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Temps de lecture estimé : 20 mn
28/01/16
Résumé:  Un couple fait une belle rencontre lors d'une escapade en amoureux.
Critères:  2couples hbi couple couplus cocus vacances plage caférestau boitenuit jalousie voir exhib nudisme massage hsodo jouet échange exercice
Auteur : Cedric77            Envoi mini-message
Vacances détentes

Jeanne et Cédric, couple uni depuis presque dix ans, vivent en région parisienne avec deux enfants. La vie professionnelle et les petits tracas du quotidien ne rendent pas la vie facile et finit par user le couple. Pour remédier à tout cela, ils décident de se prendre huit jours de vacances sans les enfants, sur la côte à Royan afin de se ressourcer. L’objectif de ce petit séjour est de profiter pleinement de leur couple, avec au programme du repos, de la gastronomie, du sport, et… du sexe.


Jeanne et Cédric arrivent enfin à leur petit appartement après cinq interminables heures de route. Les valises enfin défaites, et les affaires rangées à leur place, petite sortie en bord de mer afin de respirer l’air frais marin de cette fin de journée. Rien de mieux pour s’ouvrir l’appétit avant de se faire un petit resto en amoureux.



*



Nous entrons dans un petit restaurant offrant une vue sur la mer, la salle est assez calme, vu la saison, deux couples sont attablés ainsi qu’une famille avec deux enfants. Nous sommes placés sur une petite table avec deux fauteuils en osier qui nous permettent de se détendre pleinement pendant ce moment. Nous sommes à proximité d’un autre couple, mais assez loin pour garder l’intimité de nos échanges. Petit kir en apéro pour commencer cette délicieuse soirée. Jeanne habillée d’une petite robe d’été, assez courte afin de mettre ses jolies jambes en valeur. Nous dégustons une petite moule frites accompagnée d’une bouteille de rosé, qui commence à faire son effet sur madame, qui se sent toute chaude, et ne tarde pas à me le faire savoir en me lançant des regards comme elle sait si bien le faire. Au bout du troisième verre de rosé, madame s’enfonce dans son fauteuil…



Je lui souris en lui répondant :



Elle me fixe droit dans les yeux.



Nous partons dans un fou rire mutuel. Quelques minutes plus tard, je me rends compte que l’homme de la table d’à côté, a le regard insistant de notre côté, sans trop comprendre ce qu’il regarde. Ce n’est que par accident, en faisant tomber ma serviette, que je me baisse pour la ramasser, et je vois sous la table que ma femme a retroussé sa robe et se tient les cuisses complètement écartées laissant à la vue de tous ses dessous. Je suis pris d’une vague de chaleur qui me fait sûrement rougir comme une pivoine, je me relève, en jetant un œil à la table du couple d’à côté… Et là, l’homme a toujours le regard porté sur l’intimité de ma femme, et la dame me fixe droit dans les yeux tout en dégustant sa boisson.


Une jolie brune également, cheveux mi-longs, des yeux de braise. Elle est vêtue d’un corsage blanc, bien échancré, mettant en valeur une poitrine généreuse ainsi que d’un pantalon en cuir, sûrement très moulant. Mon regard revient vers ma femme, qui me fixe également, avec un sourire qui en dit long…



Elle ne semble pas voir que le couple voisin avait remarqué ce qu’elle a fait. Ayant terminé notre repas, je demande l’addition, et nous sortons, surtout que le couple, me lance de légers sourires en constatant ma gêne de la situation, et que Jeanne ne porte pas attention à ce qui se passe. Elle s’est amusée de voir le serveur rougir quand il a vu sa posture en nous apportant l’addition.


Sur le chemin du retour, en se tenant la taille, nous nous cherchons mutuellement jusqu’à l’appartement où, une fois arrivés, nous nous embrassons avec passion, et faisons l’amour au pied de la porte.


Le lendemain matin, étant réveillé au lever du soleil, je me glisse du lit sans réveiller ma belle qui dort encore profondément, et je décide de partir faire un petit footing sur la plage déserte. L’air est frais, le ciel d’un bleu uni, sans l’ombre d’un nuage. Les mouettes semblent être les seuls maîtres en ces lieux, non une autre personne matinale est également à courir sur le sable. Je me lance à mon tour.


Qu’il est agréable de courir ! Je fais le vide… Je profite de ce moment de calme offert… la mer est d’huile… des flashes de la soirée passée me reviennent… Cette entrejambe ouverte… j’imagine la culotte de Jeanne montrant une humidité abondante que je n’aurais pas aperçue la veille. Je revois la gêne du serveur, je revois ce couple… l’homme en admiration sur ma femme… Non mais ! Il fait quoi ? Elle est belle, j’en suis fier, c’est la mienne ! Elle te plaît ? Bien regarde, mais ne touche pas. Je souris, je suis fier. Je revois le regard de braise de cette femme… Que disait-il ? Elle m’enviait ? Elle se moquait ? J’imagine alors cette scène si Jeanne n’avait pas porté de culotte, offrant son intimité aux yeux de tous. Elle se caresse, on la regarde, on la désire… Je bande ! Je bande ? Merde, je ne porte qu’un léger short de course, je vais me faire griller… Ouf, je suis seul… Non… Il y a cette personne qui arrive en face de moi, je bande encore, elle se rapproche, je bande… Il… C’est un homme. Saleté de bite, tu redescends ! Maintenant ! On se croise, il me salue d’un signe de tête avec un léger sourire… Il m’a vu ? Je bande toujours ! Il m’a vu ? Mais… Je le connais ? Qui ? Où ? Non ! Le voisin ! L’admirateur de ma femme ! C’est lui ! Je tente de finir mon jogging en me changeant les idées.


Je termine le retour, et j’aperçois le coureur, le voyeur, le voisin… Enfin l’autre, faire des étirements. Je me place un peu plus loin, et je commence également à faire quelques exercices. Du coup, je n’arrête pas de repenser à la soirée, avec le joggeur qui fait ses exercices à côté. D’un coup, je sursaute à la voix d’un homme.



Merde, c’est lui ! Que me veut-il ? Ma femme ? Non ! Dégage !



Effectivement, perdu dans mes pensées, je fais n’importe quoi…



Merde, il m’a reconnu…



Mais qu’est-ce que je raconte, pourquoi je lui parle de moules, il a voulu voir celle de Jeanne hier.



Je rentre à l’appartement, et je trouve madame sortant nue de la douche, en train de s’essuyer les cheveux. Mes yeux tombent sur son minou, elle s’est mise en beauté en ayant taillé son tout petit ticket de métro, comme je l’aime, bien dégagé sur les lèvres, et un peu de poils en haut.



La journée se passe agréablement, petit après-midi sur la plage calme du mois d’avril, le soleil est présent. Ayant peu de personnes, Jeanne en profite pour dégager sa poitrine de son maillot, et se glisse son slip entre les fesses afin de limiter les marques de bronzage. Je la regarde, je la désire. Je lui caresse une cuisse, je remonte délicatement jusqu’à son entrejambe, j’effleure son minou, elle réagit par un léger soubresaut, je recommence… Cette fois elle écarte légèrement les jambes, je la caresse par-dessus son maillot, il s’humidifie, elle gémit… J’accentue mes caresses… Elle m’arrête.



Une fois de retour, nous faisons l’amour sous la douche.



*



7 h 45, j’ouvre un œil, Jeanne est déjà en tenue de sport.



Je saute du lit, enfile mon short, j’attrape un teeshirt, j’avale un verre de jus d’orange, et… Merde, je n’ai pas mis de slip… Bon, pas grave ! Nous arrivons sur la plage, et nous apercevons Robert, accompagné de cette magnifique brune.



Euh, qu’est-ce qu’il veut lui, encore ?



Et quel physique me surprends-je à penser… pff…


Nous partons tous trois courir laissant Anne à ses copies.



Jeanne prend la tête de la course, elle porte un cycliste blanc très court, qui laisse voir ses belles cuisses et on peut distinguer pleinement la forme de ses fesses. Avec robert nous échangeons quelques banalités assez courtes pendant ce jogging, Jeanne toujours concentrée à courir devant nous. Je ne quitte pas ses fesses des yeux, mon sexe commence à montrer, et à se tendre sous mon court short ample. Merde ! Pas maintenant ! Je tourne discrètement le regard, et Robert… scotché sur les fesses de ma chère et tendre, continue sous l’effort sans rien voir.


Nous finissons tout dégoulinant de sueur. Nous commençons chacun nos étirements sous le regard moqueur d’Anne.



La journée se fit assez banale, visite touriste à Saintes, beaucoup de marche dans les rues. Jusqu’à ce que nous tombions sur un Sex-Shop. En nous regardant d’un air amusé :



Nous y rentrons, et nous nous amusons de voir la diversité d’articles exposés ! Nous choisissons un ensemble noir en dentelle pour madame, et après de nombreuses discussions au sujet d’un godemichet, nous nous en achetons un.


La soirée arrive, nous allons nous coucher, nous nous lovons dans le lit, quand je propose à Jeanne de joindre notre nouveau jouet à nos câlins. Je descends ma bouche en direction de sa grotte d’amour, que je lèche avec grand plaisir. Je commence à la titiller avec ce jouet. Je commence à la pénétrer délicatement avec, tout en jouant du bout de la langue sur son clitoris. Le gode commence à prendre place en elle par des va-et-vient, je sens son corps se cambrer de plaisir à chaque pénétration. Je me surprends à passer ma langue sur l’accessoire à chacune de ses sorties, afin de profiter du goût de ma femme sur cette tige. J’ai l’impression à un moment donné, que c’est Robert qui pénètre ma femme, que je passe ma langue sur son sexe droit, dur et mouillé par ma femme… Mais je ne suis pas gay ! Je suis hétéro, qu’est-ce qui m’arrive ? Je me reprends en faisant passionnément l’amour à ma femme.


Le lendemain matin, tenue enfilée, nous prenons la route de Saint Palais. Une fois arrivés, Anne nous accueille en proposant un jus de fruit aux sportifs, et une fois avalé, elle me propose d’y aller et de laisser les gymnastes à leur activité. J’embrasse Jeanne pour la saluer avec une légère appréhension de la laisser seule avec un inconnu.


Anne s’installe sur le siège passager, vêtue d’un paréo, ce dernier glisse et me permet d’admirer toute une cuisse jusqu’à son maillot pendant tout le trajet. Elle brise le silence en me rassurant pour Jeanne, qu’elle est entre les mains d’un expert. Ça, je m’en doute, c’est justement là mon appréhension. Alors je joue le mec sûr de lui.



Je laisse Anne à son bronzage matinal pendant que je pars courir. À mon retour, je la retrouve allongée sur le ventre, sans haut, et distinguant juste l’élastique de son string. Cette vue me donne une érection spontanée ! Je n’ose pas faire de bruit, pour ne pas qu’elle se retourne et me gâche ce moment. Je sursaute à ses paroles :



Elle m’a vu la mater ? Elle a simplement senti ma présence ? M’a entendu ? Je rougis tel un ado prit sur le fait.



Alors, gentleman que je suis je m’exécute à l’enduire, en commençant bien entendu par les épaules, en passant délicatement sur ses deux belles fesses, pour finir sur ses mollets. Je ne peux dissimuler mon érection. Elle me regarde, avec un sourire malicieux, après avoir vu mon petit problème.



Elle se retourne et elle a les tétons tout durs et sortis, comme si le froid les avait fait se contracter, mais l’air est doux, presque chaud, mais moins chaud que dans tout mon corps. Rien d’autre ne se passe entre nous. Nous rentrons gentiment retrouver Jeanne et Robert. Ils sont en train de discuter devant une tasse de café, ils rigolent avec complicité. Ils nous proposent de passer l’après-midi ensemble à la plage, ce que nous acceptons avec plaisir.


Arrivé à l’appartement, je suis encore tout bouillant suite à la séance de crème solaire avec Anne, et j’envoie Jeanne dans le canapé, je lui enlève son bas de jogging sauvagement, avant de plonger ma tête entre ses cuisses ! Je suis surpris pas l’humidité déjà bien présente, elle est toute dilatée, comme si elle m’attendait, ou elle avait déjà consommé, ou si elle avait été amenée dans le même état que moi… Elle sent bon, j’adore son goût, son parfum, j’imagine le goût du passage d’une bite étrangère, le goût d’un sperme qui a été déchargé en elle. Est-ce le cas ? Nous faisons l’amour avec fougue ! Petite douche, léger déjeuner, et hop nous partons à la plage rejoindre nos nouveaux amis.


Nous les retrouvons sur la plage, nous discutons de banalités, profitant de la douceur de la journée. Peu de monde autour de nous, quelques retraités locaux par ci par là. Avec Robert, nous laissons les filles sur les serviettes afin de prendre la température de l’eau, qui semble encore bien fraîche pour la saison. Nous plongeons dans l’eau glacée par défi mutuel, et remontons nous sécher très rapidement sur les serviettes. Anne commence en rigolant :



Elle glisse alors sa main dans le short de Robert et, me regardant :



Nous observons la main d’Anne s’agiter dans le short de plage de Robert. Puis ils s’échangent un long et tendre baiser. Enfin Anne propose à Jeanne une partie de raquettes. Robert reste stoïque avec son érection, et les filles partent jouer en rigolant.



Nous restons à admirer nos deux femmes jouer ensemble, voir leur corps s’émoustiller sous nos yeux, Anne est seins nus et string et Jeanne en bikini, cela me donne vite très chaud, et Robert me le fait remarquer.



Mon short est tout bosselé, je me cache et rougis de pudeur. Nous nous mettons à rigoler de bon cœur. La journée se termine. Nous nous saluons pour nous retrouver le lendemain matin lors du jogging quotidien. Au grand regret, nous terminons notre jogging sans avoir vu Anne et Robert de la matinée. Mais on les voit dans l’après-midi sur la plage. Ils nous expliquent que la soirée a été difficile parce qu’ils sont sortis très tard, et n’ont pas pu se lever pour faire du sport.


Nous marchons tous les quatre au bord de l’eau en parlant de tout et de rien, jusqu’à ce que Robert commence à éclabousser les filles, une bataille d’eau commence à démarrer, étrangement les filles contre les garçons. Nous nous retrouvons tous les quatre à l’eau ; bien que fraîche, cela ne nous dérange pas. Les filles plongent pour nous échapper, elles ressortent à chaque fois d’un côté où nous ne les attendons pas, et repartent sous l’eau telles des sirènes. Je sens des mains me toucher sous l’eau, Robert guette la sortie d’une tête. Une main passe sur mon sexe, non accidentellement. Je sens que celle-ci sait ce qu’elle fait. Jeanne, qu’est-ce que tu fabriques ? Quand d’un coup je la vois dans les bras de Robert qui a réussi à la saisir, pour plonger sous l’eau avec elle. Anne sort la tête de l’eau auprès de mon ventre en me regardant dans les yeux, me sourit, toujours mon sexe en main, replonge en me faisant glisser le short. Je sens une chaleur sur mon sexe dans cette eau glaciale, je comprends immédiatement ce qu’il se passe… C’est bon, sa langue joue sur mon gland, elle pompe si bien que je crois jouir sur le champ. Puis elle disparaît pour ressortir plus loin. Je reviens à moi quand je vois Jeanne qui tente d’échapper à Robert en rigolant le haut du maillot à la main, et la culotte de travers.


Nous remontons nous sécher, quand Anne nous propose une sortie en discothèque le lendemain soir. Nous acceptons volontiers puisque cela fait des années que nous n’avions pas mis les pieds en boîte. Je ne parle pas à ma femme ce qu’il s’est passé avec Anne. Le lendemain Anne et Robert nous parlent de changer de plage afin de casser les habitudes. Ils nous emmènent à la Palmyre. La plage y est plus sauvage que sur Royan, loin du cliché balnéaire. Nous croisons quelques couples qui vaquent à des occupations de plages. Nous décidons de nous installer dans un coin tranquille.


Mon regard va d’un bout à l’autre de la plage en admirant la sérénité de cette plage, la grandeur de la mer, quand je suis surpris par un couple qui sort de l’eau. La femme n’a plus le bas de son bikini et l’homme la suit avec le sexe qui sort de son maillot de bain. Discrètement je fais signe à Jeanne de regarder dans cette direction, elle sourit à la vue de l’homme avec le sexe hors du maillot ! Situation bien cocasse… S’il veut cacher son érection, c’est raté ! Le couple retourne sur leur serviette, ils s’allongent tous les deux, la femme se met sur le côté, face à nous, l’homme se glisse derrière elle, et nous sommes surpris de constater que l’homme lui fait l’amour aux yeux de tous ! Anne et Robert sont tombés dans une profonde sieste. La femme semble nous regarder sans être gênée ! Je commence à bander.



Jeanne s’arrête de parler quand nous voyons deux hommes s’approcher du couple. Un des deux se baisse pour s’adresser au couple. La femme se dégage de l’emprise de son mari et va s’empaler sur lui. Les deux nouveaux sortent leur sexe en se plaçant de part et d’autre de celle-ci qui commence à branler ses deux nouveaux partenaires tout en continuant à se mouvoir sur son mari. Elle les prend en bouche l’un après l’autre. Au bout d’un moment, un premier va se placer derrière cette dernière, et semble s’empaler en elle. Le deuxième semble s’intéresser au derrière de son camarade, puis vient se placer derrière… Pour l’enculer ! Et le groupe va à son rythme… Nous restons silencieux, quand je suis surpris de voir Jeanne une main dans son slip de bain, sans quitter le spectacle des yeux. L’instant est interrompu par une averse qui vient surprendre tout le monde. Anne et robert sont réveillés en sursaut, quoique, je distingue une déformation dans le maillot de robert, est-ce un rêve ? Faisait-il semblant de dormir et assistait-il à la scène ? Nous rassemblons les affaires rapidement, afin de nous mettre à l’abri au plus vite, je jette un regard au groupe, ils sont tous debout également à ramasser leurs affaires… Retour chacun chez soi afin de se retrouver pour la sortie en discothèque.


En début de soirée, nous nous prélassons dans le canapé en attendant notre sortie sur Bordeaux. Nous reparlons de ce que nous venons de voir sur la plage et, excités, nous commençons à faire l’amour. Quand Jeanne me fait mettre un doigt dans son derrière, elle me dit que cela l’excite, alors je vais chercher notre nouveau jouet. Elle vient sur moi, et pendant que je la prends, je présente le gode face à sa petite rondelle. À chaque toucher son petit trou s’ouvre de plus en plus jusqu’à accueillir notre compagnon. Je le sens à travers la paroi de son vagin, de plus que celui-ci se contracte plus que d’ordinaire. Je me mets à imaginer Robert derrière Jeanne, nous la prenons en doublette… à ma grande surprise j’éjacule en elle sur cette pensée !


Anne et Robert passent nous prendre pour cette sortie nocturne, les filles sont divinement sexy, pantalon moulant, et petit haut coloré, qui laisse voir leurs jolies poitrines. Une fois dans la boîte, nous commandons une bouteille de champagne quand Anne nous présente un couple d’amis, Sylvie et Valentin. Ils ont une bonne cinquantaine, ils sont chics, et très élégants. Nous partageons un verre avec eux. Sylvie a souvent une main sur la cuisse de Robert, et les échanges entre Anne et Valentin nous laissent penser qu’ils doivent se connaître depuis un moment et sont proches. Enfin, ils nous quittent pour aller dans une autre boîte, avec une ambiance soi-disant différente, pourtant la musique est plutôt entraînante ici. Anne emmena Jeanne pour une danse au corps-à-corps endiablée. Elles se frottent, tout en gardant une certaine distance… Une danse ? Un duel ? Une provocation ? Ou une invitation ? La situation laisse place à de l’ambiguïté entre les deux femmes qui se bougent. Des hommes intrigués par la situation commencent à se rapprocher du couple. Je sens en moi une pointe de jalousie monter.



Je regarde la scène, les hommes tentent d’attirer l’attention de nos femmes, mais celles-ci restent comme hypnotisées mutuellement. Nous nous décidons enfin à les rejoindre, nous nous glissons chacun derrière notre femme respective, pour danser en collé-serré… les femmes réagissent à notre contact et nous dansons tous les quatre, les autres dragueurs partent tenter leur chance ailleurs. Nous attaquons une deuxième bouteille de champagne, et commençons à échanger nos compagnes pour danser.


Les regards sont subjectifs, Anne semble me réclamer du regard en agitant son corps, me frôlant… Jeanne est dans son trip, les cheveux dans le visage, Robert danse près d’elle, comme fasciné par ses mouvements. Puis il cherche à l’embrasser dans le cou. Elle dégage son cou et penche la tête comme pour une invitation, il la prend dans ses bras et fond dans son cou…



Elle me fait une bise sur la bouche et part se glisser derrière Jeanne, enlacée par Robert. Anne et Robert commencent à s’embrasser tout en glissant leurs quatre mains sur le corps de ma femme, je reste spectateur, torturé entre jalousie et excitation. Elle se tourne, fait face à Anne, et cambre son bassin sur Robert qui tient fermement ses hanches. Anne donne un baiser à ma chère, et m’invite à la rejoindre d’un signe de tête, mon sang bout au plus profond de moi. Je viens rejoindre timidement ce magnifique trio. Je me glisse derrière Anne, elle prend mes mains, et les emmène sur sa poitrine. Elle ne porte pas de soutien-gorge. Je sens ses mamelons durs et tendus, je les lui caresse à travers le tissu… Je l’embrasse à mon tour dans le cou, elle sent bon… Je vois une main de Robert qui vient de disparaître dans le pantalon de ma femme, elle se laisse faire. L’instant est fabuleux…


Quand soudain la musique s’arrête, le DJ nous annonce la fin de la soirée, ce qui nous fait reprendre nos esprits, il est 5 h du matin… Nous n’avons pas vu le temps passer. La route du retour se fait dans le silence, les filles dorment, moi je suis rêveur, Robert concentré sur la route. Ils nous déposent devant notre résidence, et nous saluent pour se revoir très bientôt.


Nous nous ne revoyons pas le lendemain, et avec Jeanne nous reparlons de ce qui s’est passé, elle ne regrette rien et moi non plus, pris mutuellement par l’excitation, nous nous embrassons fougueusement. Elle me déshabille et m’assied sur le canapé, elle commence à m’effectuer une fellation. La langue joue sur mes bourses, intensivement, puis elle descend légèrement en dessous, puis glissant inconsciemment de plus en plus sur le dos, sa langue continue de descendre afin de trouver ma rondelle. Je sens cette petite pointe chaude et humide jouer avec mon petit trou, elle me glisse un doigt dedans, et me lance :



Elle sort le gode, et commence à me dilater avec, jusqu’à pouvoir me prendre avec. Pendant qu’elle effectue des va-et-vient d’une main avec notre jouet elle me branle de l’autre. Je me mets à jouir comme je n’ai jamais connu, un jet de sperme atterrit sur le visage. Amusée, elle vient lécher cette coulure puis me la partage avec un long baiser.


Anne et Robert nous invitent à dîner chez eux. À notre arrivée nous croisons ce mystérieux couple, Sylvie et Valentin qui passent faire un petit coucou avant de se rendre à une soirée. Nous sommes un peu gênés au début, après cette soirée en boîte, mais Anne et Robert savent nous mettre à l’aise en restant des plus naturels. Anne nous explique pendant l’apéro qu’ils ont rencontré Sylvie et Valentin lors d’une soirée, un peu particulière, en nous avouant qu’ils sont libertins. Avec Jeanne nous nous regardons, amusés par la nouvelle, comme si cela ne nous surprenait pas. Et que, depuis Sylvie et Valentin se sont lancés dans le SM, ils ne sortent plus ensembles.


Anne nous explique que Valentin est un super amant, et Robert que Sylvie est une maîtresse fabuleuse dans l’art du sexe. Les verres s’enchaînent, les aveux vont bon train. Nous apprenons que Valentin est bisexuel, Anne nous avoue l’avoir sodomisé à l’aide d’un équipement bien particulier, et que ce dernier s’est rattrapé sur Robert.


Jeanne demande à voir le harnais d’Anne. Elle l’enfile par-dessus ses vêtements, et en rigolant, elle présente ce sexe en plastique à Anne pour une fellation. En experte, Anne suce le sexe que lui présente ma douce. Anne se déshabille et se présente cambrée pour être prise. Jeanne le fait… La scène est fabuleuse. Robert admire la scène en sirotant son cognac, je ne tiens plus en place, je ne sais pas quoi faire. Anne va à quatre pattes vers Robert, pour sortir et prendre en bouche son sexe, Jeanne s’est délestée de quelques vêtements pendant ce temps, et retourne à sa besogne derrière Anne, elle se prend au jeu.


Anne invite ma femme à la rejoindre, je vois Jeanne face à ce sexe étranger, elle hésite puis le prend à pleine bouche accompagnée d’Anne avec qui elles échangent cette sucette. Anne les laisse pour venir me rejoindre, elle se place sur moi, elle m’embrasse à pleine bouche, je lui caresse la poitrine d’une main, et l’entrejambe de l’autre, elle dégouline de plaisir… je prends ses tétons en bouche, elle gémit à chacune de mes caresses, elle est si sensible. Après avoir enlevé mon pantalon, elle me fait glisser en elle, tout en glissant sa langue dans ma bouche.


Les gémissements de ma femme attirent mon attention, elle est à quatre pattes dans le canapé, Robert, glissé derrière elle, la tête entre ses fesses, s’occupant de ses orifices, elle gémit de plaisir. Anne voit mon intérêt sur ce qu’il se passe à côté, elle se relève, et me place dans la même position que ma femme, et vient me lécher mon petit trou. Je vois maintenant Robert qui pilonne ma femme, elle a encore le gode accroché à elle.


Anne continue avec sa langue et ses doigts, j’en veux de plus en plus, je prends plaisir quand elle me masse la prostate avec ses doigts, la tête dans le coussin. Puis elle se calme… Je suis… Je suis aux anges… Quand soudain elle revient à la charge, elle rentre de nouveau, doucement, de plus en plus loin, ça rentre encore… Encore, je gémis de plaisir, ses doigts paraissent interminables, et plus gros… Quelques allers-retours plus tard, je me rends compte que Robert est en moi, il me prend comme il vient de le faire avec ma femme. D’ailleurs je peux apercevoir les filles, dans le canapé, assises l’une à côté de l’autre, chacune une main sur la minette de l’autre, elles se caressent en nous regardant. Robert jouit enfin au plus profond de mon ventre, des vagues chaudes se répandent en moi.


Anne et Jeanne viennent nous rejoindre, elles m’accompagnent pour prendre la bite de Robert en bouche, comme pour la nettoyer des souillures de sperme, quelle sensation étrange d’avoir une bite dans la bouche, il ramollit, puis recommence à durcir sous mes caresses buccales, pourtant débutant, et en peu de temps finit par éjaculer de nouveau dans ma bouche. Les filles sont déchaînées, elles nous caressent, lèchent, embrassent tout ! Puis elles vont directement s’occuper de moi, je sens leurs doigts me fouiller, leurs langues qui passent, repassent, je ne sais plus qui fait quoi, et je finis par jouir dans la bouche d’Anne, qui vient immédiatement m’embrasser, la bouche pleine de sperme.


Le séjour se termine sur cette touche sexuelle, et ils se promettent de se revoir pour de nouvelles aventures.