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n° 17189Fiche technique49146 caractères49146
Temps de lecture estimé : 29 mn
24/12/15
Résumé:  Lise, chef à domicile, propose un service spécial qui a bien du succès.
Critères:  fh 2couples piscine travail soubrette pénétratio hgode hsodo échange partouze confession
Auteur : ViolaFleur  (Joindre l'utile à l'agréable)      
Les petits plats dans les grands

En garant ma voiture, j’ai immédiatement compris que j’avais oublié le contrat de Lise. Sa voiture avec son logo était garée devant la porte et je pouvais y voir les paquets avec tout son matériel.


Il faut dire que ma copine en avait marre de travailler sous les ordres d’un chef en cuisine, avec des horaires de « ouf » et totalement décalés avec moi. Elle a créé son autoentreprise qui consiste à fournir à domicile le repas et le service à des clients. Si les débuts ont été difficiles, maintenant en trois ou quatre repas par semaine elle arrive à gagner pas mal d’argent. Elle s’éclate de voir que si jeune elle peut être appréciée et vivre de sa passion.


Mais en rentrant plus tôt, moi ce n’est pas « la chef » que je visais, mais la femme. Le soleil m’avait excité avec toutes ces beautés à moitié dénudées qui se pavanent aux terrasses des cafés.

Le bruit de la douche me donne un peu d’espoir. En deux temps trois mouvements je me déshabille et criant bien fort « C’est moi », afin de ne pas lui faire peur, je pousse la porte de la salle de bain.


Elle est magnifique. Je ne me lasse pas de découvrir à chaque fois son corps de déesse, sa chevelure blonde, ses hanches arrondies et ses seins. Oh, ses seins ! Des merveilles. Des fruits que mes mains ne peuvent contenir, mais qui arrivent souvent à lui apporter du plaisir.



Et voyant mon état qui affiche mon désir.



L’état de ma verge l’attendrit pourtant :



Quelques minutes plus tard et elle est là. Moi, entre-temps j’ai sorti notre gode fétiche, longue tige cannelée rose avec une plus petite partie intégrante de la base, vibrante aussi, spécialement étudiée pour caresser le clitoris. On ne l’utilise pas toujours, mais je sais qu’avec, son excitation monte plus vite. Bien sûr, rien ne remplace mes lèvres et ma langue, mais si c’est parfait pour une montée progressive, elle est pressée et pourtant malgré mon envie il est inenvisageable que Lise n’ait pas aussi son plaisir.


Coquine, voyant l’engin elle monte sur le lit, s’en empare et tout en le portant à ses lèvres s’accroupit.

Oh que j’aime la voir ainsi, simulant une fellation avec une lueur de « cochonne » dans le regard, provocante jusqu’à pousser l’engin très profond. Je ne sais pas comment elle fait, moi j’ai essayé, mais sans succès ; l’engin disparaît entièrement ne laissant que l’excroissance de quelques centimètres fléchir pour passer sous le menton. C’est super bandant. C’est la seule femme que je connaisse qui soit capable de cela et la première fois qu’elle m’a bouffé la queue jusqu’aux couilles, je n’ai pas pu me retenir de jouir ainsi. Heureusement elle a pris cela comme un compliment à son talent et non pas une éjaculation précoce.


Le gode est brillant de salive. Elle le descend vers sa fente. Il entre facilement et la seconde suivante, c’est un pieu vertical en appui sur le lit qui la possède. La douce musique est le signe qu’elle a enclenché les vibrations.


J’aime la voir ainsi. Littéralement assise sur ce qui la remplit. Bougeant lentement pour pleinement en profiter. Très vite elle gémit. Miracle de la technique qui permet ce plaisir solitaire.

Mais elle n’est pas seule. Je suis là et j’apporte ma contribution. Calé contre elle, ma queue bien calée contre ses fesses, je la caresse. Ses hanches. Ses fesses. Je glisse même une main pour aller sentir le gode vibrer. Lorsque je le touche, le bruit change. Mais ce que je fais le mieux et ce qu’elle apprécie le plus, c’est d’aller, toujours plaqué contre elle, me saisir de ses seins. Les caresser, les palper, les envelopper, les presser surtout afin que les tétons pointent encore plus et qu’elle puisse s’en saisir et les tordre.


Un court moment nous restons ainsi. Unis dans la montée de son plaisir. Et puis je la quitte, fais le tour, me dresse sur le lit, permettant ainsi à ma queue de se trouver face à ses lèvres. Lise a les yeux fermés. Mais dès que mon gland pointe, ses lèvres s’ouvrent.


C’est délicieux. Je me glisse dans sa gorge. Le matelas bouge de nos mouvements. Je ne sais plus si c’est elle ou si c’est moi, mais mon sexe baise lentement la gorge offerte. Je sens qu’elle jouit à ces petites crispations autour de ma verge. Je pourrais juter dans sa gorge, mais je veux qu’elle parte travailler, la jouissance chevillée au corps.


Un mouvement et je me retire.

Une flexion et je me place à nouveau derrière elle.

Je n’ai même pas besoin de la pousser. Elle se penche.

D’une main je me saisis du gode, le tire et aussitôt place ma queue gluante contre sa fente. D’une poussée je l’enfile. Par des coups sans retenues, je remplace les vibrations par mon va-et-vient avec ma tige de chair, chaude, vivante et bientôt je balance dans sa grotte dilatée, la purée que mes envies avaient programmée.


À peine ayant retrouvé son souffle, ma belle me laisse, fait une rapide toilette, s’habille, attrape ce qui l’attend dans le frigo et me quitte pour d’autres cieux.


Le sextoys, abandonné sur le lit, encore humide de la jouissance de Lise me tend les bras. Il arrive qu’elle me prenne avec, mais je n’ai pas voulu lui demander afin de ne pas trop la retarder. Quand elle n’est pas là, il m’arrive aussi de m’en servir. Mais ce que j’aime, c’est autant la vision de ma sodomie que la pratiquer. Je me suis fait au fil des occasions un vrai cérémonial. Dans la chambre, nous avons un miroir sur un mur qui descend presque jusqu’au sol. Après avoir posé le dessus de lit sur le parquet, je m’allonge face à ce miroir et j’appuie mes pieds de chaque côté. Un coussin sous la tête, je suis assez confortable pour avoir la vision de ma raie bien ouverte. La suite est une évidence. Si parfois je suce le gode pour l’humidifier un peu, la mouille de Lise associée à l’envie que j’ai, va suffire. Bien que cannelée, la tige glisse facilement dès que mon anus est passé.


J’aime ce moment où mes yeux suivent la progression alors que mes entrailles la confirment. Chaque fois est un plaisir. Chaque fois je redécouvre ce moment où la tige avance, avance et que mon cul se dilate pour suivre le diamètre grandissant de l’engin jusqu’à ce que la base vienne buter sur ma corolle avec la petite bite en appui sur mes bourses.


Une pression sur le petit interrupteur et les vibrations commencent. Je n’ai rien à faire si ce n’est tenir plaquée la queue artificielle bien à fond pour me sentir doucement envahir par l’excitation. C’est surtout l’excroissance qui vibre contre mes couilles qui est la plus efficace.

Je reste un long moment ainsi. Et puis, aujourd’hui encore je vois ma verge se tendre doucement. Quelquefois en déplaçant le gode, je vais tout doucement flatter ma prostate, mais pas toujours avec succès. Il m’est arrivé exceptionnellement après une longue période d’abstinence de jouir sans bander, juste laissant couler le sperme de ma queue toujours molle. Mais je préfère atteindre l’orgasme par une possession plus active.


D’une main dans laquelle j’ai craché un max de salive, je commence à m’astiquer alors que de l’autre je me baise le cul comme on baise une femme. Au début les mouvements sont lents et synchrones entre les deux mains, mais bien vite je ne résiste plus à l’envie de me ramoner avec le gode.

C’est toujours à cet instant que j’ai la pensée qu’une vraie queue d’homme, bien grosse, bien longue, bien chaude serait la bienvenue et qu’elle serait mieux à même de me bourrer le cul comme j’en ai envie allant jusqu’à cracher sa purée dans mon cul. Inutile de dire que je cache cette pensée au fond de mon cerveau tout en accélérant et forçant sur mon enculade.


Encore une fois, l’orgasme est particulièrement fort. Pas de doute que cette façon de faire amplifie mon plaisir et je me balance sur le ventre un foutre particulièrement abondant. Vicieux jusqu’au bout je me force à goûter mon propre sperme. C’est un rituel bien établi surtout depuis que Lise a voulu à tout prix me faire goûter ma semence qu’elle avait recueillie dans sa bouche.



Voilà ce qu’elle m’a dit alors que j’attendais ce moment divin ou sa glotte montre la lente descente de ma liqueur.


Je dormais lorsqu’elle est revenue.

Elle dormait le lendemain matin alors que je me lève pour déjeuner rapidement et partir retrouver un copain pour un footing, dans une forêt près de chez lui, mais à dix bornes de la maison.


Une envie pressante pendant notre course et je vais me cacher derrière le mur d’une vieille maison forestière à moitié détruite. Accroupi, attendant que la nature fasse son œuvre, j’entends des voix d’homme de l’autre côté. Un peu honteux, je n’ose bouger et attends qu’ils partent.



Et les hommes repartent me laissant seul, perplexe, engourdi de rester si longtemps caché…

Bien sûr en rentrant je n’ai qu’une idée en tête « Lise » et tout ce que cela implique.



Comment font les hommes pour se retenir d’aller caresser ce que ma coquine de Lise leur montre ? Le tablier n’est qu’un pousse-au-crime laissant sa poitrine bien visible et ne cachant le reste que pour mieux le rendre désirable.


On a baisé comme des malades. Elle a reconnu avoir eu beaucoup de plaisir en se caressant devant ses clients faisant l’amour et surtout le regard de l’homme passant de sa femme à elle.


Heureusement je ne suis pas jaloux et j’ai confiance. Après tout, pourquoi la priver d’arrondir ses factures avec le plaisir de se montrer. Car je savais Lise peu pudique, mais là elle s’affiche comme exhibitionniste. L’important c’est qu’elle me reste fidèle. Encore que, moi aussi je serais volontiers spectateur d’un couple, même, et peut être, surtout, si la femme est ma copine…


Maintenant, quand elle part je n’ose lui demander si elle fournit ce service supplémentaire. Pendant son absence j’imagine tout. Le pire et le meilleur. Mais ma qualification de pire et de meilleur fluctue au gré de mes fantasmes. Des fois je l’imagine entourée de mâles qui veulent la sauter ou tout le moins obtenir des faveurs. Oh, si jamais un jour elle suce un client, alors sa réputation va s’amplifier et beaucoup vont se précipiter.


Ce n’est pas tant une infidélité qui m’angoisse, au contraire, elle m’excite, mais plutôt qu’elle trouve mieux que moi. Moi qui ne suis pas foutu de lui fournir un train de vie suffisant. Mais Lise accepterait-elle de rester oisive, attendant la main sur la couture du porte-jarretelles le retour du mari ?

Notre vie se structure autour de ses contrats, de plus en plus nombreux, montrant qu’elle a du succès.


Un soir, elle me parle d’un contrat qu’elle regrette de devoir refuser.



Je vois bien qu’elle est mal à l’aise. Il faut lui tirer les mots de la bouche. J’ajoute :



Et voilà comment un mois plus tard, nous arrivons chez ces gens. Charmants en l’occurrence, comme leur maison et leur piscine.


Pendant que Lise s’organise avec eux, je déballe nos affaires personnelles et celles de la cuisinière. Un après-midi de courses ! Des heures de préparation ! Je ne savais pas que c’était si difficile !


La cuisine est en retrait. Je ne vois rien. Je suis sous les ordres de Madame. Madame qui s’est pomponnée, avec sa robe fétiche noire et son grand tablier bleu foncé. Moi, l’apprenti de service, je suis en short et polo pour être plus confortable.


La soirée commence. Les va-et-vient s’enchaînent. Je ne parle que pour le travail. Pas un mot sur le reste. Je pensais que Lise commencerait à se « défeuiller » très vite, mais ce n’est pas le cas.


Enfin, sans un mot elle enlève sa robe. Un coup de peigne, un regard dans le miroir et voici ma copine qui part avec un grand plateau. Moi, j’ai beau me tortiller, j’ai juré que je ne passerais pas le couloir, je ne vois rien. Elle reste absente longtemps. Que fait-elle ? Que font-ils dehors ? J’ai du mal à me concentrer. Et si… et…


Non, la revoilà. Quelques paroles pour le travail. Elle est concentrée. Et ceci… Et cela… Attention à la cuisson… Je ne dis mot, juste des « d’accord, entendu ». Mais je bouillonne. Elle est revenue très pro, toujours aussi bien coiffée, juste un peu le rose aux joues, mais pas plus. Pourtant elle me donne un spectacle royal. Elle est magnifique. Sa culotte est sage, couvrant bien ses fesses et le soutien-gorge cache totalement ses lobes. Elle en montre bien moins que sur la plage et pourtant, tout est dans le grand tablier. Avec la chaleur d’un mois de juillet, les bas et le porte-jarretelles ne sont pas de mise.


La soirée avance doucement. Le soutien-gorge disparaît sans que je le remarque vraiment. Le slip, bien plus tard, il doit faire nuit dehors.


C’est fou comme on peut s’habituer à l’insolite. Je ne bande même pas alors qu’elle s’active, prenant la part très technique de ses préparations. Elle revient. Cette fois, je remarque qu’elle semble troublée. Enfin j’ose une remarque. Juste une question banale, mais chargée de tant de sous-entendus.



Je crève d’envie d’aller voir. Je crève d’envie de l’interroger, mais j’ai promis et je ne veux pas trahir la confiance de Lise.

Elle se sert un verre de vodka. Je la regarde.



Et aussitôt le verre posé, elle enlève son tablier. Elle est nue. D’une main elle accroche le tablier bleu, de l’autre attrape le plus petit blanc immaculé et le met.

Un coup d’œil dans la glace, un souffle avec une brosse à cheveux, elle s’empare du plateau préparé, un « Ça va ? » pour que je vérifie si tout est OK, n’attendant même pas une réponse et voilà partie ma copine. La dernière vision que j’ai d’elle, ce sont ses fesses qui tressaillent avec ses hauts talons que je remarque seulement maintenant.


C’est pas possible, cette bande de partouzeurs va me la kidnapper. Pire, ils vont la séduire et l’inclure dans leurs jeux.


Je veux voir. Oui, au moins si je dois être cocu autant que j’en profite et que mon infortune me renforce au lieu de m’affaiblir. Déjà je vois Lise céder aux avances d’un bel homme, sûrement célibataire, riche, expert en sexualité puisqu’il participe à ces soirées.


Je me calme. Quoi faire d’autre. Passer la porte. Mais alors je trahis sa confiance, mais surtout la mienne.

Combien ? Une éternité ? Une minute ! Dix ! Vingt ! La vodka m’aide un peu. Enfin, elle revient. Elle paraît bizarre. C’est une impression ou ses tétons pointent ?



Je distingue maintenant des gouttes de sueur sur son front.



Elle m’entraîne. On passe la porte de la cuisine. Le couloir me paraît bien long. Elle ouvre la fameuse porte.



Le salon. Des tables. Des fauteuils, des canapés. De la musique.

Et… et… à quelques mètres. Des corps qui s’activent.



Le salon donne sur une grande terrasse qui descend vers la piscine. Il fait nuit dehors, les glaces des grandes baies vitrées font comme un mur. On ne voit quasiment pas dehors. Mais appuyée contre une baie, une femme qui semble regarder ce qui se passe de l’autre côté est en train de se faire prendre par un homme.


Lise me tape sur l’épaule pour attirer mon attention. Elle m’indique plus à gauche, vers un canapé. Je comprends en voyant. Notre hôtesse chevauche un homme allongé. Sur un siège pas bien loin, c’est notre hôte qui est assis et qui regarde le couple. De temps en temps, la femme se retourne pour regarder son mari. Lui se branle lentement. Elle s’active et se fait du bien sur la queue que l’on ne voit pas, mais l’imagination fait le reste. Un bon moment nous les regardons, voyeurs dissimulés, et puis la femme se lève pour s’allonger sur le canapé. C’est l’homme dont on entraperçoit l’engin, qui vient maintenant la prendre. Maintenant, c’est lui qui la baise. Le mari regarde toujours, complice. Ainsi c’est cela son plaisir, regarder sa femme se faire prendre par un autre. Il se rapproche pourtant, sans doute pour mieux voir. Il touche les fesses de l’homme qui s’active. Il parle, mais on n’entend pas. Et puis il se penche. Va-t-il participer aux caresses sur sa femme, peut-être lécher le membre qui la possède. Mais non, il reste derrière et c’est vers les fesses de l’homme que son visage se dirige. Quelques secondes et puis il se relève. Je comprends alors son intention. Elle est évidente. Il tient sa queue d’une main et de l’autre empoigne une fesse. Il se place. Il se positionne. J’imagine son dard effleurer la corolle. Je vois l’anneau s’ouvrir sous la poussée. L’homme est entre deux feux. La femme qu’il enfile et le mari qui lui prend le cul. Mais manifestement ce n’est pas un viol. L’homme ne fait que gémir alors que le dard s’enfonce dans ses entrailles et pour bientôt se retrouver couvert par son enculeur.


Le trio n’est pas dans la configuration que j’avais envisagée en les voyants, la femme en sandwich, mais ce n’est pas plus mal. Notre hôte maintenant baise l’amant.


Je sens une main qui passe entre mes cuisses. C’est Lise qui vérifie mon excitation. Un sourire. Il lui suffit de faire un pas et s’appuyer contre une chaise. Mon short n’est pas un obstacle. Ma verge passe facilement sur le côté. Je me glisse avec délice dans une chatte qui ruisselle, excitée certainement par ce qu’elle a vu avant et ce que nous avons sous les yeux maintenant.


Le trio s’active. Je baise ma copine. Et si un homme passait derrière moi et copiait les amants pour me glisser sa grosse queue brûlante dans les fesses. J’envie l’amant enculé par le mari. Moi j’aimerais qu’on me prenne alors que je bourre Lise, ma douce Lise qui pourrait sentir la queue qui me pousserait un peu plus en elle.


Mais ce n’est pas le cas.

Pourtant cela m’excite encore plus.

Ils baisent.

Nous baisons.

Quelques minutes ou nos regards ne quittent pas le trio. Quelques minutes où je laboure ma chérie qui se caresse le bouton.


Nous jouissons en silence. Les autres s’activent encore. Nous partons discrètement. J’adore la vision de ma copine qui avance devant moi. Je vois clairement sa main aller ramasser ce qui coule de sa chatte. J’ai l’envie folle d’aller la baiser sur la table de la cuisine. Son petit cul m’attend. Elle enlève son petit tablier. Elle aussi a envie.



Elle enfile un short, un tee-shirt et son grand tablier bleu…

Je ne connais rien de plus débandant.

Il nous a fallu plus de deux heures. Lorsque tout est le monde est parti, j’ai eu le droit d’aller récupérer la vaisselle dehors.


Si un moment j’avais eu l’intention de reprendre nos agapes après, c’est oublié dans la chambre. Lise s’effondre sans même se doucher. Moi j’en suis pas loin. C’est plus fatigant que l’on croit son métier.


Le lendemain, nous savons que nous sommes les seuls occupants de la maison. Les proprios ont prévenu Lise qu’ils allaient voir de la famille et ne rentreraient que tard dans l’après-midi.


Temps idéal pour glander. La piscine nous tend les bras. Comme il n’y a personne, nous nous baignons nus. La sieste est la bienvenue. Que c’est bon de ne rien faire. Le réveil est un enchantement. Lise me regarde. Je vois qu’elle a envie. Mais je me dis que je n’ai jamais fait l’amour dans une piscine, aussi je l’entraîne. Quelques brasses et déjà je bande. J’invite Lise à sauter pour s’asseoir sur le bord de la piscine. Je m’encastre littéralement entre ses cuisses découvrant des yeux, de la bouche, de mes lèvres cette fente et ce petit bouton dont l’indécence est magique.


Je me consacre longuement à lui donner ce plaisir mêlant ma salive à son jus et aux gouttes d’eau de la piscine.


Lorsque je relève la tête, j’ai la surprise de découvrir nos clients à quelques mètres. C’est le monde à l’envers. Ce sont eux qui nous regardent maintenant. Ils sont l’un derrière l’autre, elle devant. Avaient-ils prévu de se baigner aussi ou bien notre attitude les a-t-elle incités à se déshabiller, toujours est-il qu’ils sont nus. Nus, plus que nus, car j’ai une vue de bas en haut et entre les cuisses de la femme, je vois se détacher une belle paire de couilles. La queue est-elle déjà en place ? Non, la chatte est libre juste flattée par la main du mari.

Et puis tout disparaît, le nuage qui a caché le soleil un instant est passé et maintenant je ne vois que le disque brûlant qui aveugle.


Ai-je rêvé ? Non ! Ma vision était trop précise pour que ce soit juste mon imagination qui me joue des tours. Non, ils sont bien là, mais je ne les vois plus, totalement aveuglé par la lumière du soleil qui sature ma rétine.

Que faire ? Se sauver ? Ce serait ridicule, après tout pour eux nous ne sommes qu’un couple de plus comme ceux de cette nuit. D’une certaine façon cette situation m’excite. Lise n’a rien remarqué. Je l’aide à descendre dans l’eau et la prends dans mes bras. Nous n’avons de l’eau qu’à mi-cuisse. Ma queue se frotte contre son ventre. Mon hommage est énorme. J’ai envie de jouer avec elle. Je l’aide pour qu’elle s’allonge dans l’eau, les bras tendus sur la margelle et moi je guide ses cuisses pour l’aider à flotter.


On n’entend que le clapotis de l’eau. Si les proprios sont encore là, le soleil les cache toujours. Mais je fais comme s’ils regardaient. Ma queue glisse dans la fente que j’ai préparée. Je baise doucement ma compagne, déclenchant des vaguelettes qui caressent nos corps. La sensation est étrange. Nos corps sont si légers que tous mes sens se concentrent sur ma verge.


Je suis elle. Elle est moi. Juste une lueur de perversité d’imaginer le couple qui regarde. J’espère qu’ils regardent. Ils peuvent voir que Lise et moi n’avons pas besoin de…

Mais justement, Lise semble se réveiller. Ce n’est plus moi qui m’active en elle, mais elle qui bouge. Elle bouge, avance, recule, ondule telle une sirène qui se propulse avec grâce dans son élément. Mes mains ne servent plus à rien, c’est ma queue qui est la cheville sur laquelle elle se plante.


C’est bon. Un couple en apesanteur ne serait pas plus libre de leur corps.


Mais cela devient trop fort. Lise se cabre. Ma verge s’échappe. Je l’empoigne à nouveau. Mon gourdin retrouve le chemin de la grotte. Moi aussi l’excitation me submerge. Je la bourre sans ménagement. Le clapotis se transforme en tsunami.


La vague enfle, enfle. Mon jus noie tout sur son passage. Elle aussi jouit dans une crispation accompagnée de gémissements qu’elle ne retient pas, persuadée que nous sommes seuls.

En nous séparant, nous libérons des filets de foutre qui vont bientôt aller rejoindre dans le filtre de la piscine d’autres liqueurs que des amants nocturnes ont certainement abandonnées cette nuit.


C’est en sortant de la piscine que nous découvrons nos hôtes tranquillement installés sur la terrasse de leur maison.



Lise se serre contre moi, troublée de ce que nous ne soyons plus seuls.



Elle nous montre l’autre canapé qui leur fait face, de l’autre côté de la gigantesque table basse en verre gravé.

Nous nous installons. Le silence n’est troublé que par le délicat bruit des bulles de champagne qui pétillent.



Bientôt tous quatre, debout, tendons le bras pour heurter nos verres au-dessus de cette table si large qu’elle nous fait comme un rempart à notre pudeur. Lise et moi n’avons que les gouttelettes d’eau pour nous habiller. J’imagine que se montrer nus devant d’autres ne dérange pas nos hôtes qui sont totalement à l’aise.



Je m’interromps, conscient d’en avoir trop dit.



Maintenant, c’est l’homme qui questionne. Lise répond pour moi.



Le couple s’esclaffe.



Je décide de parler.



L’homme m’interrompt.



Un silence s’installe. Je ne vais tout de même pas avouer à des inconnus que mon cul n’est plus vierge depuis longtemps même s’il n’a jamais connu une vraie queue d’homme.



Je dois dire que moi aussi je bande, même si j’essaye de cacher mon érection en me contorsionnant. Mais ce n’est pas moi qui l’intéresse. Armelle s’est déplacée et en une seconde nous la retrouvons à genoux devant son mari en train de commencer une fellation.


Lise et moi échangeons un regard et je vois son sourire alors qu’elle découvre ma queue déjà dressée. En face, la femme s’active sur le mandrin du mari, mais sa tête nous cache son action. Le bruit pourtant est caractéristique de la salive brassée par la bouche gourmande.


Arnaud, le mari, nous regarde, d’une certaine façon, provocateur et nous défiant. Pourtant nous ne bougeons pas. Hier, ce que nous avons capté de leurs ébats pouvait paraître irréel, alors que devant nous le couple fait vraiment partie de notre sphère intime.


Il baisse les yeux et c’est pour mieux entraîner notre regard et nous montrer que ses mains forcent la tête de sa femme à l’engloutir jusqu’aux couilles. La scène est torride. Le gargouillis, la reprise de respiration alors qu’il la libère juste le temps de reprendre son souffle, la rapide progression des lèvres le long du mandrin, tout est puissant.


Et puis il la libère. Il la fait relever, mais c’est pour aussitôt la pousser sur la table. Voici Armelle, femme soumise qui s’ouvre à son mari et qui reçoit l’hommage d’un bâton conquérant. Elle respire si fort alors que les couilles battent ses fesses que Lise et moi soufflons de concert.


Il entre et sort. Un rythme s’installe. Le couple semble attendre quelque chose. Ils nous regardent. Armelle tend le bras comme pour montrer que la place est libre à côté d’elle. Je n’ai même pas besoin de solliciter Lise que déjà la voici qui va s’allonger alors que moi je vais prendre place entre ses jambes. Ma queue entre en terrain gras. Gras de ma liqueur qui doit rester de nos agapes dans la piscine, mais aussi sûrement de cette excitation qui a dû l’envahir. C’est délicieux. C’est troublant. Deux femmes côte à côte, se frôlant des hanches et des épaules avec chacune son mari entre les cuisses qui pousse sa queue pour la posséder.

La nature est bien faite. Presque aussitôt l’homme et moi trouvons un mouvement synchrone dans notre baise. La complicité s’est installée. Que de regards, de sourires cajoleurs échangés, entre les femmes et nous. Je ne suis pas jaloux, au contraire que l’homme et Lise se parlent silencieusement, car je fais de même avec sa femme.


Et puis il s’arrête. Sa main me tend un sachet que je découvre être un préservatif. Je vais répondre que je n’en ai pas besoin. Et puis, je comprends alors qu’il s’est retiré de sa femme et que déjà la capote se déroule sur son long et gros mandrin. Je le découvre d’ailleurs. Jusqu’à maintenant ce n’était qu’un sexe en érection, mais à l’aune de la capote la hampe me semble bien généreuse.


Oui, je comprends. Le préservatif c’est pour que nous changions de partenaire. Oui bien sûr que je vais baiser sa femme, j’en ai envie, elle est si sensuelle et transpire le goût de sexe. Mais… cela veut dire que… Lise… Il va baiser ma femme… C’est normal… je suis d’accord… Mais elle… Lise…


Je la regarde. Mon visage doit être particulièrement expressif. J’arrive à capter son regard. Ses paupières se ferment lentement pour me donner son accord et lorsqu’elle rouvre les yeux, j’y découvre une lueur trouble, de celle que je ne vois qu’en de rares occasions lorsqu’elle est très excitée ou que la jouissance arrive. Comme le vélo, on n’oublie jamais comment arracher l’emballage d’un préservatif et faire dérouler le latex lubrifié sur ma bite.


Je confirme, Arnaud est mieux monté que moi. Mais j’ai à peine fini qu’il est déjà à ma place et que son sexe pénètre Lise. Le spectacle me sidère et me paralyse. Je n’avais jamais vraiment réfléchi à cette situation, mais c’est magnifique. Ce n’est pas possible, ils se connaissaient avant. Il la baise si bien, entrant et sortant avec force que Lise est aux anges. Ses jambes forment un V que son baiseur écarte encore plus, m’obligeant à reculer un peu. Sur la table, Armelle a bougé. Elle est maintenant tournée vers Lise et la caresse. Mieux elle s’accroupit pour pouvoir lui sucer les seins.


Me voici spectateur de ce trio. D’aucuns pourraient croire que je suis exclu. Mais non, ils m’associent par les regards qu’ils me jettent de temps à autre. Lise surtout qui doit peut-être se sentir coupable de participer avec tant de plaisir. Mais comment pourrait-elle résister devant tant d’ardeur, associant la puissance du mâle à la délicatesse et au savoir-faire d’une femme.


Je lui souris pour bien lui montrer combien j’aime la voir ainsi et que c’est un cadeau qu’elle me fait. On aurait dit qu’elle attendait mon pardon, car bientôt elle semble en transe.

Une bite la baise. Une bouche lui suce un téton. Deux doigts lui tordent le second. Une main s’est glissée sur son pubis pour caresser son bouton qui doit être dans un drôle d’état.


Quelques secondes. Une minute. Plus. Je ne sais pas, mais son plaisir semble ne jamais finir. De ses lèvres ne sort maintenant qu’un long grognement, plus proche de la bête que de l’humain. Et puis, c’est l’explosion. Une convulsion chasse Armelle et Lise se cambre comme un arc. Elle va se briser les reins. Mais non, brutalement elle retombe dans un soupir. Son visage est rayonnant. Elle ouvre les yeux. C’est le repos après la jouissance.


Armelle reprend sa place. Ses cuisses s’ouvrent vers moi. Je bande comme un âne et ma queue entre merveilleusement. Je n’ai qu’une envie. Baiser, baiser, baiser. Je m’active et la bourre. À côté Lise semble sommeiller. Son amant l’abandonne et je découvre qu’il n’a pas joui, que son sexe a toujours sa vigueur.

Armelle m’attire à elle. Nous sommes corps contre corps et seul mon bassin bouge pour la prendre. Je glisse voluptueusement en elle. Elle me caresse. Moi aussi je veux la faire jouir comme son mari a fait jouir ma femme. Je me sens de taille d’autant que ma première éjaculation dans la piscine me donne un contrôle presque parfait de mon plaisir.


Les mains d’Armelle caressent mes fesses. Je sens bien qu’elle veut jouer avec mon petit trou.

Et puis je réalise que ce n’est pas elle.

Et puis je vois que Lise s’est levée et agenouillée sur la table comme sa complice tout à l’heure, mais qu’elle regarde derrière moi.

Et puis je sens une humidité sur mon anus, comme une… mais oui, une langue… celle d’Arnaud… Un doigt vient accompagner la langue. Tous deux jouent avec ma corolle. Je ne bouge plus. De baiseur actif, je suis devenu passif. Mais c’est bon, calé bien au chaud de la femme, je sens que le doigt avance dans mon cul. Il tourne pour m’assouplir. Je suis sur un petit nuage.


Et puis plus rien.

Si, juste Lise qui se redresse un peu plus comme si elle voulait voir.

Et puis ce mouvement de tête qu’elle fait, manifestement destiné à l’homme.

C’est elle qui lui donne mon accord. Je ne lui ai jamais parlé de mon fantasme, mais il est la suite logique de mon goût pour la sodomie.


Un contact humide, mais différent. Je comprends qu’Arnaud vient de laisser tomber de la salive sur ma raie. La salive qu’il guide maintenant avec ce que je soupçonne être le bout de sa queue. Il tourne.

Et puis cette pression que je connais bien. La même que celle du gode qui repousse le sphincter. Mais, un instant je panique. La bite d’Arnaud est autrement plus grosse que le jouet.

Et cette pression qui augmente.

Et soudain l’explosion du muscle qui se relâche, cédant à plus fort que lui. Il est entré. Ce n’est pas douloureux. Une gêne, sans plus. Même s’il n’a jamais connu si gros, mon cul a de l’expérience.


Je cherche le regard de ma femme, mais c’est vers mes fesses qu’elle est concentrée. Elle est hypnotisée par ce que mon cul accepte. Le cul de son mari. Enculé par un homme. Envahi par une bite chaude que je sens avancer doucement dans mes entrailles. Elle rampe sans à-coups et bientôt je sens contre mes fesses le ventre de mon envahisseur.


C’est bon. C’est chaud. C’est vivant. Je comprends ce qu’une femme doit ressentir lorsqu’un homme la possède. Concentré de puissance et de chaleur, la queue palpite en moi.


Lise bouge encore. Je ne la vois plus. Que fait-elle ? Est-elle derrière son amant et le mien maintenant, pour l’encourager, le caresser, lui montrer toute sa reconnaissance d’enculer son mari après l’avoir baisée.

Peut-être, mais aussi je sens une main qui vient me caresser les couilles et certainement que mon enculeur doit ressentir une caresse identique, car il vibre. Ma chère Lise, cochonne comme il faut, au diapason de la situation, apportant sa touche de perversité.


Et puis Arnaud commence. Il me travaille d’abord doucement, prenant la mesure de mon cul, de sa souplesse, de la soumission de son propriétaire. Je ne bouge pas, toujours parfaitement enchâssé dans sa femme. À mesure qu’il me baise, je sens ma propre queue vibrer et gonfler.

Il accélère. Je ne peux pas retenir de petits cris de plaisir.

Il pousse maintenant si fort qu’à chaque fois j’ai l’impression de transpercer un peu plus sa femme. Elle aussi est excitée. Elle m’attire à elle. Maintenant mes cris sont étouffés par sa bouche, sa langue qui envahit mon palais.


C’est bon. Je vais jouir. J’essaie de me retenir, mais je ne peux plus. Mon foutre jaillit, concrétisant la sublimation des sens en ce moment magique.


Mon enculeur n’est pas en reste. Sa queue a dû gonfler encore et c’est un cul totalement défoncé et bâillant qu’il abandonne. Le claquement de la capote qu’il arrache devance d’une fraction de seconde les jets de sperme qu’il me balance sur les reins. Je suis son mignon qu’il baptise de longues giclées.


C’est fini. Mon corps se relâche. Juste un souffle dans mes reins. Une caresse. Un contact humide.

Et puis, voici Lise qui revient vers moi. Elle se penche. Ses lèvres cherchent les miennes. Un goût, une odeur que sa langue me transmet.

La cochonne. La perverse. La salope chérie. C’est le foutre de notre amant qu’elle vient me faire partager.


Je n’ai plus qu’une envie, remettre le couvert.