n° 17171 | Fiche technique | 21935 caractères | 21935Temps de lecture estimé : 13 mn | 08/12/15 corrigé 07/06/21 |
Résumé: La pluie devient l'alliée de mes désirs. | ||||
Critères: fh hplusag extracon voisins | ||||
Auteur : Ronald76 (Jeune retraité avec une vie de sexe en retard) |
Épisode précédent | Série : Le retraité et sa voisine Chapitre 02 | Épisode suivant |
Je suis un retraité qui découvre tardivement les joies du sexe. Dans mes recherches, je suis accompagné de ma charmante voisine, Claire. Une femme de presque vingt ans ma cadette, mais dont les désirs sont aussi nombreux et exigeants que les miens… Une belle rencontre qui nous emmène loin sur la route du plaisir.
Dans l’épisode précédent (Naissance d’une relation), j’ai fait connaissance de ma partenaire d’exhibition et nous partageons nos premiers moments sur sa terrasse.
________________________________________________________
Le printemps qui avait si bien commencé se gâte un peu, la pluie s’est invitée, Claire et moi sommes alors privés de notre jeu quotidien. Quand elle rentre, je la vois courir sous la pluie pour regagner sa maison, en passant devant chez moi elle m’adresse un petit signe de la main. Dépité et surtout frustré après une journée d’attente, je m’installe dans mon salon avec le vague à l’âme, je n’ai même pas envie de me branler pour me changer les idées. La sonnerie du téléphone me fait sursauter, je décroche, c’est elle.
Je n’entends pas sa réponse, le téléphone m’indique qu’elle a raccroché. Suis-je bête, mon hésitation n’a pas dû lui plaire, « vieux con », je ne suis vraiment pas doué. Je vais la rappeler et essayer de récupérer mon ânerie. Avant même que je ne compose son numéro c’est à la porte que l’on sonne, je me précipite pour ouvrir et découvre ma Claire. Pour venir elle a dû affronter les trombes d’eau qui tombent, là devant moi il y a un petit bouchon tout mouillé, les cheveux bruns plaqués sur son visage ruisselant et plus désarmant encore, une robe d’été devenue transparente, collée à son corps et qui laisse voir ses dessous blancs.
Je l’invite à rentrer promptement. Elle est là, à quelques centimètres de moi, sur son visage un sourire qui me ravit, je ne peux la laisser dans cet état, je la conduis donc à notre salle de bain et lui donne de suite des serviettes pour se sécher puis un peignoir pour pouvoir se changer et ôter sa robe. Je me précipite à la cuisine pour lui préparer un café chaud. Quelques minutes plus tard, elle me rejoint, qu’est-ce qu’elle est belle, ses cheveux presque secs en bataille lui donnent un charme fou. Je l’entraîne vers le salon et elle s’installe sur le canapé, sa tasse de café calée entre ses mains je vois ses lèvres souffler sur le liquide brûlant. Les yeux dans les yeux nous nous observons sans un mot, il est vrai que depuis que nous nous connaissons nous n’avons jamais vraiment engagé une vraie conversation, notre relation étant purement physique et sexuelle.
Dans l’ouverture du peignoir, je devine la nudité de sa peau, elle a suivi mon regard et posant sa tasse, toujours en silence elle en ouvre les deux pans. Ses seins m’apparaissent en premier, ils sont petits en forme de poire et les tétons bien tendus, je devine son excitation, puis c’est au tour de son ventre et de son pubis. Tout lisse, son mont de Vénus est fortement marqué par la position assise, le pli de ses lèvres roses me fascine, son sexe est l’un des plus beaux que j’aie jamais vu. Vers le haut, ses petites lèvres légèrement gonflées m’offrent la vue d’un petit cœur cachant son clitoris. Elle se redresse et ôte le dernier rempart à sa nudité, se rassoit prenant une position qui me rappelle celle de la petite sirène, les jambes repliées sur le canapé me privant du même coup de toute vue sur son intimité. Je sens la tension dans l’air, elle, dans la splendeur de sa nudité, et moi, assis face à elle, moi le vieux dont le tee-shirt ample masque les bourrelets, et dont le jean est distendu par une érection. Les minutes passent en silence, égoïstement je profite du spectacle, sa poitrine menue monte et descend au rythme de sa respiration. Finalement c’est elle qui prend la parole et me le joue à la Bardot d’une voix toute douce.
Le sourire aux lèvres elle se tait un instant puis reprend.
Je me positionne à ses côtés, j’ai une vue sur son dos légèrement bronzé et le haut de ses fesses posées sur le canapé. Une de mes mains se saisit de son mollet que je caresse en remontant jusqu’aux genoux, ma tête effleure son cou et je respire son parfum alors que ses cheveux encore humides viennent chatouiller mon visage. Mon autre main se glisse entre son dos et le dossier, se posant délicatement sur sa hanche tout en attirant vers moi son corps, elle se laisse aller et sa nuque vient reposer sur mon épaule, je peux alors déposer de tendres baisers sur la peau de son cou. Elle déplie ses jambes et les pose sur les coussins offrant ainsi à ma vue la totalité de son corps nu, mes doigts, de part et d’autre de celui-ci, empoignent ses seins et y prodiguent des caresses circulaires, puis jouent avec ses tétons durcis, les pinçant légèrement. Sa respiration s’est accélérée et elle mordille la lèvre inférieure de sa bouche entrouverte, je me glisse alors vers le tapis du salon et m’y assois tout en l’allongeant sur la banquette.
J’en profite aussi pour libérer ma queue qui, comprimée dans le pantalon, me fait presque souffrir, ma verge est turgescente et le bout de mon gland est déjà brillant de liquide séminal. Je continue mes caresses, parcourant chaque centimètre de sa poitrine et ma bouche vient prendre possession de la sienne, nos langues jouent ensemble un ballet brûlant alors que nos salives se mélangent. C’est au tour de Claire de prendre l’initiative, son bras est descendu vers moi et sa main prend possession de ma queue, ses doigts enserrant fortement ma hampe tout en la branlant doucement. Dans le même temps, une de mes mains vient se poser sur son sexe, pour m’en faciliter son accès, la belle écarte les cuisses. L’endroit est déjà humide et je sens sous mes doigts le miel de sa mouille, rapidement mes doigts se glissent dans la fente et progressent vers l’entrée de sa chatte, je m’en sers alors comme d’un gode dans un mouvement de va-et-vient rapide, le clapotis de ses sucs est doux à mon oreille. Elle me bloque alors la main tout en me demandant crûment :
Avec son visage angélique ces paroles sont surprenantes, elle continue presque suppliante.
Nous n’avons jamais fait l’amour ensemble et je brûle de désir pour ce sexe offert. Pour être sûr d’être à la hauteur et contourner l’obstacle de mon ventre proéminent, je la retourne brusquement la plaçant à cheval sur l’accoudoir du canapé afin de pouvoir la prendre en levrette. Elle rugit.
Baissant mon pantalon, je me place derrière elle et positionne ma bite à l’entrée de son vagin, je veux être tendre et la pénétrer doucement, car je sais que mon sexe est bien plus long et épais que la moyenne. Mais je n’en ai pas le temps, car Claire d’un brusque mouvement volontaire en arrière vient de s’empaler violemment sur mon membre. Elle pousse un cri, douleur ou plaisir, je ne sais pas, toujours est-il que mon pubis est collé à son cul et mon chibre enfoncé jusqu’au fond de sa chatte. L’endroit est tellement mouillé que je n’ai aucune difficulté pour me lancer alors dans un pilonnage en règle, à chaque pénétration elle me crie son plaisir, ponctué aussi par des mots salaces. C’est tellement fort que je ne résiste pas longtemps avant de décharger ma semence bien au fond, elle réagit instantanément à la contraction ultime de ma verge, son corps s’arc-boute et un feulement sort de sa bouche en même temps que je rugis de plaisir.
Fiché toujours en elle, je mets quelques secondes à reprendre mes esprits, elle semble évanouie et respire fort. Je sors alors de son sexe, en reculant je vois de la fente encore bien ouverte couler abondamment nos fluides, je me penche et place ma bouche à l’orifice pour cueillir le divin mélange de mon sperme et de sa cyprine, ma langue lui fait une toilette en règle, rien ne m’échappe et en quelques secondes je déclenche un nouvel orgasme chez la belle. Comblé je regagne le fauteuil où je m’avachis essoufflé, je contemple une nouvelle fois la belle alanguie sur le canapé attendant qu’elle reprenne ses esprits. Quelques instants plus tard, elle finit par se redresser.
Je vais chercher sa robe dans la salle de bain, elle est encore toute mouillée, je la place alors dans un sachet et lui trouve un vieil imper, elle ne peut traverser la rue à poil ! Elle me quitte après un baiser sur la bouche. Par la fenêtre, je la regarde courir vers sa maison, je ressens une certaine fierté et surtout je suis le seul à savoir qu’elle est toute nue sous le vêtement de pluie. Je n’ai pas le temps de savourer l’idée, car une voiture vient se garer devant chez nous, mince alors, c’est mon épouse qui rentre bien plus tôt que d’habitude du travail. Je n’ai que le temps de me précipiter au salon pour ranger les coussins, vérifier que tout est en ordre et poser la tasse à café dans le lave-vaisselle que déjà la porte d’entrée s’ouvre :
Alors qu’elle file vers la salle de bain, le téléphone sonne, je décroche. Une petite voix que je reconnais de suite chuchote.
Je n’ai même pas le temps de répondre qu’un cri provient de la salle de bain :
En quelques millièmes de seconde, je comprends, là je suis vraiment dans la merde…
À mon oreille le téléphone bip bip bip.
Et voilà qu’après un après-midi dans les bras de ma chère voisine, la soirée virait au drame avec mon épouse. Comment avais-je pu oublier les sous-vêtements de Claire dans notre salle de bain… Ma femme, transformée en furie, déboule dans le salon en hurlant et en me brandissant un string et un soutien-gorge blancs.
Ma Sophie face à moi est rouge de colère, je ne sais comment désamorcer la bombe que j’ai moi-même allumée. Sans réfléchir plus en avant, j’adopte une tactique inattendue, j’éclate de rire, essayant au maximum de donner à mes esclaffements une certaine crédibilité, cherchant de fait à la décontenancer. Et de lui répondre.
Ajoutant une pique d’humour
Et je ris de plus belle. Mais elle continue de crier.
Maintenant il me faut réfléchir et vite, une histoire, n’importe quoi, mais vite.
Sophie est devant moi, sans mots et le regard noir, mais avec une pointe d’incrédulité, je poursuis donc mon récit délirant.
C’est au tour de Sophie de rire nerveusement tout en répliquant.
Les sanglots ont pris le pas sur les cris. Là, je dois avouer que je ne vois plus trop quoi ajouter, je vais tout droit au drame. À cet instant la sonnette de la porte d’entrée vient nous interrompre, suivi par ma femme, je vais ouvrir. Sur le pas de la porte, Claire.
Mon épouse me pousse rageusement sur le côté et s’adresse à Claire.
Elle lui tend, ou plutôt lui jette, string et soutien-gorge. Le visage de Claire s’empourpre rapidement.
Avant même la fin de la phrase, Sophie lui claque la porte au nez. Je ne sais trop quoi dire, Il ne me reste qu’à attendre la réaction de ma moitié. Et le verdict tombe. Sophie semble calmée, mais le ton reste agressif.
Je n’ose rien dire, la tempête semble se calmer, et mon histoire vraiment peu crédible semble être acceptée sans plus de difficulté. Je regarde ma femme, son regard me transperce.
J’en reste pantois, la situation semble se calmer, mais le comportement de Sophie me surprend un peu, car elle n’a jamais marqué d’intérêt particulier à mes envies ou mes fantasmes. Surprise d’autant plus grande quand elle continue sur le même sujet.
La situation est devenue irréelle. Elle, si réservée et peu encline au sexe, m’apparaît d’un seul coup comme excitée, ses pommettes ont rougi et ses yeux pétillent. Chez moi aussi le contexte a provoqué une poussée de testostérone et dans mon jean l’animal est au garde-à-vous. À mon grand étonnement, ma femme s’approche de moi et me saisit la queue au travers du tissu.
Sur ces mots, elle ouvre le zip et dégage ma verge qu’elle empoigne d’une main ferme, presque à me faire mal. Tout en la serrant, elle me force à reculer vers le canapé avant de m’y pousser violemment. Face à moi et sans attendre, elle relève sa jupe et arrache littéralement sa culotte, je vois sa touffe qui me paraît déjà bien humide, ce qui m’est confirmé deux secondes après quand elle s’empale sur ma queue. Elle me chevauche rapidement et je sens son miel couler sur mes testicules à chaque mouvement qu’elle ponctue d’un râle de plaisir. Je reste concentré, surtout ne pas jouir tout de suite, cela doit bien faire plus de dix ans que nous n’avons pas baisé comme cela. Heureusement, je ne dois pas trop attendre, elle crie sa jouissance et je peux enfin éjaculer. Vivement elle se redresse laissant échapper mon sexe poisseux qui déjà redescend. Alors qu’elle se dirige vers la salle de bain, sa jupe remontée sur son ventre, je vois couler sur ses cuisses des traînées blanches. Avant de disparaître, elle se retourne vers moi, le regard encore noir.
Je vois, je vois même très bien, je me revois aussi sur le canapé il y a deux trois heures, baisant ma maîtresse. Par contre une question commence à me tracasser, ma femme m’aurait-elle déjà trompée. Non, pas elle, je l’aurais vu, non ?
Cet épisode sexuel m’a ravi, une voisine qui comble mes longues journées et ma femme qui semble redécouvrir le chemin du plaisir, voilà un avenir qui s’annonce bien. Je me dirige à mon tour vers la salle de bain. Par la porte entrouverte, je vois Sophie qui est sous la douche la tête rejetée en arrière et son visage dirigé vers le pommeau, ses yeux sont fermés. Je vois l’eau qui coule sur ses seins, mais la surprise est légèrement plus bas où l’une de ses mains s’active vigoureusement sur sa chatte. La coquine n’en a manifestement pas eu assez…
(À suivre)