Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 17176Fiche technique32733 caractères32733
Temps de lecture estimé : 19 mn
13/12/15
Résumé:  Aujourd'hui, suite à diverses conversations sur un site spécialisé, je rencontre chez eux un couple dont l'homme souhaite mater sa femme en train de se faire prendre par un autre devant lui.
Critères:  fh couplus cocus intermast pénétratio -couple+h
Auteur : Patrik  (Carpe Diem Diemque)            Envoi mini-message
Candide candaulisme



Aujourd’hui, suite à diverses conversations sur un site spécialisé, je rencontre chez eux un couple dont l’homme souhaite mater sa femme en train de se faire prendre par un autre devant lui. Durant ce temps, lui, il joue les voyeurs, il ne souhaite pas participer. C’est le deal de départ. Comme je suis toujours partant pour les expériences, j’ai dit OK.


L’accueil est chaleureux, Thomas est un bon vivant convivial, Liliane, sa femme, est nettement plus anxieuse. Elle est incontestablement mignonne, une femme mature comme je les aime, légèrement plus jeune que moi. J’ai bien aimé le regard qu’elle m’a lancé malgré son stress évident. Si ça se concrétise, je ne vais certainement pas devoir me forcer ! Elle est vêtue d’un chemisier blanc et d’une jupe noire assez courte, une tenue un peu stricte, mais assez adéquate pour ce début de mois de juin. Un petit côté « business woman » qui n’est pas pour me déplaire.


Nous discutons à présent dans le salon, je fais face à mes hôtes assis l’un à côté de l’autre sur le canapé. C’est le mari qui fait le point :



Le rouge aux joues, elle répond timidement :



C’est son mari qui reprend la main :



Sa femme hoche la tête. Elle lance timidement :



Jouant avec son verre, Thomas continue :



Liliane rougit carrément, elle est très mignonne ainsi ! Pressentant le souci de la suite à venir, je prends les devants :



Le mari ne répond rien, il semble soupirer intérieurement. Sa femme ne dit rien non plus, se contentant de baisser un peu plus la tête. C’est alors que je décide de prendre les choses en mains. Me tournant vers Thomas, je lui demande :



Nous changeons de place. Je suis à présent juste à côté d’une Liliane un peu tremblante et toujours rougissante. C’est très mignon, j’adore ! Je me tourne vers elle, mon coude sur le rebord haut du canapé. Doucement, me penchant sur elle, je demande :



Je pense même que je suis carrément à son goût, pour preuve les regards qu’elle m’a lancés tout à l’heure quand nous nous sommes réellement vus en face à face, puis quand nous étions face à face. D’ailleurs, c’est la webcam que nous avons faite, il y a quelques jours, qui m’a vraiment décidé. Là aussi, j’avais bien cru voir dans ses yeux verts une lueur d’intérêt pour ma personne.



Je pose ma main sur son genou dénudé, elle tressaille. Je sens le regard intéressé de son mari sur nous. Sans changer le ton de ma voix, je continue :



Ayant son aval, je commence à caresser doucement son genou. Ça me donne une très bonne idée pour la suite, si suite il y a. Mais je pense que c’est largement jouable, la barrière est présente, mais contournable. Comme nous sommes en été, c’est sa peau toute douce que je sens sous ma paume et non un bas ou un collant. Elle reste stoïque. Je sens, d’instinct, que je suis sur le fil. Dois-je attendre un peu ou oser un peu plus ?



Ce ne sont en effet que des banalités, mais il faut un début à tout. Je continue à promener ma main sur son genou, puis petit à petit, j’avance sur sa cuisse, faisant des allers-retours sur sa jambe. Son stress est évident. Mes caresses deviennent de plus en plus intimes, sa respiration devient de plus en plus entrecoupée. Mais elle ne retire pas ma main qui s’aventure de plus en plus haut, elle ne prononce aucun « non »…



Pour l’instant, elle ne fait aucun effort, elle ne desserre pas ses jambes, mais ne les ferme pas non plus. Elle est passive, elle attend la suite, elle attend de savoir si elle doit aller plus loin, si elle doit me laisser aller plus loin, si elle doit basculer ou pas.


C’est alors que je me positionne autrement, sans lâcher sa jambe si douce. Elle penche la tête, évitant mon regard. Alors je déboutonne le haut de son chemisier, dévoilant petit à petit le haut de sa poitrine puis le creux de ses seins. Elle respire de plus en plus fortement. Je m’approche un peu plus d’elle, Liliane frémit. Son parfum m’enveloppe lentement. J’arrête mon déboutonnage quand je vois apparaître le bas de son soutien-gorge.



Voluptueusement, je plonge mon nez dans son décolleté afin d’embrasser ses douces masses de chair tremblantes et délicates. Haletante, elle tremble, soupire. J’accentue la pression de mes lèvres sur sa peau offerte. Elle me laisse la lutiner, j’effleure le bord de son soutien-gorge, m’amusant le long de la frontière entre peau et tissu.


Ma main caresse langoureusement sa cuisse, s’aventurant de plus en plus loin sous la jupe. Il est évident qu’elle ne cherche pas à entraver mon approche. Mes doigts taquinent sa chair si tendre et si fraîche, c’est un vrai délice !


Plus haut, tandis que j’ai toujours le nez plongé avec bonheur dans son décolleté, mes doigts déboutonnent sa chemise blanche. Écartant un peu les pans, je caresse subtilement son ventre frémissant en longues arabesques. Ma langue avide goûte ses courbes, elle soupire doucement, passive, mais permissive.


Levant le nez, je jette un coup d’œil vers le mari. Il est envoûté par la scène que nous lui offrons. Je dépose à nouveau quelques baisers brûlants sur les adorables seins qu’elle m’offre puis je décide de passer la vitesse supérieure. À ma grande satisfaction, le soutien-gorge est un modèle qui se dégrafe par-devant, ce qui aide grandement. Je me pose fugacement la question si c’est une coïncidence, mais pour l’instant, j’ai mieux à faire. Donc d’un geste assuré, j’ouvre le soutien-gorge, qui laisse alors s’échapper deux mignons seins que je découvre dans toutes leurs belles nudités !


Belle poitrine, ni trop ni trop peu, juste comme il faut. Il aurait été bien dommage que je ne la révèle pas au grand jour. Aussitôt, je goûte un premier téton, puis l’autre. Ne sachant pas me décider pour l’un ou pour l’autre, j’embrasse l’un pour ensuite sucer l’autre, pour revenir mordiller le premier et ainsi de suite au gré de ma fantaisie. Comme je suis un grand tactile, je capture un sein pour bien en goûter le poids et la délicate mollesse.


Il est à présent évident que Liliane commence à apprécier mes caresses. Je continue donc mes effleurements, mes agaceries, mes incitations, mes lècheries. Tête renversée, elle exprime de plus en plus bruyamment son plaisir :



Très conciliant, j’obéis. Mon autre main sous la jupe frôle à présent sa petite culotte. Très fine culotte, ou est-ce un string ? Peu importe ! À travers le tissu légèrement humide, je caresse ses lèvres ourlées. Elle soupire d’aise, écartant plus encore les jambes. L’invitation est claire, Liliane semble avoir vaincu ses réticences et elle se laisse entreprendre par un autre homme que le sien.


J’accentue mes baisers et morsures sur ses seins et tétons, j’accentue la pression de mes doigts sous sa jupe, m’immisçant petit à petit dans sa fente ouverte à mes agaceries.



Je ne me fais pas prier de poursuivre mes douces agressions sur son corps offert. Mes doigts conquérants se glissent sous le tissu de sa petite culotte pour venir s’en prendre ignoblement à un clitoris bien érigé. Je cueille un peu de cyprine plus bas pour venir en badigeonner ce bouton rose qui n’attend que de jouir. Liliane se cabre quand je commence à la masturber posément et efficacement. Bouche ouverte, elle respire bruyamment, agrippant de ses ongles mon poignet niché entre ses cuisses. Ce n’est pas pour autant qu’elle chasse mon bras.


Je glisse deux doigts dans sa chatte détrempée tandis que mon pouce caresse vicieusement son clitoris en feu. À peine suis-je entré en elle, qu’elle ondule du bassin afin de mieux me ressentir. Férocement, ses ongles s’enfoncent dans mes chairs, je mordille avidement ses tétons, elle tressaille de plus en plus, haletante, avide de caresses, de sensations, palpitante de désir.


Soudain elle explose, pousse plein de petits cris, tandis que son corps s’agite de mille tremblements. Elle se laisse complètement aller à sa jouissance qui la submerge, la balayant comme un simple fétu de paille. Elle se cabre, s’empalant à présent sur mes doigts pour mieux m’absorber. C’est avec frénésie qu’elle utilise ma main en elle tel un toy de chair. Un grand râle rauque, elle chasse ma main engluée, la sensation étant trop forte, puis une autre vague plus puissante encore l’envahit dans les moindres recoins de son corps électrisé pour l’anéantir totalement, la laissant exsangue, brisée, rompue et repue…




Acte Deux



Petit à petit, elle émerge de sa petite mort. Elle souffle bruyamment, le corps tremblant. Elle ouvre les yeux, croise mon regard et me sourit. Puis elle se tourne vers son mari, lui lançant une œillade trouble. Je caresse délicatement sa poitrine, jouant de temps à autre avec ses pointes toutes dures.


Après quelques instants, elle finit par avouer :



Sans cesser de caresser ses seins, je réponds :



Puis elle se rejette en arrière pour mieux récupérer de sa récente et forte jouissance. Je câline tendrement sa belle poitrine qui monte et descend au rythme de sa respiration qui s’apaise. Quelques instants plus tard, un peu hésitante, elle me demande :



Je ne vais certainement pas refuser cette demande, d’autant que ça fait bien mes affaires, car je commençais à me sentir à l’étroit dans mon pantalon !


Ma verge pointe fièrement vers celle qui a demandé à la voir. Liliane pose un petit doigt dessus, puis commence une timide caresse. Enhardie, elle pose d’autres doigts pour mieux câliner mon bâton de chair. Doucement, elle joue de ses doigts sur toute la longueur de son nouveau jouet. De son autre main, elle soupèse puis caresse mes testicules, s’amusant avec les boules nichées sous ma peau fine et sensible. Tout ceci est de très bon augure ! Je caresse d’une façon plus possessive ses adorables seins.


Alors qu’elle enserre fermement ma tige, amorçant un léger mouvement de branle, elle murmure :



Elle se contente de sourire, elle poursuit son action de va-et-vient, me décalottant un maximum pour bien dégager mon gland, puis le recouvrant ensuite complètement de mon prépuce comme pour le faire disparaître. Je sens distinctement sa douce main sur toute ma longueur. Puis, sans me lâcher, elle s’accroupit lentement, portant ainsi mon phallus à la hauteur de ses yeux.


À présent agenouillée, elle commence à embrasser délicatement ma verge bien raide, puis posément, elle commence une délicieuse fellation durant laquelle elle a fait manifestement preuve de beaucoup de gourmandise ! Telle une habituée des endroits réprouvés par la morale, elle use de ma bite comme d’une sucette. Souvent, elle jette un troublant regard vers son mari qui ne perd pas une miette du spectacle qu’elle lui offre. Elle le nargue :



Elle joue très bien de la langue et parfois faiblement des dents. Elle lèche assidûment ma rampe, pour venir ensuite absorber mon gland écarlate. Ça commence à être de plus en plus difficile pour moi de me retenir, ma verge tressaille souvent. Je serre les dents pour mieux résister. Elle doit s’en douter puisque, me retirant de sa bouche si chaude, elle murmure d’une voix rauque :



Je me contiens encore un peu pour la forme, par mélange de plaisir et d’orgueil. Puis n’en pouvant plus, je finis par exploser dans sa bouche, me répandant à loisir en longues salves, et visiblement, elle apprécie énormément cette démonstration de son habileté en matière de fellation bien prodiguée ! Du coin de l’œil, je constate que son mari regarde avidement sa femme avaler sans problème tout ce que je déverse dans sa belle bouche chaude et suave.


Elle retire ma verge molle de sa bouche, visiblement satisfaite de sa réussite. Elle m’offre un petit coup vicieux de langue, puis, à ma grande surprise, en belle dévergondée, elle frotte quelques instants mon gland gluant sur ses lèvres. Regardant droit dans les yeux son mari, elle lèche lentement ses babines souillées de mon sperme.


Non, ce n’est plus du tout la même femme… Comme quoi que nous ne sommes pas des êtres monolithiques, nous avons différentes facettes, dont certaines nous sont inconnues. J’en ai la preuve aussitôt quand elle me lance :



Thomas intervient :



Impudiquement, elle s’approche de son mari :



Je ne sais pas qui est le plus surpris dans l’histoire. Le mari qui voit que sa femme y prend largement goût ? La femme qui jette son bonnet par-dessus les moulins ? Moi, devant la tournure des événements ?


Elle se tourne vers moi :



Elle sourit, posant un doigt sur ses lèvres luisantes :



Et elle me tourne le dos pour se mettre à quatre pattes, levant ostensiblement les fesses. L’invitation est des plus claires ! L’instant d’après, avide, je m’enfouis en elle et je commence à la pistonner tandis que des petits cris s’échappent de ses lèvres. C’est très bon de me glisser ainsi dans son intimité détrempée ! Elle accompagne de larges mouvements de bassin chacun de mes coups de boutoir !



Pour toute réponse, je lui obéis, accentuant mes va-et-vient en elle. Tête baissée, elle soupire d’aise, appréciant cette façon d’être entreprise. Soudain, elle lève la tête, regardant son mari qui la contemple totalement fasciné :



Thomas extirpe une verge bien dressée de son pantalon et commence à se masturber comme un fou à quelques centimètres du visage de sa femme. Tendant toujours son cul pour que je la bourre au maximum, elle glapit :



Elle commence à gémir, à se tordre, se laissant aller, cherchant son plaisir, sans se soucier de la situation, en belle garce qu’elle est à présent. Soudain elle explose, elle jouit dans une grande bestialité, tel un petit animal de plaisir, primitivement, criant son bien-être, son ravissement, son transport vers des terres inconnues pleines de promesses.


C’est alors que Thomas jouit à son tour, éjaculant sur le visage tendu de sa femme, déchargeant de longues salves de foutre, comme s’il se vidait de mois et de mois de retenue. Lui aussi se laisse complètement aller, indifférent au reste du monde, souillant le visage de sa femme de traînées blanches qui dégoulinent visqueusement sur sa figure pour venir s’écraser ensuite au sol.


Je ralentis, préférant bien ressentir les ondulations de plaisir de Liliane sur ma verge en feu. Elle ne simule pas, ses contractions sont incontestables. Petit à petit, ils s’apaisent tous les deux. C’est elle qui brise le silence :



Et ils s’embrassent à pleine bouche, voracement.


Une communion parfaite entre Liliane et Thomas. Elle s’est éclatée comme une folle à exciter son mari, tout prenant elle-même beaucoup de plaisir, sans se retenir ni se freiner. Et lui, il est excité à mort par l’indécence de sa dévergondée de femme. Les regards qu’ils s’adressent valent largement des longs discours. Elle lui a offert des moments d’elle sans lui, tout en partage, en symbiose.


Dévergondée, libertine, coquine, méconnaissable, une autre femme, une autre facette. Je pense que ce couple en ressortira plus solide, uni, voire fusionnel, par cette expérience adultérine, dont j’ai été le catalyseur.




Acte Trois



Un peu plus tard, nous nous remettons de nos émotions. Enlacée contre son mari, Liliane s’exprime la première, s’adressant à moi :



Toujours serrée contre son mari, Liliane rougit et avoue :



M’approchant un peu, j’interviens :



Thomas répond pensivement :



Toujours blottie contre son homme, Liliane approuve :



Ne sachant quoi répondre, Thomas semble gêné. Liliane le rassure tout de suite :



Et elle l’embrasse fougueusement. Thomas est ravi de la tournure des événements. Moi, je suis particulièrement satisfait de ma prestation. Je sens qu’il est temps de les laisser seuls tous les deux :



Thomas me serre la main, Liliane me fait la bise. Soudain le téléphone fixe sonne, le maître de maison le décroche. Il fait une grimace, pose sa main sur le combiné pour souffler :



Je jurerais avoir vu une certaine lueur dans les yeux de Liliane. Elle me raccompagne jusqu’à ma voiture. Curieusement, elle ne monte pas côté passager. Juste avant que je monte dans mon véhicule, elle me fait une nouvelle bise. Assez flatté, je lui en redonne une autre, assez appuyée, puis je m’assieds, laissant la portière grande ouverte. C’est alors qu’elle penche sur moi :



Et avant que je ne puisse répondre, elle m’embrasse sur la bouche, posant carrément sa main sur mon entrejambe. Puis, se relevant à moitié, elle me dit :



Elle se repenche sur moi, ses lèvres assez proches des miennes. Spontanément, je l’embrasse. Notre baiser dure un certain temps. Puis elle se détache de ma bouche :



Elle ne me répond pas tout de suite, elle fait le tour de la voiture pour venir s’installer à côté de moi. Se tournant vers moi, elle sourit :



Je fronce des sourcils, je crois que j’étais un pion dans un jeu dont j’ignorais les tenants et les aboutissants :



C’est une proposition claire et nette, presque une inversion des rôles. Ma timide débutante ne l’est pas tant que ça. C’est une situation inédite pour moi, mais qui ne me déplaît pas, car je ne déteste pas les imprévus, surtout ceux qui tournent à mon avantage :



Je suis célibataire, pour l’instant sans enfant, et j’ai toujours du temps libre pour les belles femmes qui me plaisent, même si certaines sont nettement plus rouées que prévu ! Mais c’est ce qui met parfois du piment dans la vie. Je réponds :



Je m’exécute. Nous nous engageons dans une longue rue qui s’enfonce visiblement dans la campagne. Soudain, elle annonce :



La voiture est immobile, mais pas nous. Nous nous embrassons férocement, elle capture sans vergogne ma verge pour jouer avec. J’en fais de même avec elle sous sa jupe. Il ne lui faut pas bien longtemps pour jouir à nouveau sous les agaceries de mes doigts taquins ! Qu’elle est belle quand elle se laisse aller à son plaisir ! Puis c’est mon tour de me laisser aller complètement entre ses belles lèvres chaudes. Pragmatique, c’est elle qui reprend la première ses esprits :



Elle sourit. Puis remettant un peu d’ordre dans sa tenue, elle déclare :



Je ne croyais pas si bien dire… Les années qui suivirent me démontreront que j’avais trouvé une maîtresse très chaude et inventive, capable de souvent se dépasser, de jouer les adorables garces et de me faire franchir plein de limites que je croyais inaccessibles. Hélas, Liliane reste inaccessible à sa façon, je ne serais jamais que son amant, celui avec lequel elle s’éclate. Ça vaut bien quelques concessions…