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Temps de lecture estimé : 17 mn
14/01/16
Résumé:  La première partie du séminaire est terminée. Trois semaines de pause avec une rencontre prévue au milieu et surtout les retrouvailles des deux collègues pour la seconde partie... Ils ont résisté au plaisir de la chair jusque là, pourront-ils encore ?
Critères:  fh extracon collègues hotel travail amour jalousie lingerie massage confession nostalgie
Auteur : Indigosecret      Envoi mini-message

Série : Le séminaire

Chapitre 02
Le séminaire - Partie 2 - Désir intense

Résumé de la partie 1 : « Jeu dangereux »


Lors d’un long séminaire organisé par ma société à l’extérieur de mon agence, je fais la connaissance de Léa, une jolie jeune fille. Malgré le fait que tous deux n’étions pas célibataires, un jeu de séduction s’installe entre nous et notre relation devient de plus en plus ambiguë, voire dangereuse. Puis, lorsque Léa se sépare de son compagnon, tout commence à basculer. Les barrières tombent une à une et la ligne rouge est presque franchie, mais nous résistons. Pour l’instant…



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Pendant les trois semaines de pause que nous offre notre séminaire, je suis partagé d’une part entre la culpabilité des moments et de la nuit que j’ai passée avec Léa et d’autre part l’envie de la revoir, de recommencer, d’aller plus loin… Plus d’une fois, j’ai séduit et invité des filles chez moi (lorsque j’étais célibataire) pour de folles et intenses nuits de sexe. Mais cette fois, c’est différent ! Ce jeu de séduction qui s’est construit petit à petit, en faisant monter tout doucement le désir, avec toutes ces barrières à ne pas franchir est très trompeur, il vous enivre de la même façon qu’un cocktail sucré, dont le goût de l’alcool est peu prononcé, vous rend joyeux. Au final, ce jeu met mon corps en ébullition et le fait mijoter, il me fait perdre mon côté rationnel ainsi que toute retenue. Je me souviens qu’au lycée, en philosophie, un de nos sujets avait été le désir et un de mes collègues avait disserté sur « À quel moment éprouvons-nous le plus de plaisir ? Dans la chambre de la fille ou dans de l’escalier qui mène à celle-ci ? ».




Nuit de jalousie, nuit d’excitation


Nous sommes donc au milieu des trois semaines, entre les deux sessions du séminaire, et une journée est prévue en « terrain neutre », l’agence de Lyon. Nous avons tous notre propre chambre d’hôtel. Au programme, gros après-midi réunion, dîner tous ensemble puis soirée à l’extérieur pour les plus courageux.


Lorsque je revois Léa, je ne peux pas m’empêcher d’avoir un pincement au cœur. Suis-je en train de tomber dans le piège de mon propre jeu ? La réunion s’éternise, le repas suit (dans la bonne humeur et avec toujours cette excellente ambiance) et, finalement, nous sommes une dizaine à décider de sortir dans un bar dansant. J’ai eu l’occasion de discuter de nouveau avec Léa et nous n’avons pas évoqué notre dernière soirée. Je lui dis que c’est la soirée idéale pour s’ouvrir de nouveau à de nouvelles rencontres après l’échec de sa dernière relation. Les attirer ne devrait pas être trop difficile, Léa porte une petite robe noire mettant sa silhouette particulièrement en valeur, épaules nues, des bas et des talons. Difficile de lui rester indifférent, elle est élégante, gracieuse et renvoie une image de pureté, angélique même.


Une fois arrivée dans le bar, je sens bien qu’elle a envie de se lâcher. Pendant ces quelques jours passés seule, elle a dû beaucoup réfléchir et se triturer le cerveau. Elle doit avoir besoin de se vider l’esprit, de se détendre. Elle danse pendant que moi je reste à une table en train de la dévorer discrètement du regard. Son corps m’attire comme un aimant, son parfum et son goût me manquent, j’ai terriblement envie d’elle, le nier serait mentir… Mais je me contiens. Elle m’invite à danser, mais je suis fatigué ce soir et je crains tout débordement en public, je préfère l’observer. Elle insiste un peu, puis y retourne. Il faut peu de temps avant qu’elle ne se fasse aborder par un homme. Il est grand, athlétique, loin d’être repoussant. Elle semble plutôt réceptive et danse un peu avec lui avant d’accepter un verre au bar. Je sens de la colère monter en moi, m’envahir, j’ai envie de les séparer et de la garder pour moi uniquement, serait-ce de la jalousie ?! Après lui avoir dit de s’ouvrir aux autres et de m’être effacé, je ne supporte pas de la voir rire aux blagues d’un autre, je n’ai qu’une envie, partir ! Au bout d’une demi-heure de conversation, elle revient. Le sourire sur ses lèvres montre qu’elle passe une bonne soirée, qu’elle a réussi à faire abstraction de sa situation qui la tourmentait ces derniers jours. À 3 h du matin, je lui propose de rentrer et nous voilà dans un taxi direction l’hôtel, les autres restent encore au bar.



Je ne réponds pas et me remets à regarder la rue défiler dehors. Nous arrivons à l’hôtel, montons à l’étage où sont nos deux chambres et nous arrêtons sur le palier de ma chambre.



Était-ce vrai ou non ? Ces petits problèmes féminins peuvent souvent servir d’excuse. Cependant, elle a envie de passer la nuit auprès de moi et je mentirais si je disais que moi, non. J’ouvre alors la porte et l’invite à entrer en prenant soin de vérifier que personne ne nous voit. Elle s’avance dans la chambre pendant que je ferme la porte et j’entends la fermeture éclair de sa robe s’ouvrir avant que la robe ne glisse le long de son corps. Sa peau claire et lisse apparaît, décidément elle aime la dentelle ! L’image de cette fille de dos avec uniquement un soutien-gorge, un string, ses bas et ses talons est sublime. Ses fesses me captivent toujours autant. J’avance en commençant à me déshabiller pendant qu’elle poursuit son effeuillage, son soutien-gorge et ses bas viennent rejoindre sa robe et ses talons au sol. Nous nous couchons et elle vient aussitôt se lover contre moi, sa peau est tellement douce et elle sent si bon…


La suite est assez similaire à notre dernière nuit, nous nous enlaçons et nous embrassons fougueusement sauf que cette fois quelque chose a changé chez elle. Léa ne semble plus faire preuve de la même retenue, elle se livre totalement, elle n’a presque plus d’hésitation. J’ai envie de plus de contacts cette fois, je lui propose d’enlever le peu qu’il nous reste de vêtements et, cette fois, aucune résistance. Elle est sur le dos lorsque je saisis les deux côtés de sa culotte. Elle soulève alors son bassin et je la fais glisser le long de ses jambes, révélant sa petite toison claire. J’enlève ensuite mon caleçon et viens me placer entre ses jambes, redressé, comme si j’allais la pénétrer.


J’ai les mains sur ses genoux, mon sexe en pleine érection est posé sur son pubis. La vue est exceptionnelle : le rideau de la chambre n’est pas totalement fermé et la lueur de la lune nous éclaire faiblement en ajoutant des effets d’ombre. Elle est là, devant moi, nue, excitée, offerte et je suis au-dessus d’elle, nu, le sexe bandé et gonflé d’excitation. Mais elle n’avait pas menti et ses petits tracas féminins ne nous permettent pas d’aller plus loin. Nos sessions de caresses s’enchaînent, cette fois elle n’a plus de gêne ou de pudeur et ses mains parcourent l’intégralité de mon corps en s’attardant tout particulièrement sur ma partie la plus intime. Après une intense session de caresses, de langoureux baisers, de frottements l’un contre l’autre, je m’allonge finalement sur le dos avec la fatigue qui commence à m’envahir. Elle se blottit dans mes bras et nous nous endormons ainsi tous les deux.


Un certain temps après m’être assoupi, dix, trente, cinquante minutes ou plus, je ne pourrais pas le dire, je sens quelque chose me tirer de mon sommeil. J’ouvre les yeux et la vois à côté de moi, assise sur ses talons, toujours intégralement nue, avec un grand sourire en train de masturber mon sexe dur et totalement dressé avec sa main. Elle ne tremble pas, n’est aucunement gênée comme elle l’était la première nuit, au contraire, elle a cet air espiègle. Elle savoure et s’amuse du plaisir qu’elle procure. Depuis combien de temps je suis en érection ? Difficile à dire, mais elle commence presque à me faire mal. J’ai tellement envie de lui sauter dessus, de lui faire l’amour, de me libérer de toute cette excitation et frustration contenue. Je sens comme une nécessité de jouir. Malheureusement, ses caresses ne suffisent pas et elle ne semble pas décidée à joindre ses lèvres à l’acte (je ne veux pas lui demander, je trouve ça déplacé, ça doit venir d’elle). Au lieu de ça elle se penche vers moi et me murmure à l’oreille : « il faut dormir… ».


Décidément, elle est pleine de surprises et sait comment faire mijoter un homme. Le reste de la nuit passe lentement, avec de courtes phases de sommeil perturbées par la barre rigide que j’ai entre les jambes. Au matin, après un petit déjeuner, nous reprenons tous les deux nos trains partant dans deux directions opposées. Une fois arrivé chez moi, la maison étant vide, j’allume l’ordinateur et je me masturbe devant la première vidéo que je trouve afin d’extirper toute la frustration. Au moment de jouir, je ferme les yeux et son corps apparaît, sa bouche, ses seins, ses hanches, son petit cul, son intimité… Les jets qui sortent de mon sexe sont impressionnants, je me sens délivré, pour l’instant…




Un délicieux retour


Les jours passent et la deuxième et dernière partie du séminaire approche, il va bientôt être temps pour moi de faire mes valises et d’y retourner. Mon collègue et moi avions pris soin de réserver le même gîte que lors de la première partie. Depuis plusieurs jours, les échanges par messages se sont intensifiés. Léa m’a invité, le soir de mon arrivée, à venir dîner chez elle et j’ai énormément hésité à accepter. En effet, arrivant un dimanche en début de soirée après trois semaines d’absences, le gîte serait vide et peu de restaurants encore ouverts. Léa m’a donc proposé de cuisiner un petit quelque chose pour nous deux.


Cependant, depuis la première nuit chez elle, je sentais que, de son côté, les barrières commençaient à tomber (surtout au niveau de son comportement). Nous avions échangé au sujet de notre situation et plus particulièrement de la mienne (non célibataire) et nous étions d’accord sur le fait que certaines limites ne devaient pas être dépassées au risque d’amèrement le regretter et de gâcher notre « amitié ». Avec du recul, cette façon de penser me fait maintenant rire. Le point à ne pas dépasser avait déjà été franchi depuis longtemps. Cependant, nous avions innocemment convenu la pénétration comme étant l’interdit absolu, le moment à partir duquel nous basculerions dans le mal. Je m’interdisais de le faire, car je ne voulais pas réellement tromper ma femme et Léa, qui est une fille correcte, nous l’interdisait, car elle ne voulait pas être une voleuse de mari, une maîtresse. Elle ne voulait pas non plus que je puisse avoir des regrets par rapport à notre relation et encore moins que je la voie comme une erreur. Ce discours est, avec du recul, totalement incohérent et absurde. Mais il faut comprendre que nous étions dans une sorte de bulle et en plein effet tunnel. Chaque fois qu’une barrière était franchie, nous la repoussions. L’attirance était trop forte entre nous et les moments que nous étions en train de vivre tellement beaux, on aurait dit deux adolescents en pleine découverte.


Cependant, je commençais à sentir que la volonté de respecter l’interdit ultime, du côté de Léa, s’estompait et que, de mon côté, je perdais toute raison dès le moment où nous étions seuls. C’est pourquoi, en toute lucidité lorsque j’étais loin d’elle, j’essayais d’éviter de créer ce genre d’occasion, seul à seul avec toute la nuit potentiellement devant nous.


Malgré tout, dans un élan de confiance et faussement rassuré par l’obligation de rentrer dormir au gîte pour ne pas éveiller les soupçons de mon colocataire, j’ai décidé d’accepter l’invitation de Léa. Après un long trajet, j’arrivais donc chez elle pour déguster un petit dîner mijoté avec beaucoup d’amour. En début de repas, l’hésitation évoquée et une pointe de culpabilité par rapport aux événements passés ont généré une certaine gêne dans l’atmosphère. Ainsi, nos rapports ont été totalement platoniques pendant tout le repas : bise à mon arrivée, aucun geste déplacé ou amoureux. Le dîner fut à la hauteur des efforts, les plats étaient excellents et le vin avait été choisi judicieusement. Malgré cela, à aucun moment de la soirée je n’ai douté de mon attirance pour Léa et sa façon de me dévorer du regard était en parfaite opposition avec son comportement amical. C’est une fois le dessert terminé que la soirée commença à déraper.



Je pouvais me lever, dire que c’était l’heure d’y aller et m’échapper, mais je n’avais aucune envie de partir. Je réfléchissais donc à une idée pendant que Léa, tête légèrement inclinée se massait le cou. Une idée me traversa l’esprit.



Je me lève, viens me placer derrière elle et commence à lui masser la nuque.



C’est risqué, mais pourquoi pas…





Massage et plus si affinités


Direction l’escalier, elle passe devant moi et je la suis dans sa chambre. Ses petites fesses bougent à la hauteur de mon visage dans l’escalier, elle commence déjà à m’exciter, je les croquerais bien ! Ça va être dur de résister ! Nous arrivons dans la chambre, elle sort l’huile et me la tend.



Elle s’exécute, devant moi, sans aucune réticence ni aucune gêne. Elle commence par faire glisser son jean le long de ses hanches puis de ses jambes en me tournant le dos. Je vois ses petites fesses que j’avais déjà envie de croquer tout à l’heure apparaître, décorées d’un petit string dentelle noir. Puis c’est son haut qui va rejoindre son jean au sol. Elle se tourne vers moi, me faisant face et déboutonne son soutien-gorge. Pendant qu’elle l’enlève, son bras vient masquer sa poitrine. Elle attend quelques secondes et révèle celle-ci. Elle est désormais presque intégralement nue devant moi, à quelques centimètres. Je sens son doux parfum fruité et je vois ses deux tétons pointer vers moi. Je suis déjà excité, mon sexe est à moitié gonflé dans mon jean, mais je me (ou le) contiens.


Elle s’allonge sur le lit, j’enlève ma chemise pour être plus confortable et viens me placer au-dessus d’elle, assis sur ses fesses. Après avoir enduit mes mains d’huile de massage, je commence par sa nuque et ses épaules puis je descends progressivement, ses bras, son dos, la chute de ses reins. Je m’applique énormément et prends tout mon temps pendant qu’elle savoure. Je prends également un certain plaisir à caresser sa peau si douce, à effleurer le bord de ses seins, la naissance de ses fesses… Puis je m’attaque à ses jambes : je pars des mollets puis je remonte au niveau des cuisses avant de passer au meilleur sur lequel je m’attarde tout particulièrement, ses fesses. Elles sont d’une douceur exceptionnelle, ni trop fermes ni trop molles, parfaites ! Je les masse pendant de longues minutes et je sens que mon sexe continue de gonfler. Il est de plus en plus à l’étroit dans mon jean. Je lui demande de se retourner et elle s’installe sur le dos.


Après avoir remis un peu d’huile, je passe le dos de mes mains le long de son cou vers son buste puis les retourne, la paume sur ses seins. Ils sont magnifiques et sa peau est d’une finesse inouïe. La taille est parfaite, ni trop grande, ni trop petite. Ils sont décorés par une chute de taches de rousseur et l’un d’eux possède un grain de beauté près du mamelon. Quels mamelons… de couleur marron, ils sont presque assortis à la couleur de ses cheveux ondulés. Lorsqu’elle est debout, ils se tiennent haut et sont bien fermes, je suis amoureux de ses seins…. Je commence par les caresser doucement, tout doucement comme si j’avais peur de les abîmer. Puis mes caresses commencent à s’intensifier et je les malaxe. Je commence à jouer avec le bout de ceux-ci, avec ses petits tétons si mignons qui commencent à réagir à mes stimuli.


Je lève les yeux vers son visage, elle a les siens fermés et de petits sourires s’affichent en fonction de mes caresses, elle apprécie on dirait… Mon excitation continue de monter. J’ai devant moi une femme magnifique qui me fait en permanence perdre le contrôle, presque intégralement nue et qui ne peut rien me refuser… Je la désire tellement, depuis tant de temps… la toucher, la caresser ne me suffit plus, j’en veux plus, je veux lui donner plus de plaisir, je veux la goûter ! Je passe mes mains de chaque côté de l’élastique de son string et fais glisser lentement celui-ci. Aucune résistance de sa part, elle respecte sa promesse et se laisse faire.


À genoux à côté d’elle, je me penche vers l’avant et ma bouche entre en contact avec sa peau au niveau de son ventre plat que j’embrasse. Je commence alors à descendre en déposant des petits baisers le long de son ventre, puis au niveau de l’aine. Je me déplace doucement et viens me mettre entre ses jambes que j’ai délicatement écartées. Je continue ma progression le long de sa cuisse jusqu’à arriver au genou puis je fais demi-tour et reviens vers son jardin sacré. Sa petite toison finement taillée est toujours là, je salive d’impatience de la découvrir. J’approche désormais ma bouche de son petit minou, je sens la chaleur que provoque l’excitation et elle sent ma respiration chaude sur celui-ci. Je ne suis plus qu’à un centimètre lorsque je me décide enfin à la lécher pour la première fois. Puis une deuxième et une troisième fois, je prends mon temps à chaque coup de langue afin de la savourer comme on le ferait pour un bon vin. Elle a un goût sucré, aphrodisiaque. Chaque fois que je la goûte, je n’ai qu’une envie, c’est d’y retourner.


Son petit minou a une couleur entre le rose et le rouge. Les deux grandes lèvres sont gonflées d’excitation et légèrement écartées, on peut apercevoir les deux petites que je viens écarter avec la pointe de ma langue. Au fur et à mesure que je progresse, j’entends sa respiration s’accélérer et s’intensifier. Et le fait que ma main droite ait profité de l’occasion pour aller caresser son sein et titiller son téton n’est pas totalement étranger. Ma langue continue quant à elle son exploration, elle prend confiance et s’aventure de plus en plus loin et de plus en plus profond… Elle se met à la recherche de son petit bouton magique, son clitoris, jusqu’à trouver celui-ci, puis commence à faire connaissance. Elle s’amuse avec lui, alternant les mouvements, tantôt de haut en bas, tantôt circulaires, tantôt lents et puissants, tantôt rapides et légers.


La température continue de monter et au bout de vingt minutes de stimulation, je sens Léa se tendre, ses cuisses se referment et viennent serrer ma tête, elle va jouir. J’intensifie les mouvements de ma langue jusqu’à la fin de son orgasme. Mais j’en veux encore, j’adore tellement la dévorer, sentir que je lui procure un si grand plaisir… Je continue, loin d’être lassé, j’engloutis l’intégralité de sa petite chatte, je n’ai plus aucune limite et cette fois, je n’y vais pas doucement, mais plutôt comme une personne assoiffée découvrant une oasis au milieu du désert. Je lèche chaque recoin, encore et encore. Elle aime, elle adore, je la sens se tendre de nouveau au bout d’une quinzaine de minutes et nous allons ensemble chercher son deuxième orgasme.


Tellement de plaisir, tellement d’excitation ! Je suis heureux de lui offrir autant, mais pour ma part la frustration est au maximum. Mon sexe est en érection depuis plus d’une heure. Il était à l’étroit dans mon jean et me faisait mal alors, pendant que je m’occupais d’elle, j’ai défait ma ceinture ainsi que les boutons du haut et tiré légèrement sur l’élastique de mon boxer. Libéré, le bout de mon pénis en pleine érection est sorti aussitôt. Après lui avoir donné un deuxième orgasme, Léa reste allongée sur le dos, sans bouger, tétanisée par le plaisir que je viens de lui procurer. Je me mets alors à remonter le long de son corps pour venir l’embrasser. Un petit bisou sur ses seins puis me voilà à hauteur de son visage, de ses lèvres. Je m’approche pour l’embrasser et dans mouvement, le bout de mon sexe entre en contact avec le sien. Je sens une petite décharge électrique me traverser, je la désire plus que tout et maintenant que je l’ai goûtée je veux la sentir, je veux la posséder. J’abaisse de la main un peu plus mon boxer et fais avancer mon bassin afin de la pénétrer. Mon gland commence à écarter ses grandes lèvres lorsqu’elle récupère ses esprits et m’arrête net d’une main sur le torse



À ce moment-là, je sens la pression de sa main qui retenait mon torse se relâcher. Je suis dans un état second, guidé par mes envies, incapable de réfléchir. Je murmure du bout des lèvres « Juste pour goûter » et avant qu’elle ait de nouveau le temps de réagir, j’abaisse mon bassin et sens mon sexe se frayer un chemin dans le sien. Je sens la barrière que forment ses lèvres extérieures s’écarter mon gland pénétrer à l’intérieur de son vagin si chaud et dont l’excitation l’avait préparé à m’accueillir. Je le sens glisser le long des parois, remonter à l’intérieur de son corps pour la première fois. Quelle sensation de bien-être ! Je la pénètre jusqu’au trois quarts de la longueur de mon sexe. Elle ferme les yeux, sa bouche s’ouvre en grand et laisse échapper un profond soupir et sa tête bascule en arrière. Je recule légèrement les fesses puis la pénètre de nouveau, intégralement cette fois. Mon pubis vient se poser contre le sien, je la possède intégralement. Je la désirais tellement et maintenant elle est mienne. Nous partageons le lien le plus intime qui soit entre un homme et une femme. C’est l’extase, une sensation indescriptible, du plaisir à l’état pur. Je reste ainsi quelques secondes avant d’être rattrapé par un éclair de lucidité qui me traverse l’esprit, « que fais-je ? ». Je me retire et je sens qu’il n’en aurait pas fallu beaucoup plus pour qu’elle me rende un des deux orgasmes que je lui avais donné tant l’excitation est importante. Léa me regarde, elle ne sait pas quoi dire, quoi penser, que vouloir. La situation nous a échappé, nous avons probablement été trop loin. Elle ne sait pas quoi faire, me demander de continuer ou me laisser partir, elle me regarde simplement me relever et me rhabiller.



Sur le coup, je me voile totalement la face, je me persuade qu’il ne s’est rien passé ou plutôt trois fois rien. Ce n’est pas comme si je lui avais fait l’amour ! Après m’être rhabillé, j’embrasse Léa et je me sauve jusqu’à mon gîte avec toute la difficulté de laisser une si belle femme, nue, seule et qui n’a qu’une envie, que vous lui fassiez l’amour toute la nuit, encore et encore. Une fois arrivé, mon colocataire est déjà couché. Je vais me brosser les dents et me laver la barbe, car j’ai le parfum sucré et très plaisant de son intimité qui m‘embaume puis je fonce au lit, je me doucherai demain matin. Les souvenirs de cette soirée flottent dans ma tête, les images sont magiques. Lorsque je quitte mon boxer pour enfiler mon caleçon, le fait d’effleurer mon sexe suffit à remettre le parfum divin de son intimité sur ma main. Je m’endors en faisant de très beaux rêves…