Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 17240Fiche technique30835 caractères30835
Temps de lecture estimé : 19 mn
26/01/16
Résumé:  La ménopause ! Beurk ! Et pourtant si vous saviez...
Critères:  fh fhh 2couples cocus collègues fellation 69 pénétratio sandwich hsodo attache confession
Auteur : ViolaFleur      
Un mal pour un bien

Mes confidences s’adressent plus particulièrement aux femmes et j’espère que mon expérience pourra en aider quelques-unes. Mais les hommes que je devine majoritaires peuvent s’en inspirer et « débloquer » une situation qu’ils soupçonnent, mais ne savent pas gérer.




***




Moi, la ménopause ne m’a pas beaucoup affectée par les symptômes classiques des bouffées de chaleur et de l’irritabilité ; juste un peu. En réalité c’est par la disparition de mon appétence pour la sexualité que je l’ai vraiment ressentie. Pour Marc et moi, la sexualité a toujours tenu une grande place dans notre vie. Au début on baisait au moins une fois par jour, mais bien sûr, au fil des années, nous avons diminué, sans jamais descendre en dessous de trois fois par semaine. Le nombre a été remplacé par la densité de nos baises, en introduisant de nouvelles pratiques, de nouvelles situations, de nouveaux gadgets. Alors lorsque j’ai perdu cette envie, dans un premier temps j’ai simulé, chose que j’avais peu faite avant. Et puis, comme pour me faire pardonner et éviter des pénétrations qui ne me donnaient plus de plaisir, j’ai commencé à pomper mon mari et aussi à boire son sperme. C’est à ce moment qu’il a compris que nous avions un problème. C’est ainsi qu’il a réduit ses envies au strict minimum, en général le samedi matin, alors que je suis encore chaude et humide de la nuit. Ma gynéco m’avait bien dit que cela allait revenir, mais le temps passait, passait.


C’est un mercredi après-midi que ma vie a changé. Un début d’incendie dans les locaux où je travaille me fait terminer ma journée bien plus tôt que d’habitude. En rentrant à la maison, je sais y trouver Marc qui, en tant qu’enseignant a son après-midi de libre. Mais dès la porte d’entrée refermée, je remarque un manteau que je ne connais pas. Des bruits de voix semblent aussi provenir du fond de l’appart. Peut-être regarde-t-il la télé dans notre chambre. Mais, par la porte entrebâillée, ce n’est pas un programme pour enfant que je découvre. Une femme est à quatre pattes sur notre lit et mon mari, derrière elle, est en train de la baiser. Il y met de l’ardeur. Son ventre claque sur les fesses de sa partenaire. Sa partenaire qui ne cesse de parler, d’une voix rauque, sensuelle, avec des mots crus, encourageant son amant à la prendre.



Il me semble connaître cette voix et pourtant je n’arrive pas à lui mettre un visage. Mais la femme tourne un peu la tête du côté de la porte et je la reconnais. C’est Maryse, une collègue à Marc, prof de philo. Elle et son mari sont déjà venus à la maison et nous sommes allés chez eux. C’est elle et ce n’est pas elle. La femme qui parle si crûment, qui tortille du cul n’est pas la Maryse que je connais. Celle que je connais est presque timide. Son mari, prof de sport est plus extraverti. Ils forment un couple, tout en retenue, discret, très agréable à fréquenter. Ils sont nettement plus jeunes que nous, une quinzaine d’années environ.



La pute que mon mari force à se plaquer le visage sur le lit, fournissant ainsi une croupe cambrée à son désir. Et son désir est bien visible, matérialisé par cette queue que je connais si bien, longue, large, très dure, bâton de chair chaude et vivante. C’est vrai qu’il est bien monté, mon homme. Je n’ai pas connu tellement de partenaires avant lui, mais de tous il est le mieux membré. Mais aussi il sait s’en servir et pour mon plus grand bonheur, enfin avant mon problème, il est capable de me fourrer pendant de longues minutes, s’assurant toujours que ma jouissance vienne avant de se libérer.


Mes pensées se bousculent dans ma tête. Dois-je entrer et faire un scandale ? C’est drôle, je n’ai jamais vraiment imaginé que Marc pourrait me tromper. Pourtant ce que je vois, si ce n’est pas un adultère, alors je suis aveugle. Je suis jalouse. Oh oui, je suis jalouse. Mais je m’étonne moi-même de n’être jalouse que parce que j’aimerais être à la place de Maryse et ressentir tout ce qu’elle dit avec tant de détails scabreux. Je suis fière. Mais oui, fière que mon homme soit l’amant d’une femme, belle et bien plus jeune que lui.


Qu’auriez-vous fait à ma place ? Moi je me sentais coupable, même si ce n’était pas de ma faute, de ne pas pouvoir satisfaire mon mari. Alors, je n’ai rien fait. Je suis restée à les regarder. À entendre Maryse crier sa jouissance. À voir Marc le ventre collé contre le cul de sa maîtresse, se crisper et balancer au fond de la matrice les giclées de foutre que j’aimais tant avant.


Et puis silencieusement je m’éloigne et je vais m’asseoir dans le salon, attendant que le couple termine. Des bruits d’eau m’indiquent qu’ils ne vont pas remettre le couvert, pourtant Marc en est capable en très peu de temps. Je les entends qui passent dans le couloir, qui se saluent et se quittent. La porte d’entrée claque. Marc va repasser pour certainement aller faire un peu de ménage et aérer la chambre afin que sa femme ne s’aperçoive de rien. Mais, c’est sa femme qui allume la lumière du salon. Cela le surprend. Il entre et me découvre dans mon fauteuil.



Bien sûr la question ne demande pas de réponse. Il continue.



Là aussi la réponse est évidente.



Je décide de ne pas me laisser embarquer dans des mensonges tous plus grossiers les uns que les autres.



Avant de répondre, il me regarde. Il cherche à me sonder du regard. Mais, et je m’en étonne moi-même, il ne voit qu’une femme qui questionne calmement.



Un silence s’installe. Il s’approche de moi, me prend tendrement dans ses bras. Je ne refuse pas son approche.



Certaines vont penser que je suis « bonne poire » et que je pardonne bien facilement. Mais je le crois. Je l’aime toujours et je pense qu’il est sincère lorsqu’il me confirme son amour. Je n’ai même pas besoin de réfléchir avant de répondre :



Voilà. C’est une sorte de pacte. Bien sûr, les lundis et les mercredis après-midi, il m’arrive de penser à ce couple qui baise dans ma chambre. Marc est un amour avec moi. Il est plein d’attentions et de délicatesse. Même lorsqu’il me fait l’amour, il est encore plus que d’habitude aux petits soins, et toujours abandonne un flot de salive près de ma fente pour compenser la sécheresse de mon vagin.


Mais encore une fois le hasard va s’en mêler. Un samedi, alors que je fais un grand ménage dans notre chambre, je découvre une pochette. Sous notre lit nous avons, Marc et moi, chacun un grand tiroir dans lequel nous mettons un tas de choses : livres, documents, etc. Dans celui de mon mari, il y a aussi tous nos gadgets sexuels, du gode en passant par les œufs vibrants et toute une série d’accessoires accumulés au fil des années. Et c’est dans son tiroir que je découvre cette pochette que je ne connais pas. Et cette pochette contient elle aussi des accessoires ; des menottes, des liens, des bandeaux, deux plugs et aussi une boule qui est manifestement destinée à entraver une bouche. Cette découverte me choque, car cela signifie que Marc ne fait pas que baiser sa maîtresse. Manifestement les deux amants se retrouvent dans une communion de situation avec des jeux qui montrent un attachement que je crains trop fort.


Dès le lundi suivant, je décide d’aller vérifier. J’entre discrètement. Là encore, des bruits proviennent de la chambre. La porte est presque à demi ouverte, mais heureusement le couloir est sombre et si je ne m’avance pas trop je resterai invisible. La surprise est telle que je me mords les lèvres. Ils ne sont pas seuls. Hugo, le mari de Maryse est présent. Il est allongé sur le lit, nu comme les amants, mais aussi je vois nettement que ses deux bras sont immobilisés par les fameuses menottes, elles-mêmes fixées aux barreaux de la tête de lit. À côté de lui, mais dans l’autre sens, Marc est en train de baiser la femme. Installés comme ils sont, Hugo a une vue imprenable sur l’intimité de Maryse que la belle bite bourre régulièrement. Cela n’a pas l’air de lui déplaire, car lui aussi bande de ce spectacle. Il faut dire aussi que pendant que Marc baise la femme, celle-ci caresse la bite de son mari et qu’elle ne cesse de parler.


Décidément Maryse est une bavarde et manifestement ce n’est pas sans effet sur les deux hommes. Je crois que, plus que les mots crus et orduriers, c’est son ton de voix qui frappe. Hugo semble apprécier alors qu’elle le rabaisse, lui disant que Marc est mieux monté, plus résistant, qu’il sait comment la faire jouir… Cela doit faire un moment que le trio s’active, car je vois bien que mon mari commence à donner des signes de faiblesse. Sa jouissance est en route. Il va déverser son foutre dans la matrice de Maryse. Celle-ci pousse des cris lorsque les jets lui lessivent le con.


Le couple semble satisfait, repu, Marc restant bien au fond de la femme. Mais Maryse bouge. Elle retire le mandrin de sa grotte et plaque une main comme si elle voulait garder en elle le produit de son amant. Alors en deux, trois mouvements elle vient se placer sur le visage de son mari, accroupie de part et d’autre du torse et lui présente sa fente à lécher.



Aucune protestation de l’homme. Manifestement il est habitué de ce traitement. Tout est pourtant étrange dans cette scène. Je ne parle même pas de Marc qui s’est levé du lit et regarde le couple. L’homme, grand, musclé, si sûr de lui dans la vie, dominé par sa femme, petite chose fragile qui le chevauche comme une fine cavalière dompte un étalon. Mais c’est cette contradiction qui est troublante. Pendant un long moment, Maryse se tortille sur la bouche de son mari. Nul doute qu’il soit obligé, mais n’est-il pas demandeur de ce traitement, de lécher soigneusement la chatte, les coulures de foutre, les rigoles de jouissance de sa femme, mais aussi toute la raie des fesses et le petit trou du cul. Elle ronronne de plaisir. Il gémit.


Et puis elle se penche. Je crois un instant que c’est pour, dans un 69 familial, aller sucer la queue de Hugo qui ne démérite pas dans sa belle érection. Mais en réalité c’est pour se saisir des chevilles de son mari, les attirer à elle et se redressant, les tirer vers le haut. Marc est bien sûr toujours là. Le mouvement de sa maîtresse lui donne maintenant une parfaite vue sur l’intimité du mari. Il suit du regard le mouvement des jambes qui s’élèvent et s’écartent dans un V montrant le sexe tendu reposant sur le ventre de l’homme.


« Plus tard, je me souviendrai qu’à cet instant un trouble m’envahit. Plus exactement, c’est lorsque j’ai vu que Marc tendait la main vers cette queue pour la caresser, qu’une chaleur, que je croyais perdue à tout jamais, est venue me chauffer le ventre. »


Oui, Marc caresse un homme. Pourtant lorsque nous avions abordé, il y a très longtemps, nos aventures avant de nous rencontrer, à mon aveu d’une aventure lesbienne il avait dit que jamais lui n’avait fait la moindre chose avec un homme, même dans sa jeunesse. Il branle doucement la bite, crachant plusieurs fois dans sa main pour l’enduire de salive. Je peux entendre le bruit caractéristique de la peau humide qui couvre et découvre la base du gland. C’est mon mari qui m’a appris ce mouvement et bien sûr il sait l’appliquer à un autre. Maryse ne bouge plus. Elle écrase toujours son mari sous le poids de ses fesses, mais conserve les chevilles dans ses mains. Elle regarde. Elle sourit. Les deux amants ne cessent d’échanger des regards. Je suis jalouse de cette complicité.


C’est un sursaut d’Hugo qui me fait comprendre que quelque chose se passe. Je gambergeais sur cet échange entre les complices et en regardant vers le bas, je découvre que l’autre main de Marc est plongée entre les cuisses. Au mouvement du poignet il est évident qu’un, non deux doigts ont passé le chemin du cul. Mon mari sodomise un homme et à la façon dont son poignet bouge, il le fait avec entrain. Il tourne. Il vrille. Il pistonne. Mieux il retire ses doigts et crache sur le cul avant d’y retourner et plonger à nouveau.


Et puis, après quelques mouvements pour certainement bien élargir l’orifice, je le vois bouger. Son corps s’avance et j’ai juste le temps de voir qu’il bande à nouveau avant qu’il disparaisse, caché par les cuisses d’Hugo. Mais pas nécessaire de voir les détails pour comprendre. Il encule le mari de sa maîtresse. Les fesses blanches de Marc avancent et bientôt elles semblent parties intégrantes de la scène. Maintenant c’est mon homme qui maintient les jambes de son soumis. C’est lui qui s’active et s’enfonce au plus profond des entrailles du mari de sa maîtresse. Mais pourquoi j’ai chaud entre les cuisses ?


Maryse libérée du poids des jambes de son mari se penche et transforme sa position en 69 parfait alors que, cachée par les jambes dressées, je la devine aller gober avec gourmandise la queue de Hugo. Pourquoi ma poitrine semble gonfler ? Le trio s’active. Mon homme encule. Sa maîtresse pompe. Le mari se laisse faire. J’ai l’impression que, débarrassé du poids de la chatte qui l’écrasait il est devenu le grand bénéficiaire des actions de ses comparses. Pourquoi ai-je l’impression que mon sexe s’humidifie ? Est-ce parce que j’imagine me retrouver à la place de Maryse ? Léchée par un mari nonchalant. Pompeuse de la queue maritale qui contrairement à son dire, ne démérite pas dans sa vigueur. Mais aussi et surtout avoir sous les yeux une bite bien raide qui encule son homme.


En fermant les yeux, je la vois. Longue tige rose, noueuse, grasse, humide qui plonge dans cet enfer pavé de bonnes intentions et de désirs pervers. Oui, je la vois, abandonner un instant le cul qui baille, hurlant silencieusement qu’il veut être de nouveau occupé, avant de replonger et de se faire étrangler par ce traître qui hurle d’être abandonné, mais ne peut se retenir de chercher à étouffer son envahisseur. Oh oui ! Je vois le muscle s’adapter parfaitement à la tige qui avance et recule dans une impudeur totale. Oh oui ! Je sens aussi dans ma bouche la bite qui palpite, la bite que j’ai flattée longuement, que mon amant a branlée et qui va bientôt me combler de son jus.


Mon ventre me brûle. Est-ce ma main qui se glisse sous ma robe et force l’élastique du slip pour venir caresser mon bouton ? Est-ce ma main qui passe sous mon pull et empoigne un sein puis l’autre, cherchant le téton qui pointe ? Mais mon plaisir n’est pas solitaire. Là-bas, à quelques pas, le trio n’est plus qu’un concentré de jouissance. Marc grince des dents alors qu’il inonde le cul de l’homme de son jus épais. Maryse est plus silencieuse, mais comme on dit, on ne parle pas la bouche pleine, et si je ne vois pas le détail je sais que son mari lui balance le foutre tant désiré.


Savez-vous ce qui déclenche ma jouissance ? Une jouissance que je croyais perdue, ou au moins pas si facile à retrouver. Non ? Vous donnez votre langue au chat ? La langue ? Justement ! Eh bien c’est ce baiser que Marc, mon mari, échange avec sa maîtresse. Ce baiser ou Maryse partage le sperme de son mari avec son amant. Ce baiser pervers, avec une impétuosité qui laisse couler quelques traces du liquide qu’ils se partagent. Des traces que chacun des amants va récupérer sur les lèvres de l’autre avec, justement, cette langue goûteuse. J’ai joui, mais aussi j’ai pris peur. Peur, car Marc fait bien plus que baiser pour se vider les couilles. Il est en train de s’éloigner de moi par ces pratiques. Des pratiques qui ne me choquent pas, mais qui m’inquiètent, car hors de ma présence. Et pourtant c’est bien leur spectacle qui m’a excitée et même fais jouir. Que dois-je faire ?


Je pars discrètement laissant les amants reprendre leur souffle. Mais la nuit, alors que Marc dort à mes côtés, ce que j’ai vu vient polluer mes rêves. Mais sont-ce bien des rêves ? Le matin, j’ai chaud, je suis excitée. Marc est tout étonné que je le sollicite en le suçant. Il ne dit rien, mais lorsque je le chevauche, engloutissant sa verge tendue dans une grotte qu’il découvre humide et accueillante, il ne peut que me sourire.



Un long silence s’installe. Mais un peu plus tard, alors que nous nous levons pour nous préparer, je reçois un des plus beaux cadeaux que Marc pouvait me faire. Un cadeau qui me montre que j’avais tort de m’inquiéter.



Mon cœur bat à se rompre. Quelle plus belle preuve d’amour que cette proposition.



Marc me regarde avec attention. A-t-il remarqué que j’ai parlé de ses amis et non pas seulement de Maryse ? Je ne sais pas, en tout cas il répond.



Vérifier ! Mais vérifier quoi ! Le lundi suivant, je guette leur arrivée. Maryse et Hugo passent devant moi, cachée dans ma voiture. Ils entrent chez moi. J’attends quelques minutes. Je veux les voir dès le début et vérifier mon hypothèse. J’entre sans bruit. L’appartement est silencieux. Je me déchausse pour éviter de me faire remarquer. La porte est presque fermée, mais j’arrive tout de même à entrevoir. Mais je ne vois qu’Hugo allongé sur le lit. Et encore seulement la tête et le torse. La porte me cache le reste et ce reste doit être intéressant, car Hugo gémit doucement. Il n’est pas attaché, je vois ses bras disparaître derrière la porte. Je pousse tout doucement. C’est comme si je tirais un rideau de théâtre.


Il me faut un moment pour comprendre ce que je découvre. Je n’avais pas imaginé cela. La dernière fois j’avais vu Hugo dominé et à la merci du couple d’amants. Je m’étais construit une certitude. Mais aujourd’hui je comprends, preuve à l’appui que les rôles sont partagés. Ce que je vois c’est mon mari, la tête enserrée dans les mains puissantes d’Hugo qui est en train de pomper une queue bien dressée. Maryse regarde. Elle regarde son amant sucer son mari. Elle regarde son mari forcer son amant à engloutir sa bite au plus profond d’une gorge que je n’imaginais pas si profonde. Hugo force… Mais non, il ne force pas… Lorsqu’il retire ses mains, Marc reste avec la bite en bouche et je le vois faire une fellation magistrale. Bien sûr, un homme sait ce qu’un autre a envie. Il suce. Il lèche. Il gobe. Il enveloppe. Je ne peux m’arracher à cette vision. Pourquoi ne suis-je pas choquée ? Pourquoi cette chaleur revient dans mon ventre ?


C’est bon, agréable. Mon mari suce un mec et cela m’excite. Il suce avec gourmandise. Sa main caresse les couilles de l’homme. Hugo gémit. Mais Marc se lève et Maryse prend sa place. La queue d’Hugo reste peu de temps abandonnée. La gorge de la femme en fait une enveloppe chaude. Marc montre une belle érection et faisant le tour du lit va proposer à Hugo de lui rendre le même service. Hugo suce Marc.


On peut appeler cela un acte manqué. Mais lorsque la porte s’ouvre en grand, sous une pression mal contrôlée, je me retrouve en pleine lumière. C’est Marc qui me voit le premier. Alors que son amant le suce, lui, découvre sa femme sur le pas de porte. Il lui faut quelques secondes pour comprendre que ce n’est pas une femme en colère et qui va vitupérer, mais plutôt une femme voyeuse qui ne fait que regarder. Quelques secondes de plus et il s’arrache à la douche chaleur de la gorge de Hugo pour venir à mon devant. Ses comparses me découvrent alors et je suis maintenant le centre d’intérêt de la pièce.



Je souris et alors il m’enlace. Sa bouche couvre mes lèvres, peut-être dans la peur d’en voir sortir des reproches. Je réponds à son baiser, d’abord assez sage, puis plus intrusif, enfin intense puisque je réponds dans un même élan. Son corps nu se presse contre le mien. Mes mains ne peuvent qu’en prendre possession. Ses épaules, ses hanches, ses fesses et même sa verge toujours raide et humide. Mon attitude le rassure. Le voilà qui me fait lever les bras pour enlever mon pull. Le voici qui défait ma jupe qui ne demande qu’à tomber sur le sol.


Encore un acte manqué, car ce matin j’ai mis les dessous qu’il aime bien et il les découvre. Il tourne la tête comme pour vérifier que ses comparses nous regardent. Est-ce une façon de les faire entrer dans notre intimité, mais il tourne autour de moi. Je suis face à eux pendant que Marc dégrafe mon soutien-gorge et baisse mon string. Je ne résiste pas à la douce pression qui me fait avancer vers le lit et c’est tout naturellement que je m’allonge. Pendant ce temps Hugo s’est levé pour me céder la place. Lui et sa femme sont un peu en retrait. Je les remercie de cette délicate attention. Ils regardent alors que mon mari plonge entre mes cuisses pour me lécher. Il ne reste pas longtemps, car il doit y découvrir que sa femme n’est pas sèche comme elle pouvait l’être avant. Sa queue glisse en moi facilement et bientôt mon mari me baise doucement. C’est bon. Il est doux, délicat et je le sens avancer et reculer en moi. Le couple nous regarde. Leur présence contribue à mon excitation. Un instant je me demande si ma guérison vient de leur présence, de la vision de Maryse avec mon mari ou bien de leur trio avec Marc.


Mais je chasse ces pensées. On verra plus tard pour une psychanalyse érotique. Maryse bouge. Elle monte sur le lit, à côté de moi, mais reste agenouillée, le temps que son mari l’invite à se mettre en levrette et qu’il vienne la prendre. La prendre, juste à côté de moi. Les deux hommes sont côte à côte et même si c’est en position différente, ils baisent leur femme.


Je ne peux détacher mon regard du visage de Maryse si près du mien. Je peux y voir le plaisir de se faire prendre. Un instant, je voudrais qu’on me filme dans l’amour afin de découvrir sur mon propre visage l’expression du bonheur, du plaisir et de la jouissance. Mais Maryse bouge un peu toujours chevillée à son mari. Elle se penche sur moi et vient caresser ma poitrine de sa bouche. Son souffle déclenche la chair de poule et je me laisse faire. Et puis elle monte pour venir déposer un tendre baiser sur mes lèvres. Je suis heureuse. Nos hommes nous regardent. Le trio s’est transformé en quatuor. C’est délicieusement pervers.


Pourtant la belle harmonie se rompt. Marc m’abandonne. Sa queue quitte mon fourreau. Je le vois reculer d’un pas comme s’il voulait… Mais oui, je vois parfaitement sa main se poser sur l’épaule d’Hugo toujours enchâssé dans son épouse. Mais oui ! Je vois le geste qu’il lui fait. Mais oui ! Qui ne comprendrait pas l’invite ! Même Maryse se doute que quelque chose se passe, car elle tourne la tête lorsque son homme la quitte.


Son homme qui vient se mettre entre mes cuisses. Son homme qui me regarde comme s’il hésitait et voulait recevoir mon accord. Un mouvement des paupières peut en dire beaucoup plus qu’un long discourt. Un autre homme que mon mari va me prendre. Trente années de fidélité. Trente années où je n’ai connu qu’un seul corps, qu’une seule verge, qu’une seule queue, mon mari. Il y a longtemps que j’ai oublié ce que pouvait être la découverte d’une nouvelle bite, d’un amant de passage, d’une jouissance fugace et sans lendemain.


Il entre. Mon corps l’attend. Mon cerveau imagine déjà. Il avance. Il est gros. Il est dur. J’ouvre les cuisses pour lui faciliter le passage. Il est sans fin. Si long. Si gros. Si nouveau. Pourtant je l’ai déjà vu et il n’est pas plus grand que Marc. C’est mon imagination. Le plaisir de la nouveauté. Il n’est pas seul. Sa femme l’aide. Maryse s’est collée contre son dos. C’est une possession collective. Mari et femme me prennent. Elle le pousse en avant. Hugo est en moi. Son ventre se plaque contre le mien. Il se penche sur moi et prend appui sur ses deux bras. Il me baise d’un mouvement des hanches. Ses avancées sont profondes. Ses retraits ne sont que des promesses et s’il sort de moi, ma fente doit être un canyon qui ne demande qu’à être comblé. Le plaisir est multiple. On me baise. Mon mari regarde. Maryse a disparu de ma vision et pourtant je devine sa présence par les gémissements de mon baiseur. Je la devine accroupie derrière lui et jouant je ne sais quel jeu qui l’excite.


La voilà qui apparaît. La voilà qui vient vers moi, sur le lit et reprend ses caresses de la bouche, mais aussi d’une main qui est partie vers mon petit bouton. Vraiment cette femme cache bien son jeu. Dans la vie, on lui donnerait le Bon Dieu sans confession, mais dans l’intimité elle se transforme en amante perverse et je la soupçonne d’avoir de l’expérience, car elle semble parfaitement à l’aise que ce soit avec un homme ou une femme. Mais ce que je vois me ramène à la réalité. Je vois Marc qui s’installe derrière Hugo. L’amant prend la place de la femme. Mais lui ne disparaît pas. Au contraire il se dresse fier derrière mon baiseur. Avant de le voir, je sais ce qu’il projette.


Lorsqu’il encule Hugo, c’est un peu moi qu’il possède. La puissance de l’enculade m’est transmise dans toute sa grandeur. Hugo gonfle. Sa queue est devenue si dure et si grosse qu’un instant j’imagine que celle de Marc s’est transformée en « coin », coin qui en fendant la bûche, la dilate avant de la faire exploser. Mais non ! C’est juste le plaisir de l’enculé que je perçois. Mon mari encule profond mon amant. Chacune de ses poussées est un délice. Je ressens tout, la force, le plaisir, l’excitation. Je suis maintenant le réceptacle de tous les plaisirs de la chambre.


Oh, elle est loin ma sécheresse vaginale. Je suis une fontaine qui coule. Source de plaisir et de vie. Que dis-je, de vie ! Non de résurrection. C’est encore meilleur qu’avant. Jamais je n’avais imaginé que cela existe. Pour l’instant Hugo est immobile. Il n’est que le transmetteur de plaisir. Lorsque son enculeur, mon mari, lui balance la purée, accompagnant chaque giclée d’un « Han » de bûcheron, c’est comme si le foutre marital coulait en moi.


J’ai joui, c’est sûr, et plus d’une fois. Mais quand ? Lorsque Marc s’est retiré du cul de son amant ? Lorsque son amant, mon baiseur s’est réveillé et qu’après m’avoir bourrée pendant de précieuses minutes, il a joui en moi ? Qui sait ? En plus en s’en fout ! Je n’avais jamais, Marc excuse-moi de cet aveu, non jamais atteint une telle extase.



Voilà, chères amies lectrices et chers amis lecteurs. Mon expérience peut certainement vous servir. Le cerveau est le meilleur des complices et s’il nous prive par « programmation » de nos hormones, il peut en redevenir le fournisseur si on sait le solliciter de la bonne façon. N’ayez pas peur d’être audacieuse, volontaire et transgresser des barrières que vous, ou votre mari ou votre éducation avez construites. Alors la Ménopause ne sera plus une malédiction, mais au contraire un bonheur.



Je voudrais ajouter que…



Je terminerai plus tard, car je suis en train de chevaucher mon mari et Hugo cherche à forcer mon anus que Marc lui propose en tirant sur mes fesses et…


« Putain que c’est gros… Il entre… Il me déchire… Il avance… Il avance… Et je sens maintenant son ventre contre mes fesses. Deux queues me remplissent. Deux mandrins de chair palpitent en moi. Si je bouge un peu, je les sens encore mieux. Hugo commence à me bourrer. Doucement et puis… »


Faire d’un mal un remède. C’est un peu le principe de la vaccination. Et pour l’instant deux seringues s’activent en moi et vont bientôt me balancer le meilleur des vaccins.