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n° 17129Fiche technique16323 caractères16323
Temps de lecture estimé : 10 mn
23/11/15
Résumé:  Une rencontre entre deux invités au cours d'un mariage et un beau petit moment de plaisir partagé.
Critères:  fh extracon inconnu parking fête fmast facial fellation cunnilingu pénétratio -occasion
Auteur : Seb      Envoi mini-message
Le mariage

Il y a deux semaines, j’ai participé à un mariage qui m’a réservé une bien jolie surprise ! J’avais été invité par la mariée en tant qu’ami d’enfance mais elle m’avait prévenu qu’il n’y aurait pas grand monde que je connaissais. Effectivement, je me suis retrouvé à une table avec des copains de promotion du marié où je ne connaissais personne. N’étant pas du tout timide, cela ne me dérangeait pas de faire connaissance avec des inconnus et de passer la soirée avec eux. À côté de moi se trouvait une charmante blonde coiffée avec un chignon et d’adorables yeux bleus, copine d’un des amis du marié. Elle portait une robe bleu marine assez courte sur les cuisses mais qui couvrait entièrement ses seins.


Je me rendis vite compte que les invités du marié étaient là pour parler du bon vieux temps et pour se ressasser leurs souvenirs. C’est pourquoi, rapidement, je me mis à parler avec ma jolie voisine. Au début, nous n’échangions que des banalités avec Mélanie puis, heureuse de ne pas avoir à subir les conversations (de plus en plus alcoolisées il faut l’avouer) de son fiancé et de ses copains, nous parlâmes vraiment de tout. Quand la soirée dansante se lança, je vis bien qu’elle avait envie d’aller danser mais était un peu bloquée par son copain. Je me permis donc d’interrompre les évocations de leurs souvenirs :



À ces mots, je me levai et entraînai ma voisine vers la piste de danse. Nous dansâmes pendant un long moment. Je n’hésitais pas à l’attirer contre moi quand la musique le permettait et elle ne refusait pas mon offre. Je gardais quand même mes mains sur ses hanches n’osant pas les descendre trop vite sur ses fesses. Au bout d’un moment, elle sentit le besoin de souffler et nous allâmes respirer un peu d’air frais. Nous discutâmes de tout et de rien puis la conversation dériva sur son copain :



Nous rentrâmes dans la salle et elle se dirigea vers notre table où tous les hommes avaient l’air bien plus qu’éméchés ! Elle informa son copain qu’elle allait à la voiture et c’est à peine s’il prit la peine de lui répondre, bien trop absorbé pas sa conversation. L’air triste, elle prit le chemin de la sortie et je la suivis. Une fois dehors, je relançai la conversation avec des banalités. En marchant lentement, nous mîmes plusieurs minutes pour arriver au parking qui n’était qu’un simple champ, un peu à l’écart et peu éclairé. Ella avait un peu de mal à marcher dans l’herbe avec ses talons et plusieurs fois je la rattrapai par le bras alors qu’elle semblait trébucher. Une fois même, elle trébucha pour de bon et je dus la rattraper en la prenant par la taille. Alors qu’elle se tournait vers moi pour me remercier, je plantai mon regard dans le sien, cherchant à lui faire comprendre à quel point je la trouvais jolie. Elle me fixa en souriant quelques secondes puis, sans un mot, nous retournâmes vers la voiture. Arrivés sur le parking, elle se dirigea vers une BMW qui était garée un peu à l’écart du chemin. Elle ouvrit le coffre et commença à fouiller dans un sac de voyage. Elle me tendit une paire de chaussures que je saisis puis elle continua à fouiller :



Au bout de quelques secondes, elle se retourna avec un sourire et une paire de bas couleur chair à la main :



Elle s’assit sur le bord du coffre et commença à enfiler le premier bas. Je la regardais faire glisser lentement le nylon le long de sa jambe. Elle fit tellement remonter sa robe que je pus apercevoir le tissu mauve de son string. Avec la même lenteur, elle enfila le second bas dont les liserés restaient entièrement à ma vue. J’étais fortement excité par le spectacle qu’elle m’offrait et j’avais toutes les peines du monde à cacher mon érection. Alors que je lui tendais ses chaussures, elle reprit les anciennes et les mit :



Elle se releva et, tout en se tortillant un peu les hanches, elle fit redescendre sa robe sur le haut de ses cuisses. Le tissu couvrait à peine les liserés, perchée sur ses talons, le nylon dessinait encore plus parfaitement ses jambes. Elle se retourna et se pencha à nouveau dans le coffre. Je ne pouvais quitter ses jambes et ses fesses des yeux. Alors qu’elle allait se redresser pour fermer le coffre, je me collai à elle, mon sexe tendu appuyé contre ses fesses et mes mains sur ses hanches. Surprise, elle poussa un petit cri :



Tout en essayant de la convaincre, je maintenais mon bassin collé à ses fesses et mes mains remontèrent pour saisir ses seins à travers le tissu de sa robe. Je l’embrassai doucement dans le cou et lui parlait avec douceur à l’oreille. Elle se débattit un peu mais pas avec beaucoup d’ardeur. Cela renforça ma conviction que je pouvais la convaincre.



À ces mots, une de mes mains descendit le long de son ventre, glissa sous sa robe et remonta jusqu’à son string. Alors qu’elle voulut retirer ma main, je sentis que le tissu était trempé et je la caressai à travers.



Ma main glissa sous son string et je glissai un puis deux doigts dans son sexe brûlant et elle ne put réprimer des cris de plaisir.



Je continuais ma caresse quelques secondes puis me décollai d’elle. Je la fis se retourner et la fixai droit dans les yeux.



Elle me regarda quelques secondes puis baissa la tête, silencieuse. J’attrapai son menton et relevai son visage. Tout en la fixant, j’approchai ma bouche pour l’embrasser. Je collai mes lèvres aux siennes et elle me laissa faire. Quand je voulus glisser ma langue dans sa bouche, elle ne fit que peu de difficultés pour ouvrir ses lèvres et laisser ma langue jouer avec la sienne. Progressivement, sa langue ne fut plus passive et elle aussi vint glisser sa langue dans ma bouche. Mon autre main se posa sur sa cuisse et remonta sous sa robe pour tenir fermement sa jambe. Au bout de quelques minutes, je reculai un peu mon visage et toujours en la fixant, je l’interrogeai :



Je l’embrassai à nouveau fougueusement, ma langue allant à la rencontre de la sienne, une main caressant un de ses seins, l’autre ses fesses. Alors que je voulus défaire la fermeture éclair de sa robe, elle m’arrêta :



Ne voulant pas la contrarier sur ce genre de détail, je m’agenouillai devant elle et fit remonter mes mains le long de ses jambes jusqu’à son string que je fis glisser rapidement jusqu’à ses chevilles. Je la fis asseoir sur le bord du coffre, soulevai une de ses jambes pour les écarter et passai ma tête sous sa robe. J’embrassai alors goulûment son sexe déjà bien trempé. Elle poussa vite de petits soupirs étouffés de plaisir. Ma langue jouait avec le haut de ses lèvres et son clito alors que je faisais glisser mon index dans son sexe. Elle avait les deux mains posées sur ma tête et parfois elle appuyait plus fortement pour maintenir ma bouche plaquée sur son sexe. Mais au bout de quelques minutes, elle me fit relever.



Elle m’attrapa la main et m’emmena vers l’avant de la voiture. Alors que je voulus m’agenouiller à nouveau devant elle, elle me poussa contre la voiture et s’agenouilla :



Elle défit rapidement ma ceinture, me déboutonna et fit glisser mon pantalon et mon boxer sur mes chevilles. Mon sexe déjà tendu se dressa devant son visage. D’une main, elle saisit la base de mon sexe et posa ses lèvres sur mon gland. Elle commença par faire lentement glisser sa bouche autour ce dernier puis, petit à petit, elle avalait presque la totalité de mon sexe. Elle me suçait avec application, avec un rythme parfait. De temps en temps, son autre main allait agacer mes testicules. Je la laissais faire, profitant pleinement de ce moment. Après un moment que je ne pourrais estimer, elle se releva et vint s’asseoir sur le capot, la robe relevée et les jambes largement écartées. Malgré l’obscurité, je voyais parfaitement ses yeux coquins qui réclamaient que je la prenne. Je la saisis par les cuisses et elle présenta mon gland à l’entrée de son sexe. D’un coup de reins, je glissais lentement en elle. Elle était tellement excitée qu’en quelques allers-retours, mon sexe entier s’engouffrait en elle.


Elle s’accrocha à moi et colla sa poitrine contre mon torse, sa tête contre la mienne. J’étais profondément planté en elle et je la laissais bouger son bassin prodiguant ainsi des caresses très sensuelles entre son sexe et le mien. Puis, elle s’allongea sur le capot, les jambes autour de mon corps, se laissant pénétrer sans bouger. Je la tenais fermement par les cuisses, juste au niveau des liserés de ses bas et je donnais de grands coups de bassin. Mon sexe allait et venait en elle et je sentais parfois ses fesses glisser sur le capot sous l’effet de mes coups de reins. Je voyais bien qu’elle essayait de retenir ses cris mais elle ne pouvait s’empêcher de lâcher quelques soupirs. Au bout d’un moment, je me retirai et elle comprit sans un mot ce que je voulais. Elle se redressa et se retourna pour me présenter sa croupe, tout en appuyant ses coudes sur le capot. Sa jupe toujours relevée, je pris quelques secondes pour admirer ses jambes gainées et ses fesses rebondies. Impatiente, elle attrapa mon sexe et le glissa à nouveau dans son sexe. Je la saisis alors par les hanches et repris mes mouvements en elle. Elle avait de plus en plus de mal à retenir ses cris. Alors que j’approchais de la jouissance, elle dut le deviner car elle me dit :



Elle se redressa un peu, glissa son bras entre le capot et son ventre et se mit à se caresser le clito et les lèvres. Elle voulait jouir avant d’en finir avec moi. Je restais donc bien fiché en elle, un de mes mains alla même caresser ses seins au travers de sa robe. Elle ne mit pas longtemps à attendre l’orgasme. Alors qu’elle haletait, je sentis son vagin se contracter autour de mon sexe. Puis, elle s’écroula sur le capot et mit plusieurs secondes avant de se redresser. Je me retirai et la laissai reprendre ses esprits. Elle finit par me faire face, un grand sourire éclairant son visage.



Elle me poussa sur le capot, elle s’agenouilla et reprit mon sexe en bouche. Alors qu’elle en branlait la base, sa bouche allait et venait rapidement sur mon gland. Il ne me fallut que quelques secondes pour jouir dans sa bouche. Elle toussota mais avala consciencieusement tout mon sperme, aussi sûrement pour ne pas tacher sa robe ! Quand elle eut nettoyé tout mon sexe, elle se releva :



Alors que je remontais mon boxer et mon pantalon, elle remit son string et changea ses chaussures. Elle ferma la voiture et nous repartîmes vers la salle, en essayant de faire comme si de rien n’était…