorge, je fais doucement tressauter les globes fermes avec les mains, je les presse sans appuyer, elle a l’air d’aimer ça, elle m’embrasse dans le cou, me suce un lobe d’oreille et revient m’offrir sa bouche. Tout en l’embrassant, je glisse une main sous sa robe entre ses cuisses, avide de savoir si le minuscule bout de tissu que j’ai fait glisser le long de ses hanches tout à l’heure s’est à nouveau inséré dans sa fente.


Mais quand j’atteins mon but, j’ai la surprise de ne pas toucher de tissu, mais de la chair chaude et humide, des poils doux et ras, mes doigts glissent sans résistance dans sa faille déjà trempée, j’y découvre tout en haut son clitoris gonflé et durci, elle vient me demander à l’oreille si je n’aurais pas préféré qu’elle soit épilée et ce que j’imaginais quand je paraissais hypnotisé par son entrejambe. Je lui réponds de la même façon en chuchotant que son sexe me faisait penser à un abricot quand il était moulé dans son collant de jogging, que j’espérais qu’il était un peu poilu, comme celui que je sens sous mes doigts, blond comme ses cheveux, et que je rêvais de brouter sa toison, de manger son petit abricot juteux. Dans le même temps, ma main libre a réussi à trouver la glissière de la fermeture éclair de sa robe et à la faire descendre, elle m’aide à faire passer le vêtement au-dessus de sa tête et se retrouve nue sur mes genoux. Je caresse ses jolis petits seins sans l’obstacle du tissu, sa peau est incroyablement douce.


Toujours à l’oreille elle me demande où j’ai prévu de déguster son abricot, là sur le canapé, sur la table où on vient de dîner ou bien dans mon lit. En guise de réponse je prends ses mains que je place autour de mon cou, je fais glisser les miennes de ses seins à ses fesses rebondies et je me lève. Elle a tout de suite compris et vient nouer ses jambes autour de ma taille, je me dirige vers la chambre en regrettant de ne pas être nu pour la promener ainsi fichée, empalée sur ma lance. La lumière des pièces restées allumées suffit comme éclairage d’ambiance, elle se tient suffisamment agrippée à moi pour que d’une main j’ouvre largement les draps et l’y dépose doucement. Je me déshabille rapidement pour venir m’agenouiller entre ses cuisses ouvertes.


La fente de son sexe est ouverte, d’un rose luisant, j’en approche ma bouche, Zoé projette son pubis à ma rencontre, je sens l’odeur marine de sa chatte qui m’excite encore plus, me donne envie d’y plonger la langue. Je résiste à l’envie de le faire trop vite, je pose mes lèvres sur sa toison blonde taillée rase, je la broute, je fais pareil avec les grandes lèvres que je maintiens fermées avec les doigts puis je les écarte enfin pour explorer sa grotte. J’en trouve le goût délicieux, presque sucré avec l’impression que je n’en ai jamais goûté d’aussi bon. Son clitoris, que je trouve encore plus turgescent que tout à l’heure reçoit mes caresses, je le lèche, je le suce comme un bonbon et je ne m’interromps que parce que l’envie de plonger en elle autre chose que ma langue me tenaille. Je me relève avec l’intention de la pénétrer, mais elle m’en empêche en s’asseyant au bord du lit pour saisir ma queue à pleine main. Le gland quasiment décalotté se dégage entièrement et apparaît mauve luisant sous son regard. Une goutte translucide, témoin de mon état d’excitation sourd de l’extrémité, elle la recueille d’un coup de langue et me dit :



Elle s’allonge sur la longueur du lit, les jambes un peu repliées, les cuisses ouvertes, prête à me recevoir en elle. Je rentre d’une seule poussée jusqu’au fond, je saisis ses fesses et je commence un lent va-et-vient qui permet à nos deux sexes de faire enfin connaissance, de s’apprivoiser l’un l’autre. Ça se passe de façon magique, j’ai l’impression que nos peaux et nos corps sont faits pour s’entendre, sont en parfaite harmonie et que mon sexe la remplit parfaitement. Je l’embrasse encore et encore, dès que ma bouche quitte la sienne c’est pour aller téter ses seins ou lécher ses tétons, faire le tour de ses aréoles, elle aime, elle ponctue chacun de mes mouvements par des oui, oui qui finissent par faire une délicieuse litanie du plaisir.


Mes mains ne quittent ses fesses que pour caresser ses seins puis redescendre pour encore mieux les saisir et mieux la besogner. Ses oui de plaisir s’amplifient, elle crie presque, je continue à aller et venir sans accélérer le rythme, mais en poussant de plus en plus à chaque fois que je replonge en elle, comme pour m’enfoncer davantage tout au fond de son corps. J’ai l’impression que l’orgasme la prend par surprise, elle inspire la bouche ouverte plusieurs fois puis exprime son plaisir en un long oui qui n’en finit pas. Elle est accrochée à mon cou, je sens les contactions de son vagin sur mon membre, elle me murmure à l’oreille un « oh oui mon chéri » et retombe sur le lit les bras en croix, un petit sourire sur les lèvres. Je reste un petit moment immobile, ma queue palpitante fichée dans son vagin. Elle me murmure :



Ce « baise-moi » inattendu de sa part me galvanise. Je sors de son minou serré, je la retourne et la fais mettre à quatre pattes pour la prendre en levrette. Elle se cambre d’elle-même pour s’offrir, je ne résiste pas avant de la prendre dans cette position au désir de poser ma bouche sur sa fente ouverte et trempée, d’en humer les odeurs iodées, de la laper en faisant des bruits de langue, de lécher son petit trou du cul. Sa manière de tendre ses fesses me laisse penser qu’elle aime, ça tombe bien parce que ça m’excite beaucoup.


Je continue un peu puis ma queue vient vérifier si son minou est toujours aussi accueillant, et c’est le cas, je l’attrape par les hanches et je la baise comme elle me l’a demandé, c’est-à-dire comme j’en ai envie. Mon ventre claque contre ses fesses en cadence, j’attrape ses seins, je caresse la toison du bas de son ventre, je palpe ses fesses, je lui fais sucer un de mes pouces pour le lui introduire dans le cul. Ça aussi lui convient, je sens sa main venir me caresser les testicules, j’ai envie de jouir, mais aussi que ça dure encore tellement j’aime lui faire l’amour. Mon pouce entre et sort de son petit trou, mais au bout d’un moment la main qui est entre mes cuisses vient sur mon ventre pour stopper mon mouvement de piston. Zoé me demande de la laisser venir sur moi.


Je m’allonge sur le lit, elle m’enjambe et se saisit de ma queue trempée de sa mouille pour s’empaler dessus. Je suis ravi de la revoir côté face après le côté pile, elle me demande de lui remettre mon doigt. Elle n’a pas besoin de préciser où, je vois très bien de quoi elle veut parler. Je lui fais sucer un de mes majeurs avant de saisir ses fesses et de lui introduire le doigt mouillé là où elle me l’a demandé et de le faire doucement entrer et sortir.


Elle monte et descend doucement les hanches, je sens qu’elle ne cherche pas à s’empaler jusqu’au fond, mais à stimuler une zone qui doit lui faire du bien parce qu’elle recommence sa litanie de « oui, oui » de tout à l’heure comme si elle allait jouir à nouveau, elle me chuchote « oui, comme ça ton doigt ». Je suce ses seins, je lui dis que je vais jouir, elle me dit de venir, elle crie sa jouissance juste avant que la déferlante de la mienne ne gicle d’une façon que je ne me souviens pas avoir déjà connue, elle s’empale complètement sur moi, on tombe ensemble pendant de longues minutes dans cette petite mort qu’on atteint si rarement.

Elle est la première à émerger, elle bascule sur le côté pour venir se nicher dans mes bras et plaquer sa bouche sur la mienne, longtemps et me dit :



J’ai envie de lui dire que je l’aime, que ce qui se passe est un vrai miracle, mais je réponds :



Elle m’embrasse à nouveau et se tourne, vient loger ses fesses contre mon ventre et s’endort immédiatement.