Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 17262Fiche technique50448 caractères50448
Temps de lecture estimé : 28 mn
14/02/16
Résumé:  Obtenir un logement gratuit, c'est une affaire. Mais ce dernier est en mauvais état et il faut effectuer les réparations et l'entretien. La propriétaire aimerait bien bénéficier de la même attention.
Critères:  ffh fellation 69 double sandwich fsodo init -initfh
Auteur : Bertrand d      Envoi mini-message
Un contrat intéressant

L’imprimante ronronne et crache les devis. Madeleine, devant son ordinateur, établit les factures. La sonnerie du téléphone l’interrompt dans son travail.



Cette jeune dame ne doit pas être dégourdie, ce n’est pas difficile. Je vais appeler Hervé, s’il a terminé un peu plus tôt, il y passera. Justement, voilà qu’il m’appelle.



En centre-ville, je vais m’amuser pour me garer avec la camionnette.

Il arrive devant la porte, sonne. Comme d’ordinaire, en raison de sa taille, il se penche un peu pour que l’on puisse le voir par le judas. La porte s’ouvre immédiatement, la cliente devait l’attendre avec impatience. Devant lui une femme très jolie, mais ne dépassant pas un mètre soixante. Elle lui arrive à peine à l’épaule.



Elle l’amène dans la cuisine, devant un évier contenant un liquide pas très sympathique, sentant le détergent



Et là, il est totalement surpris. Il n’y a pas de siphon, un simple tuyau qui va directement à l’égout.



Mais la cliente ne pourra pas payer. En rentrant, Hervé songe aux travaux qu’il faudrait faire. Inutile de rêver.

Arrivé à l’entreprise, il raconte à la secrétaire ce qu’il vient de voir, et lui demande de charger les photos dans son ordinateur. Au vu des images, elle appelle le patron. Ce dernier éclate de rire.



Le lendemain, vers dix heures, la jeune femme vient chercher la note. Quand elle la consulte, elle constate que c’est ce que lui avait dit le plombier.



Lorsqu’Hervé est rentré, Madeleine lui a rapporté la conversation du matin. Elle lui a parlé du rendez-vous qu’elle lui avait proposé.



La conversation a été brève, ils ont convenu de se rencontrer chez elle ce week-end.


Hervé est revenu assez satisfait de cette entrevue. Elle acceptait de lui louer la chambre de sa mère décédée l’an dernier. C’est une pièce vaste, plus de vingt mètres carrés, et surtout meublée. En échange de la gratuité de cette location pendant trois mois, il s’engage à payer le matériel nécessaire et de lui remettre en état son installation de plomberie. Ils verront pour la suite. Manon va nettoyer la chambre, Hervé s’installera le prochain week-end.


Une fois Hervé établi, ils se sont consultés pour l’utilisation des pièces communes. Ils ont déterminé les horaires pour chacun. À midi, chacun mangeait au restaurant, pour le soir, ils cuisineraient chacun à leur tour. À la fin de cette conversation, Hervé a proposé de se tutoyer et de s’appeler par le prénom.

Lorsqu’elle a donné son accord pour accepter cet homme, elle a eu peur. Et si jamais il voulait la violer ! Elle ne pourrait pas se défendre contre un pareil colosse. Sa crainte a rapidement disparu et maintenant elle est tranquille. Il est calme et gentil. Elle craignait qu’il se permette des attouchements lorsqu’ils sont ensemble, mais il reste extrêmement correct, un peu trop peut-être. De plus, en cas de besoin, ce sera un excellent garde du corps.


Ils vivent à présent un peu comme un couple. La plomberie terminée. Le contrat a été prolongé. Hervé a entrepris de changer les fenêtres, refaire l’installation électrique.


Le week-end, il sort et rentre parfois assez tard. Il a été convenu que chacun pourrait recevoir des amis, à la condition de prévenir l’autre à l’avance.


Un soir, il lui demande s’il peut amener une copine le vendredi. Elle passerait la nuit avec lui. Il a craint un refus, mais au contraire elle lui dit qu’elle serait heureuse de faire sa connaissance. C’est vers une heure du matin qu’ils rentrent sans bruit. Manon ne dort pas, voulant savoir ce qui allait se passer. De légers bruits, bien révélateurs, se sont fait entendre. À la fin, un long gémissement féminin signalant une grande satisfaction. Pendant tout ce temps, elle s’est caressée, un peu jalouse du bonheur de l’autre.


Le lendemain matin, elle a frappé doucement à la porte de leur chambre. Elle leur apportait le café. Et surtout elle a pu voir cette femme. Les épaules nues, un sein sorti de la chemise de nuit, elle a admiré une très belle fille, dont le gabarit s’accordait très bien à celui d’Hervé. Ils l’ont remercié de cet accueil.

La partenaire d’Hervé se révèle très gentille. Tous deux dévorent le petit-déjeuner qu’elle leur a préparé. En fin de matinée, ils la quittent, mais indiquent qu’ils ne reviendront pas trop tard, afin de ne pas la déranger. Lorsqu’ils rentrent le soir et que Manon entend les premiers gémissements, elle se lève et colle son oreille contre la porte. Elle discerne mieux les plaintes de plaisir, mais aussi les paroles qu’ils échangent. Elle entend ce qu’elle considérait comme de l’exagération ou de la fiction dans les livres qu’elle avait lus. Et c’est dans cette position qu’elle se donne du plaisir et explose en même temps que le couple.


Le lendemain matin, elle renouvelle le scénario de la veille. Elle les invite à déjeuner, ils pourront mieux faire connaissance.


La gentillesse de Barbara a convaincu Manon. Elles sont devenues amies. Pourtant, au fond d’elle-même elle est un peu jalouse. Hervé lui appartient. Leur relation s’est changée en amitié. D’abord le repas du soir, est pris en commun, il n’est plus question de loyer, il répare et entretient tout. Mais surtout elle vit avec un homme, elle qui n’en avait jamais fréquenté. À la peur des premiers jours a succédé la confiance, l’amitié et même un sentiment beaucoup plus fort. En réalité, elle l’aime. Mais lui n’a pas changé apparemment. Il vit avec elle, trouve son plaisir avec une autre, chose que d’ailleurs elle pense ne jamais pouvoir lui donner. Physiquement ils sont trop différents, lui un athlète et elle physiquement, presque une enfant.

Maintenant l’appartement est à peu près en état. Barbara vient souvent, mais elle le prévient. Par contre, elle n’a jamais reçu personne.


Un soir, en rentrant, Hervé a la surprise de trouver un homme dans l’appartement. Elle ne l’a pas prévenu, il est étonné. Mais le visiteur également et regarde l’arrivant avec gêne.



Au fond de lui, Hervé est choqué, très désagréablement choqué. Cet homme ne lui est pas sympathique, il ne parle pas beaucoup. Au cours du repas, il paraît gêné. Ce soir, pas de soirée en commun à regarder la télé ou à discuter, il va jouer sur son ordinateur.

Dans son lit, il met beaucoup de temps à s’endormir. C’est un bruit léger qui le tire de son sommeil. Immédiatement, il pense à cet invité, qu’est-il en train de faire ?

Sans bruit il se lève, entrouvre sa porte et voit l’homme en train de fouiller dans un tiroir du buffet. Manon a été également réveillée. Elle ouvre sa porte et se précipite vers le voleur. Hervé s’apprêtait à sauter sur l’homme qui n’aurait pas fait le poids. L’individu saisit Manon et la prend comme bouclier. Un claquement sec, un couteau apparaît dans sa main, il le place sous la gorge de la jeune fille.



Tous trois vont dans la chambre, Hervé ouvre la porte du meuble, cherche un instant parmi ses affaires. Quand il se retourne, il a un appareil photo, une série de flashes éclatent. Dans un réflexe l’homme ébloui met son bras devant ses yeux. Hervé bondit, lui saisit le bras, le tord jusqu’à ce que l’arme tombe. Manon parvient à se dégager. Alors, le marteau-piqueur se met en marche. Le poing frappe à cadence rapide sur son adversaire. Le visage, le nez, le foie, il s’en donne à cœur joie. Manon est obligée de l’arrêter, d’ailleurs le corps s’écroule au sol.



Lorsque le gars est bien saucissonné, Hervé le charge sur son épaule et descend à sa voiture. Arrêté devant le commissariat, il sort et prend son colis sur le dos. L’agent de garde est surpris et tente d’arrêter Hervé.



Stupéfait, il le conduit dans le bureau du responsable. Celui-ci est surpris par cette intrusion.



L’officier s’exécute et découvre les faits qui viennent de se dérouler. Immédiatement, il comprend l’attitude d’Hervé. Celui-ci lui raconte dans le détail le déroulement des événements. Une rapide consultation des fichiers de police montre que l’individu est recherché pour des faits similaires.



Hervé rentre chez lui, heureux du dénouement de cette affaire. Arrivé devant la porte, il s’attend à ce que Manon l’ait verrouillée. Mais celle-ci s’ouvre rapidement et la jeune fille lui saute au cou. Elle l’embrasse, l’enlace, le serre contre elle.



Manon lui saute au cou et pose sa bouche sur celle de Hervé. Un peu surpris par cette réaction rapide, il tente de lui entrouvrir les lèvres. D’abord étonné, il comprend que c’est une véritable vierge. Il faut tout lui apprendre.

Patiemment, il agace les lèvres qui sous la pression s’entrouvrent. Puis la langue entre en jeu. Surprise, elle accepte cette intrusion. Quelques minutes plus tard, Hervé se dégage et la regarde en souriant.



Lentement, elle ôte sa chemise de nuit. Elle n’ose pas regarder en direction de son ami. Enfin, elle lève les yeux. La musculature est impressionnante, le sexe pend entre les cuisses. Il est gros, mais enfin… comment pourrait-il me pénétrer ? À sa grande surprise, elle le voit se redresser, monter à la verticale contre le ventre. C’est énorme, une véritable matraque. Donc une relation entre nous est impossible.



Elle se couche contre lui, heureuse d’avoir vaincu sa peur. Hervé lui prend la main qu’il amène sur sa queue, la force à la saisir. Elle le laisse faire, tente d’entourer le sexe, mais n’y parvient pas. Elle panique, elle ne sera jamais femme.



Maladroitement, elle saisit la queue à deux mains. Hervé la guide dans les premiers mouvements. Elle agit un moment. Par sa maladresse ou peut-être le désir de son partenaire, il jouit et le sperme retombe sur les mains manipulatrices.



Elle va dans la salle de bain et se nettoie consciencieusement les mains. Quand elle revient, elle regarde les cuisses de son amant. Stupeur, l’organe a repris une dimension normale.



Lentement, il commence à caresser la poitrine assez menue, avec les mains puis la bouche. D’abord crispée, sa compagne se détend. Puis il descend vers le buisson, caresse la fine toison et trouve le bouton. Du doigt il l’excite, puis pose la bouche. Les cuisses féminines se resserrent emprisonnant la tête inquisitrice. Peu à peu, elles se relâchent. Bientôt le bassin se soulève à la rencontre des caresses. Soudain, un petit cri et tous les muscles se détendent. Une légère humidité vient récompenser le bienfaiteur.

Sa tâche terminée, Hervé remonte au côté de son amie. Elle l’embrasse pour le remercier.



Il se place tête-bêche, engage à nouveau son visage entre les cuisses féminines. Manon voit arriver devant elle le sexe qui a repris son volume maximal. Elle l’examine, le prend entre ses mains. Sortant sa langue, elle commence à lécher tout autour. Puis place le sommet du cône entre ses lèvres. Lentement elle le laisse pénétrer dans sa bouche. Bientôt la boule rose est entièrement entrée. De la langue elle la caresse. Insensiblement le sexe s’enfonce de plus en plus, jusqu’à ce qu’il vienne buter contre sa gorge. La pensée de savoir ce qu’elle fait, le plaisir procuré en bas, la propulse dans un orgasme merveilleux. Le sexe masculin se dégage, Hervé remonte auprès d’elle.



Toute la journée, elle pense à ce qui s’est passé la nuit précédente. Les sensations merveilleuses qu’elle a connues.

Hervé est heureux, il est arrivé à la débloquer. Maintenant, que faire ? Le soir, en entrant, il ouvre la porte, pousse le battant. Une masse s’abat sur ses épaules, une bouche vient se coller contre la sienne.



Après le dîner, il a pris son temps pour se lever, ranger ses habits. Il va tranquillement dans sa chambre. Manon piaffe d’impatience. Sans lui laisser le temps de mettre un pyjama, elle se lance contre lui, toute nue.



Elle prend l’initiative, baisers, caresses, et surtout la fellation. Elle prend son plaisir et veut continuer pour le faire jouir. Il se dégage. Déçue, elle lui demande :



Hervé la prépare avec les mains, la bouche. Il sent bientôt qu’elle est à point. Elle se redresse et vient se mettre en place comme il le lui a dit. Elle se branle à l’aide de la queue, commence à s’empaler, s’arrête, fait une grimace, et descend lentement. Chevillée, elle reste immobile quelques secondes puis bouge lentement. Elle ressent une brûlure, mais le plaisir d’être femme lui fait oublier sa souffrance. Il lui semble après quelques minutes, recevoir dans le ventre un épanchement qui la surprend.

Hervé la bascule à côté de lui et se dégage. Les yeux pleins de larmes, elle le regarde en souriant.



Le lendemain matin, elle ressent une brûlure entre ses cuisses. Mais la joie d’être une femme lui fait oublier cette gêne. Elle attend avec impatience le soir où elle pourra à nouveau faire jouir son amant.

C’est avec un grand sourire qu’elle accueille Hervé. Ce soir le dîner est prêt, mais expédié aussi rapidement que la veille. À nouveau, elle vient dans la chambre de son ami. Il la regarde et lui dit :



Manon est repartie déçue dans sa chambre, dépitée, mais estime qu’au fond, son compagnon a raison. Pourtant Barbara vient demain soir et pas besoin de se demander laquelle il choisira. Il faut donc attendre lundi.


Malgré sa déception, Manon accueille l’invitée avec chaleur. Tous trois partagent le repas qu’elle a préparé. Pourvu qu’il ne lui parle pas de leur aventure. La conversation roule sur toutes sortes de sujets. À minuit ils se séparent. Manon est frustrée. Ce n’est pas de la jalousie, elle ne fait pas le poids contre cette fille-là. C’est qu’elle est privée jusqu’à lundi soir de son amant.


Le sommeil ne veut pas venir. En prêtant l’oreille, elle distingue les bruits habituels qu’émettent les amoureux. Ce soir, elle va les espionner à la porte de leur chambre. Collant son oreille contre la porte, elle ne différencie que vaguement, des bruits, des paroles indistinctes. Elle aimerait mieux les saisir. Elle augmente la pression de son oreille contre le battant. Il s’entrouvre. Manon veut se retirer, mais elle aperçoit une partie de la chambre. La lampe de chevet éclaire le lit où s’ébattent les deux amants. Ils n’ont rien remarqué, n’ont pas cessé leurs ébats. Elle a manqué les préliminaires, ils sont en pleine action. Barbara a placé noué ses jambes dans les reins d’Hervé. Celui-ci la besogne très lentement, savourant cet instant comme un gourmet devant son plat préféré.



Elle pivote et présente son fessier bien ouvert à la vue de Manon. Lui se place derrière, les jambes écartées. Crachant dans sa main, il graisse son dard qu’il présente dans le centre de la cible.



Manon assiste alors à une scène formidable. Le dard s’enfonce lentement entre les fesses. Il ressort. Puis le piston augmente de cadence. La suppliciée émet une plainte qui s’amplifie au rythme des coups de boutoir. Soudain, un cri féminin vite maîtrisé, et le cavalier s’immobilise, enfoncé jusqu’à la garde. Les corps sont immobiles, mais les visages expriment un tel bonheur que la voyeuse, finissant de se branler, éclate elle aussi.

Rapidement elle regagne son lit afin de ne pas se faire surprendre.


Le lendemain matin, vers neuf heures, elle prépare le café qu’elle va leur porter dans leur chambre. Un coup discret à la porte. Elle entend « entre ». Poussant le battant, elle découvre leurs amis en pleine action.



Médusée, la jeune fille ne peut que se retirer, tant elle est choquée. Pourtant elle obéit, revient au pied du lit.



Manon est angoissée. Malgré cela elle se glisse entre les deux corps. Tranquillement tous trois, tout en discutant de choses et d’autres avalent leur breuvage.



Et toutes deux se mettent couchées sur le dos, prêtes à recevoir leur récompense.



Soulevant le drap, la tête de la femme plonge vers le buisson printanier. Pour la première fois, Manon connaît les plaisirs prodigués par une femme. Et elle trouve cela délicieux, d’autant que sa bouche est prise par Hervé. Le plaisir monte rapidement.



Ce dernier s’enfonce dans un jardin délicieux, imprégné d’un jus subtil. Elle ne sait plus si c’est le baiser ou la copulation, mais elle parvient au septième ciel rapidement, criant son plaisir malgré son doux bâillon.



Curieuse, Manon glisse sur le côté du lit, genoux à terre. Elle voit l’amour de près, le sexe qui s’enfonce de plus en plus vite. Puis arrêt. Barbara roule à plat ventre, se relève sur les genoux et la queue choisit une autre entrée, en principe interdite. Toujours placée sur le côté, elle voit, admire, prends des leçons de sodomie. Voir un si petit orifice absorber ce pieu lui paraît incroyable. La partenaire gémit et tout à coup se redresse sur les genoux. Le mouvement s’arrête net, les deux corps tendus, la flèche enfoncée dans la cible. Puis, après quelques instants, les deux corps se relâchent, il repose sur son dos. Elle a le visage souriant.



À tour de rôle ils passent dans la salle de bain. Barbara sort en mini-jupe et soutien-gorge. Devant une telle décontraction, Manon opte pour une robe de plage oubliant les sous-vêtements. Ils se retrouvent pour partager le petit déjeuner.


Un peu perdue, Manon fait appel à son amie pour choisir le menu. Toutes deux, devant la paillasse, s’affairent sur le livre de cuisine. Leur ami en survêtement vient derrière elles pour connaître leur choix. Mais d’un commun accord, elles le repoussent, une barre dure s’appuyant contre leurs fesses.



Pendant leurs recherches, Manon sent une main qui soulève le bas de sa robe. Une main féminine vient lui caresser les fesses et glisser dans la raie du cul. Inconsciemment elle écarte les jambes. Un doigt, légèrement mouillé tente de s’introduire dans son rectum. Elle se baisse un peu et l’intrus parvient à s’introduire. Figée, elle reste immobile. Alors elle sent une lente et déroutante pénétration. Soudain, elle pense à Hervé dans la pièce à côté. Elle regarde dans sa direction. Sourire aux lèvres, il les regarde opérer.

Elle se dégage et dit :



Elles s’activent et à midi elles peuvent présenter un menu à peu près correct. Installé comme un pacha, Hervé, quand on lui sert les plats, en profite pour leur caresser l’arrière-train, ce qui est loin de déplaire aux serveuses.

À la fin du déjeuner, le mâle réclame la surprise qu’elles lui ont promise. Toutes deux lui sautent dessus et le couvrent de baisers.



Surprise d’abord, choquée ensuite, finalement curieuse, elle accepte de faire l’amour avec une femme, ce qu’elle n’avait jamais envisagé et aurait d’ailleurs refusé encore la veille. Elle rejoint sa compagne, suivie du mâle totalement décontracté. Allongée, sa compagne l’attend, déjà nue. Se débarrassant de sa robe, elle la rejoint.


Comme l’aurait fait un homme, c’est d’abord par un baiser passionné que débute leur union. Jouant le rôle du mâle, Barbara lui caresse les seins, le pubis. La sensation est différente, plus délicate, meilleure même qu’avec un homme. Toutefois, le doigt qui lui chatouille le clitoris ne vaut pas la bouche. Comme si elle comprenait ses désirs, sa compagne l’abandonne un instant, la fait pivoter, l’amenant au-dessus d’elle pour la satisfaire. Immédiatement elle reçoit la caresse. Ce retournement amène le buisson de sa compagne devant sa bouche. Manon ne peut que lui rendre la politesse. Le terrain est nouveau, à la place d’un épieu bien dur à sucer, elle trouve une configuration qu’elle connaît bien. Et surtout elle sent monter un plaisir fait de douceur féminine. Un long moment, elles se butinent. Tout à coup, elle ressent une présence sur son dos. Hervé vient se joindre à elles. Son clitoris est abandonné, sa compagne absorbant le sexe de l’homme.


Manon se sent frustrée. Toutefois, sa compagne après l’avoir bien lubrifié, le met en place. L’épieu qui la perfore, la langue qui arrive malgré tout à remplir son rôle, la font rapidement éclater. La bite se dégage, remonte un peu et vient entre ses fesses. Une présence qui essaie de pousser contre sa rondelle. Elle se dégage vivement.



Pour la deuxième fois, elle voit sa copine se faire sodomiser et y trouver un grand plaisir. Jamais il ne me considérera comme une femme, simplement un moment de détente. Il faut que je puisse lui donner ce plaisir.



Il faut à tout prix que je lui donne mon second pucelage. Sinon il me baisera peut-être la semaine, mais attendra avec impatience le cul de sa copine. Tant pis, je fonce.



Blottie dans les bras d’Hervé, Manon se demande quel est ce matériel et quels exercices elle devra faire. Un moment plus tard, Barbara est de retour avec un très joli coffret et une boîte. Les posant sur le lit, elle ouvre la boîte rectangulaire. Rangés dans un écrin, quatre drôles d’engins, en matière noire, alignés par ordre de grandeur.



Indécise, elle va tenter un essai. Si cela est trop douloureux, elle s’arrêtera. Posant l’engin qu’elle a sucé, sur une chaise, écartant les fesses, elle met en place l’objet et se laisse descendre. Surprise, il pénètre, elle se retrouve assise sur le siège.



Lentement Manon se met debout. En effet, elle sent la présence du plug, mais cela ne la gêne pas. Quelques pas, c’est très supportable.



Le doigt de son amie les glisse en place. C’est très supportable.



Effrayée, elle obéit, s’habille. Si je ne me sens pas bien, je rentrerai. S’examinant dans son miroir, elle constate qu’elle a une allure normale, rien ne se voit. Il faut descendre l’escalier. À chaque marche, elle perçoit la présence de ses accessoires. Cela ne la gêne pas, au contraire elle ressent une impression étrange, du plaisir même.


Tout l’après-midi, ils se sont promenés. Le dîner au restaurant a été délicieux. En rentrant, elle s’est sentie heureuse d’avoir osé se balader avec ça. Barbara s’est excusée, les a quittés. Hervé aussi, il est allé au lit. Il est vrai qu’il s’est beaucoup dépensé ce week-end.


Le matin, elle s’éveille, émergent d’un rêve délicieux. Elle ne se souvient pas des détails, mais elle a éprouvé de merveilleuses sensations.


Dans la semaine, Hervé lui a fait l’amour deux fois. Elle a eu à chaque fois un orgasme complet. D’autant que sans le dire à son partenaire, elle a gardé son plug en place, le plaisir étant plus grand. Elle le garde constamment et il semble que son cul se soit élargi. Je vais essayer de mettre le numéro 2. Un peu de difficulté pour entrer, mais après la sensation est revenue, meilleure lui semble-t-il que la semaine précédente.


Hervé la prévient qu’il sortira samedi et dimanche avec des copains. Cela tombe bien, elle n’aurait pas pu totalement le satisfaire étant indisposée. Elle va retirer son plug et voir si son cul s’est élargi. En effet, maintenant elle y glisse trois doigts. C’est le moment d’essayer le numéro 3. Cela s’avère un peu difficile, mais il est tout de même introduit.


Le jeudi, Barbara a appelé pour savoir si elle pouvait venir pour le week-end. Manon a bondi de joie et lui a assuré qu’elle serait la bienvenue.

Après le dîner, les trois complices se sont mis en tenue et ont regagné la chambre d’Hervé. Barbara a laissé à sa compagne l’honneur d’ouvrir le bal.



Elle s’exécute, son cœur bat très vite, est-ce qu’il va y parvenir ? Est-ce que ne n’aurai pas trop mal ? En place, elle sent une langue qui vient préparer le terrain. Le pieu est également graissé. Le sexe vient en place, guidé par une main féminine. La pression s’exerce, parviendra-t-il à entrer ? Elle écarte au maximum les fesses et d’un coup, elle en prend plein le cul. Pas trop douloureux, un peu bizarre. Hervé reste immobile le temps qu’elle se fasse à cette présence. Barbara, de son côté, s’occupe de l’avant. Le bouton est léché par une langue habile. Alors commence le va-et-vient. C’est un plaisir différent, mais surtout psychologique, elle est tellement heureuse. Après quelques minutes, son amant s’immobilise et il lui semble sentir s’écouler le sperme dans ses boyaux. Le couple bascule sur le côté le sexe diminuant de volume, sort naturellement de son trou. Ce dernier reste ouvert et laisse s’écouler la semence.



En effet, Manon est heureuse. Elle est une vraie femme. Mais quant à chercher un homme, elle en a déjà repéré un. Malheureusement il est déjà en main et Barbara ne voudra pas le lui céder. Elle est allée se doucher, s’est couchée, fatiguée, le cul un peu enflammé, mais heureuse. Les deux complices ont pu jouer et jouir en toute liberté.

Le matin elle est allée leur porter le café ce qui a été une occasion de faire l’amour.



Barbara se lève et revient quelques instants plus tard. Manon est stupéfaite. Sa copine est montée comme un homme. Un godemiché lui sert de sexe masculin.



Hervé se couche sur le dos, émoustillé par cette discussion, son sexe se dresse comme un mât. Manon vient s’y enfiler dessus, collée au corps de son partenaire. Elle sent qu’on lui écarte les fesses et que l’instrument en plastique se présente à son trou du cul. Lentement, il s’enfonce et Barbara repose sur elle. Elle est vraiment épinglée. Les deux épieux se perçoivent à travers la mince paroi. Et lentement, ils se mettent en mouvement, synchronisés ou décalés. C’est à la fois bon et douloureux. C’est ce qu’on doit appeler du masochisme. Elle perd un peu conscience de la situation. Elle sent soudain dans le ventre le sperme qui se vide en elle. Incroyable, elle ressent la même chose dans les fesses, les deux se sont vidés en elle. Comment est-ce possible.



Les deux amoureux la voient partir avec à la fois regret et soulagement. Désormais, ils n’occuperont plus qu’une chambre.