n° 17164 | Fiche technique | 32226 caractères | 32226Temps de lecture estimé : 19 mn | 06/12/15 corrigé 07/06/21 |
Résumé: Une simple escapade à deux se révèle très instructive... | ||||
Critères: fh grp collègues vacances voyage toilettes fellation cunnilingu anulingus pénétratio double -occasion | ||||
Auteur : 69mrt (J'aime que ces histoires peuvent arriver !) Envoi mini-message |
Mon comité d’entreprise met à disposition des employés de la boîte, un chalet à la montagne. Rien de luxueux ! Un gîte avec six chambres et des espaces communs.
Avec ma femme, nous avons besoin de prendre un peu l’air, de changer d’environnement. Nous souhaitons nous retrouver un peu sans les enfants. Pour un week-end en amoureux, il y a mieux qu’un gîte, entouré de collègues de travail ! Mais financièrement, on ne peut pas faire plus. Alors nous nous sommes dit que c’était ça ou rien !
Le matin du départ, nous sommes assez excités. Cela fait au moins quatre ans que nous n’étions pas partis. Les moments d’intimité se résument à un resto de temps en temps et une vingtaine de minutes entre le coucher des enfants et notre endormissement sur le canapé, épuisés.
À peine dans la voiture, je sens une atmosphère différente. Isabelle a retrouvé son léger sourire qui illumine son visage. Malgré ses trente-huit ans, elle n’a aucune ride. Ses yeux légèrement étirés lui donnent toujours cet air coquin qui m’a fait succomber il y a bientôt dix ans. Après deux heures de route passées à discuter et à rire, j’ai l’impression que nous avons déjà retrouvé une complicité adolescente. À tant rire et s’agiter sur son siège, la jupe d’Isabelle a tendance à remonter. Cela fait longtemps qu’elle adopte un look un peu strict. Charmant, féminin, mais un peu strict avec jupe aux genoux. Mais là, elle ne fait rien pour éviter que ce morceau de tissu ne découvre ses jolies jambes fines. Est-ce qu’elle le fait exprès ? Je n’ose pas lui poser la question de peur qu’elle baisse le vêtement que j’espère voir encore monter.
Une nouvelle secousse dévoile ce que je n’avais pas vu depuis bien longtemps ! Isabelle porte des bas ! Pour des questions pratiques, sa lingerie s’était standardisée : collant, culotte quelconque et soutien-gorge confortable. Elle a donc fait un effort pour moi, aujourd’hui ! Machinalement, ma main se pose sur son genou. Elle arrête de rire, pose sa main sur la mienne et me la remonte jusqu’au liseré du bas. J’accentue la pression de mes doigts sur sa peau. J’ai toujours aimé la fermeté de ses jambes. Je la caresse en laissant aller ma main vers l’intérieur des cuisses. Là où la peau est légèrement plus fine et surtout, plus douce. Subitement, elle me demande :
Puis elle remonte encore un peu ma main pour atteindre la naissance de sa toison. Je rêve ! Elle n’a pas de culotte ! J’essaie de conduire, mais je commence à être un peu à l’étroit dans mon pantalon. Mon sexe essaie de trouver de la place pour s’étendre et grossir. Isabelle doit voir ma gêne. Elle pose sa main sur mon entrejambe et me susurre :
Elle descend la fermeture Éclair, glisse sa main dans mon caleçon et me libère la bite. Tout en faisant un léger mouvement de va-et-vient, elle m’indique le panneau « Aire de repos à 800 m».
Je mets mon clignotant et je bifurque sur la bretelle de sortie d’autoroute. Je traverse les pompes à essence et vais me garer dans un endroit un peu isolé. Avant même que je ne coupe le moteur, Isa met mon sexe dans sa bouche. Elle me pompe avec avidité. Elle y met tellement d’entrain que j’entends de grands « sluck… sluck… »J’avoue que ce bruit ne fait qu’augmenter mon plaisir. Plaisir qui monte très vite, je sens que je vais déjà éjaculer ! Je ne peux me retenir davantage. Je remplis la bouche de ma femme de foutre. Elle se relève et me regarde fixement. Elle entrouvre les lèvres. Je vois qu’elle a tout gardé en bouche. Elle me sourit et avale en une gorgée. Cette scène me provoque une sensation inouïe. Je suis aux anges.
Après quelques instants, je reprends mes esprits. Je me rends compte que j’ai été égoïste. J’ai beaucoup pris, mais je n’ai rien donné en échange. Je m’excuse auprès de ma femme. Elle me répond alors :
Puis elle sort de la voiture pour aller boire un café dans la station-service. Je me rhabille et la suis. Autour du distributeur nous plaisantons sur ce que nous venons de faire :
Se lâcher ? S’amuser? Mais si c’est ce qu’elle attendait de notre escapade, effectivement le gîte et les collègues de travail ne sont pas la meilleure destination. Fait chier ces problèmes d’argent ! Je me rends compte que je ne suis pas en mesure de donner tout le confort à Isa qui pourtant le mérite. Tout ça fait retomber mon excitation et je propose :
Pendant que je patiente, je reçois un SMS :
« Je t’attends dans les toilettes hommes, WC tout à gauche. »
Elle plaisante ? C’est l’heure de pointe en plus ! Je pousse la porte du vestiaire masculin. Derrière la rangée de pissotières, (j’ai toujours détesté ça), trois WC avec portes. Il y a une dizaine d’hommes. J’en remarque deux qui ricanent en regardant la porte la plus à gauche. Je prends une grande respiration, je me tiens bien droit et je me lance d’un pas assuré jusqu’au lieu de mon rendez-vous. Je pose la main sur la poignée et surprise, la porte s’ouvre. Elle est folle, elle n’a pas mis le verrou ! Je rentre et referme vite derrière moi. J’entends les commentaires :
Mais rapidement je ne fais plus attention à eux. Devant moi, il y a Isa tournée contre le mur. Elle m’offre son dos, ses fesses… J’ai envie de l’engueuler, de lui dire que c’est risqué de rentrer seule jusqu’ici. Mais cette chute de reins, sa nuque dégagée, me font vite penser à autre chose. Je passe mes mains sur son dos. Je les descends jusqu’à ses fesses, puis le long des cuisses. Là, je les glisse sous la jupe que je remonte jusqu’au bassin de façon à découvrir son cul ! Comme il est beau, ce cul ! Je me mets à genoux et je commence à l’embrasser. Dans le même temps, je défais mon pantalon. Je me relève et glisse une main entre ses jambes pour atteindre son con. Elle écarte un peu plus les cuisses pour accompagner mon geste. Elle est déjà très humide. Je mets un doigt dans sa fente. Il entre facilement. Comme absorbé ! Ses fesses se tendent vers moi avec un petit mouvement vers le haut. C’est un véritable appel à la pénétration. Je retire ma main pour donner sa place à mon membre tendu comme jamais. Il n’entre pas aussi facilement que le doigt, mais les mouvements de bassin d’Isabelle favorisent l’introduction.
Je l’entends qui commence à gémir de plus en plus fort. J’augmente alors le rythme des va-et-vient. Je sens que ses jambes flageolent ! Je la tiens fermement par les hanches et accentue encore la pénétration pour être le plus profond possible. Chaque petit « aïe » qui s’échappe est rempli de plaisir, je pousse encore plus fort en elle. Enfin je reste bien au fond quelques instants… le temps de décharger complètement. Nos deux corps tendus se relâchent ensemble.
Nous n’avons pas prononcé un mot depuis le début. Toujours en silence, nous nous rhabillons et sortons. Main dans la main, tête haute, nous traversons les toilettes et les hommes restés à écouter nos ébats. Il y a un mélange d’applaudissement et d’insultes. Une fois la porte franchie, nous éclatons de rire et nous courrons jusqu’à la voiture.
Cette expérience fut si forte en émotion que, sans même en échanger, nous décidons de ne pas la commenter. On a donc repris la route.
*******
Nous sommes arrivés au gîte en début d’après-midi. Il est tel que l’on me l’a décrit : sobre et sans âme. Nous croisons rapidement les autres occupants. Il y a un jeune couple (d’une vingtaine d’années ?). Lui a une composition athlétique. Son tee-shirt moulant fait ressortir le résultat de nombreuses séances de travail. Elle, c’est Pauline l’assistante de direction. Petite, à peine boulotte, mais cet embonpoint à l’avantage de lui offrir une belle paire de seins qu’elle n’hésite pas à mettre en valeur.
Les deux amies de la compta, Jessica et Fleur sont là également. Jessica est assez grande, brune et très jolie. Fleur est blonde, de corpulence moyenne avec un fessier que j’ai toujours trouvé très rebondi, voire large. Le dernier occupant du week-end est Sylvain. Un homme d’une quarantaine d’années que je ne connais pas. Ma femme le trouvait bizarre et moi juste sans intérêt. Après s’être installés, nous passons l’après-midi à visiter le village.
Fatigués par la route, tout le monde décide de rester manger au chalet. Une cuisine collective permet de se préparer un repas rapide. Mais avant, chacun en profite pour passer par l’espace salle de bain, lui aussi commun à toutes les chambres.
En remontant pour nous changer, nous croisons les deux amies dans le couloir. Elles revenaient de la douche. Si Fleur a un peignoir en éponge, Jessica la belle brune, en porte un d’un tissu bien plus léger. Cette matière fluide met en valeur son corps. Le large décolleté dessine de façon très avantageuse une poitrine magnifiquement équilibrée. Une fois entrée dans notre chambre, Isa ne peut s’empêcher de commenter :
Quelques instants plus tard, des rires étouffés nous arrivent de la chambre mitoyenne. Ayant encore la remarque d’Isabelle en tête, je ne peux m’empêcher d’interpréter ces gloussements comme un début de jeux érotiques. Les rires s’enchaînent et sont de plus en plus forts. Au milieu d’un éclat de rire, on entend distinctement un « arrêêête ».
Isa me lance :
Naturellement, nous nous rapprochons du mur. Les voix se font de plus en plus claires. Les gloussements sont entrecoupés de « attends » de « pas ça, pas maintenant »… Il n’y a plus de rires. Mais comme les murs ne sont pas du tout isolés, on entend les petits cris, les gémissements. Les filles commentent beaucoup leurs ébats. C’est la voix de Fleur qui domine :
Dans notre chambre aussi l’air est un peu plus électrique. Je n’ose pas avouer mon émoi à Isa. J’ai peur qu’elle prenne mal l’idée que d’entendre deux filles faire l’amour m’excite. J’essaie de briser le silence avec une voix neutre :
Nous n’avions jamais parlé de ça avec ma femme avant. Sa remarque m’étonne, et ça doit se voir, car elle rougit. Elle s’empresse d’ajouter :
Machinalement, elle vient de passer sa langue sur ses lèvres et écarter les jambes. Je pense que cette conversation commence à avoir un effet sur elle. Je n’avais jamais imaginé que ma femme pouvait être tentée par une expérience lesbienne. Si c’est dans un plan à trois, je peux me montrer très ouvert ! Mais avant que je creuse la question, l’action dans la chambre voisine se rappelle à nous. Les gémissements ont laissé la place à de vrais cris. Isabelle lance :
Elle se lève pour s’asseoir devant le miroir et finir de se maquiller. J’ai compris que notre discussion aussi était terminée, mais moi j’ai besoin de me soulager. Je descends aux toilettes et pendant que je me masturbe avec de lents va-et-vient, j’imagine qu’Isa aussi profite de mon absence pour faire retomber son excitation en se faisant du bien. Je la vois nue sur le lit avec un doigt titillant son clitoris et l’autre main caressant sa toison taillée en V. Mon éjaculation coupe court au fantasme et je reviens à moi. Alors que je surprends deux collègues de travail faisant l’amour, quand je me branle, c’est à ma femme que je pense ! Quelque part, ça doit être une preuve d’amour !
*******
Alors qu’un apéritif collectif s’était improvisé pendant la préparation des repas, Sylvain débarque dans la pièce et interpelle l’ensemble des convives :
Il sort de derrière son dos une vraie culotte de grand-mère qui visiblement a déjà bien vécu. Pas très sexy, en effet. L’objet du litige fait rire l’assemblée, mais Sylvain insiste :
Cette attaque nominative jette un froid. Visiblement la jeune blonde n’apprécie pas et après un temps de stupeur fini par lui répondre :
Il garde un certain calme, mais malgré le vouvoiement, ces réponses sont froides et cassantes. Fleur est maintenant toute rouge. Sans doute un mélange de honte et de colère. En effet, tout le monde est tourné vers elle. Comme moi, ils doivent l’imaginer avec cette grosse culotte et le tableau n’est pas très excitant. Visiblement, elle le voit dans nos yeux. Alors, sans se dégonfler, elle relève son tee-shirt jusqu’au nombril faisant apparaître un petit ventre rond, mais tout à fait adorable. Elle déboutonne le premier bouton de jean très moulant et glisse sa main sur le côté pour en retirer le fil de ce qui ne peut-être qu’un string.
Cette petite scène fait rire tout le monde et la tension retombe. Sylvain s’est assis dans un coin et ne dit plus rien. Mais c’est sans compter sur Fleur qui a assez mal vécu l’accusation.
Ma femme, Pauline et Jessica se regardent avec insistance. C’est Marc, le sportif, qui brise le silence :
Mais l’argument est un peu court pour Fleur. L’intervention de Marc ne fait qu’attirer l’attention sur son amie. Voyant la pression augmenter, Pauline préfère donner tout de suite une preuve. Problème, elle porte une combi-short. Cette tenue est un tout-en-un. Elle est donc obligée d’enlever le haut avant de dévoiler sa culotte. Le regard noir de Marc montre son désaccord. Mais Pauline, d’un geste, a déjà défait les bretelles et laisse retomber la partie haute de son vêtement sur ses hanches. Elle laisse apparaître de gros seins bien soutenus par un magnifique soutien-gorge rouge en dentelle. Il est suffisamment transparent pour laisser apercevoir que les tétons de la jeune femme pointent. Pourtant il ne fait pas froid. Sans doute que la situation, bien que gênante, provoque aussi de l’excitation. Ce que je peux comprendre parce que ça commence à réagir dans mon pantalon. Je ne suis pas très fan des fortes poitrines, mais le contexte doit aussi agir sur moi.
Pauline se retourne et dégage la partie short de sa combinaison jusqu’à mi fesses pour découvrir le tanga assorti au soutien-gorge. Il est à moitié avalé par les fesses pulpeuses de la secrétaire, qui semblent malgré tout assez fermes. J’ai très envie d’aller vérifier, mais je ne pense pas qu’Isabelle soit d’accord. Marc ne l’est pas non plus, il se met devant sa copine pour faire paravent et lui permettre de se rhabiller. La belle Jessica s’approche d’eux et caresse le visage du sportif en lui demandant de rester cool puisque toutes les filles vont montrer leurs dessous. Comme elle est en robe, elle la remonte d’un mouvement ample jusqu’à la taille et dévoile de longues jambes fines, absolument parfaites. Elle a des hanches marquées et un ventre plat digne des magazines. Elle se retourne pour nous montrer qu’elle porte bien un string et se faisant elle se retrouve nez à nez avec Marc.
Nous profitons d’une vue sur un magnifique cul. Ses jambes et ses fesses ont exactement la même couleur dorée. Manifestement, elle est adepte du bronzage intégral. Je suis assez sensible à ce genre de détail et mon pantalon est définitivement trop serré. Voyant que Jessica ne laisse pas son homme totalement indifférent, la boulotte rappelle qu’on cherche qui porte une affreuse culotte. Car finalement c’est bien ça le problème. Ce n’est pas de laisser traîner ses dessous dans la salle de bain collective. C’est bien de mettre des choses aussi ringardes !
Cette fois, tous les regards sont sur ma femme. Je ne sais pas quoi faire pour l’aider. Je ne pense pas que cette culotte soit à elle, mais elle est la dernière, et ces derniers temps elle ne fait plus beaucoup d’efforts. Isabelle a l’air très gênée. Elle commence par expliquer qu’elle ne peut pas relever sa robe, mais Jessica intervient :
Ce dernier rougit et sa copine aussi, mais sûrement pas pour les mêmes raisons.
La belle brune rajoute :
Isa voit qu’elle ne pourra pas y échapper. Elle me jette un regard pour obtenir mon autorisation. Par un mouvement d’épaules, je la lui donne. Pour la soutenir, je m’approche d’elle et c’est moi qui retire entièrement sa robe. Effectivement, elle est nue. Nue au milieu de tous ! Cette situation, qui pourrait être humiliante, m’excite. Il faut dire que je suis très fière de ma femme, elle est vraiment splendide. D’ailleurs, hommes et femmes présents ce soir restent là à l’admirer. Ma philosophie de vie a toujours été « la meilleure défense, c’est l’attaque ». Je reprends donc la parole :
À la parole, j’ajoute le geste par des caresses qui soulignent ma description :
Jessica, qui sait que son cul est aussi son atout, est piquée par cette réplique finale. Elle retire sa robe et vient se mettre à côté de ma femme.
Isabelle, que ce petit jeu excite, me lance alors un sourire coquin qui m’invite à aller plus loin. De son côté, Jessica ne s’est pas fait prier et caresse avec insistance les fesses de mon épouse. Après quelques minutes elle déclare enfin :
Pas la peine de répéter, j’obéis. Je m’agenouille à hauteur des postérieurs et je caresse avec vigueur l’un et l’autre. Après avoir bien profité de la situation, je déclare avec beaucoup de conviction :
Pour terminer, j’embrasse les deux culs et je me relève. J’aperçois alors Fleur qui se caresse machinalement le ventre et Marc qui me regarde avec envie. Pauline, en retrait, semble plus gênée.
Dans un éclat de rire, Jessica refuse mon verdict :
Ce dernier obéit sans même regarder son amie. Fleur, déclarant qu’il faut aussi un avis féminin s’approche aussi. Les deux caressent alors avec empressement les deux culs de plus en plus offerts. Je vois qu’Isa commence à fermer les yeux et à se laisser aller au plaisir procuré par les caresses qui se font de plus en plus insistantes. Les fesses sont largement dépassées et les mains s’égarent le long des cuisses, sur les reins et même entre les jambes. Toutefois, ma femme tient encore les cuisses serrées pour éviter toutes introductions. Je me place devant elle et place ses bras sur mes épaules pour l’aider à garder l’équilibre. Je lui susurre à l’oreille :
En souriant, elle écarte alors légèrement les cuisses. Fleur a remarqué le changement d’attitude et glisse une main vers la fente désormais accessible. Tout en embrassant le cul d’Isabelle, elle repousse Marc vers Jessica. Ma femme lui appartient. Elle lui glisse un doigt dans la chatte. Avec l’autre main, elle lui écarte les fesses et met bien en évidence l’anus. Elle y introduit sa langue en faisant de petits cercles. J’entends gémir près de mon oreille. Elle est totalement abandonnée sur moi. Je me baisse pour trouver une position plus confortable et profiter du spectacle. Se faisant, ma femme se retrouve à quatre pattes, toujours accrochée à mon cou.
Fleur laisse tomber quelques gouttes de salive assez délicatement sur l’anus d’Isa et le pénètre avec un doigt. Ma femme pousse un cri de plaisir assez long ! En neuf ans de vie commune, jamais je ne me suis approché de cet orifice. Et là, c’est une inconnue qui le lèche, qui le pénètre et qui fait jouir ma femme.
À côté, Marc s’occupe activement de la belle brune. Il a la tête entre ses jambes et avec sa langue, il parcourt sa fente de haut en bas et inversement. Il s’arrête de temps en temps sur son clitoris et dessine de petits ronds avec la pointe de sa langue. L’effet est immédiat, Jessica tressaute de plaisir et émet des petits cris. Pauline, qui jusqu’à maintenant ne fait qu’assister à la scène, doit sentir l’excitation monter en elle. Elle s’approche, retire sa combinaison et son tanga. Sans demander la permission, elle s’assoit sur le visage de Jessica.
La brune obéit avec plaisir et se met à lécher délicatement la fente qui lui est offerte. Mais Pauline s’assoit sur le visage et bloque la respiration de Jessica quelques secondes avent de la libérer. Elle lui dit alors :
Jessica met alors plus d’entrain. Elle ne suce plus, elle lèche, elle aspire, elle mord… jusqu’à faire jouir Pauline qui, dans un spasme, inonde le visage de celle qui vient de lui donner tant de plaisir. Aux yeux écarquillés de Marc, on peut penser qu’il n’a jamais provoqué cela à son amie avant.
Isabelle se redresse et me regarde :
En guise de réponse, je baisse mon pantalon et lui mets mon sexe dans la bouche puis j’interpelle Marc :
Et je lui montre la chatte de ma femme qui n’attend que ça. Il s’exécute avec un plaisir non feint. À chaque aller-retour de Marc, je sens ma bite taper au fond de la bouche d’Isabelle.
Bizarrement, voir ma femme entre deux hommes m’excite. Pas le moindre début de jalousie, aucune impression d’infidélité. C’est un moment de partage, un moment d’amour total, finalement ! Mais je veux aller au bout des choses et c’est pourquoi je demande :
Je dégage mon sexe de sa bouche, je laisse ma place à Pauline et je vais me positionner à celle de Marc. Aussitôt, Isa se jette sur son opulente poitrine. Elle lèche ses tétons, les mordille. Elle passe d’un sein à l’autre avec frénésie. Pauline pousse de petits cris, tantôt de contentement, tantôt de douleur. Il faut dire qu’Isabelle est de plus en plus déchaînée, presque en transe. Elle essaye d’avaler les seins, elle aspire tout ce qu’elle peut, mais ils sont trop gros pour sa bouche. Elle se décide à descendre le long du ventre. Elle s’arrête sur le nombril tout en caressant ce petit ventre très moelleux. Elle n’a pas l’habitude, le sien est ferme et plat, mais elle semble y trouver du plaisir. Enfin, elle descend entre les jambes. Elle donne de tout petits coups de langue chacun espacé de quelques secondes pour susciter l’attente, le désir. Chaque langue obtient un gémissement de contentement. Isa est fébrile, le plaisir est tel, qu’elle tremble de partout. Tout en léchant la chatte devant elle, elle glisse sa main entre ses jambes pour calmer le feu. Je la lui retire. Elle essaye une nouvelle fois et je l’en empêche encore. Elle remue alors les fesses, se frotte les cuisses l’une contre l’autre. Elle est toujours à quatre pattes, la tête entre des cuisses replètes qui l’emprisonnent. Son cul s’offre à moi. Son anus s’ouvre et se referme tous seul. Il appelle une bite. Je me décide à calmer le supplice et je présente mon sexe. Avec mon membre, je caresse l’orifice qui se dilate. J’entre doucement. C’est la première fois qu’il a droit à ce traitement et manifestement il l’attendait.
Je dis tout haut :
Il se retire de la bouche de Fleur et s’approche. Je lui ordonne :
Isa comprend où je veux en venir, je me retire et elle se redresse. Marc se couche et elle s’allonge sur lui, attrape son sexe et se le glisse dans la chatte. L’excitation est telle que ça rentre directement. Elle reprend alors la moule de Pauline à pleine bouche tout en relevant son cul. Je me présente à nouveau et je l’enfonce violemment cette fois. Isa lâche un « ahhh !… oh oui ! » qui me donne la chair de poule. Encouragé, je me déchaîne et je tape de plus en plus fort au fond de son trou. Marc suit mon rythme dans le deuxième orifice. Jessica et Fleur se sont approchées et donnent à tour de rôle, une claque sur les fesses d’Isa. Ma femme est au centre de tous. Elle hurle de plaisir. Je crie aussi de plus en plus fort. Dans un râle, Marc décharge. Quelques secondes plus tard, j’éjacule à mon tour sur le dos. Les deux amies de la compta cessent les fessées et les remplacent par des caresses qui étalent le foutre.
Isa reprend doucement son souffle. Sylvain, que nous avions oublié, était resté dans son coin et n’a pas perdu une miette du spectacle. Il se lève et lance :
Puis il part en la faisant tournoyer au-dessus de sa tête.
Il nous faut quelques minutes pour reprendre nos esprits et réaliser ce qui vient de se passer. Nous pourrions courir après Sylvain et lui demander des comptes, mais finalement, je pense que personne ne lui en veut vraiment. Chacun retourne calmement dans sa chambre.
Ce que je retire de cette expérience ? C’est que j’ai une femme formidable ! Elle est une excellente mère, une épouse adorable et la meilleure des salopes. J’ai vraiment de la chance de l’avoir épousée.