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Temps de lecture estimé : 10 mn
26/11/15
Résumé:  La suite des aventures d'un timide amoureux des rondeurs féminines
Critères:  fh voisins grosseins fsoumise fsodo fouetfesse
Auteur : Rubens  (Rubens, un homme qui aime les femmes aux rondeurs opulentes)      Envoi mini-message

Série : Souvenirs d'un timide

Chapitre 03
Fabienne

Suite à mon aventure ratée avec Christelle que je vous ai relatée dans le premier opus de cette série (Christelle), je m’étais promis de ne plus jamais passer à côté d’une expérience à cause de ma timidité ou de mon inertie. Sylviane m’a donné l’opportunité de tenir ma promesse pour la première fois (Sylviane), et l’occasion s’est à nouveau présentée incidemment il y a peu.



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Fabienne et Bernard sont deux amis de longue date, nous les avons découverts en 1985 quand nous avons emménagé dans notre maison d’Attiches. Bernard est un autochtone du hameau, il connaît tout le monde, il possède un outillage à faire pleurer un dépôt de chez Kiloutou, il est toujours prêt à rendre service à tout le monde. C’est le parfait boute-en-train dans n’importe quelle réunion de famille. C’est un très bon vivant, gros buveur devant l’éternel, fumeur invétéré et gros mangeur. Il fait tout à l’excès, et bientôt avec les années qui passent il devient obèse au point d’avoir du mal à se déplacer. Pendant longtemps il a été chauffeur livreur pour une coopérative de produits maraîchers. Ses déplacements journaliers lui permettaient également de conter fleurette à droite et à gauche. Oh, il ne faisait pas le difficile, au vu de son physique, parfois même il a dû payer pour obtenir des faveurs, mais sa bonhomie faisait que même dans ce cas il réussissait à s’en faire des amies. Dans leur couple Bernard prend toute la place, et pas seulement à cause de son tour de taille.


Fabienne est une ombre, surtout elle est extrêmement timide au premier abord. C’est une femme brune, limite noire, elle aurait pu être jolie si elle avait pris un peu plus de soin de son corps. Avec ses cinquante kilogrammes, elle est frêle comme un fétu de paille, elle est limite malingre tant elle est maigre, pourtant elle possède une paire de seins hypertrophiés, ouah je n’ai jamais vu cela. Deux bonnes grosses mamelles de laitière, qui me feront souvent fantasmer en imaginant m’y plonger et les tripoter jusqu’à la faire jouir sous mes caresses. Je ne compte plus le nombre de fois où me trouvant seul, je me suis masturbé jusqu’à plus soif rien qu’en pensant à ses gros nichons. Bien qu’elle ne puisse trouver ses soutifs que sur mesure, car les bonnets J ça ne court pas les rues, surtout avec un petit tour de poitrine, je dois concéder que tout ce que j’ai pu en voir en de nombreuses circonstances est toujours très mignon. Elle joue de son seul atout physique : sa poitrine. Et elle sait faire pour la mettre en valeur, ses seins sont présentés tels de véritables obus, avec un décolleté souvent vertigineux.


Jusqu’à aujourd’hui, tout cela n’est resté que fantasme, et même un fantasme que je n’ai jamais partagé avec Nathalie. Il n’était pas question de mettre en péril notre amitié et nos couples par la même occasion, juste pour une partie de jambes en l’air, que je ne suis même pas sûr que Fabienne attende. Certes, j’ai un ticket avec elle, je fais partie des très rares personnes qu’elle fréquente et elle apprécie ma compagnie. Mais elle n’a jamais laissé sous-entendre, ou eu un comportement qui aurait pu laisser croire, que je lui plaisais au point d’échanger nos bactéries et qu’elle serait réceptive à des avances plus poussées.


Oui enfin, jusque ce soir de fin juillet, il est presque vingt-trois heures quand je passe chez elle pour lui donner les clefs de la maison, car nous partons en vacances le lendemain matin. Quand j’arrive chez Fabienne et Bernard, la voiture de Bernard n’est pas là, mais la porte du garage est grande ouverte. Comme je connais bien la maison, j’avance sans hésiter pour arriver sous la pergola. Il y fait sombre, seules trois bougies allumées éclairent la pièce. C’est alors que je j’aperçois Fabienne, elle porte une jolie nuisette en soie brillante rouge foncé, elle a également une paire de bas maintenus par un porte-jarretelles, c’est tout ce que je vois de sa tenue. Elle me tourne le dos, appuyée alanguie sur la rambarde et tortillant du cul, ayant entendu mes pas, elle m’invite à la défoncer sauvagement :



J’aurai dû me douter que cette invitation ne m’était pas destinée, mais c’est le cerveau reptilien d’en bas qui vient de prendre la direction des opérations. Devant une telle invitation, je ne réfléchis pas une demi-seconde, je baisse mon short et j’en extrais mon sexe de sa cachette. Ce n’est pas une bite, mais la tour Eiffel qui arrive à l’entrée de la chatte de Fabienne. Oh putain, la salope n’a pas de culotte et tortille du cul me confirmant, si besoin était, que s’est bien une bite qu’elle attendait, mais peut-être pas la mienne ! Déjà je coulisse dans sa fente complètement détrempée de désir. Elle ne s’en laisse pas compter, à chaque pénétration, elle balance ses petites fesses contre moi afin que je la défonce encore plus profond. Elle est chaude et peu discrète, m’encourageant et gémissant à chaque fois qu’elle s’empale à fond sur mon chibre.


Mon excitation est telle que déjà les prémices de la jouissance me titillent les bourses. Mon fantasme se réalise et tout d’un coup je pense à ses gros seins. Je vais faire une fixette dessus, il me les faut dans les mains pour les soupeser, tester leur souplesse et leur moelleux. C’est là que les choses vont se gâter, quand je vais vouloir lui empaumer ses énormes nichons, elle va alors se rendre compte que ce n’est pas Bernard qui la turbine depuis quelque temps ! Son premier réflexe sera de rompre notre étreinte charnelle et de crier au viol, avant de découvrir qu’il ne s’agit pas d’un quelconque voyou animé de mauvaises intentions, mais seulement de moi son voisin préféré. Elle va alors s’effondrer en pleurs dans mes bras.



Malgré ses dénégations, elle est blottie contre mon torse, écrasant son énorme poitrine sur mon torse. Je lui caresse doucement les cheveux, tentant de la consoler gentiment, mais je ne peux empêcher mon érection de se manifester contre sa cuisse. Au bout de quelques instants, elle se calme, ses larmes cessent de couler, et soudain elle redécouvre ma bite raide comme une trique, preuve de l’effet qu’elle me fait.



Pour clore les débats, je pose mes lèvres sur les siennes brûlantes de désir, et lui donne un baiser dans lequel je mets toute mon âme. Elle accepte ce baiser et me le rend, preuve de son acceptation. À partir de là tout va s’accélérer, je vais lui empaumer les seins et sucer leur téton comme si ma vie en dépendait. Je vais ensuite soulever Fabienne, pour la poser sur la table et la prendre sauvagement. La gentille Fabienne toute timide se transforme en salope dévergondée dès qu’une bite lui ramone sa cheminée. Un moment je vais avoir peur que les voisins n’entendent ses cris d’extase, mais heureusement ils sont déjà partis en vacances donc nous sommes tranquilles pour terminer notre copulation. La vision des énormes mamelles qui vont et viennent à chacune de mes pénétrations me fait un effet tel que bientôt la crème monte et je ne tarde pas à jaillir.


C’est au moment où je m’effondre sur Fabienne totalement lessivée que nous entendons un bruit dans le garage. Immédiatement nous nous rhabillons et tentons de donner une allure naturelle à notre tenue. En allant voir, nous découvrons que ce n’est que le chien qui a renversé un seau qui est responsable du bruit.


Nous revenons vers la véranda, je donne les clefs de la maison à Fabienne et un semblant de lucidité me revenant j’ajoute en me retournant :



Au moment où je lui fais la bise pour lui souhaiter une bonne nuit, elle plante ses lèvres sur les miennes et m’embrasse à nouveau à pleine bouche.



Mon cerveau réfléchit à trois mille tours-minute, comment me sortir de ce guêpier, car je sens qu’après ce soir il y aura un autre soir puis un autre et que nous courrons à la catastrophe pour nos couples respectifs. J’ai longtemps fantasmé sur les seins de Fabienne, nous venons de faire l’amour, mais c’est tout. Pour moi ce n’était que l’histoire d’un coup pour assouvir un fantasme, mais il n’y a pas de sentiments. J’en viens à regretter d’avoir céder à mes pulsions, enfin il est trop tard, il me faut assumer. Une idée complètement tordue commence à germer dans mon cerveau libidineux.



Fabienne s’exécute avec gourmandise, en fait Popaul n’avait pas besoin de cela pour bander effrontément, les gros seins qui ballottent, sa tenue sexy et son désir pour moi l’ont rendu opérationnel, mais cela participe à la soumission que je veux obtenir de Fabienne. Soumission qu’il va me falloir pousser au-delà des limites qu’elle peut accepter afin de lui ôter l’envie de recommencer.


Pour l’instant, elle obéit à son maître sans rechigner suçant avec avidité mon chibre encore tout enduit de ses sécrétions intimes et du sperme de ma précédente éjaculation. Elle a l’air d’y prendre plaisir, aussi je lui ordonne d’arrêter.



J’en profite pour me saisir de la badine du chien. J’ai maintenant un panorama complet sur la vulve de Fabienne. Il faut dire que le point de vue vaut le déplacement. Au centre de son buisson noir jais, jaillissent les petites lèvres rouge carmin, je devrais plutôt dire ses lèvres internes, car elles sont, contrairement à ce que leur nom fait penser, très développées chez Fabienne. Au repos elle dépasse allègrement de deux bons centimètres ses grosses lèvres charnues et les poils noirs de sa foufoune. Cela surprend d’ailleurs de voir pendre cette excroissance rouge vif au milieu de cette forêt noire. Avec la badine je commence à lui caresser doucement ses lèvres si sensibles. Je passe ainsi une fois agaçant son clitoris au passage, puis deux, puis trois, Fabienne soupire de plaisir sous la caresse, mais soudainement la quatrième fois ce n’est plus une caresse, mais un coup de cravache très incisif. Fabienne hurle de surprise et de douleur, mais je reprends ma caresse pour calmer les sensations, et quand elle pense que la badine ne lui apporte plus que du bien, un nouveau coup la surprend. À nouveau elle va hurler, mais à nouveau elle laissera la badine reprendre ses caresses. Après quatre ou cinq reprises je vais m’apercevoir que non seulement elle ne hurle plus lorsque la badine s’écrase sévèrement sur sa chatte, mais qu’en plus elle semble attendre le coup suivant avec volupté, tant et si bien qu’elle mouille et ruisselle sur le matelas du bain de soleil. Elle y prend plaisir donc il faut que j’arrête.



Immédiatement Fabienne obéit et me présente ses fesses. Je commence par pénétrer trois ou quatre fois son vagin détrempé. Je place un doigt sur son petit œillet sombre, cela la fait grommeler, elle n’a pas l’air d’apprécier la caresse. Je crois que j’ai trouvé la faille. À chacune de mes pénétrations, mon doigt tente de s’enfoncer plus profondément dans son petit cul. Cette fois elle proteste, elle n’aime pas que l’on touche à cette partie de son anatomie. J’ai maintenant le sexe parfaitement lubrifié, et cet œillet n’arrête pas de me faire des clins d’œil, aussi je sors totalement du vagin de Fabienne pour présenter mon sexe à l’entrée de son petit cul.



Une claque sonnante s’abat sur ses grosses fesses, puis une autre.



Une nouvelle claque sonnante s’abat sur ses grosses fesses. Il en faudra encore une puis une autre quand de guerre lasse :



Qui l’eût cru, Fabienne si libre, aux multiples expériences ne s’est jamais fait sodomiser ! Et c’est moi qui vais la déflorer côté cul.



Je force un peu l’anneau culier, légère résistance, je sens Fabienne qui se contracte puis qui pousse avec de grandes expirations. J’accentue un peu ma pression, cela résiste toujours, alors je gifle violemment les fesses de Fabienne, elle commence par crier un peu avant de comprendre qu’elle ne fera cesser la douleur sur ses fesses qu’en se détendant et en acceptant ma bite dans son fondement. Cette fois j’y suis, j’ai enculé ma voisine ! Et comme je ne veux pas qu’elle y prenne le moindre plaisir, je ne lui laisse pas le temps de s’habituer à mon engin, et je commence à la bourriner comme si ma vie en dépendait. Je l’entends râler et se plaindre, mais je n’en tiens aucun compte, seul mon plaisir m’importe, et bientôt je me libère dans le fondement de Fabienne. À peine terminé, j’extrais ma bite de son fondement et me relève pour partir. Fabienne pleure, de douleur peut-être un peu, mais surtout par frustration, la soumission ce n’est pas la façon de faire l’amour qu’elle attendait.


Je lui glisse néanmoins un petit bisou sur la joue avant de m’éclipser. Je suis certain que Fabienne ne cherchera pas à renouveler l’accident de ce soir, et je peux partir en vacances l’esprit tranquille.