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n° 17230Fiche technique8554 caractères8554
Temps de lecture estimé : 6 mn
18/01/16
corrigé 07/06/21
Résumé:  Sensations...
Critères:  fh fellation cunnilingu -internet
Auteur : Reve77  (Regrets)            Envoi mini-message
Sensations

Cela fait des jours que nous parlons sur internet. Nous échangeons nos impressions, nos fantasmes. Et si notre rencontre devenait réalité ?

Hier soir, ce souhait s’est réalisé. Voici notre histoire :



Nous nous retrouvons comme prévu devant un restaurant que tu connais. Après un repas agréable, nous avons pu vérifier que nous étions bien faits pour nous entendre. C’est tout logiquement que j’accepte d’aller boire un verre chez toi.


Pour moi, c’était une boisson fraîche, mais sans alcool, car je n’apprécie pas.


Rapidement, nous profitons de la musique pour nous enlacer au rythme de la mélodie tout en restant debout. Nos deux corps qui se frôlent, s’attirent et s’entraînent l’un l’autre. Rien de tel pour faire monter le désir et en plus cela favorise les regards, les yeux dans les yeux ! Ton regard est gourmand, le mien te dévore déjà.


À ce moment-là, aucun mot, mais des sourires, des regards, des gestes qui en disent plus long que tous les discours. (Surtout que certains hommes ont tendance à être plutôt lourds et directs, ce qui casse l’ambiance). Les échanges sont partagés et sans équivoques, de délicats baisers dans le cou, des jeux avec le souffle sont parfaits pour exciter tous les sens. Ce soir, tu as préféré une boisson mentholée dont la fraîcheur me fait frissonner.


Les caresses arrivent tout naturellement d’abord sous forme d’effleurements qui nous font, là aussi, frissonner et excitent notre toucher et notre sensibilité. Puis nos mains plus appuyées qui marquent nos formes et vont exciter à travers les vêtements nos zones les plus érogènes (seins, fesses, dos, hanches…) Nos corps tout entiers se frottent, nos sexes s’effleurent…


Puis, délicatement et tout lentement, le frôlement des vêtements retirés irradie chaque parcelle de nos corps. Nos baisers délicats, nos caresses se font dès lors à même la peau. Nos yeux de plus en plus expressifs suggèrent le désir et l’attirance de nos deux êtres.


Des deux, c’est toi qui commences à t’occuper de moi, les gestes sont légers et furtifs. À nu, ma peau est sensible au moindre geste, au moindre souffle et chaque frisson augmente mon désir et mon excitation.


Après tes lèvres, ta langue recouvre tout mon corps en insistant sur certaines zones (lobes des oreilles, cou, seins qui sont bien gonflés, durs et pointus). Puis doucement, accompagnée par des caresses du dos, des reins et des fesses, ta langue descend vers mon nombril et arrive au niveau de ma toison dorée. Ici tes baisers me font savoir que tu es prêt à me faire très plaisir !


Mais pour faire augmenter mon excitation, mon désir, mes pulsions (et peut-être me faire enrager de plaisir) ta langue descend le long de mes cuisses en évitant l’objet de mes désirs (et du tien, je l’espère). L’intérieur de mes cuisses est très sensible et m’excite, car très près du but sans y être vraiment. Là, j’attends que tu remontes, mais tu me fais languir par des baisers de plus en plus appuyés, de plus en plus proches, mais encore trop loin !


Après quelque temps de ce supplice si délicieux, tu remontes enfin vers mes lèvres inférieures qui, après un tel traitement, sont gonflées, sensibles et lubrifiées. Tu les embrasses comme si tu étais sur mon visage. D’abord en surface puis en immisçant ta langue. Chaque lèvre est serrée, embrassée par tes lèvres et ta langue. Tel un baiser fougueux et amoureux.


L’intérieur est visité par la pointe de ta langue qui ressort pour lécher les contours de ma vulve. Tu es efficace et tu ne dois pas avoir de mal à repérer mon clitoris tendu et affamé qui n’attend que d’être honoré par tes baisers. Tu le titilles, le serres, le branles de ta bouche (tu aurais dû prévoir des boules Quies, car mes gémissements retentissent très fort). Heureusement que tu n’as pas mal à la tête, car mes contorsions t’enserrent entre mes cuisses pour t’empêcher de fuir et d’arrêter ton forfait.


Tu ne pourras quitter mon sexe que lorsque je ne pourrai plus contrôler mes gestes. D’ici là, tu devras continuer, stimuler, exciter mon clitoris, mon vagin voire mes fesses et même mon anus dont le simple frôlement de l’entrée diffuse en moi des ondes de plaisir qui augmentent la force de mon orgasme. Ce dernier n’est plus loin et tu le sens monter. Pour l’accentuer, tu accélères tes mouvements, tes gestes. Le rythme rapide de tes gestes, le frottement de ta langue, les frissons, les ondes de plaisirs inondent tous mes sens, tout mon corps jusqu’à le transcender, l’amener à un niveau de plaisir si fort qu’il explose dans cri avant de me laisser sans force, inerte.


Là seulement, tu es délivré de l’emprise de mes cuisses. Et tu dois me ranimer, me revigorer par des baisers qui remontent tout mon corps jusqu’à ma bouche.


Une fois réactivée, je ressens encore ce plaisir qui m’a envahie et l’excitation qui m’habite. Je n’ai qu’une envie les partager avec toi et t’en remercier.


Tu deviens alors ma proie, l’objet de tous mes désirs et de toutes mes attentions. Mon corps se met en mouvement pour t’ensorceler, te posséder. Mes mains t’agrippent pour mieux te découvrir. Elles te palpent pour rencontrer ton sexe tendu, gonflé et impatient d’être à son tour le centre de mes intérêts.


Mes dix doigts l’encerclent, le jaugent, le caressent en l’englobant fermement pour que tu les sentes monter et descendre le long de ton bâton rigide. Mon regard et mes lèvres te défient de résister longtemps à un tel traitement.


Mais voulant en connaître un peu plus, tu te contiens, bien que quelques suintements fassent briller ton gland gonflé. C’est à ton tour d’être au supplice, d’en vouloir plus sans l’obtenir de suite.


Quand j’ai pitié de toi (ou que je n’arrive plus à résister moi-même à la tentation), je descends lentement le long de ton corps, le caressant, le palpant, le titillant, l’embrassant, le désirant.


Mes lèvres rejoignent alors ta verge et mes mains. Un baiser sur le bout me permet de jauger ta sensibilité.

La pointe de ma langue explore chaque millimètre de ton sexe pour y repérer tes réactions et enregistrer les zones les plus sensibles sur lesquelles je reviendrai plus longuement plus tard (si tu m’en laisses le temps !).

Ma bouche va palper tes testicules, les embrasser, les gober pour être sûre qu’ils sont bien chargés. Pendant ce temps, mes mains explorent tout ce qu’elles ont à portée : tes fesses, ton anus, tes cuisses…


Lors de nos échanges, tu m’as dit ce que tu aimais, alors je t’installe pour que tu puisses bien voir ce qui va se passer. Je reviens alors lécher le bout de ton gland. Mes grands coups de langue reviennent sur tes zones sensibles pour les stimuler encore plus.


Je sens ton désir monter et pour mieux en profiter, j’englobe tout ton sexe avec ma bouche. Je fais coulisser mes lèvres sur ta tige pour la sentir gonfler encore et encore. Je vais le plus loin possible au fond de ma gorge pour ressentir la force de ton sexe et m’offrir toute entière à ton plaisir. Des va-et-vient de plus en plus rythmés, de plus en plus marqués t’accompagnent dans la montée de ton extase. Mes mains s’emploient à ce que tout ton corps frémisse et s’excite à l’unisson avec ton sexe et mon propre corps.


Te sentant prêt à laisser s’échapper ta semence, tu me préviens (je m’en étais aperçue toute seule !). Sentant tes contractions arriver j’attends, les lèvres tendues, la langue prête à accueillir ton jus. Tu le déverses dans ma bouche en plusieurs saccades jusqu’à être vidé et épuisé par la violence et la profondeur de ton orgasme.


Après de telles émotions, il faudra un peu de temps et de tendresse pour nous remettre. Et reprendre des forces, écouter à nouveau le désir qui s’empare de nous et continuer notre exploration mutuelle. Ton sexe rengainé emplit mon vagin avec autant de force et de présence qu’il a empli ma bouche. Ta bouche me répond quand je t’embrasse. Tes mains répondent à mes caresses.


Je pense que ce soir, nous avons tous les deux réalisé un certain nombre de nos fantasmes.