Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 17226Fiche technique9249 caractères9249
Temps de lecture estimé : 6 mn
15/01/16
Résumé:  Par cette belle soirée d'été, un peu fatiguée, je rentre dans notre chambre, une petite brise filtre à travers les volets roulants entrouverts. Ton corps dénudé s'offre à mon regard, et cela me donne des idées...
Critères:  fh cérébral voir fellation anulingus -totalsexe -hsoumisaf
Auteur : Patrik  (Carpe Diem Diemque)            Envoi mini-message
Tu es à moi

Ce petit texte est issu d’une esquisse initiale de ma chère et tendre femme qui est très coquine à ses heures,

ce dont je ne me plains nullement !




Par cette belle soirée d’été, un peu fatiguée, je rentre dans notre chambre, une petite brise filtre à travers les volets roulants entrouverts. Les draps à tes pieds, tu es étendu sur le dos, tête calée dans l’oreiller, les yeux fermés, un livre ouvert à tes côtés. Ton corps dénudé s’offre à mon regard, et cela me donne des idées…


Précautionneusement, je m’assois sur le bord du lit, je range le livre sur ton chevet et je commence à me déshabiller lentement. Une fois nue, je suis prise d’une envie subite, et farfouillant mon armoire, je déniche un bustier que je revêts pour unique vêtement. Je découvre aussi dans un coin deux vieux bas, je me demande bien pourquoi je ne les ai pas jetés ! Alors que, bas en main, je m’assieds à nouveau sur le lit, je sens la caresse distraite de ta main sur moi. Tu aimes balader tes doigts sur mon corps, même en plein sommeil.


Malgré sa semi-obscurité, je te regarde en souriant, je prends ta main, je la lie au montant du lit avec un premier bas, puis je fais de même avec l’autre. Toujours ensommeillé, tu te laisses faire, tandis que je te surplombe pour finir de t’attacher. Je teste en tirant sur les liens improvisés, ça m’a l’air de résister…


Je vois ton regard un peu étonné, je me penche, je t’embrasse et te murmure :



Lentement, je m’allonge près de toi, ma main effleure ton corps dénudé. Avec mes ongles vernis, je trace de fins et longs sillons sur ta peau, délicatement, lentement. Mes doigts agrippent tes tétons, ils les pincent doucement, puis plus fort, jouant avec, comme tu le fais souvent avec moi. Puis je m’égare ailleurs sur ton corps, revenant torturer tes pointes de temps à autre selon mon humeur taquine. Ta respiration se fait plus forte, plus pressante, je vois ton sexe grossir de plus en plus…


Te voir ainsi à ma merci, pouvoir me servir de toi, m’excite au plus haut point !


Toujours enserrée dans mon bustier qui agrippe la faible lumière filtrant du dehors, consciente de ma position en force, majestueuse, je m’agenouille juste à tes côtés, te surplombant, te dominant. Je veux que tu me voies, au-dessus de toi, sanglée de vinyle, que tu m’admires, que tu me veuilles, que tu me désires sans pouvoir le faire. Je le vois bien dans tes yeux, je le lis bien dans ton regard. Puis m’abaissant, je couvre ton corps avec mes longs cheveux soyeux, puis je te caresse avec, sur ton torse, sur ton ventre, sur ton pubis et enfin, sur ton sexe.


Je te sens frémir, vibrer, cela me donne une furieuse envie de continuer ma douce torture ! Graduellement, je monte et je descends de ta tête à tes cuisses, m’attardant vicieusement ci et là. Peu après, ma langue prend la relève, d’abord sur tes lèvres chaudes que j’embrasse lentement, doucement, tes lèvres que je mordille, que je déguste à loisir. Puis je descends sur ton torse, sur tes tétons, ton ventre puis juste au bord de ton sexe. Toutes ces choses que je te fais subir me donnent autant de plaisir qu’à toi, je sens bien que ma chatte est en feu, elle est brûlante, prête à recevoir cette queue bien gonflée que je connais si bien et que j’aime tant !


Vicieusement, je m’acharne sur chaque parcelle de ton corps, je lèche, je taquine, je bisoute, je mords, je croque, je griffe, j’ai envie de laisser ma trace pour que tu te souviennes longtemps, très longtemps, toute ta vie, que tu es à moi. Rien qu’à moi !


Me redressant, te dominant de ma stature, je pose alors mes yeux sur ta tige bien raide, mes doigts s’en emparent, s’activent dessus ! Sadiquement, je te branle vite et fort, te décalottant férocement, coulissant bien de haut en bas de ton mandrin tout chaud ! Puis soudain, j’arrête ton supplice afin de te laisser souffler et surtout pour ne pas te laisser éjaculer ! Ce serait dommage que tu lâches tout maintenant ! Haletant, tu me supplies de te détacher, mais je ne céderais pas ! Tu es à moi, je ferais ce que je veux de toi ! Quoique ça ne me déplairait pas du tout que tu t’occupes de moi comme tu le fais si bien, mais j’ai décidé que ce serait comme ça ce soir…


Voracement, je te fais taire d’un baiser brûlant et, malicieuse, je te chuchote de la voix la plus sensuelle et cochonne :



Aussitôt, je passe à l’action ! Je déploie ma langue pour suivre toute la longueur de ton braquemart. Je le traite en gros bonbon suave, ma sucette de chair. Espiègle, je suçote ton gland tremblant et luisant. Puis je l’engloutis, je l’aspire, je l’accueille entre mes lèvres affamées, pendant que ma main malaxe tes couilles bien pleines ! Puis abandonnant ta queue, je lape tes boules de chair à grands coups de langue, je les prends dans ma bouche, je les aspire, je les gobe, je les goûte !


Quelque temps après, je change de manœuvre. Je te relève les jambes afin de bien dégager tes fesses, mettant une main sous tes fesses. Vorace, je me mets à te lécher ta raie, je rentre le bout de la langue dans ton anus, le plus loin, le plus profondément que je puis ! Haletant, tu me cries d’arrêter, de te détacher ! Mais tu ne serres pas pour autant les jambes pour l’interdire l’accès à ton petit trou sombre ! Donc, je continue un peu, m’amusant à t’explorer de la sorte.


Puis, te voyant presque à l’agonie, la bite qui tressaille beaucoup trop, je décide alors d’arrêter ton supplice et le mien !



Excitée comme une folle, je me redresse puis, prestement, je te chevauche, m’enfonçant en toi sans effort ! Avide, je remue ma croupe pour bien te sentir en moi, j’extirpe mes seins du bustier, je les presse fort, très fort ! Puis me penchant, je les porte jusqu’à ta bouche, t’ordonnant de les sucer, de les vénérer !



Je pose mes mains de part et d’autre de ta tête, laissant pendre mes seins vers ta bouche, te giflant même parfois avec, essuyant ta salive en frottant impudiquement mes masses molles sur ton visage. Tu me dévores férocement la poitrine, suçant, mordant, câlinant mes tétons bien dressés !


Mes coups de reins t’arrachent des soupirs, je te serre au plus profond de moi ! Je te sens bien en moi ! J’adore quand tu es en moi de la sorte ! J’adore quand tu t’occupes de mes seins ! J’adore quand je me libère, quand je me sens cochonne, quand je sais que ma jouissance va bientôt venir, qu’elle va bientôt éclater, pour toi comme pour moi, fulgurante, puissante !


Ah le fétichisme du bustier ! Cette sensation d’être à la fois chienne et Domina, la caresse du vinyle sur ma peau, les jeux d’ombre et de lumière de cette matière, ce côté sophistiqué et décadent ! Oh que j’adore ça ! Tout ça !



Bouche ouverte, yeux fermés, je me redresse, m’échappant de ta bouche vorace. Je veux profiter de ta grosse bite en moi, je veux la sentir bien en moi, chaudement en moi, vigoureuse en moi ! Je veux me sentir pleine de toi ! Déchaînée, je me pistonne sur ta belle queue qui me donne tant de plaisir, mes seins libérés qui s’agitent, ballottant impudiquement !



Te savoir toi aussi au bord de la jouissance me fait atteindre l’orgasme ! J’explose, je crie mon plaisir, cette vague, ce tsunami qui m’emporte comme un fétu de paille, avec mille étoiles dans les yeux et mille papillons dans les entrailles ! Toi aussi, tu te laisses aller, tu ne tardes pas à me rejoindre, tu éjacules en moi, tu me barbouilles le vagin de ton sperme chaud, me remplissant. Oh que j’aime être remplie tout en jouissant comme une petite folle ! Oh oui !


Haletante et tremblante, je m’abandonne contre toi, vautrée impudiquement sur ton corps. Puis, après quelques longues minutes de quiétude, de tendresse, je te détache. Te frottant les poignets, d’un sourire ambigu, juste avant de m’enlacer, tu me dis :