n° 17201 | Fiche technique | 35583 caractères | 35583Temps de lecture estimé : 22 mn | 30/12/15 |
Résumé: Après des années de "vache maigre", plus épanouie et en recherche de libération, je rencontre via un site, D., 24 ans. Surprise mais flattée d'attirer un aussi jeune homme... que faut-il en penser ? | ||||
Critères: fh fplusag gros(ses) grosseins groscul poilu(e)s odeurs fellation cunnilingu préservati pénétratio fdanus fsodo confession | ||||
Auteur : Femmecharnelle (Une quarantenaire qui s'épanouit...) Envoi mini-message |
Je me suis inscrite sur ce site de rencontre d’abord par curiosité, mais surtout, je dois bien l’avouer, pour me rassurer. Tout juste quarantenaire, des années de vache maigre affectivement parlant, une sexualité réduite à sa plus simple expression solitaire, et le sentiment d’être inexistante dans les regards masculins que je croisais sans les voir et sans encourager la moindre séduction. Mes quarante ans m’ont offert un joli cadeau de la vie : une forme de renaissance porteuse d’espoir pour la femme indépendante – mais secrètement en demande – que j’ai toujours été.
L’un des facteurs déclencheurs de ma présence sur le marché de la rencontre a été une perte de poids très conséquente : quelques dizaines de kilos perdus et libérateurs m’ont enfin autorisée à me sentir femme en pleine possession de ses moyens et affirmant ses envies. Le changement à cet âge symbolique m’a permis de constater plusieurs choses : les hommes me regardent, voire m’envisagent, et je me surprends à aimer sentir certains d’entre eux appuyés alors qu’on m’a si longtemps ignorée. Cerise sur un gâteau que j’étais prête à dévorer et que je n’avais absolument pas anticipé : j’attire des hommes plus jeunes que moi…
Mes premières semaines de présence sur un site connu et ludique (les femmes décident de mettre dans leur caddy les hommes qu’elles autorisent à les contacter), j’avoue avoir été un peu dépassée : non seulement on visitait mon profil, mais beaucoup de jeunes, voire très jeunes hommes, insistaient pour créer un contact. Bien que flattée, au départ j’en ai été un peu déstabilisée ne sachant que faire. Il est certain que je me sens depuis quelques années en décalage avec ceux de ma génération : est-ce le fait d’avoir été longtemps en sommeil ? De ne jamais avoir eu d’enfants qui rendent forcément un peu plus grave et marquent plus durement les années pour ceux qui sont parents ? Je l’imagine, mais je reconnais que peu d’hommes de mon âge retiennent mon attention : je les trouve souvent vieux avant l’heure, physiquement et intellectuellement, et hélas manquant de fantaisie et de modernité. Les seuls suscitant parfois mon intérêt sont en couple, casés. Les bons partis attractifs sont rares sur les sites et les seuls exemplaires disponibles sur le marché présentent souvent un « vice de confection » ou sont en recherche de relations cachées pour animer leur quotidien de couple routinier.
Peu d’hommes quarantenaires ont trouvé grâce à mes yeux ces dernières années. Mes amies ont tendance à me charrier sur le sujet, en me donnant du « cougar » à tour de bras, moi cela m’attriste un peu, je l’avoue. Idéalement je préférerais, et de loin, rencontrer un homme de ma génération, mais qui n’a pas oublié de cultiver sa jeunesse et sa fantaisie.
Dans mes critères de choix, les goûts musicaux sont généralement assez révélateurs pour la musicienne contrariée que j’ai toujours été. La musique a toujours été un pilier pour moi, au même titre que la lecture, une vraie soupape relaxante ou a contrario électrisante. Cela paraît sans doute un peu réducteur et pourtant ce détail ne m’a jamais trompée : un adepte des années 80 aura peu de chances de me séduire, par contre celui qui écoute des choses plus pointues, rock ou électro (Archive, Woodkid et j’en passe…) aura plus de chances de retenir mon attention à tout point de vue. Ça ne veut pas dire que je suis complètement puriste : j’écoute aussi de parfaites daubes commerciales, variétés, pop, électro, mais je ne m’en vante pas pour rester en apparence « droite dans mes bottes » ! Il faut savoir préserver son image !
Donc forcément, quand un jeune, plutôt mignon et musicien, avec des goûts musicaux intéressants, noue contact avec moi, malgré le cas de conscience qu’il me procure (24 ans… Argh !), je suis sceptique à l’idée de le rencontrer.
D. 24 ans. Au départ, hésitante pour accepter le contact, le profil musicien, plutôt mignon attire mon attention malgré tout. Le bougre a piqué ma curiosité. À la fac j’étais toujours attirée voire en pâmoison devant ce type de profil, visage doux, un peu rêveur, le cheveu pas tout à fait court, très grand, critère important pour moi, j’ai besoin de me sentir protégée dans des bras qui m’enrobent.
Justement toujours enrobée que je suis, j’ai gardé pas mal de rondeurs qui ne feront jamais de moi une femme mince, j’ai un corps abîmé et imparfait et j’aime ces rondeurs et leurs cicatrices, reflets de mon parcours chaotique de femme. Ces mêmes rondeurs ont donc besoin de bras assez longs et grands pour les accueillir.
En fait au même moment j’avais deux contacts et deux cas de conscience : un homme marié, mais plutôt mignon de sa personne et qui me relançait, 33 ans, et D., jeune, si jeune… Finalement j’ai décidé de mettre de côté l’homme marié, estimant que je méritais mieux que ce genre de situation où l’autre voudra que je sois à sa disposition sans que je puisse avoir la moindre exigence. J’ai donc poussé l’échange avec mon jeune contact, moins dangereux sans doute en terme d’attachement, et pensant que de toute façon, il y avait peu de chances que cela aille plus loin. Et pourtant !
Contact pris, un début de dialogue s’instaure, il n’est pas extraordinairement bavard, mais agréable. Tout comme moi, il ne se pose pas de questions existentielles et vit l’instant sans trop de projections. Gentiment flatteur, au bout de quelques jours il propose que l’on se voie. Quelques mesures de précautions s’imposent, il m’invite directement chez lui, mais j’exige prudemment que l’on se voie d’abord en dehors. À l’époque j’avais une boutique en ville, mais j’habitais à la campagne à quarante minutes. D. n’étant pas véhiculé et habitant à cinq minutes de la boutique, je lui propose de venir une heure avant fermeture pour faire connaissance.
Le bougre se fait attendre, je le soupçonne d’avoir retardé son arrivée pour ne pas nous laisser d’autre choix que partir directement chez lui. Un peu de stress, je vais même jusqu’à penser qu’il ne viendra pas et puis, un visage derrière la vitre, je suis occupée avec une cliente, mais lui fais signe de rentrer. Ma première impression est neutre : il est jeune certes, mais ne me renvoie pas l’image d’un môme juvénile, ce qui m’aurait assurément rebutée en coupant court aussitôt. C’est heureusement un homme, que j’ai en face de moi. Je lui fais faire un tour de la boutique, lui parle un peu de mon travail, il s’intéresse, mais n’épilogue pas. Je vaque à mes occupations pour fermer la boutique, je sens son regard sur moi, je ne sais qu’en penser, mais j’en joue un peu pour « sentir » la situation et observer son attitude : je suis une intuitive et je note toujours des tas de petits détails révélateurs avant l’heure chez l’autre.
Nous marchons jusqu’à son logement, dans des petites rues sombres, mais typiques de la vieille ville que j’aime. En montant les marches en pierre de son immeuble, je me demande ce que je fais là, comment les choses vont tourner. Je l’avais prévenu lors de notre échange : j’ai besoin de savoir-vivre, hors de question que l’on me saute dessus comme une denrée vulgaire à consommer, je suis un plat qui se goûte, se déguste, se savoure, et j’aime les mets de qualité. De la même façon, je sais que je ne serai pas l’initiatrice d’un geste, j’ai besoin dans ma féminité de « petite grosse longtemps blessée, maltraitée ou au pire ignorée », de sentir un premier pas, un encouragement, une initiative qui vient de l’autre.
Son appart est une jolie surprise : il a du cachet et même s’il vient d’emménager et que quelques cartons encombrent le couloir, il a du goût et semble ne pas vouloir en faire un simple repère de célibataire.
Webmaster, self-made-man, c’est un jeune homme actif qui habite le lieu. Il me fait visiter chaque pièce et j’apprécie ce qu’il en dit de son plaisir à habiter un nouveau chez lui plaisant. Il me propose d’ouvrir une bouteille de rosé et nous nous installons dans un large canapé noir, moderne, en cuir, face à un écran TV qui diffuse de la musique. Un côté un peu geek qui ne me rebute pas, je l’ai été moi-même plus jeune, adepte de technologie et autrefois de jeux vidéo. Il me fait découvrir des morceaux de musique, j’en fais de même, instaurant une ambiance détendue, mais simple et sans pression inutile. L’alcool aidant, je me détends et me rapproche un peu pour mieux visionner ce qu’il me montre. Je sens l’effet grisant dans mon corps, mais j’aime cette sensation de flottement qui aide à faire tomber les inhibitions.
Pendant une petite heure, je prends plaisir à découvrir les morceaux qu’il affectionne. Il me parle de son ancien groupe, le bassiste me séduit subtilement, j’aime la douceur de ce moment hors du temps, j’ai la sensation d’avoir à nouveau 24 ans. Je lui fais à mon tour découvrir certaines choses. Je suis bien, un peu cotonneuse sous l’effet de l’alcool, nous avons presque bu la bouteille entière. Je sens mon genou contre sa cuisse, j’ai initié ce léger rapprochement physique, j’ai juste envie d’être plus proche de lui parce que sa sensibilité m’a touchée et que j’ai besoin de sentir sa chaleur et que je me sens souvent seule. Un geste très subtil de sa part me touche et m’électrise : il caresse discrètement mon genou avec son petit doigt et j’en suis toute chose, toujours émue par les gestes ou micro gestes les plus simples, mais à mon sens si révélateurs. J’aime et apprécie la délicatesse de ce doigt qui initie un contact très timide et doux.
Ne tenant plus à une envie de soulager ma vessie, je lui indique que je dois aller aux toilettes, petite pause qui va aussi me permettre de faire le point sur mes émotions embrumées.
Je me lève difficilement, je me sens lourde et engourdie. Dans les toilettes, la partie consciente et raisonnée de ma personne se dit que ma présence ici chez lui est de la folie pure, l’autre partie a envie de pousser la folie jusqu’au bout, créant même un climat humide dans mon intimité : je sens mon sexe fébrile et en manque de caresses et d’attentions. Je suis tentée de me toucher, mais le lieu ne s’y prête pas et c’est de lui que j’ai envie, de ses mains sur moi que j’imagine et espère. Je reviens dans le salon, en lui avouant que je suis saoule et je m’affale dans le canapé à ses côtés.
Le bougre a senti l’ouverture et le moment charnière, et me laissant à peine m’asseoir, il m’embrasse d’un coup avec empressement et la fougue de ses 24 ans. Je n’ai pas le temps de réfléchir, de souffler, c’est aussi bien, j’apprécie et vis le moment tel un cadeau : mon dernier amant ne m’attirait pas plus que cela, j’avais juste calmé ma faim, sans regret, mais avec une erreur de casting après des années de disette.
Il y a bien longtemps qu’on ne m’avait témoigné une telle envie, et bien longtemps que je n’avais désiré aussi ardemment qu’un homme me touche. Sa bouche est gourmande, demandeuse, la mienne répond au même rythme et avec avidité. J’ai peine à croire ceux qui n’aiment pas embrasser, pour moi c’est un préliminaire indispensable, un facteur déclencheur qui même pendant l’acte entretient puissance 10 ma propre excitation. Même dans une relation de couple classique et durable, je n’envisage pas un instant de me passer de baisers langoureux.
Nos langues se cherchent, se découvrent, s’agacent, ses baisers sont profonds comme j’aime, le temps s’est arrêté. Ses lèvres sont douces, charnues, cherchent les miennes, nos langues sont joueuses. Je caresse sa joue, ses cheveux, j’enfouis mon visage dans son cou, et n’y tenant plus je reviens à sa bouche qui appelle la mienne. Ma main caresse son bras à travers son t-shirt, je sens sa main sur ma cuisse, qui remonte sur mon bas. Le temps s’est arrêté et nous faisons durer la découverte.
Il bascule légèrement contre moi, me laissant tout loisir d’aventurer une main sur son dos… Ma main se fait plus audacieuse et descend vers sa taille. La sienne se fait plus aventureuse et s’immisce en haut de ma cuisse, laissant découvrir le haut de mes bas et descendant sur mon entrejambe. Il est assuré dans ces gestes, il semble bien connaître la femme malgré sa jeunesse, et nombre d’amants plus âgés ne témoignent pas autant d’assurance et de dextérité.
Nous n’arrêtons pas de nous embrasser, fougueusement, crûment, c’est divin, il fait naître des envies terribles de le sentir sur moi et en moi, je veux ses mains partout, au plus intime, et qu’il n’arrête pas ses caresses. Mon corps s’ouvre, il le sent et stimule sa détente.
Tout en continuant à nous embrasser, sa main progresse et attise mon feu intérieur : il caresse mon entrejambe sur ma culotte, c’est divin : j’adore plus que tout les préliminaires et encore plus quand ils sont à la fois crus et retenus par des vêtements qui dosent les envies et tempèrent les gestes. Rien de plus stimulant pour moi que voir l’excitation d’un homme et de son sexe tendu au travers un sous-vêtement : mieux encore, le voir se caresser sans qu’il me montre complètement son sexe, ou alors en partie, juste en le devinant sous un caleçon moulant.
J’aventure ma main sur ses fesses, j’apprécie la douceur mêlée de fermeté, je tâte, pétris, le moment est cru et j’adore ça. Nos langues se cherchent toujours, et il glisse sa main et l’un de ses doigts dans ma fente humide et détrempée de l’excitation qu’il me procure. Je ne contrôle plus mes sens alors qu’il passe son doigt sur mon clitoris sensible et avide de caresses, le fait glisser le long de mes lèvres intimes, gonflées de plaisir.
Je ne peux retenir des gémissements de plaisir, je suis une expressive et je ne peux pas bouder cette terrible excitation qu’il me procure. Mes gémissements sont étouffés par ces baisers qui n’en finissent pas, je ne sais plus où donner de la tête et je continue, un peu assaillie par toutes ces stimulations, à caresser son corps, à pétrir ce dos et ces fesses qui sont miennes. Je passe une main sous son t-shirt, sur son torse fort et viril, que je sens poilu comme j’aime.
Je sens son doigt se frayer un chemin dans ma fente trempée de cyprine, il me pénètre et commence à faire des « va-et-vient » qui me font gémir. Sa main est adroite et impérative, je suis à sa merci. J’aime sentir qu’il n’a pas de limite, pas de pudeur, il n’y a plus d’âge qui compte, c’est un homme qui fouille mon vagin, c’est un homme qui ose encore plus en allant caresser mon anus… J’autorise peu d’amants à me procurer cette caresse, et les hommes sont parfois un peu brutaux avec cette partie sensible de mon anatomie.
Il stimule et mouille le chemin, caresse le bord fébrile et renflé. Je me détends encore plus, et sans m’en rendre compte, après quelques minutes de stimulation, sa langue toujours imbriquée dans la mienne, il m’arrache de nouveaux gémissements en introduisant son autre doigt plus avant dans mon petit trou. Je n’en reviens pas, je faiblis sous ses doigts agiles : les deux me pénètrent conjointement et m’arrachent des cris que j’essaye d’étouffer. Comment peut-il savoir que j’adore cette stimulation conjointe et qu’elle me prépare à une détente encore plus totale ? La paume de sa main appuie en même temps sur mon entrejambe, et c’est mon sexe tout entier qui se retrouve prisonnier des frissons et du feu qu’il me procure. Il connaît son sujet, n’a pas une hésitation dans son exploration, c’est divin.
J’essaie conjointement de ne pas le laisser en reste, alors qu’il a basculé un peu plus sur moi, je glisse une main timide (je le suis toujours au départ) vers son entrejambe que je sens gonflé de plaisir. Je tâte la fermeté de son sexe à travers son jean, je l’imagine de belle taille, dur et gonflé d’excitation. Aucun doute : l’envie est mutuelle, j’aime sentir que je le fais bander, j’aime deviner ce que j’imagine, j’aime l’aider à durcir encore plus sans qu’il soit nu, j’aime le faire craquer, le faire languir juste avec une main caressante.
S’il continue, je vais jouir, je n’en peux plus, même si je suis du genre à beaucoup retarder le plaisir, à contrôler la montée. Adepte de la masturbation, je connais bien mon corps, un peu trop sans doute, depuis l’adolescence, je sais parfaitement faire monter mon propre plaisir seule, le faire durer, le ralentir, pour me procurer des orgasmes toujours forts et efficaces.
Il continue ses va-et-vient, alternant caresses humides dans ma fente, sur mon clitoris très tendu et gonflé de plaisir, et doigts qui vont et viennent dans mon anus et mon vagin. Je n’arrive plus à distinguer combien de doigts s’activent, mais le moment est incroyable de plaisir.
Essoufflés sous ces caresses mutuelles, sous ces langues qui se cherchent toujours et ces lèvres qui s’embrassent, une légère pause est instaurée, lui permettant de me proposer d’aller dans sa chambre. Il m’aide à me lever, je le devance dans le couloir en le tenant par la main et arrivée dans sa chambre, j’ai un léger accès de timidité en voyant ce matelas à même le sol sur lequel j’imagine déjà toutes les divines « cochonneries » que nous allons partager. J’ai hâte, j’ai un moment d’hésitation et puis je m’assieds pour poser mes chaussures, ma robe que j’envoie valser. Je me retrouve en sous-vêtements, bas, culotte et soutien-gorge noirs, et finalement je me retrouve en bas. Il fait de même à mes côtés, pose son t-shirt, son jean et son caleçon. Je devine timidement ce sexe tendu, sans oser le regarder plus, nous nous embrassons à nouveau en nous enlaçant, je bascule sur le lit et nous nous caressons mutuellement.
J’ose enfin prendre dans ma main ce sexe tendu et de belle taille : j’aime plus que tout tenir le sexe d’un homme, le sentir vibrer, sentir sa chaleur, son poids, sa douceur, sa densité. J’avance timidement vers ses testicules, les pesant et soupesant. C’est une partie intime de l’homme qui m’émeut beaucoup et que j’aime serrer à pleines mains. Je les sens pleins de la montée de son plaisir, je les malaxe avec précaution, je commence de légers va-et-vient malhabiles sur sa queue dure et pleine de promesses, découvrant ce corps qui m’est encore inconnu.
J’ai envie de voir son sexe dur de plus près. Je descends légèrement, il est beau comme j’aime : droit, d’un joli diamètre et d’une belle longueur, lisse, les bourses enfouies sous une jolie toison brune naturelle, son gland gonflé d’excitation ne demande qu’à être libéré, ce que je fais d’emblée en emprisonnant son sexe dans ma main, en le faisant coulisser. Je me sens gourmande, j’ai envie de le goûter. Je passe une langue encore timide sur le bout de son sexe, humidifiant un peu son gland, déposant de doux baisers et léchant sur la longueur cette belle queue pleine de promesses. Je l’introduis enfin dans ma bouche pour le sucer pudiquement.
Je le sens se tendre un peu sous la caresse, et le ressors pour passer ma langue humide à nouveau sur toute sa longueur. Je l’embrasse de mes lèvres, de ma langue, je m’aventure vers ses testicules en leur procurant une caresse rapide, je les soupèse avec ma main libre alors que je tiens toujours sa queue de mon autre main. Je la soulève pour pouvoir accéder à la base de son sexe, je sais que les hommes sont très sensibles à cette zone de jonction entre leur sexe et leurs bourses et je ne me trompe pas : au moment où je l’embrasse et passe ma langue sur cette zone, je sens D. se tendre un peu et gémir, j’aime qu’il soit à ma merci, j’aime et suis excitée de serrer cette bite tendue dans ma main et jouer de son excitation avec ma langue qui s’aventure dans les moindres recoins.
Je remonte sur sa queue tendue et jeune, je la sens durcir de plus en plus et je l’engloutis à nouveau en l’humidifiant de ma bouche entière qui le suce avec excitation et en accentuant les mouvements de va-et-vient avec ma main qui aide à décalotter ce gland goûteux et lisse. Je m’attarde sur sa turgescence, le mouille, le happe, je donne des petits coups de langue rapides pour le faire défaillir un peu plus. Je me sens mouillée comme jamais, sa queue dans ma bouche me fait défaillir tout autant. Je laisse de la salive au passage. Je continue à le sucer en l’enfournant avec de doux mouvements, je le sens donner de légers coups pour me pénétrer la bouche, il gémit timidement, je le sens hors contrôle, je mène la danse. J’ai envie de le sentir partout, dans ma bouche, sur mon corps, dans mon sexe. Je garde sa queue dans ma main, je ne veux plus lâcher ce sexe fort et dur, je remonte jusqu’à sa bouche qui m’embrasse à nouveau avec délectation et empressement.
Je gémis sous cette langue experte qui caresse la mienne, j’ai peine à reprendre mon souffle et j’en redemande. Il comprend que j’en veux plus et sans réfléchir, alors que je suis sur le dos, je le sens descendre sans hésitation pour placer son visage sur mon sexe et me caresser avec sa langue et sa bouche. J’ai du mal à croire que ce jeune homme n’ait aucune hésitation, aucune timidité avec cette caresse si intime qu’il commence à me procurer. Je regarde ce visage qui s’est placé sur mon sexe poilu, je ne le rase pas, je le taille tout au plus, j’aime le naturel. Je suis scotchée qu’il ne soit pas rebuté, et surprise de voir qu’il me regarde, alors qu’il commence à fouiller mon intimité avec sa langue, moment d’excitation pure et d’effarement : du haut de l’assurance de ses 24 ans, D. me lèche la chatte avec une langue experte en me fixant d’un regard qui en dit long de sa propre excitation et de son envie de me faire défaillir en prenant le contrôle !
J’aime voir son visage sous mon pubis poilu, son nez plongé à l’intérieur et sa langue passant sur mon clitoris tendu de plaisir, entre mes lèvres et dans ma chatte tout entière qui en redemande. Je gémis sous ses caresses, ferme les yeux pour accueillir le plaisir, mais j’ai besoin de le regarder pour augmenter mon excitation. Cadeau ultime : je le sens me pénétrer conjointement avec un doigt. J’ai presque honte d’être aussi humide tellement il entre avec facilité. Il boit mon humidité, en redemande et se délecte de sa langue qui n’a rien de la jeune langue timide ! Ma chatte sur son visage, je passe mes mains dans ses cheveux et appuyant légèrement sur son visage pour que la caresse soit plus profonde et pour lui faire comprendre qu’il peut continuer plus fort. Je gémis, je me tords de plaisir, le bougre est doué et je ne veux pas qu’il s’arrête. Sûr de son fait, il rajoute à mon plaisir et à ma jouissance qui monte en introduisant un autre doigt dans mon petit trou.. Mon Dieu que c’est fort, les doigts qui s’activent conjointement, sa langue sur et dans ma chatte qui passe sur mon clitoris tendu et bandé, son doux visage entre mes jambes fougueux et avide.
J’écarte encore plus les jambes pour que la pénétration des doigts et de sa langue soit encore plus profonde et appuyée. Ses caresses sont divines, je me sens mouillée, je sais que si nous nous connaissions mieux, je pourrais aller jusqu’au relâchement total en le laissant boire quelques jets fontaine… Je n’ai jamais osé me relâcher complètement avec un homme, uniquement seule quand je me masturbe. Je reste légèrement honteuse, avec cette petite retenue de peur que l’autre ne soit rebuté. Pourtant je sens qu’il aimerait boire à la source, je fantasme un peu l’idée.
Humm cette langue, ces doigts experts qui me fouillent et me détendent le fondement, comme c’est bon, comme c’est cru ! Je l’encourage à continuer, je referme un peu mes jambes sur son visage et j’appuie de mes deux mains, timidement, mais fermement sur ses cheveux pour qu’il aille plus loin, plus profond. Sa langue experte me fait défaillir, sa bouche qui se referme sur mes lèvres, mon vagin, sa langue qui me pénètre alternativement avec ses doigts habiles… Je suis ailleurs et je savoure le moment. Je saisis l’une de ses mains, j’imbrique la mienne dans la sienne, nos doigts se croisent fort, s’étreignent, j’adore ces moments de complicité totale, où l’autre comprend qu’on est à l’unisson. J’ai besoin de cette complicité qui me pousse à me libérer encore plus.
Ses doigts continuent à s’activer, à glisser dans mon humidité, sa langue fourrage toujours dans mon sexe poilu. Le moment dure longtemps, je n’ai aucun doute sur son propre plaisir pris. Le temps s’est arrêté je veux que cette langue me fasse gémir et jouir, je ne retiens pas mon envie d’exprimer ce plaisir et je le récompense en m’exprimant sans retenue.
J’en veux plus et je sens qu’il prépare la suite. Haletante et n’en pouvant plus, il remonte son visage vers le mien et vient m’embrasser avec fougue. Sa langue a le goût de ma chatte, mon odeur sur lui, dans sa bouche m’excite au plus haut point et je lui dis : j’adore qu’on m’embrasse après ces caresses intimes. Je mouille encore plus de sentir l’odeur un peu forte de mon sexe sur un visage, une langue, dans ces moments je me sens chienne et libidineuse. Je sens son sexe raide et tendu sur ma chatte, et c’est assez terrible de le sentir bander aussi fort pour moi. Je lui demande de prendre un préservatif, je n’ai pas envie de prendre de risque. Il se lève et j’ai tout loisir d’admirer ce jeune corps, ces fesses fermes et ce sexe terriblement érigé de plaisir : rien de plus plaisant, flatteur et excitant que de voir un homme debout, bandant et tendu de plaisir avec une queue de belle taille qui ne demande qu’à être sucée, caressée et prête à me pénétrer.
Il déchire l’emballage, je l’observe encapuchonner son sexe, tellement tendu qu’il a du mal à le faire glisser. Il s’approche le regard fixé sur mon intimité et me pénètre progressivement. Je sens son sexe forcer légèrement l’entrée, partagée toujours entre un peu d’appréhension de ne pas être assez détendue et d’avoir mal, mais follement excitée de ce moment si cru où l’autre introduit son sexe au plus intime, sensation si particulière, moment tellement fort, où l’on se livre totalement l’un à l’autre sans plus aucune barrière. Il commence à aller et venir, doucement d’abord, profitant de mon humidité qui le fait coulisser avec facilité. Je le sens s’activer, j’ouvre davantage mes jambes pour que la pénétration soit plus profonde, il m’embrasse et s’écarte à nouveau pour accélérer le rythme. Son sexe me pistonne de plus en plus fort, de plus en plus vite, j’accroche mes jambes à ses hanches, je vis le moment et en même temps je n’en reviens pas que ce jeune homme soit aussi excité par la quarantenaire au corps abîmé que je suis.
Je suis tour à tour excitée, impressionnée, flattée, et je le veux au fond de moi, plus fort, il semble le sentir et s’active encore plus fort, plus profondément. Je relève les jambes par-dessus ses épaules pour que la pénétration soit encore plus profonde. C’est tellement bon, je le sens dur et impératif, excités l’un et l’autre, moi mouillant encore plus, lui me pistonnant durement et sans plus de ménagement. J’admire son endurance, le moment dure encore, de longues minutes, le temps s’est arrêté, je l’encourage avec force de gémissements, je l’encourage en lui demandant d’aller plus vite plus fort, haletante. Nous nous embrassons à nouveau, nos langues se mêlent toujours cherchant l’humidité dans nos sexes, dans nos bouches.
Changeant de rythme, je le repousse sur le dos, j’ai envie de prendre la main à mon tour et de mener la danse. Lui sur le dos, je m’assieds sur son sexe, et l’aidant de ma main, je le guide pour l’introduire dans mon sexe. Je m’assieds sur sa queue que je sens s’enfoncer en moi : je profite de ce moment où les deux sexes se cherchent, s’emboîtent l’un dans l’autre crûment. Mon vagin mouillé et détendu avale sa queue raide que je sens pousser loin en moi. Je l’embrasse à nouveau, nos langues se cherchent toujours avec force. Ma poitrine bouge au rythme de mes mouvements, il se saisit à pleine main d’un de mes seins, et d’un téton et se met à le sucer alors que je continue à donner le rythme.
C’est divin, je suis terriblement excitée par cette caresse, par le fait qu’on me suce et titille le bout du sein. Je le sens durcir sous sa langue, sous ses mordillements qui accentuent terriblement mon excitation. Je gémis. Que c’est bon, que c’est excitant ! Je le vois avec mon sein énorme dans la bouche, il passe de l’un à l’autre, et fait durcir mon deuxième téton en le mouillant le mordillant également, l’aspirant, je le sens durcir terriblement. Je continue de la même façon à monter et descendre à mon rythme sur sa queue raide, mon vagin l’aspire, le suce, l’emprisonne, avec parfois une petite sortie de route que je rectifie aussitôt en guidant son gland à l’entrée de ma chatte. Je profite d’une caresse au passage sur mon clitoris qui, pendant que je descends sur sa bite excitante, profite de ma mouille en lubrifiant son gland lisse et dur pour faciliter la nouvelle pénétration. Le moment dure, chacun halète, je le vois fermer les yeux au comble de l’excitation et je m’excite de le voir à ma merci.
Il m’embrasse toujours, je descends de mon promontoire, visage contre le matelas, il en profite pour se retourner et faire peser le poids de son corps contre mes fesses, mon dos. Il m’encourage à m’agenouiller, je sens son envie de me prendre en levrette et je tends mon fessier proéminent pour lui faciliter la tâche. Prévenant, il me demande de reculer sur le matelas, pour que je ne me cogne pas la tête contre le mur sous ses coups de boutoir. Prétentieux le bougre ! Je suis touchée par l’attention délicate, émue et excitée à la fois, attendant le cul tendu, sans le voir, impatiente de le sentir contre moi et en moi.
Je sens l’extrémité de son sexe contre ma fente toujours aussi humide, il présente son gland à l’entrée de mon vagin, appuie, sans trop de ménagement, et entre quasiment d’un coup. Je suis soufflée de sentir qu’il force la chose, excitée pour autant de sentir son envie plus impérative, limite dominatrice. Prenant appui sur mes bras, je me lève légèrement, et c’est maintenant lui qui mène la danse, tenant mes fesses de ses mains, il me le fait sentir, je suis à la merci de ses coups de boutoir qui claquent contre mes fesses, sentant ses couilles qui tapent contre ma fente, de plus en plus rapidement. Je le sens haletant, avec un rythme soutenu, me pénétrant toujours avec force, je suis terriblement excitée, j’ai le souffle coupé.
Le bougre semble avoir envie d’autre chose, et je comprends maintenant pourquoi il s’est intéressé depuis le départ à mon petit trou. Il sort son sexe, je le sens s’approcher de mon anus, se présenter à l’entrée et tenter de forcer le passage. Je ne m’y oppose pas, mais lui demande d’être doux, j’accepte rarement une sodomie d’emblée, mais là, la chose est naturelle, il a préparé le terrain, me procurant un terrible plaisir, je n’ai pas envie de lui refuser, mais la surprise du moment de ce qu’il ose me laisse sans réaction, sans envie de m’y opposer… Je dirais même que l’excitation de ce qui se prépare me pousse à lui faciliter la pénétration. Je sens que son gland résiste un peu, j’ai le souffle coupé, attendant qu’il entre un peu plus, il force et au final je sens que son sexe me pénètre sans trop de mal. Je le sens serré à l’intérieur de moi, il commence à coulisser légèrement, je le sens terriblement excité de l’étroitesse de la pénétration, et ses mouvements de va-et-vient progressivement élargissent le passage et il finit par accélérer le rythme. Je n’en reviens pas, suis toujours un peu étonnée/excitée par la chose et par sa facilité à me l’avoir fait accepter, sa douceur depuis le départ est récompensée, je veux lui offrir ce cadeau. Il accélère le rythme, je l’aide en faisant aller et venir mon cul sur sa queue, il va-et-vient de plus en plus vite, haletant et gémissant parfois alors que ma grosse poitrine se balance au rythme de ses coups.
L’excitation du moment me donne envie de me caresser, je sens qu’il est proche de l’explosion et je ne veux pas être en reste. Je glisse une main jusqu’à ma fente humide, je récolte un peu de mouille sur mon doigt et je me masturbe en passant mon doigt avec force et rythme sur mon clitoris qui n’en peut plus d’excitation. D’un côté sa queue continue à aller et venir durement, claquant contre mon derrière tendu, de l’autre ma main s’active à me donner du plaisir pour accompagner le sien. Tendu toujours et encore plus, je le sens proche et prêt à jaillir… il me prévient qu’il va jouir, je l’encourage et je le sens se tendre encore plus fort dans ses derniers coups de reins, il jouit, gémit et sa queue livre sa jouissance dans un dernier effort, son sperme emprisonné dans le préservatif.
Repu, essoufflé, il se retire. Prévenant, il n’attend pas pour se délivrer du préservatif et de son contenant. Il se couche à mes côtés, je le regarde, attendrie par ce qu’il m’a offert. Je le caresse doucement, le long de son corps, dépose des baisers un peu partout sur son visage, me serrant dans ses bras, le caressant encore. Il en fait autant, m’embrasse le front, nous restons un long moment ainsi, appréciant juste le moment présent. Il ne le sait pas, mais ce moment de l’après-sexe, mêlant douceur et repos sans précipitation pour quitter l’autre, m’apporte autant voire plus que le sexe lui-même, et je lui en suis reconnaissante.
Le jeune homme de 24 ans est doux, terriblement habile et excitant, et il est dans mes bras. Il ne le sait pas, mais il va aider à finir de libérer quelque chose en moi.
Tendresse pour lui… je l’ai revu juste une fois, il habite maintenant sur Paris. Nous sommes de temps en temps en contact, nous nous émoustillons parfois via tchat ou échanges de photos crues, sans attachement démesuré. J’aimerais le revoir de temps en temps, histoire d’aller encore plus loin.