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n° 17121Fiche technique22954 caractères22954
Temps de lecture estimé : 14 mn
18/11/15
Résumé:  J'ai conquis Charlène petit à petit. Je l'ai prise comme elle était. Charlène était mon soleil, Charlène était ma vie. Il y aura toujours ces rires et cette complicité entre nous.
Critères:  fh ffh fbi amour hsodo
Auteur : Samir Erwan      Envoi mini-message
Charlène

Je travaillais dans le monde du spectacle en tant que pigiste. Que je sois aux éclairages, à la console de son, à la réception des artistes, à la prise de photo de scène, sans me vanter, m’engager était un gage de réussite pour l’événement. Je m’étais donc fait rapidement un nom, on me connaissait, on appréciait travailler avec moi sur n’importe quel plateau.


Lors d’une série de spectacles de rockabilly, j’étais au son et j’ai rencontré Charlène et Anna. J’avais entendu parler d’elles dans notre milieu, on disait qu’elles étaient toujours ensemble, qu’elles étaient un binôme ; on disait même qu’elles étaient peut-être lesbiennes. Nous avons rapidement bien collaboré les trois ensemble. Le groupe était bon en plus, et au soundcheck, nous ne pouvions nous arrêter de danser.


Anna et Charlène étaient les deux petites, menues, des tailles fines et des culs d’enfer. Vraiment, je les reluquais toutes les deux quand elles se baissaient pour dérouler des fils. Charlène avait des reflets rouges dans ses cheveux noirs, mettait ses seins en valeur sous ses blouses serrées. Une fois, nous avons été boire des verres après une soirée de boulot et je me suis vraiment demandé pourquoi les rumeurs sur leur lesbianisme allaient bon train ; elles m’ont chauffé, à tel point que je les voulais toutes les deux dans mon lit et j’ai vraiment cru que ça allait se produire.


J’avais une attirance plus forte envers Charlène. J’aimais ses yeux, ses sourires qu’elle me lançait, nous rigolions beaucoup, avions le même humour cynique, aimions la même musique, discutions de livres.


La série de spectacles se terminait, chacun allait retourner chez soi, les pigistes comme moi et Charlène et Anna allions peut-être nous retrouver sur un autre événement plus tard. Je voulais tenter ma chance. J’ai donc invité Charlène à dîner, un soir.


Qu’elle était belle lorsqu’elle est venue me rejoindre au resto ! Une jupe blanche, à mi-cuisse, découpée en une suite de petits losanges le long de ses hanches laissant voir sa peau mate, son dos dénudé ; la couleur de sa peau ressortait, comme un mélange de bronze, de fumée et de chaleur…


Nous n’avons pas couché ensemble ce soir-là. Ni à notre second rendez-vous dans un bar où nous nous sommes saoulés. Ni au troisième où nous avons été voir un spectacle de musique. Non, nous bâtissions une relation. Mais je la désirais, je bandais seulement à la regarder. Ses lèvres m’invitaient à l’embrasser, ses yeux rieurs m’incitaient à me confier, à prendre mon temps. Je rêvais à elle la nuit, me levais le matin avec une trique, je ne voulais que la revoir. Tout de même, durant ces rendez-vous, je la complimentais, je lui caressais le cou, la nuque, une fois même je me suis risqué à caresser sa cuisse ferme ; nos genoux se touchaient, sa cuisse était juste là, sortait d’une autre jupe sexy, en jean cette fois-ci, moulante à souhait. Elle m’a souri lorsque je l’ai caressée, a pris son verre, s’est laissé faire. J’ai soufflé, ai baissé la tête, en souriant :



Et c’était vrai, je commençais à l’aimer, ce n’était pas une simple femme que je voulais baiser dans les toilettes d’un studio, ou dans son lit, dans mon lit, dans un lit d’hôtel…



Elle devait bien savoir que je la désirais. Mais ne voulant rien brusquer, j’attendais un mouvement de sa part.

C’est au quatrième rendez-vous que je l’ai embrassée dans le cou. Elle portait un t-shirt moulant qui dévoilait une épaule, je me suis laissé tenter et elle ne m’a pas repoussé. J’ai demandé plus tard :



Elle a ri, a haussé les épaules :



J’ai dit OK, j’étais dubitatif, Charlène a continué :



Qu’elle me parle avec une pareille franchise me faisait rêver ; j’imaginais deux femmes me sucer, j’imaginais les prendre en photo, j’imaginais…



J’ai accepté sans hésitation. Pour dire vrai, je voulais enlever cette courte jupe de jean que ses fesses bombaient.




*******




L’appartement de Charlène était coquet, bien décoré, des tables basses, des chandelles déjà utilisées, des tapis arabes, des masques africains, une suite de katanas accrochés au mur, de grandes fenêtres que l’on pouvait ouvrir et s’asseoir sur le rebord. Des livres des livres et des livres, certains ouverts et laissés sur une petite table près d’un fauteuil, d’autres empilés contre un mur, la plupart dans la bibliothèque. Son appartement la représentait belle et curieuse. Des toiles d’artistes-peintres ornaient sur les murs, avec des images plutôt suggestives ; une centaine de photos collées ensemble qui, selon la luminosité et les couleurs des photos, dévoilait une fellation en action. Ou bien un nu d’homme, fait à l’aquarelle. Ou bien une suite de dessins au fusain ; des corps faisant l’amour, des êtres hermaphrodites se laissant aller au plaisir.



Et c’était vrai, l’érotisme qui se dégageait des tableaux était électrique, nous invitait à… toutes sortes d’idées me venaient en tête.



Elle nous a servi des bières, elle commençait à bien me connaître et nos verres aux lèvres, nos yeux dans nos yeux, elle m’a souri :



Et elle a soulevé son tee-shirt qui moulait si bien ses seins, a descendu les bretelles de son soutien-gorge en dentelle, l’a dégrafé à l’arrière et m’a dévoilé ses seins. J’ai posé mon verre, j’ai été lui caresser la nuque, elle a fermé les yeux, tandis que de mon autre main je lui ai caressé un sein. Un sein dur et ferme, un sein qui attirait mes lèvres. Notre premier baiser a été fantastique, nos lèvres se liaient, comme un fruit rempli de pulpe, nos langues se cherchaient, nos respirations fusionnaient. Mes lèvres ont descendu le long de son cou, de son épaule, elle me caressait les cheveux en accélérant sa respiration ; je me suis agenouillé face à elle, mes mains sur sa taille, sur ses hanches, puis j’ai déboutonné sa jupe courte de jean.



Sa jupe est tombée le long de ses jambes fines et musclées, sa culotte en fine dentelle noire et lacée sur les côtés était légèrement rebondie à l’avant. J’ai levé la tête, l’ai regardée me sourire, j’ai douté un peu puis elle s’est esquivée, s’est mise à courir dans son appartement, ses seins rebondissant contre son corps presque nu.



Elle s’est cachée derrière une porte, celle de sa chambre probablement, ne laissant passer que sa tête et ses cheveux qui retombaient le long de son épaule. Je me suis relevé tranquillement, souriant, déboutonnant quelques boutons de ma chemise puis l’enlevant rapidement.



J’ai donc enlevé ma ceinture, puis mon pantalon, me laissant en boxer à deux mètres d’elle, toujours cachée.



Et je me suis mis à courir en effet pour l’attraper, je l’ai prise par la taille et nous nous sommes précipités ensemble et en riant sur son grand lit rempli de coussins et de couvertures moelleuses, encadré par des montants en bois. Elle a tenté de s’enfuir en se retournant sur ses genoux, mais je l’ai rattrapée par les chevilles, je lui ai saisi les fesses à pleines mains et j’ai tiré sur sa culotte pour la faire descendre le long de ses cuisses. Charlène riait, moi aussi, et j’avais une fureur de l’aimer, de lui faire aimer mes caresses, nous étions comme deux gamins se chamaillant dans une cour d’école, mais nous étions nus et c’est en enlevant ce slip sexy et lacé que j’ai vu pour la première fois ses couilles qui pendaient entre ses jambes. J’ai lâché ma prise. Elle s’est retournée et le sexe entre ses jambes a bondi. Et moi j’ai bandé comme un fou. Je n’ai rien dit, ai regardé ce pénis un peu plus petit que le mien, mais de bonne grosseur, et bien dur en plus, et j’ai caressé les cuisses de Charlène en m’avançant vers elle.



Elle a pris son sexe à la base pour me le pointer gentiment et moi, par magnétisme je me suis approché la bouche de ce membre dur et excité par ma présence sur ce lit. À l’époque, je n’avais jamais encore sucé. Et à ce moment, il m’était tout à fait naturel de prendre ce pénis en bouche, surtout encouragé par ce corps si féminin qu’il y avait devant moi, et par ce sourire si doux, si charmant. J’ai ouvert la bouche et ai gobé le gland ; en suçant ce membre, je me suis dit que j’avais toujours espéré un jour sucer une queue, pourquoi avais-je attendu si longtemps, et que celle-ci était bonne, chaude, à l’aise dans ma bouche…



J’ai levé les yeux vers elle, son sexe en bouche ; elle souriait, emplie d’excitation, elle me caressait les cheveux, lançait sa tête vers l’arrière, et je me suis appliqué à bien la sucer, comme j’aime tant qu’on me fasse et écoutant les respirations et les cris aigus que faisait ma belle. Sa queue exquise me motivait, j’étais piqué de curiosité par les réactions de la chair, par les caresses de Charlène sur mes cheveux et mes joues. Puis j’ai découvert ses couilles, je les ai léchées avec intérêt, ma langue mouillante les rares poils qu’avait Charlène.



Je me suis mis de côté, je lui ai donné mon pénis à sucer, et nous nous sommes embrassé les sexes. Elle me donnait de petits coups de bassin en bouche, j’ai répliqué aussi, elle prenait tout mon sexe dans sa bouche, je n’étais pas encore devenu expert, mais ça viendrait. Elle me caressait les fesses sans agression de mon petit trou, moi je lui massais l’anus doucement, sans intention de le pénétrer de mes doigts. Charlène a éjaculé la première. Je croyais que ce serait dégoûtant, mais non, c’était son sperme, à Charlène, ça m’allait. J’ai donc goûté à son sperme que j’ai trouvé mielleux, elle m’en a laissé sur la joue, car j’ai été surpris par les jets. Elle, émérite, a tout savouré lorsqu’à mon tour je suis venu…


Cette nuit-là, passé chez elle, nous nous sommes masturbés et sucés deux autres fois. Il n’y a pas eu de pénétration, ni chez l’un ni chez l’autre. Au matin, vêtue d’une petite nuisette semi-transparente à décolleté plongeant, Charlène m’a offert le café au lit, avec un doux sourire matinal. Elle est si belle, avec ses cheveux noirs, avec ses yeux bruns, sa peau de bronze, ses courbes si sexy…



- Ce que je te fais, tu me le fais… ce que tu me fais, je te le fais…


Charlène a ri en m’embrassant :





*******




Ainsi nous nous sommes apprivoisés. Que Charlène ait une queue entre les jambes ne me dérangeait pas du tout ; elle était femme. Nous avons parlé de sa transformation, j’étais curieux, voulais tout savoir :



Alors qu’elle me racontait tout ça, je la caressais, nous étions nus au lit, et à l’occasion, une envie subite me prenait, mon sexe se levait, raide. Charlène riait, observait ce membre à l’affût de son corps à elle. Elle le prenait en bouche, ou le caressait simplement en continuant à parler.



Naturellement, je les mordillai.



Cette discussion complète a duré peut-être deux semaines. Nous n’avions aucun contrat ni un ni l’autre, avions le temps de passer des journées au lit, à nous connaître, à nous aimer. Nous parlions allongés l’un à côté de l’autre, elle sur le dos, moi sur le côté, le visage dans la main, le coude au lit.



Bandant, je me suis hissé sur elle, elle sur le dos, ai installé sa queue dressée de femme à l’entrée de mon anus, et me suis laissé descendre tranquillement. Je l’ai chevauchée, ma queue à moi dansant contre son ventre plat, nous nous sommes fait jouir combien de fois ?




*******




Après deux semaines - un mois de notre relation, nos pratiques sexuelles avaient évolué. C’est moi qui l’ai sodomisée la première fois, elle dans son rôle de femme voulant se faire prendre, moi dans celui du mâle dominateur. C’était après une soirée arrosée comme nous faisions tant. Nous rentions chez elle en nous embrassant et nous caressant et dès qu’elle a mis le pied dans l’appartement, elle s’est déshabillée rapidement, s’est mise à quatre pattes sur le divan et s’est tiré une fesse en me disant : Viens !


Je ne pouvais résister, j’ai enlevé mon pantalon, n’ai pas pris le temps d’enlever ma chemise, je lui ai malaxé les fesses, puis tiré les cheveux en lui disant :



En même temps mon pénis s’insinuait dans sa raie de fesse, je relevais sa tête par l’arrière, et elle m’a dit, en un souffle :



J’ai répondu :



J’ai grogné, ai regardé son cul tout ouvert et je suis entré en elle, à sec, sans lubrifiant, aisément, que c’était bon !


Plus tard elle m’a avoué avoir préparé ce moment en se godant régulièrement. Elle m’a montré sa collection de godemichets, du petit au plus grand et en en prenant un, en le léchant, elle m’a dit :



Il était petit et elle m’a initié ; couché sur le ventre, elle m’a godé et j’ai adoré la pratique. Quelques jours plus tard, alors que je l’avais déjà baisée cinq ou six fois dans le cul déjà, elle en a essayé un plus grand en moi ; puis, tout naturellement, après l’avoir sucé, je lui ai demandé de m’enculer. Elle a fait exprès :



Je me suis tourné, lui ai montré mon cul, ai ouvert mes fesses :



La chaleur de sa bite, le mouvement de ses hanches, les mots qu’elle me disait « Tu aimes ça hein, petit cochon ? » Je ne pouvais faire qu’une chose : acquiescer parce que c’était vrai.


Nous avons donc évolué dans une relation amoureuse où nos parties de jambes en l’air se faisait en domination/soumission, de l’un côté ou de l’autre ; des fois elle prenait l’initiative et me baisait le cul, d’autres fois c’était moi. Nous aimions être la pute de l’autre…




*******




Seule Anna, l’amie binôme de Charlène, connaissait sa véritable identité, comme moi. Elles s’étaient rencontrées alors que Charlène était en pleine transition de sa transformation. Anna a été la première partenaire sexuelle de Charlène. Quand nous nous sommes revu tous les trois, dans un bar, Charlène et moi au bras l’un de l’autre, officiellement maqués, Anna est venue me voir :



La discussion de ce soir-là a tourné autour du sexe, du manque de sexe d’Anna, du comble total de Charlène et moi. Puis, non pas par pitié, mais surtout par envie, Charlène et moi avons invité Anna dans notre nid. Charlène a dit à sa copine :



Un incroyable fantasme s’est réalisé avec Anna et Charlène, ces deux femmes me suçant le dard, me léchant les couilles, me doigtant le cul ; je n’en pouvais plus et Anna l’a bien vu :



Ma copine lui a indiqué, Anna l’a enfilé autour de sa taille et elle m’a bien enculé alors que je suçais la queue de mon amour…




*******




Nous sommes restés deux ans ensemble, à tout expérimenter, en invitant Anna une ou deux fois par mois (j’aimais sauter Anna alors que la bite de Charlène était entre nos lèvres, à Anna et moi). Mais c’est mon erreur qui a tout détruit. Une nuit de fin de spectacle, avec plusieurs verres dans le nez, ma directrice de production m’a chauffé et là aussi, je ne me suis pas retenu ; je l’ai baisée sauvagement, tout habillée, dans les toilettes de la salle de spectacle. Et Charlène nous a surpris. C’est con.


J’ai tenté de la récupérer, nous avons rediscuté quelques fois, mais il y a eu un bris de confiance ; nous nous sommes laissés en bon terme, nous sommes restés amis, nous travaillons régulièrement ensemble, mais nous nous sommes définitivement quittés, nous ne referons plus jamais l’amour ensemble, je crois. Toutefois, il y a toujours cette complicité entre nous, nous rions encore ensemble, parlons des romans lus, et elle m’a donné dernièrement une toile de sa création, nous représentant elle et moi, en train de faire l’amour…