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n° 17168Fiche technique23620 caractères23620
Temps de lecture estimé : 14 mn
07/12/15
Résumé:  Accroupie dans mon coin, j'attends... J'attends, je ne sais pas combien de temps je devrais attendre ainsi, mais je sais que quelqu'un finira par venir.
Critères:  f inconnu fsoumise nopéné -occasion
Auteur : Patrik  (Carpe Diem Diemque)            Envoi mini-message
Une pratique particulière

Accroupie dans mon coin, j’attends…


J’attends, je ne sais pas combien de temps je devrai attendre ainsi, mais je sais que quelqu’un finira par venir. En me voyant accroupie comme je le suis, cette personne sera sans doute étonnée, comme dans l’écrasante majorité des cas. Parfois même, elle fera demi-tour, parfois elle m’ignorera. Mais certaines d’entre elles, une fois la surprise passée, se prêtent de bonne grâce à ma singulière demande. En général, elles seront un peu gauches, timides, gênées, mais ça ne durera pas bien longtemps. Il arrive même qu’elles me donnent leur carte de visite, c’est dire !


Comment en suis-je arrivée là ? Je peux remercier Internet. C’est par ce biais que j’ai pu vraiment découvrir ce qui m’excite actuellement. Ce fut surtout avec des vidéos que j’ai appris, et aussi quelques images. Il y avait bien divers textes, mais ce n’est pas la même chose, ça ne me titillait pas de la même façon. Je me souviens d’une vidéo qui m’avait complètement retournée ! La Révélation avec un grand R ! Tout y était de À à Z ! Qu’est-ce que j’ai pu la voir, la revoir, me faire des films dans la tête avec cette vidéo ! Et en plus, la fille qui était dessus avait quelques points communs avec moi. Un appel du destin ?


Aujourd’hui, ça va, il fait assez bon, là où je suis. C’est recommandé, car je n’ai pas grand-chose sur moi ! J’ai mon grand gilet, car on ne sait jamais, mais rien en dessous, sauf mes talons-aiguilles et des bas-autofixants. En général, les hommes sont à moitié fous de me découvrir ainsi ! Quand ça me prend l’envie, j’ajoute même un porte-jarretelles. Alors là, ils ne sont plus à moitié fous, mais complètement foufous. Et ça m’amuse beaucoup !


J’entends du bruit, on dirait que quelqu’un vient. Les pas s’approchent, de plus en plus près, puis s’éloignent. Raté ! Ce ne sera pas pour cette fois-ci ! Je soupire, je me relève un peu, histoire de me dégourdir un peu les jambes, car être accroupie sur des talons-aiguilles, c’est amusant cinq minutes, mais c’est pénible ensuite !


J’entends à nouveau du bruit, quelqu’un vient. Je m’accroupis, entendant les pas qui s’approchent, de plus en plus près. Puis la porte s’ouvre sur un homme pas trop mal de sa personne. Interloqué, il s’arrête aussitôt sur le pas de la porte, me dévisage, puis regarde la plaque fixée sur la porte, histoire de vérifier s’il ne s’est pas trompé d’endroit.


Mi-amusé, mi-gêné, il me demande :



Pour lui certifier la chose, j’écarte un peu mon gilet afin de mieux découvrir mes seins et le reste de mon corps bien peu vêtu. Toujours immobile, il regarde attentivement le spectacle que je lui offre gratuitement. Après un furtif coup d’œil derrière lui, il entre et referme soigneusement la porte derrière lui et s’adosse dessus comme pour la bloquer. Il croise les bras pour se donner une contenance :



C’est vrai qu’on peut difficilement me donner du « Mademoiselle » avec mes quarante années déjà assez dépassées. Avec un petit sourire, je lui réponds :



Cette réponse m’étonne :



Toujours accroupie, me tenant bien droite, je fais glisser petit à petit mon gilet de mes épaules, révélant un peu plus de moi-même. Il s’approche lentement, appréciant visiblement le spectacle que je lui offre. Arrivé à moins de deux mètres de moi, il demande :



Et nous rions tous les deux. C’est bien la première fois que ça se passe ainsi ! Ce qui n’est pas pour me déplaire. Se grattant la tête, il reprend :



Et nous éclatons de rire tous les deux. Drôle de situation !



Toujours accroupie, la tête levée vers lui, je questionne :



Mon gilet choit sur le carrelage. Avec un grand sourire, je réponds :



Il hausse des sourcils :



Il fronce des sourcils :



Je désigne de mes mains l’endroit où nous nous trouvons :



Il marque un temps d’arrêt, me regarde intensément, perplexe :



Un sourire un peu crispé se dessine sur ses lèvres :



Avec un sourire carnassier, une lueur amusée dans les yeux, il rétorque :



Il soupire un bon coup puis il regarde dans toutes les directions :



Déridé, il se calme un peu :



Une petite pause, il tergiverse, se tâte, puis se lâche :



Il ne répond pas, il se passe la main sur le front, sa langue sur les lèvres, pesant manifestement le pour et le contre. Moi, je me redresse un peu plus, soupesant mes seins à pleines mains comme pour les lui présenter. En même temps, j’écarte un peu plus mes jambes, dévoilant mon pubis. Il ne me quitte pas des yeux, scrutant tout ce que je lui dévoile. Puis il s’approche un peu, timidement. Ce Serge est un hétéro-vanille dans toute sa splendeur, à prime vue, je commence à savoir les repérer facilement. Quelque chose semble le tarabuster, c’est flagrant. Il me questionne pour avoir les idées nettes :



Soudain, ayant visiblement pris sa décision, il desserre lentement son ceinturon, il défait sa braguette et en extirpe une belle verge déjà bien en forme qu’il dirige posément vers mon visage. Il demande :



Il se rapproche comme demandé. Je vois distinctement son gland qui tressaille un peu. Peut-être aura-t-il un dilemme entre uriner et éjaculer. Il faut que je précise diverses choses avant que tout ceci entre en action :



Je ne réponds pas tout de suite, je me positionne au mieux :



Devant son air sérieux, je souris :



Alors qu’il se met visiblement en condition, soudain il demande :



Il rigole doucement puis il se concentre à nouveau, je vois bien qu’il est un peu bloqué, ce n’est pas tous les jours qu’on urine sur une illustre inconnue rencontrée dans les toilettes pour hommes ! Néanmoins, je vois bien que ça vient et que j’aurais ma petite douche dorée dans très peu de temps.



Le premier jet acide plonge directement dans ma bouche, s’écrasant sur ma langue. C’est divin, cette eau chaude ! Ça rend aussitôt toute chose !


Je ne saurais dire pourquoi, mais la pisse des hommes dans ma bouche, sur mon corps, me fait un effet fou ! Le premier jeu est comme une décharge électrique qui me secoue au plus profond de mon être ! Rien que ce premier jaillissement me fait mouiller comme pas possible, je me sens totalement détrempée de la chatte !


Tandis que ma bouche se remplit impitoyablement, j’essaye de suivre le rythme, laissant couler ce doux liquide au fond de ma gorge, vers mon ventre qui se noue de plaisir. Je vois distinctement le jet jaune sortir d’un gland écarlate pour aller mourir sur ma langue, y laissant sa saveur acre avant de disparaître dans mes profondeurs. Accroupie à ses pieds, je vois cet homme me surplomber, me dominer, m’imposant sa mâle assurance, m’avilissant de sa pisse, et j’adore ça !


Puis ça déborde, ça coule hors de ma bouche, ça ruisselle sur mon cou, ça dégouline sur mes seins, mon ventre pour se perdre sur mon pubis. C’est le moment que je choisis pour me masturber, mes doigts plongent dans une chatte doublement détrempée, c’est si bon, c’est si chaud ! Je me laisse doucher sous l’ondée jaune, sa chaleur me fait un bien fou, tout comme mes doigts qui agacent mon clitoris en feu !


La bouche toujours tendue vers la source de mon plaisir, le plaisir envahit mon ventre ! Je jouis, lèvres ouvertes, toujours arrosée par cette douche dorée qui souille mon visage, mon cou, ma poitrine, mon corps, cette douche divine que j’aime tant ! Des rigoles se forment sur mes cuisses, mouillant mes bas, mes chaussures avant d’élargir petit à petit la mare qui se forme à mes pieds. Dieu que c’est bon, mon paradis sur terre à moi !


Même si je sais que ça ne dure pas bien longtemps, la vessie de ces messieurs n’étant pas bien grande, j’ai toujours l’impression que ce moment dure une éternité, une éternité de plaisir, de chaleur, d’avilissement, d’humiliation qui me tient chaud, qui me transporte, moi, la chienne souillée qui plane, heureuse, comblée, au-delà de toute morale.


Mon rêve serait plusieurs hommes en même temps, ou plutôt les uns après les autres, pour que ça dure longtemps ! J’ai néanmoins vécu cela avec deux hommes qui se sont relayés et j’y ai pris un pied extraordinaire ! Pourquoi les choses les meilleures sont-elles les plus courtes ? Alors je profite encore et encore de cette divine pisse qui s’abat sur moi, chaude, suave, délicieuse…


La dernière goutte s’échappe de son méat, je la cueille aussitôt du bout de ma langue. Je me sens bien, très bien, couverte de pisse chaude, flottante. Serge est face à moi, il semble lui aussi être très satisfait et heureux de cette petite séance. Bite avachie hors du pantalon, il semble attendre quelque chose, vouloir demander quelque chose puis il se décide :



Je m’adosse au mur :



Il s’accroupit pour se mettre à ma hauteur :



Il approche sa tête très près de la mienne :



Il baisse un peu la tête, il soupire :



Toujours accroupie et dégoulinante, je le regarde avec amusement comme si j’avais un grand gamin face à moi :



Je tends la main pour caresser son visage, il s’approche un peu plus pour se laisser faire. Promenant mes ongles rouges sur sa joue, je continue :



Cessant ma caresse sur sa joue, je me relève lentement, j’ouvre la première cabine, je m’essuie sous le regard très intéressé de Serge qui n’en perd pas une miette, comme s’il gravait ces images dans son cerveau. Je me contente de lui dire :



Toujours couverte par son regard, j’enlève bas et chaussures que je mets dans un plastique. Bien que je sois totalement nue à présent et que visiblement il y ait une grosse bosse dans son pantalon, il se contente que de me mater, bien qu’il meure d’envie d’avoir plus. Un bon point pour lui.


Je m’habille sans hâte, l’attisant volontairement, car ça me plaît beaucoup d’agir ainsi. Une fois que tout est fini, je m’approche de lui pour lui souffler :



Il se plante devant moi et m’annonce :



Je pose mon doigt sur ses lèvres, il l’embrasse aussitôt. Tiens, c’est différent, je ne saurais bien dire pourquoi, ni comment :



Je réfléchis un peu. Ce n’est pas trop dans mes habitudes. Je lui explique :



Pour toute réponse, je dépose un doux baiser sur ses lèvres. C’est électrique, il sursaute, moi aussi. Reprenant mes esprits, je pose à nouveau un doigt sur ses lèvres pour éviter un dérapage :



Je n’attends pas sa réponse, je me sauve aussitôt. Pourquoi ai-je dit ça ? Qu’ai-je à attendre de cet homme ? J’ai simplement eu envie de le revoir et de recommencer, parce que, avec lui, c’était comme évident, parce qu’il y avait un petit truc en plus.


Irai-je à la gare après-demain ? Au fond de moi, je ne le sais pas encore. Me retrouverait-il si j’oubliais de venir ? Serais-je sa récompense en pareil cas ?


Peu importe, l’avenir me dira quoi, l’avenir nous dira quoi…