n° 17252 | Fiche technique | 17372 caractères | 17372Temps de lecture estimé : 10 mn | 05/02/16 |
Résumé: Après une soirée bisexuelle pleine de premières fois,Éric et Marc explorent leurs désirs homosexuels. | ||||
Critères: fh hh hbi plage hsodo -hhomo | ||||
Auteur : Oli Mart 1977 Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Expériences multiples en camping Chapitre 02 | Fin provisoire |
Résumé de l’épisode précédent :
Éric et Iva, un couple de trentenaires +, partent en camping en famille et font la connaissance de Marc et Noémie, un couple plus jeune. S’ensuit une soirée arrosée qui commence par un échange de partenaires et finit en apothéose bisexuelle et homo, une première pour la plupart des participants.
Quelle soirée incroyable ! Iva et moi rentrâmes nous coucher dans notre tente. Nous étions en même temps sur un petit nuage avec toutes ces endorphines, et complètement vannés. Le vin aidant, nous nous endormîmes comme des masses, tendrement enlacés.
Le réveil fut moins joyeux, entre l’heure (après tout, les enfants s’étaient couchés tôt, eux), le mal aux cheveux caractéristique des lendemains de soirée arrosée et… le cul en chou-fleur, suite à la merveilleuse, mais engageante sodomie que j’avais subie de la part de Marc.
Avec un peu de recul, je n’en revenais pas d’avoir littéralement fait l’amour avec Marc. Ce n’était pas juste une baise. Je n’aurais pas imaginé prendre un tel plaisir à être embrassé par un homme et à lui rendre ses baisers avec une telle intensité. Le simple souvenir me faisait dresser le sexe. Sans parler de la sensation d’être pris profondément, de me sentir femme. Ce sexe en moi qui était si long et si dur et qui prouvait le désir que je suscitais chez Marc. Sentir sa jouissance, les spasmes qui m’élargissaient encore plus le fondement, et sentir son sperme brûlant m’inonder pendant que sa langue était dans ma bouche. C’était excitant, valorisant et un peu perturbant aussi. Par rapport aux jeux anaux coquins dont nous avions l’habitude avec Iva, c’était autre chose. Cela avait ouvert des horizons nouveaux et des sensations nouvelles aussi.
Je voyais bien qu’Iva aussi était dans son monde, elle était pensive. Elle vit que je l’observai et elle me sourit franchement, un de ces beaux sourires purs, pleins de belles dents blanches et bien alignées. Quelle femme magnifique, j’étais décidément chanceux.
Une fois la toilette et le petit-déj’ passés, nous allâmes tous sur la plage ; les enfants partirent jouer au bord de l’eau, nous laissant seuls. Nous attendions tous les deux ce moment, nous avions besoin d’échanger sur l’expérience que nous avions vécue, nous mettre un peu à jour et à niveau sur nos sensations, notre ressenti, en reparler à froid.
Nous étions en phase : la soirée avait été merveilleuse, excitante et érotique comme notre vie sexuelle ne l’avait été depuis longtemps. Pas de trace de jalousie, pas la moindre frustration, pas non plus de regret ou de rejet. Ouf ! Iva avait tout adoré, faire l’amour avec Marc (qui lui avait plu dès le premier regard), me voir faire l’amour avec Noémie, se faire dévorer le minou par cette fille si provocante, goûter son premier sexe de femme (elle avait aimé le goût et les sensations qu’elle provoquait chez sa partenaire), mais aussi me voir sucer un homme et me faire prendre avec force. Et last but not least, elle avait comme moi envie de revoir Marc et Noémie pour continuer cette expérience si c’était possible.
Heureux d’être sur la même longueur d’onde, nous nous embrassâmes passionnément et nous fonçâmes vers la mer, le dernier dans l’eau étant condamné à un gage. Évidemment elle perdit, je ne lui laissai aucune chance. Pas de pitié.
L’eau étant assez fraîche, nous commençâmes à nous enlacer tendrement pour nous réchauffer. Ses seins pointaient de manière obscène, ils étaient tout durs ! Une invitation à les lui pincer et faire tourner. Je la tripotai gentiment comme ça, tout en l’embrassant ; elle était salée, évidemment, et sa petite langue était toute fraîche, aussi. Je lui pris les grandes lèvres entre mes doigts, en les massant doucement à travers le maillot, en les frottant doucement l’une contre l’autre. Iva se tortilla doucement, pendue à mon cou. Je passai ma main dans son bikini pour vérifier si elle mouillait. Son sexe était si chaud et déjà bien lubrifié, alors je lui caressai doucement les lèvres et le clitoris.
Elle gémit tout doucement à mon oreille, elle avait du mal à tenir sur ses jambes, comme à chaque fois que je la caresse debout. Elle s’appuya sur moi pour ne pas tomber. Son clitoris était bien dur, elle avait les yeux fermés, elle m’embrassait par intermittence pour aussi reprendre son souffle qui se faisait de plus en plus court. Je me demandai si elle était concentrée sur la caresse uniquement ou bien si elle pensait à un fantasme, ou à notre soirée d’hier. Ma main gauche continua à aller et venir sur son clitoris, tandis que ma main droite baissa le bas du maillot, palpa ses fesses et maintenant fit des va-et-vient dans sa raie en titillant son anus. Son souffle était de plus en plus court, son visage était enfoui dans mon cou maintenant et je sentis qu’elle allait exploser bientôt. Je pénétrai son petit trou avec ma première phalange du majeur et cela déclencha son orgasme. Elle trembla dans mes bras en s’agrippant à mon cou, c’est toujours une sensation magnifique. Puis ce fut le calme après la tempête, elle resta blottie contre moi en reprenant son souffle doucement pendant que je recommençai doucement à lui martyriser les bouts de seins.
On s’installa sur la plage, en guettant un peu autour de nous à la recherche de Marc et Noémie, sans succès.
La journée se passa doucement ainsi et la fin d’après-midi approchait, moi qui ne suis pas fan du soleil, je commençai à en avoir sérieusement ma claque… jusqu’à ce que nous vîmes arriver nos amants de la veille. Une belle image romantique, ils arrivèrent main dans la main, en marchant dans l’eau, beaux et jeunes… Ils vinrent nous voir, nous claquèrent une bise chacun et on s’installa tous les 4 sur la plage, les enfants jouant toujours au bord de l’eau.
Ils nous racontèrent la balade en bateau qu’ils avaient fait toute la journée, et que le soir ils étaient de sortie en boîte… Je crois qu’Iva et moi étions aussi déçus l’un que l’autre, même si ni l’un ni l’autre ne le montrâmes. Ils nous proposèrent de les accompagner, mais l’organisation avec les enfants en last minute ne nous le permettait pas. Ce fut leur tour d’avoir l’air un peu contrit, apparemment ils avaient fait des plans sur la comète et nous en faisions partie. L’espoir revint. Nous nous mîmes d’accord pour la soirée du lendemain, ce qui nous laissait le temps de trouver une baby-sitter.
N’en pouvant plus du soleil, du sel, du sable et de la crème solaire qui dévoraient tous ensemble mes nerfs, je saluai tout le monde et partis vers les douches en faisant un crochet par la tente.
Quand j’arrivai aux douches, il y avait la queue alors je me mis en file. Au bout de 3 minutes, Marc me rejoignit avec ses affaires. Lui aussi avait envie de se laver de tout le soleil de la journée. Il me raconta dans le détail les paysages qu’ils avaient vus en bateau, autour de l’île de Porquerolles, la plongée, les grillades de poisson du midi. Il y avait décidément beaucoup de monde, une belle file, derrière nous puisqu’enfin nous étions les premiers après 30 minutes d’attente. Une douche se libéra, c’était la douche spéciale familles, bien grande. Pour être sympa avec les suivants, nous entrâmes ensemble dans la douche avec Marc. Nous avions vraiment l’air d’y croire, que c’était juste pour être sympa avec les pauvres campeurs harassés qui attendaient leur tour.
Bref, nous entrâmes dans la douche à deux, et fermâmes la porte (à clé…). Marc étant moins chargé que moi, il enleva son maillot et glissa en premier sous la douche. Il était beau et toujours aussi musclé, une armoire à glace tout en puissance. Il se mit sur le côté pour se savonner et je pris la place sous l’eau. L’eau bien chaude était merveilleuse, je sentis que je me détendais à vitesse grand V. Marc se savonna avec énergie, ce qui mit ses muscles encore plus en valeur. Les cheveux, les bras, les pectoraux, les abdos, tout était moulé au possible. Il était passé au sexe, il se savonna avec beaucoup de sérieux et dans les moindres recoins, puis les fesses, les jambes, les pieds. On aurait dit la statue du David de Michel-Ange, mais avec un plus gros sexe.
Je le matai sans retenue, après tout avec notre aventure de la veille, pas de timidité possible entre nous désormais. Je restai sous l’eau chaude juste à le regarder et sans rien faire moi-même. Jusqu’à ce qu’il ait fini et me dise en rigolant « Ça te dérangerait d’arrêter de me mater et d’échanger nos places ? ». Je permutai avec lui et, pendant qu’il se rinçait, je me savonnai à mon tour. Je lui tournai le dos pour me laver, bizarre cette petite pudeur de ma part. Une fois bien savonné de partout, je sentis des mains puissantes se poser sur mes hanches et m’attirer en arrière sous le jet d’eau bien chaud.
Je me retrouvai contre lui ; il passa ses bras autour de moi en me serrant tendrement contre lui. Je sentis son sexe durcir contre mes fesses, je me laissai aller contre lui, il était chaud et tellement ferme, pas du tout la même sensation qu’avec Iva plus tôt dans la journée. Je mis ma tête en arrière contre lui, presque sur son épaule, et je tournai le visage vers lui. J’étais bien rincé désormais, il se pencha vers moi et m’embrassa tendrement sur la bouche. J’étais électrisé par ce contact. Mon sexe était déjà fièrement dressé, et le sien aussi, je sentis ses bourses sur mes fesses. Il entra sa langue dans ma bouche, il me lécha doucement les lèvres, je le mordillai légèrement. Il était très doux et cela m’étonnait, ce corps si viril et cette bouche si tendre. Il descendit une de ses mains et saisit mon sexe. Je ne me souvenais pas qu’il m’ait touché le sexe la veille et je me dis que c’était une évolution. Cela rendait la relation sexuelle plus équilibrée et d’une homosexualité plus assumée de son côté.
Il me masturba doucement, avec sa main plus rugueuse que mes contacts habituels, mais avec une grande douceur et des gestes différents aussi. C’était bon, c’était tendre et excitant. Je me tournai complètement vers lui maintenant, je passai mes bras autour de son cou et nous continuâmes à nous embrasser, mais avec plus de passion cette fois, des baisers profonds, avec nos langues qui se mêlèrent, se cherchèrent, s’enroulèrent. Nos sexes se touchaient en partie, malgré la différence de taille entre nous deux (Marc me rend 15 centimètres malgré mes 1,85 m), Marc me caressa le torse et agaça mes tétons, c’était excitant, j’eus l’impression d’être dans la position d’Iva avec moi et Marc me fit ce que moi-même j’avais fait à Iva plus tôt ! Il mit ses mains sur mes fesses, qu’il malaxa abondamment. Quant à moi, une de mes mains saisit sa verge, qui était fière et dure. Je le branlai doucement pendant qu’il continua à m’embrasser et à me tripoter les fesses.
Et tout à coup, il me saisit sous les fesses, me souleva comme si je ne pesais rien, je pliai par réflexe les jambes autour de lui. Il était debout, il me tenait au-dessus de son sexe, mais sans qu’il me touche, cependant. Je sus qu’il allait me pénétrer, comme hier. Me pénétrer debout, profondément, que j’allais déguster. Il ne faisait encore rien, sinon me sucer les tétons, et moi j’étais en attente, dans l’expectative. Et mon anus vibra d’envie, je sentis qu’il s’ouvrait, prêt à recevoir une queue, une belle queue dure, longue et épaisse. De nouveau. Quelle sensation incroyable, ce désir d’un sexe d’homme dans son cul, qui fait se détendre les sphincters et provoque une sorte d’autolubrification du conduit.
Marc délaissa mes tétons, redressa la tête, me regarda dans les yeux avec détermination, et me fit doucement descendre vers son sexe. J’appréhendai un peu… et je le désirai en moi beaucoup… Sentiments mêlés, je le regardai dans les yeux quand je sentis son gland toucher tout doucement mon petit trou. Toutes mes terminaisons nerveuses réagirent, alerte rouge dans ma tête, attention ça va être ma fête et ça va être bon ! Il descendit tout doucement, millimètre par millimètre et mon anus excité s’écarta progressivement, laissant doucement entrer le bout de son gland, puis la moitié de son gland. Finalement, le gland passa les sphincters et sa queue pénétra rapidement et profondément jusqu’à la garde ; il me fixait toujours et je sentis que mon propre regard était à la fois implorant, reconnaissant du bien qu’il me faisait et de la douceur de sa progression, et terriblement excité par le moment chargé d’électricité et de pur bonheur anal.
Il était en moi, j’étais rempli de lui, de son sexe chaud. Je serrai mes bras autour de son cou, les jambes autour de son bassin et je l’embrassai à pleine bouche. Il coulissait en moi doucement, les sensations étaient merveilleuses, son gland frottait ma prostate et je ressentis des secousses électriques dans tout le bassin. Mon sexe était bandé, j’étais merveilleusement excité. Pour libérer une main, il appuya mon dos contre le mur. Il donnait des coups de boutoir plus puissants avec son bassin, je me mordis les lèvres pour ne pas gémir et qu’on m’entende à l’extérieur des douches.
Avec sa main libre, il commença à me masturber ; sa main saisit ma verge et avec le pouce, il fit des cercles sur mon frein, qui était bien lubrifié de mon liquide séminal, l’excitation aidant. Il alterna des va-et-vient avec toute la main et ces caresses subtiles sur le frein. Je sentis le plaisir monter, à la fois dans mon cul et au bout de ma verge. L’orgasme me cueillit violemment, j’éjaculai avec force, je vis des étoiles.
Il recueillit un peu de mon sperme sur ses doigts et me les fit lécher pendant qu’il continuait à me limer le derrière. Puis il me reprit solidement avec ses deux bras, je l’enlaçai à nouveau, il accéléra le rythme de pénétration en m’embrassant. Nous échangeâmes le goût de mon sperme, c’était vraiment érotique. Enfin, il jouit dans mon cul, solidement planté au fond. Nous restâmes immobiles à nous bécoter encore un peu, avant qu’il ne commence à ramollir et qu’il ne décule.
L’eau chaude coulait toujours, nous nous relavâmes rapidement, avant de nous sécher et rhabiller en silence. Un dernier bisou de remerciement pour le moment passé et nous sortîmes.
En sortant, la file était désormais interminable et les regards bien noirs… Nous partîmes rapidement vers ma tente, ensemble. Sur le chemin, je me dis que le hasard avait bien fait les choses avec cette rencontre aux douches du camping, avant de me rappeler que le bungalow loué par Marc et Noémie avait sa propre douche. Je me rendis alors compte de combien j’avais été innocent, et qu’en fait Marc ne m’avait rejoint que dans le seul but de retenter quelque chose avec moi. Je me sentis à la fois con et heureux que ce bel homme ait eu envie de me sodomiser, et cherché un stratagème grossier pour créer l’occasion !
La tente était toujours déserte et nous nous installâmes pour boire un petit apéro. Marc me dit qu’il vivait des sensations incroyables qu’il n’aurait jamais même imaginé jusqu’à la veille. Les hommes ne l’avaient jamais attiré et la veille, il pensait que c’était essentiellement le vin qui l’avait désinhibé, ainsi bien entendu que l’ambiance chaude et les manigances de Noémie qui, elle, était très excitée à l’idée de le voir baiser un autre homme. C’est pourquoi il avait voulu retenter le coup et sans la présence incitative de Noémie. Il voulait voir s’il était capable d’avoir un vrai rapport purement homosexuel et si cela lui plaisait vraiment.
Bref, il était heureux que ses horizons se soient ouverts et j’étais intérieurement flatté d’avoir contribué à lui faire découvrir un pan de sa sexualité qu’il ignorait complètement. Sans parler du fait que moi aussi je me sentais différent, j’avais évolué dans mon approche des hommes, j’avais vraiment aimé la sensation physique, mais aussi la sensation psychologique d’être ainsi pris. Quel pied incroyable j’avais pris dans les bras de Marc, c’était si différent de mes rapports avec Iva !
Nous étions encore en train de trinquer à la joie du sexe, des découvertes et de l’amour sous toutes ses formes lorsque les filles arrivèrent avec les enfants, ce qui mit fin à la discussion.
Après un petit verre, les deux amoureux repartirent bras dessus bras dessous et nous nous donnâmes rendez-vous pour le lendemain soir pour sortir ensemble. Je me demandai ce qui nous attendait encore. En attendant, j’étais à nouveau vanné, mais sur un petit nuage.