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n° 17203Fiche technique53574 caractères53574
Temps de lecture estimé : 31 mn
31/12/15
Résumé:  Nouvellement embauché, ma directrice franchement austère m'emmène avec elle en Chine en voyage d'affaires. Là commencent les surprises...
Critères:  fh fplusag asie hotel boitenuit voyage fellation cunnilingu fgode pénétratio fdanus portrait -bureau
Auteur : Surcouf14            Envoi mini-message
Une directrice austère qui cache bien son jeu

Je m’appelle Serge, j’ai vingt-quatre ans et je viens d’achever mes études d’ingénieur en informatique. Geek depuis mes douze ans et depuis que mon père m’a acheté mon premier ordinateur, j’ai toujours été attiré par ce monde-là.

La programmation et toute l’étendue des possibilités de l’informatique, c’est mon univers. Je ne suis pas comme certains camarades de promo et je ne néglige pas, loin de là, tous les bons côtés de la vie. Manger une pizza devant mon PC en buvant un coca, et aller jusqu’à m’endormir devant ma machine, ce n’est pas mon truc.


J’aime les bonnes choses de la vie, les loisirs, les concerts de rock, le sport et… les filles !


Maintenant, j’ai hâte d’apporter mes compétences à une entreprise qui me plaise et d’être enfin indépendant de mes parents. Je les aime beaucoup, mais amener des filles dans ma chambre avec mes parents juste à côté, je n’en ai pas vraiment envie.


À peine mon diplôme en poche, j’ai la chance d’être contacté par un chasseur de têtes qui a repéré mon profil sur l’annuaire de l’école et qui semble correspondre au besoin d’une société leader européen dans le domaine de la domotique. Cela tombe plutôt bien, à quinze ans à peine, je « bidouillais » déjà les volets roulants de la maison et le thermostat du chauffage central pour piloter tout cela à partir de mon ordinateur.

Il est convenu que cette entreprise me contacte pour un premier entretien téléphonique.


Installé dans ma chambre, j’attends ce coup de fil. Mon téléphone s’allume et je vois s’afficher un numéro de téléphone portable. Je décroche.



Je réponds du mieux que je peux à toutes ses questions plus pointues les unes que les autres. Quels langages informatiques je maîtrise, sur quelles technologies ont porté mes stages, etc. L’entretien est cordial, bien que je ne sente aucune forme d’amabilité de la part de mon interlocutrice. Elle est très pro et par moment presque cassante. Je vois bien qu’elle me teste. Je résiste, tant bien que mal malgré ses différentes tentatives de déstabilisation. Elle conclut en me disant :



Je n’ai même pas eu le temps de la remercier et de lui dire au revoir. Glaciale, la directrice. De toute façon, je me dis que mes recherches ne font que commencer, je suis confiant.


Une heure plus tard, mon « chasseur de têtes » me rappelle. Il me demande ce que j’ai bien pu raconter à cette directrice, vu les éloges qu’elle a faits à mon sujet ! Je lui réponds que je n’ai fait que répondre à ses questions en étant le plus naturel que je pouvais. Il me félicite et m’informe que je suis convoqué le lundi suivant à 10 h, dans les locaux de l’entreprise pour la deuxième étape de la sélection, je suis en « short list » !

Je suis bien content d’apprendre cela et je passe la soirée avec mes amis, je fête avec eux mon premier « succès » professionnel.



Arrive le lundi matin. Je me suis apprêté pour cet entretien qui je l’espère, sera fructueux. Des chaussures noires bien cirées, un pantalon en toile, une veste de costume toute neuve sur une chemise blanche. Je n’ai pas l’habitude de m’habiller ainsi, je trouve que le résultat est pas mal, je suis assez élégant.


J’arrive à l’heure pour mon rendez-vous. J’entre dans le hall d’accueil et je me présente pour cet entretien. La secrétaire qui me reçoit est très souriante, j’ai l’impression que je lui fais un certain effet. Elle me demande qui je dois rencontrer et décroche son téléphone pour avertir de mon arrivée. Elle me fait patienter en m’invitant à m’asseoir sur le sofa situé dans le hall. Quelques minutes plus tard, elle vient me chercher et m’invite à la suivre pour mon entretien. Alors qu’elle m’accompagne, elle me renseigne sur l’entreprise, elle me donne quelques conseils. Elle marche deux pas devant moi et je ne peux m’empêcher de mater son joli petit cul. Cela me met en train pour cet entretien. Elle ouvre une porte et me fait pénétrer à l’intérieur d’une salle de réunion.


Deux femmes y sont installées, elles se lèvent et viennent me saluer. La première se présente :



Pas mal, la Christelle, à peine plus âgée que moi et vraiment sexy, je suis impressionné qu’une aussi jeune femme occupe à son âge un poste avec de telles responsabilités.

La deuxième s’approche et d’une poignée de main franche et ferme se présente à son tour :



Beaucoup moins sexy, la chef !

La quarantaine, elle porte un tailleur très strict avec une jupe qui descend sous le genou, une veste croisée et un chemisier boutonné jusqu’au cou, ni bijoux, ni maquillage, blonde avec un chignon très serré et des lunettes qui n’arrangent rien à l’affaire et qui ne mettent pas en valeur ses yeux bleus qui sont la seule note de couleur visible sur cette femme.


Limite vieille fille, la directrice, et pas très souriante.


L’entretien commence. Elles me demandent si on peut débuter en parlant en anglais pour tester mon niveau. Je réponds que cela ne me pose pas de problème.

Tout en anglais, je commence à me présenter, à parler du contenu de mes études, des stages effectués, etc.

Rapidement, elles abandonnent en souriant et me demandent où j’ai appris à parler un anglais aussi fluide.

Je leur réponds que ma mère est néo-zélandaise et qu’elle m’a toujours parlé ainsi.


Le reste de l’entretien est très agréable, je me sens à l’aise, j’essaie de séduire ces deux femmes du mieux que je peux. Toutes sortes de questions y passent, sur mon comportement, mon niveau technique, mes passions, mes envies professionnelles, ma motivation, mon ambition, mes qualités et bien sûr mes défauts.

Un bloc-notes posé devant elles, elles écrivent sans cesse en fonction de mes réponses.


Au bout d’une heure, la directrice écrit quelques mots sur son bloc et fait voir cela à la DRH. Elles se regardent et la DRH me dit que si je suis d’accord et si je suis intéressé par le poste, il est pour moi !

Je souris, les remercie et accepte leur proposition. Le salaire connu à l’avance me satisfait pleinement, surtout pour un premier job.


Louise me pose une dernière question et me demande si j’aime voyager. Je lui réponds que c’est mon souhait le plus cher, que j’ai déjà passé une année à Pékin pour mes études et que j’avais adoré cette expérience. Étonnée, car je ne l’avais pas mentionné sur mon CV, elle commence à me parler en chinois. Je suis très surpris de l’entendre parler mandarin et lui réponds du mieux que je peux. Je n’ai pas pratiqué cette langue depuis mon séjour en Chine, mais je m’en sors pas trop mal.



Je crois que j’ai rougi en entendant ce compliment.

D’un coup, je trouve ma nouvelle directrice beaucoup plus sympathique.


Le lundi suivant, commence ma première journée de travail, j’ai rendez-vous avec elle. Après un petit briefing dans son bureau, elle m’amène à mon nouveau poste de travail, face à moi une superbe brune.



Je fais ensuite le tour de l’open-space. À part Alicia, que des mecs, pfffff ! j’aurais dû travailler dans le marketing…


Les jours passent et je plonge avec plaisir dans mon nouveau job. De temps en temps, je discute avec ma jolie collègue, mais elle n’a que le nom de son « chéri » à la bouche, Christophe par ci, « Mon chéri » par là… Aucune ouverture n’est envisageable de ce côté-là, dommage, du coup au lieu de batifoler, je m’attelle à la tâche qui m’a été confiée.


Je travaille sur la nouvelle version d’un matériel de vidéosurveillance et mes soirées sont souvent occupées à développer ce nouveau projet.

Alors que je suis à fond dans la recherche d’un bug dans mes lignes de code, je me rends compte que je suis seul dans mon bureau, il est tard, je pense que je ne vais pas tarder à partir. La porte du bureau de ma directrice s’ouvre. Je croyais que j’étais le dernier présent, je m’étais trompé.

Elle me voit et s’approche :



Je lance l’exécutable de mon application et lui fais voir le fruit de mon dur labeur

Elle passe derrière moi et à ma grande surprise, pose une main sur mes épaules et se penche contre moi pour mieux voir mon écran sur lequel se déroule la démo.

Elle est tellement proche, que je peux entendre son souffle, sentir son parfum, je suis troublé. Elle s’appuie un peu plus et ses seins frôlent ma tête. Je ne comprends pas ce qui se passe, elle est vieille, pas du tout mon genre, une vraie « cheftaine » comme la surnomment certains de mes collègues et pourtant je sens mon sexe qui gonfle et devient de plus en plus à l’étroit dans mon boxer. Merde, une vieille qui me fait de l’effet, je n’en reviens pas.


Louise semble très satisfaite de cette démonstration, elle passe sur le côté de mon bureau, pose ses lunettes et se penche vers moi en me regardant droit dans les yeux. Je remarque alors que plusieurs des boutons de son chemisier sont défaits. J’ai une vue imprenable sur sa poitrine.

Un soutien-gorge noir en dentelle de belle facture soutient des seins qui me semblent lourds et fermes. J’ai du mal à quitter les yeux de ce spectacle qui émerveille toujours les hommes. Jusqu’à cet instant, je n’avais même pas remarqué qu’elle avait des seins ! Avec son chemisier boutonné jusqu’en haut et sa veste croisée, aucune forme n’était visible.


Louise commence à me parler, mes yeux se relèvent, je la regarde maintenant droit dans les yeux, même si j’ai très envie de continuer à scruter sa superbe poitrine :



Encore troublé par cette promiscuité et par le spectacle offert à mes yeux, je lui réponds :



Je ferme mon poste et quitte le bureau en même temps que ma directrice. Je la salue et nous partons chacun de notre côté. J’ai l’impression qu’elle aurait aimé prolonger cette soirée avec moi, mais je dois me faire des idées. Sur la route de mon domicile, je n’en reviens pas de ce qui vient de m’arriver et de l’effet que cette femme m’a fait.


Huit jours plus tard, un dimanche soir, j’arrive à Roissy pour prendre mon avion pour Shanghai. Vol de nuit sur un A380. Je cherche ma directrice, elle m’a envoyé un SMS pour me dire qu’elle venait d’arriver. Ah je l’aperçois. Tiens ! Son chignon a disparu au profit d’une queue de cheval ! Sa tenue est beaucoup plus décontractée que sa tenue habituelle, un pantalon blanc en toile, un chemisier blanc et un perfecto en cuir noir. Elle a même une autre paire de lunettes qui lui donnerait presque un côté sexy.



Je ne fais pas de remarque, mais je trouve que je suis gâté de voyager dans de telles conditions, j’imagine la tête de mes collègues s’ils savaient cela…

Nous embarquons et nous installons dans nos fauteuils respectifs. Je découvre cet avion et cette Business Class, qui porte bien son nom, c’est vraiment très classe, un peu comme Louise que je commence à découvrir un peu plus alors qu’elle s’installe et prépare ses affaires pour le voyage.


Peu de temps après le décollage, alors que nous sommes confortablement installés, l’hôtesse nous sert une coupe de champagne. Nous trinquons en faisant tinter nos verres.

Louise me dit :



Je trouve ce champagne vraiment excellent et ma directrice finalement assez charmante, même si elle n’est pas toute jeune. Le repas est servi rapidement et tout en mangeant, nous devisons de choses et d’autres, des projets de la société, de mes envies d’évolution dans la société. Finalement, ce début de voyage est très plaisant en sa compagnie. Comme nous devons travailler dès notre arrivée à Shanghai, nous décidons de nous coucher rapidement, d’ailleurs, la lumière de l’habitacle a été baissée pour que chacun trouve le sommeil.


Louise se lève, emmène un petit sac et va s’isoler aux toilettes. Elle revient quelques minutes plus tard après avoir changé de tenue. Elle a enfilé un pyjama de soie du meilleur goût. Rouge vif, imprimé avec des motifs floraux et des idéogrammes chinois.

Je suppose qu’elle a acheté celui-ci lors d’un de ses voyages en Asie. Je la trouve très élégante dans cette tenue. Une ceinture nouée met en évidence une taille fine. Légèrement échancrée, sa veste laisse apparaître la naissance de sa poitrine généreuse que je vois flotter sous la soie.


J’ai bien envie de la complimenter sur sa tenue, mais je n’ose pas le faire. Pour la deuxième fois en sa présence, je sens mon sexe durcir, décidément, cette femme me fait un effet maintenant plus que certain et que je n’aurais pas soupçonné au départ. Louise appuie sur un bouton magique qui déplie et transforme son fauteuil en un lit bien douillet. Elle fait de même pour le mien, et me demande si j’ai prévu d’emmener un pyjama. Je lui dis que je n’avais pas pensé à cela en préparant ma valise et que je le regrette. Elle s’excuse de ne pas m’avoir prévenu de ce détail qui rend un vol de nuit beaucoup plus confortable. Nous nous installons, nous sommes tout proches l’un de l’autre, j’ai l’impression de coucher avec ma chef dans le même lit, seuls nos accoudoirs nous séparent !


Nous nous souhaitons une bonne nuit et nous nous couchons rapidement.


Bercé par le ronron des moteurs et peut-être par l’alcool absorbé, je trouve rapidement le sommeil. Quelques heures plus tard, plus rien ne bouge dans l’avion, je me lève pour une envie pressante. Je me recouche et à la lumière tamisée du plafond, je regarde ma directrice de voisine endormie tout près de moi, allongée sur le dos. Je remarque qu’un pan de sa veste a bougé pendant son sommeil, il laisse à découvert une bonne partie de sa poitrine. Elle dort profondément, j’en profite pour m’approcher un peu plus et observer de plus près ces seins découverts.


Très jolis et plutôt volumineux, me dis-je, des aréoles sombres et larges que je lécherais volontiers. Je reste ainsi quelques minutes à admirer la poitrine de Louise. Irrésistiblement, ma main s’approche et écarte un peu plus cette veste. Mes doigts la frôlent tout doucement, un instant de folie, je caresse le galbe de ses seins. Mes doigts tournent et retournent sur le bout de ces tétons que je sens durcir et pointer encore un peu plus. À force de m’approcher, mon visage n’est plus qu’à quelques centimètres de ses deux jolis seins, je ressens sa chaleur sur ma peau, je peux sentir son odeur. N’y tenant plus, ma langue se met à lécher les seins de Louise, j’ai envie de les prendre à pleines mains, de faire coulisser entre ces deux merveilleux globes mon sexe raidi par tant d’excitation.


Soudain, je sens Louise bouger, rapidement, je remets sa veste en place et me rallonge dans ma couchette. Quelques minutes passent, pas de nouveau mouvement du côté de ma voisine, heureux de cette découverte et de n’avoir été pris la main dans le sac, je décide de ne rien retenter d’aussi fou et je me rendors.


Au petit matin, les passagers se réveillent quand la lumière se rallume doucement. Je dis bonjour à Louise qui me sourit en se réveillant. Elle va se changer, nous prenons notre petit déjeuner, puis rapidement nous atterrissons à Shanghai. Nous récupérons nos bagages, douane, contrôle des passeports, taxi. Arrivés à l’hôtel nous prenons possession de nos chambres respectives pour poser nos affaires, faire notre toilette et nous changer. Je descends et attends Louise dans le hall d’accueil, elle arrive quelques minutes après moi. Je retrouve ma directrice préférée, dans son costume traditionnel de directrice bien stricte avec son chignon bien haut sur la tête. Décidément, quel changement !


Nous passons la journée à rendre visite à nos fournisseurs chinois à présenter nos prototypes. Une journée épuisante avec le décalage horaire qui commence à se faire sentir.


En fin d’après-midi, nous retournons à l’hôtel.

Dans le taxi, Louise me dit qu’elle va me faire découvrir Shanghai ce soir. Nous convenons de nous retrouver d’ici une heure, le temps de faire un brin de toilette et de nous changer.


Une fois que je suis prêt, je descends dans le hall de l’hôtel. Louise n’est pas encore arrivée, je m’assois dans un canapé et remarque une femme qui observe au-dehors la rue fourmillante d’activité.


Très belle femme, me dis-je, une jolie robe bustier qui semble mettre en valeur une poitrine généreuse, des hanches bien dessinées, une taille particulièrement fine, des jambes galbées et musclées que sa robe assez courte permet d’apprécier pleinement, des talons aiguilles haut, très haut, une chevelure blonde, légèrement ondulée qui lui retombe magnifiquement sur les épaules. Un beau modèle vraiment avec tout plein d’options. Vue de dos, je dirais qu’elle doit avoir à peine la trentaine, pas plus.

Elle se retourne, me regarde et vient vers moi.



Merde, je ne l’avais pas reconnue tant qu’elle n’avait pas ouvert la bouche et s’était adressée à moi. Heureusement que j’étais assis, car je suis « sur le cul ».


Elle a mis un rouge à lèvres très vif, un maquillage travaillé qui met en valeur son visage rayonnant. Ses yeux bleus débarrassés de ses lunettes sont comme des saphirs qui me dévisagent. Je me lève et je m’approche d’elle surpris par le charme insoupçonné de ma directrice. Elle me fait deux bises très appuyées, m’attrape par le bras et m’entraîne au-dehors pour monter dans le taxi qui nous attend. Je la suis, accroché à son bras, tel un toutou qui suit sa maîtresse.


Pendant que le taxi roule, Louise me fait découvrir Shanghai, ses grattes ciels illuminés, ses rues animées aux enseignes rougeoyantes. C’est grandiose, je n’imaginais pas tant de luxe, de modernité. Louise me donne des explications sur cette ville qu’elle connaît fort bien grâce à ses nombreux voyages professionnels.


Soudain, Louise me demande :



Je deviens rouge pivoine, je bredouille :



Je reprends mes esprits encore décontenancé par ce qui vient de se passer, je n’ose plus bouger.


Le taxi s’arrête devant une espèce de cabaret, nous sortons du taxi et entrons dans cet endroit. Chaud l’ambiance, des filles presque nues pratiquent le Lap dance sur des barres en acier. Elles sont toutes superbes, décidément, toujours aussi excitantes ces jolies Chinoises. Le patron du cabaret nous accueille en faisant la bise à Louise. Je vois qu’elle est connue comme le loup blanc ici. Je commence seulement à retrouver mes esprits après les propos de Louise.


Le patron nous installe dans un coin de la pièce et nous nous asseyons sur un canapé confortable. Nous sommes très près de ces danseuses toutes plus belles les unes que les autres, un peu plus loin, la piste de danse où évoluent déjà de nombreux couples, je remarque qu’il s’agit d’hommes d’affaires chinois dans les bras de superbes créatures à l’allure et à la tenue sexy, je ne pense pas qu’il s’agisse de leurs épouses légitimes…


Une serveuse nous amène un plateau avec des boissons diverses et des amuse-bouche. Nous prenons un verre, Louise sort de son sac à main une petite boîte et en extrait deux pilules. Elle m’en donne une en m’expliquant que cela va m’aider à lutter contre le décalage horaire. Je l’écoute et avec un grand verre de punch, j’avale ce cachet et Louise fait de même. L’effet est saisissant, rapide, mes sens sont exacerbés, je ne ressens plus les effets du Jet lag.


Louise se lève alors et commence à danser devant moi. Elle tourne et retourne. Elle s’amuse à se pencher vers moi et à me faire mater sa poitrine merveilleuse. Elle joue à se retourner et à onduler de tout son corps, telle une danseuse berbère. J’admire son joli petit cul qu’elle remue avec sensualité devant mes yeux arrondis.


Elle m’entraîne alors sur la piste de danse, je ne me fais pas prier pour la suivre. Nous dansons l’un contre l’autre, nos jambes emmêlées. Mes mains courent sur son dos, sur ses reins, sur ses fesses. Enivré, je l’embrasse dans le cou, elle rejette la tête en arrière. J’ai envie d’elle comme jamais je n’ai désiré une fille de mon âge. Elle se retourne et frotte son dos, ses fesses contre moi. Ses fesses caressent et ondulent contre mon sexe raidi par le contact de cette femme au corps qui semble parfait. Je lui caresse les cuisses, puis mes mains remontent sur son ventre resté plat malgré son âge, vient ensuite sa poitrine que je palpe avec le plus grand plaisir, magnifique sensation que de sentir ces deux globes en mes mains. Elle se retourne tout sourire et m’embrasse avec avidité. Nous dansons ainsi quelques minutes l’un contre l’autre.



Nous nous asseyons, je me demande ce qu’elle me réserve.



Elle rit et fait un signe au patron du cabaret.


Presque aussitôt, une magnifique chinoise que je n’avais pas encore vue vient vers nous et s’approche de moi. Elle est vêtue en tout et pour tout d’un string on ne peut plus minimaliste. Seuls ses longs cheveux noirs et lisses la vêtissent. Ses seins fermes sont beaux comme ceux des danseuses du Crazy Horse.



Je reste bouche bée.

Li-Xian commence alors un show éblouissant et danse rien que pour moi. J’admire ses fesses splendides, son sexe épilé qu’une mince ficelle ne peut cacher. Elle vient s’asseoir sur moi et joue à m’exciter en se frottant et en glissant sur ma queue. Elle attrape mes mains qu’elle pose sur sa poitrine pour que je la caresse. C’est merveilleux de prendre du plaisir avec une fille comme celle-ci. Elle se relève, monte sur le canapé et fait frotter son sexe contre mon visage, j’ai envie de la dévorer. Elle se retourne et recommence avec ses fesses rondes et fermes. Louise sourit de me voir ainsi ébahi devant ce spectacle merveilleux. Li-Xian me chevauche à nouveau et par ses ondulations masturbe ma queue au bord de l’explosion.


Louise n’est pas en reste et caresse les fesses de Li-Xian, ma nouvelle amie chinoise. Elle lui glisse quelques billets coincés par la ficelle de son string. Li-Xian commence à caresser les cuisses de Louise, sa main trouve un chemin entre ses cuisses qui n’offrent aucune résistance. Elle commence à masturber Louise qui semble-t-il, n’attendait que cela. Elle se lève puis se met maintenant à genoux devant Louise qui écarte ses cuisses, tel un automate. Li-Xian lèche maintenant le sexe de Louise et lui offre un cunnilingus d’une grande sensualité. Je la vois, experte, douce, habile et débordante d’envie. J’embrasse Louise tout en baissant son bustier et en lui caressant sa poitrine débordant maintenant de sa robe. Quelques danseurs sur la piste ont remarqué ce qui se passe de notre côté et, l’œil aiguisé, regardent maintenant ostensiblement de notre côté.


Après quelques minutes de cet adorable supplice, je sens Louise se cambrer, elle appuie ses mains sur la tête de Li-Xian pour l’appliquer encore un peu plus sur son sexe ruisselant.

Dans un long gémissement, Louise jouit dans la bouche de Li-Xian.


La bouche luisante de la cyprine de Louise, Li-Xian vient m’embrasser et me fait goûter pour la première fois à l’exquis nectar de Louise. À mon tour, j’embrasse Louise et partage avec elle le goût de son jus.


Après quelques instants, notre amie chinoise heureuse de sa réussite se joint à nous et nous partageons un verre tous les trois. Assis entre ces deux femmes, si belles, si différentes, je profite tant que je peux de ce moment que je n’aurais jamais imaginé vivre.


Louise redonne quelques billets à Li-Xian qui s’éclipse aussitôt. Louise se colle un peu plus à moi et me dit :



Nous sortons du cabaret et montons dans un taxi pour retourner à notre hôtel.

À peine installés, Louise entreprend de s’occuper de mon sexe et de me satisfaire. Elle défait les boutons de mon pantalon et en extrait l’objet de ces désirs. Elle me caresse et me dit :



Louise entreprend alors de me sucer alors que le taxi roule vers notre hôtel. Elle commence par me lécher sur toute la longueur de ma tige. Ses lèvres vont et viennent comme si elles jouaient de l’harmonica, pour moi, cette mélodie est absolument sublime. Sa bouche prend possession de mon gland, elle l’avale avec envie et poursuit son avancée avec délectation. Rapidement, c’est tout mon sexe qu’elle absorbe, qu’elle engloutit.


Je vois le chauffeur de taxi qui, dans son rétroviseur, ne perd pas une miette des exploits de Louise. Elle s’en rend compte, mais cela ne la perturbe pas et elle me suce de plus belle. Je lui dis que je ne vais pas résister longtemps à ses assauts. Louise profite de ma faiblesse passagère et accélère encore la cadence. Je ne tiens plus et me lâche en elle. De longs jets puissants envahissent sa bouche, sa gorge. Elle avale tout et nettoie jusqu’à la dernière goutte. Je m’excuse de n’avoir su et pu me retenir. Elle me gratifie d’un grand sourire et juste avant de m’embrasser à pleine bouche, elle me dit :



Le chauffeur me regarde dans le rétroviseur et lève son pouce en riant !

Non mais, de quoi je me mêle…


Nous arrivons à l’hôtel et Louise règle la course. En sortant de la voiture, elle me dit :



Louise m’emmène dans sa chambre et se jette sur moi.

Elle me déshabille en deux temps trois mouvements. À mon tour, je lui ôte sa robe ainsi que sa culotte humidifiée. J’admire la beauté de son corps que je n’avais jamais soupçonné jusqu’à hier soir. Elle me caresse la bite et me fait comprendre qu’elle apprécie sa taille longue, bien proportionnée et surtout vigoureuse. J’embrasse ses seins, cette fois-ci, à pleine bouche, j’ai bien compris que je n’avais pas intérêt à l’abandonner en plein vol.

J’aperçois sur sa table de nuit deux objets étranges et lui fait remarquer cela. Elle me dit :



Je suis impressionné par la taille de l’engin, il est rouge translucide et constitué d’une espèce de boucle d’où partent deux tiges, la première, composée de sept boules ou plutôt des olives avec leurs formes légèrement allongées et de plus en plus grosses, la plus petite mesure un peu plus d’un centimètre de diamètre et la plus grosse doit mesurer au moins six centimètres. L’autre partie du jouet est assez étroite, à peine un centimètre de diamètre pour moins de dix centimètres de longueur.



En me faisant voir un flacon que je n’avais pas repéré, elle m’explique qu’il s’agit d’un gel à base de silicone et qu’il est préférable de lubrifier ses jouets avec, que ce gel rend tout cela beaucoup plus agréable.

Après ces explications « techniques », nous nous glissons dans le lit et commençons à nous caresser mutuellement. Sa peau est douce et soyeuse. Elle se laisse faire telle une déesse à qui tout est dû. Je commence à caresser son clitoris, à jouer avec ses lèvres intimes, à introduire un doigt puis deux dans son antre chaud et humide. Je prends un plaisir gourmand à lécher sa poitrine. Je retrouve le goût de sa peau que j’avais à peine commencé à apprécier la nuit dernière. Louise gémit doucement, de toute évidence, elle apprécie comme je m’occupe d’elle. Comme Li-Xian, je descends au fond du lit et passe entre ses jambes, je commence à lui lécher le sexe du mieux que je peux. Ma langue écarte ses lèvres, s’introduit en elle, tourne et retourne sur son clitoris. Après quelques minutes de ces caresses buccales, j’ai envie de jouer maintenant avec son double gode. Je demande à Louise :



J’attrape le jouet sur la table de chevet et enduis abondamment les deux tiges de gel silicone. Je replonge au fond du lit, me repositionne entre ses cuisses et commence à faire glisser le jouet sur son sexe, puis je l’introduis dans son vagin et le fais coulisser en elle. Je la pistonne maintenant sans ménagement et elle m’y encourage en gémissant abondamment.

Louise se ressaisit et me demande :



Jamais je n’avais connu une fille comme elle. Je lubrifie sa petite rondelle et présente la deuxième partie du jouet à l’entrée de cet orifice étroit. Je commence à pousser, et le fais entrer sans forcer. Aussitôt, elle se cambre et gémit sur le rythme des allers et retours dans ses deux trous. Plus j’insiste sur sa petite rondelle et plus son excitation augmente. Je décide de la surprendre et retire le jouet de son sexe et de son anus. Elle me dit :



Je présente la grosse partie du gode à l’entrée de son anus et commence à introduire une puis deux boules. Je demande à Louise :



Elle me répond comme il y a quelques minutes :



Je pousse un peu plus cet engin dans son rectum. Chaque olive de plus en plus grosse augmente la dilatation de son anus et je dois forcer un peu plus pour faire pénétrer chacune d’elles. Arrive la dernière qui me semble vraiment très grosse. Je demande à Louise :



Je pousse un peu plus et finalement son petit trou passe sans problème la dernière épreuve. Je me dis que Louise doit avoir l’habitude de se baiser ainsi pour l’absorber aussi facilement. Pendant que je la masturbe avec ce gode et que les olives entrent et sortent lentement sollicitant à chaque passage un peu plus son petit trou, je lèche son clitoris, ma langue glisse entre ses lèvres gonflées de plaisir. Louise se cambre sous l’effet de cette double sensation. Je la sens tellement heureuse du bien que je lui fais.


Je retire maintenant le gode et chaque boule qui le compose et je m’allonge sur elle, mon sexe dressé, pointe vers l’entrée de son sexe humide. Nos bouches se touchent, s’embrassent, je sens mon torse musclé contre ses seins aux tétons érigés.


Mon gland écarte lentement l’entrée de ce sexe accueillant. Chaque centimètre de mon sexe qui pénètre en elle la met dans un état second. Arrivé au fond de son antre, ses mains agrippent mes fesses, ses ongles pénètrent dans ma peau.


Louise veut me garder tout en elle, rien que pour elle. Je la lime maintenant rapidement, régulièrement, mon sexe va-et-vient et bute au fond de son ventre. Un petit cri s’échappe à chaque fois de sa bouche. Je crois qu’elle va jouir sous mes assauts répétés. Sa respiration se fait plus saccadée, mon rythme plus intense, ses gémissements plus forts, ma pénétration plus profonde. Prêt à exploser mon sexe grossit encore un peu plus. Dans un long cri, Louise jouit, elle se cambre, sa tête en arrière, ses yeux révulsés.


Je ne sais pas comment je fais, mais je réussis à me retenir et continue à la limer plus lentement, comme pour refaire descendre doucement la pression. Louise me dit alors :



Je lui obéis avec plaisir, j’aime me faire gâter par une jolie femme.


Louise entreprend de me refaire une superbe fellation. Excitée et réjouie par le bonheur que je viens de lui donner, je la sens heureuse, elle entend me redonner une partie de ce bonheur. Elle avale mon sexe tout au fond de la gorge, mais comment fait-elle pour réaliser cet exploit ?


Jamais une fille ne m’avait ainsi avalé la bite avec autant d’envie, d’enthousiasme, de délectation. Je suis bien, tellement heureux d’avoir cette femme qui s’occupe aussi bien de moi, de ma queue. Elle arrête de me sucer et vient maintenant me chevaucher. Son sexe vient à la rencontre du mien et l’absorbe en douceur. Je ne pourrai plus résister longtemps au désir de Louise, à son désir d’avoir ma semence en elle au plus profond de son ventre. Je la tiens par sa taille si fine, ses seins balancent au-dessus de mon visage, ils sont tellement beaux, je les caresse, les malaxe avidement. J’attire maintenant Louise contre moi et l’embrasse, nos lèvres se touchent, nos langues s’emmêlent. Je ne peux plus me retenir et je jouis en elle intensément, je sens de longs jets de sperme inonder son vagin.


Heureux d’avoir donné ce plaisir à Louise, nous restons sans bouger de longues minutes l’un dans l’autre.

Elle me dit en me souriant :



Elle m’embrasse avec tendresse, rassasiée par ce moment d’amour et s’endort tout contre moi, la tête et ses longs cheveux blonds posés sur mon épaule.


Je n’en reviens toujours d’avoir séduit ma nouvelle directrice et d’avoir découvert en elle une maîtresse extraordinaire inventive, gourmande, idyllique. Rattrapé par le décalage horaire, je m’endors peu de temps après elle, un sourire sur les lèvres.


Au petit matin, je suis réveillé par le bruit de la douche dans la salle de bain, je tends instinctivement le bras, elle n’est plus là. Je suis à peine réveillée quand le bruit cesse. Je crois l’entendre se sécher maintenant. La porte s’entrouvre, j’écarquille les yeux et la vois apparaître en contre-jour dans l’embrasure de la porte. Je souris en voyant cette magnifique silhouette. Elle ouvre les rideaux de la chambre et me dit :



Je resterais bien couché à lui faire l’amour, mais c’est elle la chef. Je lui réponds :



Elle se précipite, se couche sur moi et m’embrasse tendrement.



Elle me refait un gros bisou et se lève, pour s’habiller. Je la vois mettre une très belle culotte en dentelle nacrée et un soutien-gorge assorti. J’ai l’impression d’assister au tournage d’une publicité pour Aubade. Je vois que les jouets ne sont plus sur la table de nuit et je lui en fais la remarque.

Elle me répond :



Puis, en riant, coquine, elle file dans la salle de bain pour finir de se préparer.

Je me lève et je vais me préparer à mon tour. Je prends une bonne douche qui finit de me réveiller et me fait le plus grand bien. J’enfile un peignoir et je file dans ma chambre pour récupérer des affaires et m’habiller.

Nous convenons de nous retrouver au petit déjeuner. À peine installé, Louise me rejoint à nouveau déguisée en directrice avec son célèbre tailleur démodé, son chignon et ses grosses lunettes.


Alors que nous nous restaurons, je lui dis :



Nous finissons notre petit-déjeuner et prenons notre taxi pour commencer notre journée de travail. Je retrouve ma directrice sérieuse, concentrée, très pro, je comprends que l’on n’est plus là pour batifoler.

Nous arrivons chez le premier des sous-traitants que nous devons visiter aujourd’hui. Alors que le patron et ses cadres nous accueillent, Louise me glisse dans la main un petit objet métallique muni d’un bouton rouge. Elle me fait un clin d’œil et me dit en souriant :



Je réalise qu’elle vient de me donner la télécommande de son œuf vibrant, ce qui veut dire que… que l’œuf est en elle ! Elle a dû se l’introduire dans le vagin alors qu’elle se préparait et que je dormais encore. Avec Louise, décidément, c’est toujours de surprise en surprise. Je lui glisse à l’oreille :



Alors que je range la télécommande dans ma poche, j’appuie sur le bouton rouge à l’instant où elle serre la main de notre hôte. Je la vois sursauter et me jeter un coup d’œil qui se veut courroucé, mais qui ne peut masquer son excitation.


Nous passons toute la journée à visiter les différents sites de production et à présenter les prototypes qui seront bientôt à industrialiser. Je ne manque pas de temps en temps d’actionner le petit interrupteur, si possible, lorsque Louise ne s’y attend pas. Je la vois à chaque fois sursauter même lorsque la situation voudrait qu’elle reste concentrée sur ce que lui explique son interlocuteur.


Entre deux visites, elle m’avoue apprécier intensément cette vibration au plus profond de son ventre. Elle me fait même la confidence qu’il lui arrive au bureau de venir avec cet œuf et de temps en temps de se faire plaisir.

Elle me dit :



Nous nous embrassons à pleine bouche et poursuivons notre journée de travail avec sérieux, enfin presque…


Chaque soir du reste de notre séjour à Shanghai, nous nous sommes retrouvés dans la chambre de Louise qui m’a fait découvrir les délices de l’amour et d’une quantité de perversités que je n’avais pas encore imaginées du haut de mes vingt-quatre ans.


De retour à Paris, nous poursuivons de plus belle notre relation.


De temps en temps, mes collègues parlent de Louise en disant la « cheftaine », qu’elle a l’air totalement frigide la pauvre vieille et que sa cheminée aurait sûrement besoin d’un bon ramonage. Je ne fais pas de commentaires, mais je ris intérieurement en pensant à ses exploits et que ces « gentils garçons » n’auront certainement pas le droit de la part de leurs copines au quart de ce que m’offre Louise à chacun de nos ébats.


Parfois, tard, quand tout le monde est parti, je fais l’amour à Louise dans les bureaux de l’entreprise. Elle sait s’y prendre pour m’exciter en me réclamant une petite « démo » et me pousser à la poursuivre pour se faire baiser, la poitrine appuyée sur la photocopieuse et la jupe retroussée, je lui baisse sa culotte et la prends ainsi en levrette. Parfois aussi, dans son bureau, je m’assois sur son siège, elle retire alors sa culotte, relève sa jupe et vient me chevaucher. Parfois encore, elle se faufile sous mon bureau et me gratifie d’une superbe fellation.


Louise m’invite aussi souvent chez elle et continue à m’apprendre comment utiliser ses nombreux joujoux. Je suis un élève assidu, j’apprends vite et ma maîtresse a un sens inné de la pédagogie.



Presque deux ans après mon embauche, un nouvel ingénieur tout frais moulu de l’école est embauché. Quelques semaines plus tard, je remarque que Louise semble prendre ses distances avec moi. Je découvre fortuitement, peu de temps après, qu’elle part en déplacement en Asie, avec lui alors que depuis le début de notre relation, je l’avais toujours accompagnée là-bas. Je comprends alors qu’elle a jeté son dévolu sur ce garçon et que je n’ai plus ma place ici. Je décide alors de quitter la société pour voguer vers de nouveaux horizons, un peu triste d’avoir ainsi été remplacé par ce jeune et bienheureux ingénieur, mais néanmoins grandi de ces moments passés avec Louise.