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Temps de lecture estimé : 15 mn
23/01/16
Résumé:  Expérience avec une mamie.
Critères:  fh fagée noculotte intermast fellation cunnilingu -fplusag
Auteur : Jean Marcel            Envoi mini-message
Tatie Denise



Voici quelque temps un ami m’a parlé de Revebebe. La curiosité m’a poussé à y faire un tour, et à mon tour je me suis décidé à narrer une aventure qui m’est arrivée il y a maintenant plus de vingt ans. Quand je dis aventure, je devrais plutôt parler d’expérience, au sens où on l’entend en matière scientifique…


À cette époque j’étais responsable d’un bureau d’étude et à ce titre je me rendais fréquemment chez nos fournisseurs, plus rarement chez des clients. Bien entendu, ces déplacements loin de mon domicile m’ont amené à fréquenter nombre d’hôtels, pas toujours de premier ordre, des restaurants, pas tenus par des chefs « étoilés », bref tout ce qui fait la vie d’une personne en déplacement.


Au gré de mes déplacements, il m’est arrivé de faire des rencontres « d’une nuit », mais cela est assez commun et n’intéresserait pas le lecteur. Non, moi c’est autre chose.

Tout a commencé dans une ville de province où je me rendis à plusieurs reprises lors du développement d’un projet dont j’avais la charge. J’avais pris mes habitudes dans un hôtel, dont l’ambiance, surtout celle du restaurant, me plaisait.


Évidemment, ce qui devait arriver arriva. C’était par une nuit de mai (je crois…) je la terminais en compagnie d’une voisine de palier… Comme elle aussi restait pour deux nuits, ce furent deux nuits torrides que je passais en sa compagnie. Je ne l’ai jamais revue.


Le second soir, comme nous avions dîné ensemble, il était évident pour quiconque nous observait un peu, qu’il y avait un petit « quelque chose » entre nous…

Le temps passe. Je reviens à l’hôtel en septembre, seul. C’est là que je remarque le comportement de la serveuse – appelons-la Hélène – à mon encontre. Elle avait bien sûr remarqué mon manège avec ma première compagne d’un ou plutôt de deux soirs quelques mois plus tôt, mais je n’avais jamais cherché du côté du personnel.


Hélène paraissait avoir la cinquantaine (j’en avais 46), encore assez bien faite de sa personne, mais je la pensais mariée, rangée, tranquille. Ça s’est passé un soir. Je ne sais pas pourquoi CE soir-là. Hélène restait pour faire le bar jusqu’à la fermeture vers 11 heures. Pourquoi CE soir-là suis-je allé boire une bière ? Je n’avais jamais bu d’apéritif, tout au plus un demi en arrivant lorsque le temps était chaud, mais sans plus. Au bar, il y avait un couple (qui ne me semblait d’ailleurs pas légitime non plus) qui buvait je sais quel cocktail. Je remarquai le manège d’Hélène, elle me regardait sans cesse.


Comment avons-nous commencé à parler ? Je ne sais pas, mais un peu avant 11 heures, nous débattions tous les quatre au sujet… des rencontres fortuites ! Un temps, j’ai cru que le couple allait m’inviter, ou plutôt NOUS inviter, Hélène et moi, à partager un moment dans leur chambre. Il n’en fut rien ! Pas de partouze ce soir-là ! Rideau !


Les deux amants ayant rejoint leur nid d’amour, je restais un moment en compagnie d’Hélène. Comment est-ce arrivé ? Je ne sais pas. C’est lorsqu’elle a voulu baisser le rideau de fer de la salle du café que, la voyant forcer, je lui proposais mon aide. Le rideau était effectivement coincé, mais après deux ou trois tentatives je réussis à le faire descendre. C’est lorsqu’elle a tendu la main pour reprendre la manivelle que ma main trop proche de la sienne s’est refermée sur elle. Elle n’a pas bougé, son regard en disait plus long que n’importe quel mot. Nous étions là, face à face, sa main enserrée sous la mienne, ne cherchant pas à se dérober. Je lui pris son autre main dans la mienne, elle se laissa faire. Je l’attirai vers moi, je l’embrassai sur la joue car elle eut un mouvement inattendu au moment où j’allais poser ma bouche sur la sienne, mais très vite elle tourna la tête m’offrant ses lèvres. Ce fut bref. Elle se détacha de moi, recula en gardant la manivelle à la main et alla la ranger dans un placard destiné cet effet.


Par gestes, elle me fit signe de la suivre derrière le bar en me montrant le plafond un index sur les lèvres : j’avais compris, la patronne devait dormir au-dessus

Nous passâmes tous les deux dans la cuisine non sans qu’elle eût au préalable éteint les lumières de la salle et du bar. Je la suivis, elle m’entraîna dans une pièce située de l’autre côté de la cuisine. Je la pris par les épaules, et la faisant se retourner face à moi et l’embrassai à pleine bouche. Elle répondit à mes baisers en femme experte.



Je sentis que j’allais simplement devoir me contenter de baisers que nous échangions, mais soudain, j’ai osé :



À peine une demi-heure plus tard, nous étions chez elle, un bel appartement, bien meublé.

Décrire ici la nuit que nous avons passée n’aurait, je l’ai dit, rien d’extraordinaire. Elle aimait faire l’amour, je lui donnais, elle me donnait ce dont nous avions envie tous les deux.

Le lendemain alors qu’elle ne reprenait son service qu’à 11 heures, elle eut la gentillesse de me ramener à l’hôtel. Le soir, j’étais revenu à la maison.


Durant les semaines qui ont suivi, je suis revenu dans cette ville, et dès le troisième voyage, je n’avais plus de réservation à faire à l’hôtel. Ils avaient perdu un client…

C’est après plusieurs mois de rencontres épisodiques et agréables que c’est arrivé. Je téléphonai à Hélène que je serais là un mercredi en fin d’après-midi.


Mais la destinée – car je l’ai su bien plus tard, ce qui s’est passé est dû au hasard – est ce qu’elle est. Ce jour-là, j’ai terminé mon travail vers trois heures car nous devions commencer tôt le lendemain pour des essais de machine. J’arrive chez Hélène vers les trois heures et demie au lieu de cinq heures habituellement, sans avoir téléphoné. Elle m’ouvre, m’embrasse et m’invite à entrer. De suite, j’ai su qu’elle n’était pas seule ; sa façon de m’embrasser, et surtout ce parfum qui flottait.


Une femme était assise sur le canapé qui s’est retournée à notre entrée. Une femme d’un certain âge pour ne pas dire d’un âge certain. Cependant, elle était encore bien sur elle, maquillée juste ce qu’il faut si ce n’est ce rouge à lèvres criard et déposé largement au-delà des limites habituelles. Un tube ne devait pas durer longtemps avec elle !



Je m’avançai pour lui serrer la main, mais la tante en question se leva et contournant le canapé, elle vint m’embrasser comme un membre de la famille.



Je lui répondis poliment que pour moi, ce serait Denise, si elle n’y voyait pas d’inconvénient, ce qui sembla la satisfaire. Hélène m’invita à m’asseoir, et le canapé étant occupé, je pris place, très gêné à ce moment, je dois le dire, sur le fauteuil qui faisait face à Tatie Denise.


Hélène nous proposa un café, que j’acceptai de même que Denise, et celle-ci commença à me parler. Je crois que je serais passé dans un trou de souris. Moi qui étais parti en avance de chez mon fournisseur, je me retrouvai face une femme à qui je donnais au bas mot 70 ans, mais qui, je dois le dire, avait un certain charme ; et la conversation avec elle était quand même d’un bon niveau, on sentait la femme qui a de l’instruction.

Hélène nous amena le café qu’elle déposa sur le guéridon entre le canapé et le fauteuil où j’étais. Je maugréai en moi, il fallait bien sûr que j’attende le départ de Denise et celle-ci ne semblait pas pressée de partir.

Je me demandai si Hélène l’avait mise au courant de notre relation, mais à aucun moment dans notre conversation il n’en fut question.


C’est là qu’il y a eut, disons, la première « alerte ». Denise était assise face à moi, elle portait ce jour-là une robe plissée, de couleur prune ou violette c’est selon… Elle se dressa sur le siège pour s’avancer vers le guéridon afin d’y attraper sa tasse, ou plutôt d’y mettre un sucre, et pour cela elle s’avança écartant outrageusement les cuisses ! Je remarquai de suite les cuisses blanches au-dessus des bas de couleur gris, et même si je n’étais pas attiré par ce genre de femme, la blancheur de ces cuisses ne laissa pas insensible. Elle demeura ainsi plusieurs secondes, mais le plus fort est qu’elle ne portait pas de culotte !


Il faisait assez clair dans le salon, et j’aperçus, plus qu’un bref instant, son sexe, ses poils, gris et rares, et l’emplacement de la fente de sa vulve, bien refermée à ce moment-là. Je fus troublé, s’en aperçut-elle ? Le faisait-elle exprès ?

Toutes sortes de choses me parcoururent l’esprit à ce moment. La plus folle étant qu’Hélène sachant ma venue avait convié chez elle cette « Tatie Denise » pour une petite partie à trois ! Voulait-elle me la présenter, bien qu’elle sache que j’étais marié et simplement un « ami de passage » qui ne ferait jamais son nid avec elle. Ou autre chose ? Mais quoi ?


Tout cela circulait à cent à l’heure dans ma tête, et j’avais du mal à tenir la conversation avec Denise.

Son café sucré, Denise se recula et si, au début de notre entretien, je n’avais pas particulièrement remarqué la position de ses jambes, dorénavant elle les maintenait légèrement écartées, me permettant « seulement » de voir ses cuisses blanches au-dessus des bas.

Hélène revint avec une assiette garnie de gâteaux, s’excusant de ne pas avoir eu le temps d’aller acheter des petits fours.


J’eus encore droit à une vue plongeante de l’entrejambe nu de Denise lorsqu’elle s’avança pour attraper un gâteau, d’autant que sa robe, je le remarquai à présent, était remontée, découvrant ses genoux. J’avais beau essayer de détourner mon regard vers son visage, mais force m’était de constater qu’il revenait toujours à ses genoux et ses cuisses.


Je la regardai alors, entre deux vues sur ses cuisses blanches prolongées par des bas, et je m’aperçus qu’elle avait dû être belle étant jeune. Un certain charme se dégageait de son regard, et elle avait toujours une expression de bonheur.

Le temps passait, et j’avais droit à une vue de ses cuisses et de son entrejambe chaque fois qu’elle s’avançait pour prendre un gâteau. J’avais envie de la mettre dehors pour batifoler avec Hélène, mais elle persistait à continuer à parler.

Au moins une heure s’était écoulée depuis mon arrivée chez Hélène, et à part ces vues sur l’intimité de sa tante, je restais sur ma faim.

Finalement, Denise se décida :



On approchait de six heures. Elle se leva en m’offrant une dernière vue, et là je distinguai sa fente légèrement entrouverte, ce qui, malgré son âge, commençait à me faire de l’effet.

Je me levai à mon tour, et m’avançai pour la saluer. Il était temps qu’elle parte, et je n’aurais pas mon petit « apéritif » avec Hélène, la connaissant, nous allions nous mettre à table dès que Tatie Denise serait partie. Hélène l’embrassa, puis ce fut à mon tour. C’est là que ça a commencé. Je lui fis une bise sur la joue, mais au moment où j’allais embrasser l’autre joue, elle ne tourna pas complètement sa tête et moi emporté par mon élan je l’embrassai sur le coin de la bouche ce qui ne sembla pas du tout lui déplaire. Elle me tenait la main à ce moment-là et je sentis nettement qu’elle me serrait plus fort.



Et elle m’embrassa à nouveau, tenant toujours ma main, et encore une fois, donc ce n’était pas un hasard, mais ce coup-ci je m’y attendis, je posai ma bouche sur le côté de la sienne, et je sentis nettement un petit pincement sur mes lèvres. Vingt ans après, je m’en souviens comme si j’y étais…

Denise partie, Hélène me regarda en rigolant :



Je me regardai dans une glace, effectivement le coin de ma bouche étant marqué du rouge écarlate de Tatie Denise.

Je ne parlai pas à Hélène de cette vue sur sa tante sans culotte, ce qui est rare car à cet âge, mais je ne le connaissais pas encore, les femmes se mettent quelquefois des garnitures pour les « petites fuites ». Apparemment, rien de côté-là avec Tatie Denise.

Nous avons mangé, mais tout au long du repas je ne pouvais ôter de mon esprit cette vue du sexe de Tatie Denise, ainsi que sa proposition, car c’en était une : « Je compte sur vous ! ».


Ce fut ma pire nuit avec Hélène. Je n’arrivais pas à déclencher le plaisir chez elle, quant à moi, je ne voyais que cette fente entrouverte lors de sa dernière apparition.

Le lendemain je quittais Hélène de bonne heure car il fallait que je sois très tôt chez le fournisseur pour faire les essais.

Le cœur n’y était pas, je n’arrêtais pas de penser à Denise. Petit à petit, cela s’est incrusté en moi, je le sentais : j’avais envie de la revoir. J’essayais de me raisonner, « Elle au moins 25 ans de plus que toi », « Elle était naturelle, elle ne s’exhibait pas », « Elle avait peu être oublié de mettre sa culotte »…


Mais non, j’avais le souvenir de cette main serrée dans la sienne, et de ces deux baisers sur le coin de sa bouche, car si le premier était peut être dû à une mauvaise synchronisation due au mouvement de nos têtes, le second ne laissait aucun doute ; elle avait oublié de tourner la tête pour rencontrer mes lèvres.

Et Hélène, innocente, complice ? Je m’en posais des questions.

La semaine suivante, je revins trois jours, et je passais deux nuits chez Hélène qui, soit dit en passant, (il y a prescription…) me fournissait des factures pour me faire rembourser ma chambre d’hôtel…


En mai Hélène m’annonça qu’elle partait une semaine au mois de juin en Grèce avec une amie que je connaissais, mais avec laquelle il ne s’est jamais rien passé.

C’est justement cette semaine-là où j’ai dû comme par hasard aller chez notre fournisseur pour finaliser le produit, notamment les formalités pour le dépôt du brevet. Un bon gueuleton en perspective !

C’est là que m’est revenue en tête l’invitation de Denise. Et si j’allais sonner à sa porte ?

Dans le fond je ne risquais rien, j’avais ma chambre à l’hôtel, et puis comme je l’ai dit les femmes de cet âge, c’est pas mon truc, mais la curiosité aidant…

Il était environ cinq heures lorsque je sonnai à l’interphone.



Bzzzzz… La porte était déverrouillée. L’ascenseur. La porte en face était déjà ouverte, Denise m’invita à entrer, elle s’effaça et referma la porte derrière moi.



Ce jour-là, je la voyais différemment, pas de maquillage, pas de rouge à lèvres, elle paraissait nettement plus décrépite. Elle avait une robe de chambre rose, serrée à la taille, et j’ignorais ce qu’elle portait dessous.

Sans autre préliminaire, et alors que j’attendais la bise à droite et pour la seconde on verrait, elle colla sa bouche sur la mienne. Surpris, je répondis, même si je n’arrivai pas à y croire : rouler un patin à une femme qui aurait pu largement être ma mère ! J’essayai de décoller ma bouche pour l’embrasser dans le cou, impossible ! Elle aspirait mes lèvres, poussait sa langue dans ma bouche, tenait ma tête à deux mains.

Je réalisai que j’étais venu comme ça, sans fleurs, sans cadeau, les mains vides, mais cela ne la dérangea pas.



Ce mot, je l’aurai à mes oreilles jusqu’à mon dernier souffle. Comment une femme de cet âge (j’ai su plus tard qu’elle avait alors 76 ans, oui 76 ans passés !) pouvait-elle encore faire preuve d’autant de désir. Le désir en effet se lisait dans ses yeux. Elle me prit une main et m’amena dans une chambre, la sienne je suppose, s’assit sur le bord du lit, me regarda :



C’est elle qui défit sa ceinture, se leva pour laisser choir au sol sa robe de chambre ; elle portait dessous une chemise de nuit en coton, pas du tout le modèle sexy ; elle l’ôta également offrant ses seins, bien plus gros que je n’aurais imaginé, le téton déjà pointé, ce qui m’étonna pour une femme de cet âge.


Ce jour-là elle n’était pas « sans culotte », mais portait une de ces culottes renforcées qui soutiennent le ventre, et pas facile à enlever, je m’en souviens encore. Si elle ne m’avait pas aidé, je crois que j’y serais encore !


Nue ! Elle était nue devant moi ! Assise sur le bord du lit, elle défaisait ma ceinture. J’avais enlevé ma cravate, et je quittai ma chemise quand je m’inquiétai des préservatifs : ils étaient dans ma chambre d’hôtel, planqués sous le matelas. Pas question de rapport non protégé ! Je sentais la nymphomane qui court, même à son âge, après une queue pour se faire ramoner, alors peut être que ce serait « Niet », mais de toute façon j’avais encore deux nuits à passer ici.

À peine eut-elle baissé mon pantalon, que j’avais sur les genoux, qu’elle prit ma queue en bouche sans se préoccuper de la laver. Au bout de quelques allers-retours, elle la laissa et en me regardant me dit :



Et elle recommença à pomper, mes mains appuyées sur ses épaules, je n’arrivais pas à les descendre sur ses seins que je voulais mettre au creux de mes mains.

Partie comme elle l’était, j’étais prêt à me laisser aller dans sa bouche, après tout elle avait l’air de faire ce qu’il faut pour ça…

Elle s’arrêta d’un seul coup, me regarda, et s’allongeant sur son lit, elle prononça son mot favori :



La prendre alors, non car je n’avais pas de préservatif, lui en demander, je ne m’y voyais pas, j’aurais préféré qu’elle me « finisse » avec sa bouche, comme ça j’étais tranquille, mais non, elle me désirait au plus profond d’elle-même.

J’hésitai un moment qui me parut une éternité, cette femme au corps encore bien conservé, juste un peu de ventre maintenant qu’elle avait ôté sa gaine de maintien, des cuisses lisses, tout juste pouvait-on voir quelques rides à hauteur de l’aine et au-dessus des genoux.

Elle fit glisser ses mains sur son ventre, allongea ses doigts le long de son sexe encore fermé et l’ouvrit.



J’avais compris, mais comme sucer une vielle, cela ne me tentait pas, elle insista, écartant davantage son sexe, remontant sur le lit et soulevant ses jambes ; elle était encore souple ! Je tentai de glisser une main vers son intimité, mais elle arrêta le mouvement de mon bras



Je dus alors me résoudre à me pencher, et à lui faire un baiser sur le ventre, et je commençai à descendre, donnant de petits coups de langue de plus en plus près de son sexe.



Finalement j’entrai, si je puis dire, dans sa zone de poils et un peu plus bas je pus, en me reculant, en admirer son sexe.

Je n’avais jamais vu un sexe de vieille femme d’aussi près, et qui plus est, ouvert à ma vue. Sous son clitoris déjà bien sorti du capuchon, lequel était très fripé, je fus surpris de la dimension de son méat ; je pense que j’aurais pu y mettre un doigt, en effet l’orifice devait mesurer près de un centimètre, et je n’avais qu’une peur c’est qu’au toucher… je prenne une giclée d’urine, ça m’était arrivé avec une femme beaucoup plus jeune, quelques années auparavant…


Finalement sur son insistance, je trouvai son petit bouton sous ma langue, tout en me méfiant du petit orifice plus bas. Ce fut une explosion de… plaisir pour elle. J’en avais même peur qu’elle fasse une attaque, compte tenu de son âge…


Son sexe laissait suinter un peu de mouille, mais je m’attardai surtout sur son clitoris, le faisant rouler entre mes lèvres, tout en le frictionnant, avec la pointe de ma langue.

Autant qu’il m’en souvienne, elle a dû avoir un ou deux orgasmes à ce moment-là. J’ai toujours en mémoire son goût, son odeur. Que ne sait-on les mettre en mémoire comme les sons ou les images !


Sur ses insistances, et emporté par ma fougue, j’oubliai bien vite ma réticence à la protection, et je la pénétrai. Déçu ! Son sexe était flasque, mou, je ne sais toujours pas si je la pénétrai réellement ou si j’enfonçai la partie externe de la vulve à l’intérieur. De plus, le peu de lubrification m’a incité à me retirer rapidement, et à revenir à mes jeux de langue.


J’ai essayé, en vain je dois le dire, de me positionner en soixante-neuf, lui offrant mon sexe, moi allongé à ses côtés, non ! Elle m’offrait son sexe de face, elle me le fit clairement comprendre, de manière pas très diplomatique. J’ai même cru un instant qu’elle allait me mettre dehors !

Finalement elle comprit ce que je voulais, mais elle ne mouillait vraiment pas assez. Comme je n’avais apporté de préservatif, je proposai de rester aux jeux de langue ; bien m’en a pris. Pour continuer, je m’étais allongé près d’elle, et nos échangions de profonds baisers.


Elle s’assit sur le lit, me caressa le corps, et je compris où elle voulait en venir, je n’avais qu’à me laisser faire. Elle se pencha sur ma verge tendue et commença une fellation d’experte. Elle s’arrêta, pour me prévenir qu’elle n’accepterait pas que je lui décharge dans la bouche, elle fut très claire là-dessus. Je me laissais aller, et lorsque je sentis que j’allais exploser je le lui criais, elle lâcha ma queue pour la finir en me branlant.

Ce fut un plaisir de branlette alors que, de par sa position, je ne pus que lui caresser les fesses, à peine la fente. Elle se leva pour aller se laver les mains, me laissant seul sur son lit. J’étais à ce moment-là un peu déçu, et même frustré.

Elle revint avec une serviette qu’elle posa sur mon corps puis, s’asseyant à côté de moi, elle m’embrassa longuement.

Je ne sais en quels termes elle me le dit, mais j’ai compris que je ne passerai pas la nuit avec elle. Je dus me rhabiller et rejoindre mon hôtel.

En partant, je tentai, en l’embrassant, un « à demain », et à mon grand étonnement, car je croyais cette « expérience » sans lendemain, elle répondit :



Je la quittai avec une drôle de sensation, mais devant revenir le lendemain, je prendrai mes précautions, à avoir des préservatifs…


À suivre