n° 17130 | Fiche technique | 19211 caractères | 19211Temps de lecture estimé : 12 mn | 23/11/15 |
Résumé: Ce soir, mon homme a invité deux anciens collègues, et ça papote boulot, travail, taf... Et moi, sa femme, je m'ennuie à mourir ! | ||||
Critères: fhhh cocus exhib noculotte facial fellation pénétratio -totalsexe -extraconj | ||||
Auteur : Patrik (Carpe Diem Diemque) Envoi mini-message |
Ce récit a été inspiré par la lecture de divers forums. J’ai pris à droite, j’ai pris à gauche, j’ai saupoudré de ma propre expérience, j’ai bien mélangé le tout, j’ai gratiné un peu le dessus et voici la chose toute chaude :)
C’est arrivé quand nous étions dans une période où nous n’avions plus de relation sexuelle, rien, niet, nada. Mon homme ne me voyait plus que comme un meuble. J’ai tout tenté pour le stimuler mais rien à faire. Bon, il était assez stressé par son nouveau job et divers problèmes, mais un couple, c’est fait pour qu’on vive les choses à deux, non ?
Je vous raconte ça… :
Ce soir, Marc, mon mari, a invité deux de ses anciens collègues, Jean (un blond de moyenne taille, assez mignon) et Alain (un brun plutôt grand, d’allure assez macho), pour parler du bon vieux temps, celui d’avant, même s’ils ont à peine dépassé la trentaine. C’est toujours mieux avant, pour lui. Dans ce cas, pourquoi a-t-il quitté son ancienne boîte ? Il a oublié tous les soucis qui lui sont tombés dessus à l’époque, moi pas ! Le temps passe, la soirée est vraiment pourrie, blabla travail, blabla fournisseurs à la con, blabla clients crétins, blabla autres collègues et j’en passe ! Comme je me fais chier (je ne vois pas d’autre mot), je commence à me servir et resservir en boissons un peu plus souvent que de coutume, et surtout, ce petit rhum qui se laisse boire sans problème, même trop bien !
Mon homme daigne s’apercevoir que je suis là :
Je ne sais pas bien pourquoi, mais avant de ramener le dessert, je pars me changer. Une idée subite. Après avoir jeté la moitié de mon armoire sur le lit, je mets une robe très courte et plutôt provocante, sans dessous (pendant qu’on y est, allons-y gaiement), exception faite de bas autofixants. Quand je reviens, gâteau en main, les collègues de mon homme me matent à fond, à croire qu’ils n’ont jamais vu une femme un tantinet sexy ! Carrément des loups à la Tex Avery ! Mon homme est assez surpris, lui aussi. Ses collègues me complimentent à leur façon, Jean se lance le premier :
Grand sourire aux lèvres, je les réprimande doucement :
Amusée, je réponds, tout en posant le gâteau sur la table, bien face à eux, leur offrant une belle vue sur et dans mon décolleté :
L’ambiance est à présent très chaude et chargée de sous-entendus, je préfère ça. C’est nettement plus divertissant. Curieusement, mon homme ne dit trop rien, ça m’intrigue quand même. De toute façon, ses deux collègues ont complètement oublié leurs racontars du boulot, y compris sa présence, il n’y a plus que moi qui semble compter à présent !
Le gâteau fini, nous prenons le café dans salon. Je suis face à ces messieurs. Ils zieutent joyeusement dans mon décolleté. Excitée par la situation, j’écarte un peu les jambes pour qu’ils aillent voir par là aussi. Leurs regards glissent le long de mes jambes, le long de mes bas jusqu’à la bande sombre, puis au-delà, le commencement de la chair de mes cuisses. À leurs têtes, je comprends vite qu’ils ont compris que je n’ai rien plus haut que mes bas. Je prends différentes postures, puis je me décide à écarter carrément les jambes sous prétexte de mieux me mettre dans le fauteuil. Comme les hommes, ça comprend vite quand ils ont droit à un spectacle gratuit, ils se positionnent au mieux et matent allègrement mon sexe au fond du tunnel de mes cuisses gainées de soie et du tissu de ma robe. Ils sont comme fous, surtout Alain, il est à deux doigts de jouer les Tarzan et d’arracher sa chemise ! Je suis contente de moi ! Très contente !
Soudain, mon homme se lève et me demande d’une voix neutre :
Aïe, je pense que je vais me faire royalement engueuler ! Un peu embêtée, je le suis dans la cuisine, sous le regard brûlant de ses deux collègues qui ne perdent pas une miette de mes jambes et de mes fesses ! Ils essayent sans doute de deviner les courbes de mon popotin à travers le tissu assez fin de ma robe !
À peine sommes-nous dans la cuisine que mon homme se jette sur moi et qu’il m’embrasse sauvagement ! Eh bé, ça faisait bien longtemps ! Je me laisse faire, attisée par cette nouvelle situation. Quand nos bouches se décollent, il me chuchote :
Je suis excitée par ses propos mais je ne me sens pas encore prête pour me faire ainsi deux autres hommes (pas trop mal, il faut le reconnaître, ç’aurait pu être pire) devant mon légitime. Empressé, il me serre contre lui :
Il me serre encore plus contre lui et m’embrasse voracement. Puis, quand notre baiser s’achève, il décrète :
Que voulez-vous répondre à ça ?
Je suis toute excitée mais en même temps assez stressée. Je ne sais pas du tout comment ça va se passer ! Je ne fais pas dans la sucette à tout va tous les jours, contrairement à certaines professionnelles, voire même certaines collègues de boulot !
Nous retournons dans le salon où m’attendent avec impatience les deux collègues de mon mari. C’est visible à leurs visages ! Ce ne sont plus des yeux qu’ils ont mais des scanners à rayons X ! Inquiète de la suite, j’en ai les jambes tremblantes et les mains moites !
Mon homme prend les choses en main, ça tombe bien car j’en suis incapable. Avec un naturel désarmant alors que ce n’est absolument pas vrai, il explique :
Posément, il explique ensuite que nous allons dans des soirées privées, parfois dans des clubs échangistes et qu’il adore me voir me faire prendre par plein d’hommes ! Il ajoute même que des fois, ça se passe dans des parkings ou des aires d’autoroutes. Il n’est pas gonflé de me faire passer pour une sacrée salope ! Mais je dois avouer que ça me fait carrément mouiller, c’est dingue ! C’est ainsi que j’apprends pour la première fois ce qui excite vraiment mon homme. Il n’avait jamais osé me le dire auparavant et pourtant, je suis quand même sa femme. À la réflexion, c’est peut-être parce que je suis justement sa femme…
Ah ces hommes, ils font dans le binaire : sainte ou pute…
Intrigués et intéressés, les deux collègues posent beaucoup de questions par curiosité, par excitation, et je pense aussi pour savoir si, au final, c’est du lard ou du cochon… Mon homme révèle que ça l’excite un max de voir tous ces autres hommes éjaculer sur mes seins, sur mes fesses, sur mon visage, dans ma bouche ou carrément en moi !
Eh bé, qu’est-ce qu’il ne faut pas entendre !
Néanmoins, ça m’a fait sourire, car de tout ce qu’il raconte maintenant, rien n’est vrai. Rien de rien ! Au pire, parfois il éjaculait sur moi, surtout entre mes seins. Mais ça va commencer à dater car ces derniers temps, c’était le calme ultra plat côté galipettes sous la couette ! Le plat pays qui est le mien, chantait Jacques Brel.
Néanmoins, en balançant tout son faux baratin, mon homme me met la pression ! Ses collègues sont en train de croire que je suis une femme très expérimentée en libertinage ! Et je vois bien que ma tenue et le discours de mon homme les excitent à mort ! Où tout ceci va-t-il nous mener ? J’ai la nette impression que ça part en sucette (c’est prémonitoire).
Pourtant, bien que très tentés, nos deux invités n’osent pas se lancer, de faire une proposition, une ouverture…
Finalement, c’est Jean (le blond) qui fait avancer les choses avec une manœuvre classique mais efficace :
C’est Alain qui se mêle à la conversation et qui assène, péremptoire :
Mes jambes flagellent un peu quand j’entends mon mari répondre calmement :
Et ils s’installent dans le canapé que leur désigne mon homme, puis ostensiblement ils écartent les jambes, exhibant une certaine tension évidente sous leur pantalon. À ce stade, j’ai deux possibilités : soit je vends la mèche en disant que c’est une blague, ou soit je joue le jeu.
Aussi calmement que je peux, je m’approche d’eux, puis je m’agenouille devant eux. Je vois bien qu’ils étaient assez surpris, mais finalement plutôt ravis. Je pose mes mains sur un genou de chacun d’eux, puis lentement, je caresse leurs cuisses, jusqu’à venir frôler leur entrejambe. Il est évident que ça leur fait de l’effet, le tissu se tend encore plus. C’est Alain qui, le premier, ose caresser le haut d’un de mes seins, mon décolleté l’aidant beaucoup. L’autre l’imite aussitôt.
Enhardie, je vais chercher leur sexe dans leur pantalon. Je me débrouille plutôt pas mal pour les extirper. Il ne faudrait pas faire mentir le fait que, d’après mon homme, je suis une experte en la matière ! Après quelques taquineries, j’ai commencé à les masturber. Ils en soupirent d’aise ! Quant à eux, ils ont plongé leurs mains sous ma robe et ils pelotent allègrement mes seins, jouant ci et là avec mes tétons bien érigés. De mon côté, franchement, ça m’amuse d’avoir deux bâtons de chair chaude entre les doigts…
Je prends l’initiative :
Retirant leurs mains de mes seins, ils s’exécutent sans rien dire, je me redresse un peu, admirant deux belles queues bien raides. Puis ouvrant la bouche, je commence par sucer Alain qui tressaille un peu quand mes lèvres enrobent son gland écarlate. Ensuite, le délaissant momentanément, je m’occupe de Jean qui soupire de satisfaction sous ma langue câline !
Finalement, c’est facile de sucer deux bites sous le regard de son mari ! Parfois, je glisse un coup d’œil vers lui, il est manifestement très excité ! Comme quoi…
Je m’active de plus en plus autour des deux queues que j’ai à ma disposition, telles deux belles sucettes rien que pour moi, je lèche, je titille, j’embrasse, je suce, j’aspire ! Taquine, je m’amuse avec ces deux belles sucettes que j’ai à ma disposition.
Soudain, mon homme décrète :
Toujours aussi calmement, mon homme leur répond :
Les collègues de mon mari, presque à l’unisson, me demandent :
Je suis moi-même étonnée de la facilité avec laquelle j’ai acquiescé. Alors je recommence à les sucer l’un après l’autre. Puis m’offrant un petit luxe, je les enfourne tous les deux en même temps. Puisque je suis une sacrée salope, autant le prouver et en profiter, non ?
C’est excitant d’en avoir deux en bouche mais pas très pratique, alors je m’occupe soigneusement de mes deux bites alternativement. Je sens qu’ils sont à deux doigts de craquer. Alors je m’adresse à eux :
Pour prouver mes dires, j’ôte prestement ma robe, et c’est nue, uniquement habillée de mes bas, que je m’expose à leurs yeux. Quelque chose me dit que je dois faire pute ainsi, mais qu’importe, ça fait partie du jeu et ça fait plein de papillons dans le ventre !
Bite en main, Jean demande presque timidement :
Mon mari intervient. À mon grand étonnement, il ramène mes cheveux en chignon qu’il fixe avec une de mes pinces. Décidément, c’est la soirée des surprises ! Je me contente de lui dire avec un grand sourire :
Mes lèvres s’emparent ensuite de la queue d’Alain qui est manifestement aux anges de pouvoir se laisser dans ma bouche, tandis que Jean se tripatouille, ou plutôt, il semble plutôt tenter de résister à une éjaculation précoce ! Mais voilà, malheureusement pour eux, ils en sont tous les deux à leur point de rupture ! Une première salve s’aplatit sous mon cou tandis qu’une autre remplit ma bouche ! C’est… comment dire… très troublant, très excitant !
Une autre salve s’écrase plus bas sur un sein. De son côté, Alain continue à se vider dans ma bouche, par petits à-coups. J’arrive à suivre, à avaler au fur et à mesure son sperme que je trouve étrangement sucré, ce qui n’est pas un mal. Curieuse, je lève les yeux. Oui, Alain est totalement ravi, un large sourire béat aux lèvres. Durant ce temps, un autre jet explose dans mon cou. Je sens ce sperme dégouliner sur mon corps. Je risque un œil vers mon mari, il est totalement fasciné par le spectacle !
Je sens que la bite que j’ai en bouche faiblit petit à petit, moins de foutre envahit mon palais. Elle reste encore assez raide mais elle ramollit lentement entre mes lèvres. Par contre, Jean doit avoir des couilles ultra-remplies car d’autres salves s’écrasent sur moi, dont une sur ma joue, les autres plutôt sur mes seins bien empoissés maintenant !
Devenu sensible, Alain se retire de ma bouche, il balbutie un presque inaudible :
À peine mes lèvres libérées que Jean me présente sa bite sous le nez :
Ouvrant à nouveau la bouche, je l’accueille. Aussitôt, il décharge en moi, poussant des petits râles de plaisir. Consciencieuse, j’avale tout, lui offrant une vicieuse léchouille finale. Lui aussi me remercie :
Ils ont été courtois jusqu’au bout, à peine un léger écart de langage… Ils s’affalent dans le canapé, récupérant quelques forces. Impérieux, mon homme intervient :
Me faisant mettre à quatre pattes, sans aucun chichi, à la hussarde, mon homme me prend devant eux, sauvagement ! Ça faisait bien longtemps qu’il ne m’avait montré une telle vigueur ! Je dois reconnaître qu’une belle salope nue, vêtue que de bas autofixants, et luisante de sperme, ça doit faire de l’effet sur un mâle ! L’ambiance, le fait d’avoir sucé d’autres pines, d’avoir du sperme ruisselant sur moi, d’avoir bu ce foutre, ces yeux qui me fixent, ces autres hommes présents, ces mains qui agrippent mes hanches, ces coups de boutoir de mon homme qui explose ensuite en moi, tout ceci me fait jouir comme une petite folle ! Un feu d’artifice éclate en moi ! C’est dantesque, c’est divin, je me laisse complètement aller !
Pour une première fois, je dois avouer que ça s’est bien passé, même trop bien ! Tout le monde a pris son pied, Jean, Alain, mon homme et moi. Mon mari est décidément un petit vicieux dans son genre, non, un gros vicieux, mais ça ne me dérange absolument pas. Je parie qu’il voudra recommencer très souvent…