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Le Shooting de Loïc

Je m’appelle Arthur, j’ai 26 ans et je travaille dans une agence de marketing à Paris. Je suis originaire d’un petit village, Sainte-Croix-sur-Meuse. Hétéro-curieux, toujours eu des copines.

L’histoire que je vais vous raconter aujourd’hui s’est passée il y a 3 ans maintenant, alors que j’étais de retour au village pour voir la famille et profiter pour voir quelques amis d’enfance. Un soir après dîner, je rejoins des amis dans le bar du village pour un verre, nous discutons, et entre Loïc. Il a 20 ans. Nous jouions au foot à l’école ensemble. Nous n’avons jamais été très proches mais nous nous entendions bien. Il passe et salue la tablée et me dit que ça lui fait plaisir de me revoir depuis tout ce temps. Il me demande si je peux prendre un café avec lui le lendemain matin avant de repartir pour Paris. J’accepte volontiers.

Le lendemain matin, je retrouve Loïc au café, et nous bavardons, il va commencer sa prépa et moi je lui raconte quelques projets de l’agence. Il me dit :

• — En parlant de ces projets, je voulais justement te demander un conseil. J’ai reçu une proposition pour faire du mannequinat, ce qui me permettrait d’arrondir les fins de mois pendant mes études mais je n’ai aucune expérience pour faire mon book. Vu que tu fais souvent des shooting, est-ce que tu as des conseils, ou peux-tu m’orienter vers quelqu’un ?

Je lui réponds que je l’aiderais volontiers, de bien faire attention de qui viennent les demandes car il y a aussi de l’arnaque et cela peut tourner à des projets auxquels il s’attendrait peut-être moins.

Je lui dis qu’il peut faire son book seul car s’il va chez un photographe pro, même si je le recommande à celui-ci, cela risque de faire un petit budget. Je lui propose de l’aider s’il souhaite, vu mon expérience, des shootings et book que je reçois.

Il saute de joie et me dit :

• — Ah, je n’osais pas te demander car je sais que tu as beaucoup de travail et nous n’avons jamais été super proches, mais j’avoue que ça me rassure que ce soit toi car j’ai confiance et cela m’aidera pour mes débuts…

Je lui dis donc de passer à Paris chez moi la semaine suivante pour organiser ça et de bien prendre les demandes précises de l’agence qui souhaite le recruter.

Je prends mon train et repense aux années où nous jouions au foot avec Loïc, et comment, avec son frère Adrien nous avions de bons fous rires ! C’est là qu’un souvenir de vestiaire me revient aussi, au moment de la douche, nous ôtions nos vêtements et moi, timide, j’attendais toujours pour être le dernier à aller sous la douche pour être seul. Pas que je ne sois pas bien monté, 18,5 cm mais toujours la peur d’une érection incontrôlée qui, à cet âge, arrive très souvent. Loïc était aussi très timide alors qu’Adrien faisait le fanfaron et partait le premier en mettant des claques sur les fesses de nos autres collègues de sport. Face à Loïc, retirant son short tout boueux, je vois que le paquet que forme son slip est très important. Bien que pas spécialement porté par le sexe masculin, je dois bien dire que cela attire mon regard. Il baisse son short puis son slip et là je vois son sexe, très long et large dans une belle touffe de poils châtain. Il ne bandait pas, mais ne devait pas être vraiment au repos vu la légère tension qui était percevable. Je détourne le regard et baisse mon boxer, il me crie en courant :

• — Allez, la voie est libre, à la douche !

Je dis : « je te suis, vas-y déjà ! » Je reprends mes esprits car la vue de cette bosse dans son slip puis de son beau pénis m’a laissé songeur.

Je le rejoins sous la douche, certains finissaient de se doucher, d’autres étaient déjà de retour dans le vestiaire. J’essayai de ne pas regarder Loïc, mais difficile de ne pas revoir ce que j’avais vu de si beau. Et comparaison faite avec les autres à ce moment-là, il était vraiment au-dessus de la moyenne.

Ce souvenir sur le chemin du retour, provoque une petite érection dans mon boxer, et inconsciemment je pose ma main sur mon entrejambe. Je me dis que c’est vrai que ça fera un beau mannequin ! Je me réjouis de revoir son corps lors du shooting. Peut-être entre les changements de vêtement, je le verrais en sous-vêtement ? me dis-je. Puis mon attention reprend sur les dossiers que je dois présenter le matin.

La semaine suivante arrive et Loïc se présente chez moi le mardi en début d’après-midi comme convenu. J’avais pris ma demi-journée pour l’aider car je trouvais judicieux de faire quelques photos à la lumière naturelle. Nous prenons un café et je lui dis de me montrer le brief qu’il a reçu de l’agence. Il me sort la feuille et me dit que c’est pour un client maillot de bain et underwear. Je ne peux m’empêcher d’avoir un petit rictus, dont il ne s’aperçoit pas, en me disant « - Mon coco, tu vas pouvoir voir si la bosse de ses 15 ans est toujours aussi intense ».

Le brief demande :

Je lui demande s’il a pris tous les éléments demandés dans le brief et il me répond que oui, tout est prêt dans sa valise. Nous rigolons car je lui dis :

• — En effet, avec une si grosse valise, tu aurais pu rester plus qu’une nuit chez moi à moins de te changer 4 fois par heure.

Au travail ! J’arrive avec un pinceau mais je le rassure et lui indique que nous allons faire un léger maquillage pour que les photos HD sorte bien. Rien de visible mais au contraire corriger les impuretés qui pourraient se voir à l’objectif. Une fois maquillé il est rassuré car il comprend ce que je voulais dire.

Il commence donc par un pantalon de training, une paire de pompes toutes neuves et un polo Lacoste. Nous prenons quelques clichés, puis passons au costume. Je l’aide à faire son nœud de cravate car il n’a pas l’habitude, contrairement à moi qui la porte tous les jours. Il a la classe le salaud ! Je lui dis :

• — Tu devrais plus souvent te mettre en costume, tu as la classe, ça te va super bien !

Il enlève son costume et le voilà en slip, pas trop le temps de checker son paquet, mais celui-ci semble moins impressionnant que dans les souvenirs et il me demande si avec le jeans pour la photo topless, il ne devrait pas plutôt mettre son boxer Calvin Klein blanc. Je ne peux que confirmer son choix. Pensant qu’il allait aller dans la salle de bain pour changer de sous-vêtement. Que nenni, il enlève son slip, légèrement tourné pour me présenter son fessier et enfile son boxer. Presque gêné c’est moi qui me détourne. Il dit :

• — Tu m’as déjà vu nu, donc j’ai pensé que cela ne posait pas de problème ?

Ce que je confirme. Le voilà maintenant top less devant moi, un beau jeans fit et la bande élastique CK qui dépasse légèrement du jeans. Quel beau corps, bien musclé mais pas trop, chaque trait est dessiné mais pas trop prononcé. Je lui dis :

• — Ben mon grand, je vois qu’on ne se laisse pas aller, t’es en forme ! De mon côté, j’ai beau faire du sport, je n’arrive pas à me séparer de quelques kilos superflus.

Nous rigolons. Je lui explique que la séance maquillage va devoir se prolonger à son cou et buste pour les mêmes raisons. Il est habitué maintenant et n’a plus de craintes. C’est un plaisir de palper son corps si tonique. En faisant les avant-bras, je vois qu’il n’a pas l’air de s’occuper de ses aisselles. Je lui explique :

• — Nous allons faire attention que tes poils soient bien rangés lors des photos mais je t’avertis que si u es pris, lors du shooting avec l’agence ils risquent de te ratiboiser tout ça…

Il est surpris et me dit qu’au village, personne ne s’épile les aisselles et donc il n’a jamais osé le faire. Je comprends et lui dis qu’il peut aussi tailler et pas forcément tout enlever mais lui dis de ne pas s’inquiéter.

Le shooting se passe bien, nous faisons même une photo avec le bouton du jeans ouvert, type sexy, ça lui va bien, je pense qu’elle sera un atout pour sa sélection. Maintenant vient le temps des 3 sous-vêtements différents. Je lui demande ce qu’il a apporté et il me montre un caleçon classique à carreaux, très bien, le boxer blanc qu’il porte et un slip noir. Je dis que je pense que les deux premiers sont biens mais le slip noir est quelconque et qu’il devrait faire plus osé. Soit un blanc plus stretch de marque ou alors carrément un string ou jog strap. I

Il est intrigué mais est d’accord avec mes conseils et me demande si j’ai quelque chose à lui prêter. Je vais voir dans mon dressing et ressors avec un string et un jog strap. Je crois que le string, je ne l’ai jamais porté mais avais dû le recevoir d’une ex qui trouvait ça sexy. Nous commençons les photos avec le boxer CK vu qu’il le porte déjà. Ça lui va bien, la bosse est bien là et présage, contrairement à ma première pensée que rien n’a disparu, bien au contraire.

Il passe ensuite au caleçon, cette fois je ne détourne pas mon regard et vois que sa bite est bien au repos mais toujours aussi belle. Il a le prépuce qui dépasse juste ce qu’il faut. Par contre il me semble que sa touffe de poils, elle a grandi… Je ne dis rien et reprends les photos avec le caleçon. Aussi très réussi, un beau jeune homme pour la pub Ralph Lauren.

Nous devons finir car la journée est bien avancée et je lui ai promis de découvrir un bon resto parisien ce soir. Je lui dis :

• — Tu veux essayer quoi en premier ? Le jog ou le string ?

Il dit :

• — Le jog, je pense qu’un truc dans le cul ça m’ira pas, et nous rigolons.

Il baisse son caleçon et je lui tends le jog. C’est là que la confirmation tombe : il n’a jamais entretenu sa forêt pubienne… Il enfile le jog et je lui dis :

• — Ça va pas aller coco, tu as vu la forêt qui dépasse ? On n’arrivera pas à tout planquer et ça passera jamais pour ton book.

Il rougit et dit qu’il n’a jamais osé y toucher, ne sachant quoi faire. Il me dit :

• — Qu’est-ce que tu as toi ? Plus un poil comme quand on avait 7 ans ?

Je lui réponds que j’ai eu une copine qui était contre les poils, donc que je rasais chirurgicalement mais que maintenant j’avais une petite toison que je tondais régulièrement. Il me dit « Montre moi » en souriant. Je lui réponds que s’il n’a pas peur, je peux. Aussitôt dit, aussitôt fait, je baisse mon short et mon boxer et me voici exhibant mon sexe devant mon ami. Il regarde et dit :

• — Ouah c’est pas mal en effet, et tes bourses sont toute lisses comme celle d’un bébé. On les prendrait bien main.

Éclats de rire. Je lui dis :

• — Tu peux essayer si tu veux.

Ni une ni deux, il m’entreprend les bourses, pas violement mais de manière assez virile. Et me dit qu’il veut la même chose. Je remonte mon boxer et mon short. Sa main sur mes couilles m’a laissé tout chose et je ne peux m’empêcher de bander comme un con ! Une érection heureusement pas complète bien dissimulée dans mon boxer. Je lui dis :

• — Si tu veux la même chose, à poil et file à la salle de bain.

Il s’exécute. Je le rejoins dans la salle de bain et sort ma tondeuse. Je la lui tends et lui dis de m’appeler si besoin, que je vais déjà uploader les photos prises jusqu’à maintenant. Il me demande de rester et de le faire moi, car il ne sait pas comment faire. Je lui dis être un peu gêné mais vu que nous nous connaissons depuis longtemps et si c’est lui qui demande, j’accepte. Il insiste et me dit :

• — Vas-y, fais une belle coupe de cheveux à ma bite.

Nous rigolons et je mets la tondeuse en marche. Je commence par le haut du pubis. Puis passe le long des cuisses… il tressaille et je vois son sexe qui se met à grossir à vue d’œil. Il s’excuse et dit qu’il ne peut pas contrôler. Je le rassure et dis que c’est normal. J’empoigne sa queue depuis le gland et commence à tondre le long de sa tige. Là, il bande pour de bon et une première goutte de liquide séminal pointe sur son gland. Je lui dis :

• — Mais tu mouilles ma coquine, en rigolant pour détendre l’atmosphère.

Dans mon boxer ça fait pas le malin, car je suis tout humide et suis bien content d’être à genoux devant lui afin de cacher mon émoi. Je continue et m’attelle à ses couilles aussi. Il me demande de les faire douces comme les miennes. Je lui rase donc ces belles couilles bien lourdes. Il est vraiment raide comme l’ébène et mouille beaucoup. Je passe la main sur ses couilles et sur son pubis et lui dis que c’est fini, il est tout propre. Il se regarde et me remercie pour le boulot, qu’il est vraiment content du travail.

En me relevant, sa queue touche ma joue et me laisse une trace. Il regarde mon entrejambe et là, je ne peux pas cacher mon érection. Il ne dit rien, je l’encourage à prendre une douche pour enlever les poils qui restent. C’est là qu’il me dit :

• — Tu ne peux pas me laisser comme ça, prends la douche avec moi.

Et là, comme porté, je me dénude et me mets en tenu d’Adam comme lui. Je bande comme un taureau et suis tout mouillé. Il se met à genoux et prend ma queue en main, fait quelques allers-retours puis l’engouffre dans sa bouche. Je suis au paradis, jamais je n’avais été sucé comme ça. Je ne peux me retenir longtemps tellement c’est bon et le préviens mais il ne veut pas en perdre une goutte ! Il avale tout et je tombe à genoux d’extase.

Je ne peux pas le laisser comme ça, raide et tout mouillé, et commence donc un lent va-et-vient sur sa belle grosse tige. Après quelques minutes je la lèche, et en deux coups de langue, un jet chaud atterri dans le fond de ma gorge, suivi de plusieurs autres sur le visage et les cheveux. Il gémit fort, tremble et me rejoins sur le sol de la salle de bain.

Nous sommes comme deux cons, allongés dans la salle de bain, avec un sourire béat, un peu de sperme chacun aux commissures des lèvres.

Après quelques minutes, je reprends mes esprits, et nous fais prendre une douche. Il ne faut pas longtemps pour que nos jeunes queues de mâles reprennent de la vigueur. La sienne est maintenant sublimée puisqu’aucun poil long ne lui fait de l’ombre. Un sabre fier, droit et bien large au garde-à-vous devant moi. Je suis raide aussi à me faire presque mal. Nous repartons dans une branlette mutuelle, que sa queue est douce, finissant par un deuxième orgasme simultané, incroyable !

Nous voilà tout propres et vidés d’un peu de notre semence… Prêt pour la suite du shooting. Celui-ci se termine rapidement avec la séance maillot de bain.

Après tout ce travail et nos ébats, nous avons bien mérité le resto que j’avais réservé. Nous passons une belle soirée sans reparler une minute de ce qui c’était passé dans la salle de bain.