| n° 17244 | Fiche technique | 13913 caractères | 13913Temps de lecture estimé : 8 mn | 29/01/16 corrigé 07/06/21 |
| Résumé: Une conférence sur les neurosciences et la rencontre très improbable d'un belle conférencière qui aime le sexe et d'un beau retraité qui aime et respecte les femmes et leur plaisir. | ||||
| Critères: fh hplusag inconnu travail collection cérébral intermast pénétratio fdanus | ||||
| Auteur : Swingueur (Plaisir d'écrire, d'être lu et... de donner du plaisir...) Envoi mini-message | ||||
| DEBUT de la série | Série : Une très belle conférence Chapitre 01 / 02 | Épisode suivant |
Il fait beau et très doux en cette fin d’après-midi printanière. Le soleil disparaît doucement derrière les toits des maisons. Je déambule nonchalamment au bord de la Loire en regardant les gens s’agiter autour de moi.
Je suis surtout très attiré par les silhouettes des jeunes et jolies femmes qui vont et viennent en profitant de cette douce quiétude pour commencer à dévoiler leur corps. Des jupes un peu plus courtes, des chemisiers un peu plus échancrés…
Je suis retraité depuis quelques années et j’ai toujours beaucoup aimé les femmes.
J’aime les regarder… J’aime imaginer leurs pensées quand leurs regards m’effleurent… J’aime les caresser, les embrasser, leur faire l’amour… J’aime entendre leur plaisir… J’aime ressentir leur jouissance, leur abandon dans mes bras… Mon plaisir est leur plaisir !
Aujourd’hui je n’ai pas grand-chose d’autre à faire et j’en profite outrageusement.
Un tramway ralentit et s’arrête à quelques dizaines de mètres de moi. Une jolie femme, cheveux châtain doré, mi-longs, en descend. Elle tient un porte-documents un peu curieux en raphia bleu et un sac à main assez informe et de couleur indéterminée, qui détonnent avec le reste de ses vêtements très élégants. Elle porte un tailleur noir très bien coupé. Une jupe crayon et une veste cintrée fermée par un bouton sous laquelle, apparemment, elle a choisi de ne mettre qu’un pendentif… et peut-être un soutien-gorge.
Mais surtout sa silhouette est mise en valeur par des escarpins aux talons assez hauts qui l’obligent à se tenir cambrée. Très jolie…
Elle hésite sur la direction à prendre puis passe devant moi en me jetant un regard furtif. J’aimerais croire qu’elle a esquissé un sourire, mais j’ai certainement rêvé.
Ses chaussures mettent en évidence ses jambes superbes. Elle doit être sportive, car ses muscles se dessinent très nettement sur ses mollets. Ses hanches fines et ses magnifiques fesses rebondies ondulent devant mes yeux et me fascinent déjà. Elle ne doit pas avoir l’habitude de porter des talons si hauts. Elle devrait les mettre plus souvent et s’entraîner à se déhancher un peu plus… Ce serait encore plus hypnotique !
Quelques centaines de mètres plus loin, pour traverser, elle se retourne pour contrôler la circulation et m’aperçoit. Cette fois, j’en suis certain : elle a souri. Elle entre dans un immeuble qui semble être semi-public. J’arrive quelques secondes plus tard. Elle parle avec un homme qui contrôle l’accès d’une porte. Il lui ouvre et l’invite à entrer.
Il s’agit d’une salle de conférence. Une affiche précise le sujet : « Neurosciences et Comportements » et la conférencière est… mon inconnue ! Son nom est à côté de sa photo : Katia Joly !
La conférence est publique et commence dans vingt minutes. Sans hésiter, je prends mon billet et le tends au contrôleur qui a laissé passer Katia.
La salle est petite, mais confortable. Quelques personnes sont déjà installées. Un bureau sur une estrade, un ordinateur, un micro et ma belle inconnue en train de préparer son intervention.
Je m’approche et m’installe au premier rang, à droite de l’estrade, du côté de trois marches qui permettent d’y accéder. Ainsi, même si elle s’assoit derrière le bureau, je pourrais toujours contempler ses jambes sans obstacle et pourquoi pas un peu plus… si j’ai de la chance.
Je ne connais rien aux neurosciences. Ma culture est scientifique et rationnelle. Je sais que depuis les années 2000, des sujets comme la récompense ou le comportement sont en partie expliqués. Des phénomènes complexes tels la conscience, l’interface entre le corps et l’esprit, sont actuellement l’objet de nombreuses études et que, grâce aux neurosciences, on commence à percer les mystères du psychisme et des facultés intellectuelles de l’Homme.
Katia est prête. Elle vient de se retourner pour scruter la salle et m’aperçoit. Nos regards se croisent. Surprise, elle sourit encore fugitivement… Moi aussi…
Elle est très belle, penchée en avant sur son bureau, les bras tendus, les reins cambrés, les fesses tendues… Offerte !
Elle relit rapidement ses notes. J’aperçois la dentelle de son soutien-gorge… Noire… Superbe…
Je la regarde et imagine facilement un scénario improbable, mais si agréable…
Je suis derrière elle. Ses fesses frôlent mon sexe. Elle ne se dérobe pas, au contraire, elle recule tout doucement… Et très lentement se frotte contre mon bas-ventre… Mon sexe réagit doucement et naturellement vient se loger entre ses fesses… Elle le sent et accentue la pression.
Mes mains lentement caressent ses fesses si jolies… ses hanches qui ondulent langoureusement… et mes mains, tout naturellement, glissent sous sa veste… Le contact de sa peau nue m’électrise… Je caresse avec beaucoup de douceur, du bout de mes doigts, avec mes deux mains, son ventre en décrivant des cercles autour de son nombril et en remontant doucement… Je touche son soutien-gorge… remonte encore un peu… J’ouvre sa veste qui s’écarte… Sa poitrine magnifique apparaît dans son superbe soutien-gorge à balconnets déjà entrevu…
Tout doucement, j’essaie de passer mes index entre la peau et ses tétons… Ils sont déjà durs… Elle gémit très doucement… Elle semble très réceptive à cette caresse… Je tire doucement les balconnets vers le bas pour dégager les mamelons et continue de petites caresses légères et circulaires… Elle murmure « Oh ! Ouiiii »… Sa pression sur mon sexe s’accentue… Elle ondule et se frotte sur mon sexe maintenant très dur…
Elle se penche en avant en m’entraînant vers le bas, s’appuie sur ses coudes et sa main droite vient caresser mon sexe à travers mon pantalon… Je ferme les yeux… C’est merveilleux…
Mes doigts accélèrent et parfois serrent ses tétons un peu plus fort… Elle gémit encore… Mais me murmure aussi : « Doucement… C’est si bon… Encore… »
Elle a baissé le zip de mon pantalon et glissé sa main. Elle me caresse à travers mon slip… C’est divin…
Avec ma main gauche, j’essaie de remonter doucement sa jupe en continuant de caresser ses seins si sensibles… Doucement, je remonte le long de sa cuisse… Elle porte des… collants, bas, bas autofixants ?… Je parie pour des bas autofixants, car je n’ai pas remarqué de marques de porte-jarretelles… et un collant : c’est juste impensable !
Gagné !… Je caresse l’intérieur de ses cuisses… la peau si douce… au-dessus des bas… Elle frissonne et gémit encore… et se redresse rapidement pour remonter sa jupe avec ses deux mains avant de se repencher en avant et d’extraire mon sexe pour maintenant entamer un délicieux va-et-vient…
Mes doigts de la main gauche maintenant, caressent son sexe à travers son string… Ma main droite s’occupe toujours avec succès de ses tétons très durs maintenant… Elle ondule de plus en plus vite pour se frotter sur mes doigts…
J’écarte doucement la ficelle de son string et trouve très vite son petit bouton… Elle gémit très fort… Il est sensible lui aussi ! … Lentement, mon majeur écarte ses lèvres et s’introduit sans difficulté dans sa grotte si chaude et déjà tellement humide. Je reste immobile un instant…
Elle murmure : « C’est bon… Continue… ! »
Je trouve son point G et doucement j’exerce quelques petits cercles avec l’extrémité de mon doigt…
Elle gémit de nouveau, encore plus fort… Elle frissonne puis me dit « Prends-moi ! … Maintenant ! » Et elle place le bout de mon sexe à l’entrée du sien et, doucement, lentement, mais sans s’arrêter, elle s’empale totalement et s’immobilise ! Mon ventre s’appuie contre ses fesses… Je crois sentir mon sexe buter sur son utérus… C’est fantastique…
Et doucement elle se remet en mouvement… Très lentement… Mon sexe est très dur… À chaque va-et-vient j’ai peur qu’il ne sorte, mais la coquine est très expérimentée et recule juste à temps… Ses muscles internes me massent en même temps… C’est effectivement une sportive et c’est un bonheur… Elle avance puis recule, très doucement d’abord… Très longtemps… Ses gémissements s’amplifient…
Elle se sert de mon sexe comme d’un gode. Puis elle accélère ses va-et-vient… Lorsque mon sexe s’enfonce en elle, il vient buter tout au fond à chaque fois… Fortement… De plus en plus vite… Mon ventre claque sur ses fesses… Un chuintement caractéristique, une sorte de clapotis se fait entendre à chaque fois.
Mon sexe s’enfonce avec délice dans son ventre chaud et humide, lubrifié si abondamment par ses sucs intimes que j’aimerai tant goûter.
Je prélève un peu de salive avec mon pouce et tout doucement je viens caresser sa petite rondelle brunâtre qui s’offre à mon regard en surveillant sa réaction… Elle murmure une fois de plus, mais plus distinctement : « Oh ouiiii… J’aime ça ! » Alors, j’ajoute un peu de salive et enfonce très doucement mon pouce dans son anus qui s’ouvre sans difficulté apparente. Mon pouce est maintenant totalement enfoncé. J’attends un peu, puis lentement, je le fais tourner… Je le retire, puis l’enfonce de nouveau… en rythme cette fois… Ses gémissements sont devenus des cris… Elle prononce des mots « Encore… Oui… Prends-moi… Plus fort… Plus vite… C’est bon… Continue… ! » Son élocution est difficile, saccadée…
Et soudain ses cris s’intensifient encore… Et elle ajoute : « Je viens… Je veux te sentir… Jouis en moi… ! »
Je sursaute ! J’ouvre les yeux !
Katia Joly est debout au bord de l’estrade, perchée sur ses escarpins, cambrée, somptueuse…
Elle tient son micro en souriant.
Je bande comme un âne… Une minute encore et… je n’aurais pas été très présentable !
Elle scrute lentement les quelques personnes présentes. Nos regards se croisent encore… Son sourire cette fois est resplendissant…
Elle reprend :
Nous disposons de deux heures.
Je vous propose tout d’abord d’essayer de vous expliquer comment les neurosciences, en utilisant l’ensemble des disciplines biologiques et médicales, étudient les aspects normaux ou pathologiques des neurones et du système nerveux. Le terme « neurosciences » est apparu à la fin des années 1960 pour regrouper l’ensemble des avancées réalisées sur ces sujets. Les neurosciences désignent donc un domaine scientifique hétérogène qui regroupe à la fois des sciences biologiques (biologie, biochimie, pharmacologie, anatomie, physiologie, etc.) et des sciences médicales (neurologie, neuropsychologie et psychiatrie).
Depuis les années 1990, l’accroissement des connaissances a considérablement transformé le champ et la portée des neurosciences et les seules sciences de la vie ne suffisent plus à répondre aux problématiques qu’apportent ces découvertes.
La participation de disciplines variées (physique, mathématiques, statistiques, informatique, sciences cognitives ou encore philosophie) est désormais nécessaire à l’avancée de la recherche dans ce domaine. Grâce aux apports de toutes ces disciplines, les neurosciences permettent actuellement l’étude pluri- et interdisciplinaire du système nerveux, normal et pathologique, tant au niveau de son fonctionnement moléculaire élémentaire, que dans ses fonctions intégrées les plus élaborées : les émotions, les comportements, la cognition et le psychisme.
Je nous laisserai ensuite un peu de temps pour répondre à vos questions…
Je ne bande plus du tout ! Mais j’ai fait un très joli rêve…
D’abord très posée et très douce, sa voix a pris de l’assurance. Son sourire à disparu. Le rythme de son élocution s’est accéléré. On la sent passionnée par le sujet… Totalement…
Elle est radieuse, illuminée !
Elle recule en se tournant pour passer derrière son bureau et s’installer devant son ordinateur.
À ce moment, elle me fait face… Nos regards se croisent de nouveau.
Tout en continuant à me regarder intensément, pour s’asseoir, elle retrousse légèrement sa jupe, et pour faire pivoter sa chaise écarte doucement, mais largement ses cuisses…
Mon rêve se réalise…
Je peux constater qu’elle porte bien des bas autofixants et que son string est noir ! Comme à regret, elle resserre ses cuisses en ouvrant son ordinateur pour afficher la première diapo.
Un sourire gourmand flotte sur ses lèvres…
La conférence promet d’être passionnante…
Katia Joly reprendra-t-elle le tramway pour retourner chez elle ?
Vous le saurez dans le prochain épisode… Si vous êtes sages ;-)