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Temps de lecture estimé : 13 mn
15/02/16
Résumé:  On s'amuse puis on se prépare à un rendez-vous attendu avec notre première amante.
Critères:  ffh couple couplus collègues fsoumise fellation cunnilingu anulingus fgode pénétratio sandwich fdanus jouet -couple+f
Auteur : Caribonex  (Rendre un peu du plaisir ressenti ici)            Envoi mini-message

Série : Vacances à Ténériffe

Chapitre 03 / 04
Un rendez-vous attendu

Résumé des épisodes précédents :


« Premier jour à Ténériffe »

« Nouvelle découverte »


Après des vacances à la Grande-Canarie nous ayant permis de nous retrouver et de trouver Elodie, une compagne de jeu. Moi, Axel et Aline découvrons Ténériffe et ses plaisirs. Une éphémère compagne de jeu a fait découvrir à ma femme, Aline, les joies d’être dominante. Aujourd’hui, nous nous amusons à deux et ce soir, nous ferons une surprise à Elodie qui va arriver sur l’île.




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Le soleil se lève paresseusement et ses couleurs roses et brumeuses nous trouvent en train de marcher main dans la main le long de la plage de sable, là, juste en face de notre hôtel. On se tourne pour voir le spectacle de ces couleurs qui semblent couler de la montagne vers nous et on savoure cette sensation de béatitude.



Je sais que sa question ne fait pas vraiment référence à mon état de forme, mais surtout à mes sentiments par rapport à hier et à nos jeux érotiques avec Sibylle. Rencontre de hasard dans la piscine du centre de remise en forme située sous la villégiature et qui nous a fait découvrir – enfin, surtout à Aline – les sensations de la domination en tant que maîtresse des plaisirs.


Oh, elle a toujours un peu aimé dominer, diriger, mais cela est toujours resté assez soft dirais-je.

La semaine passée sur l’autre île, nos… – oui, disons-le – nos retrouvailles de couple, avaient déjà donné l’occasion de jeux poussés, mais cette occasion, l’attitude soumise et demandeuse de Sibylle, le fait qu’elle reprenne l’avion le soir même, Aline s’est un peu lâchée.



L’espace d’un instant, elle semble perdue dans ses pensées puis dit :



Elle ne dit rien, me fixe et puis baisse le regard devant mon expression sévère.



Et nous revenons donc tranquillement et à mon rythme, à notre chambre…




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Je marche doucement, pendant qu’elle raconte la façon dont elle se caresse, dont elle étire ses tétons, quand elle a commencé à découvrir ce plaisir… Par chance, j’ai un t-shirt ample et long qui cache mon short bien tendu. Quant à elle, si son short ne montre évidemment rien, ses tétons pointent sous son t-shirt. Et il fait beau ici.


Je me force à marcher doucement, la laissant s’exciter à raconter ses petites turpitudes. L’hôtel n’est pas loin et pour une fois je suis content de prendre l’ascenseur. Je me place en face d’elle et je sens, je vois tout son corps tendu vers moi.


Juste avant de sortir, je la récompense (et moi aussi !), en effleurant d’un geste rapide la pointe d’un sein et en disant : « excellent récit ». Ça lui fait comme une petite décharge électrique et je sens toute sa tension affleurer.


Nous entrons dans la chambre et je vais tranquillement m’asseoir sur le lit après un passage par la salle de bain. Quand elle en sort à son tour, elle vient vers moi, mais je la stoppe d’un geste. Elle s’arrête, indécise, s’apprête à parler, mais à nouveau, je lui intime d’un geste de se taire. Elle est debout, droite, sans bouger, je tourne autour d’elle lentement, frôlant comme par mégarde ses fesses du dos de la main. Elle frémit, mais ne dit rien. Je vais me rasseoir puis lui dit :



Elle se déshabille donc doucement, mais je sens tout son corps se raidir, se tendre. Elle ne sait pas trop à quoi s’attendre et je commence à comprendre le plaisir qu’elle ressentait hier soir.



Elle se positionne et se retrouve ainsi en équilibre instable, son poids sur les bras. Je passe derrière elle, l’effleure très, très délicatement sur le bas du dos, le cou (elle penche immédiatement la tête en arrière pour chercher les caresses), mais je suis plus rapide et ma main repart pour mieux revenir en lui assenant une claque sur ses fesses. Elle retient un cri et tend son adorable postérieur. Mais c’est quand elle relâche ses muscles que je lui assène plusieurs petites claques rapides qui lui font rougir ses fesses. Je stoppe, effleure puis redonne quelques claques.



Elle s’exécute immédiatement. Elle sait de quoi je parle, elle l’a fait prendre hier soir à Sybille ! Fesses sur les mollets, dos bien droit, bras à angles droits et mains à plat devant soi, regard vers le bas, la servante aux ordres de son seigneur. Ses tétons sont durs, ses seins tendus, ses yeux brillants. Je me place devant elle, la verge tendue, elle ouvre déjà la bouche pour happer ma queue, mais je dis : « Non ».


Je me branle lentement, devant elle, le bout du gland a deux centimètres de sa bouche. Elle retient un halètement, mais sa respiration est plus rapide que la normale. Ses yeux sont focalisés sur mon sexe dur.



Pour illustrer mon propos, je frappe ses joues avec mon gland en variant les côtés deux ou trois fois. Elle tremble, une goutte de sueur coule sur son front, descend le long de son nez, coule et finit par s’écraser sur un sein tendu. Je me recule, donne quelques tapes sur ses pointes de seins et à chaque petit coup, elle tressaille. Son corps va en avant, comme si elle cherchait à prolonger ce fugitif contact. Je vais m’asseoir sur le côté du lit, la regarde et lui dit :



Elle vient à quatre pattes, ayant saisi ma demande, désireuse de plaire et de jouer. Arrivée devant le lit, elle me regarde d’un air implorant ;



Elle grimpe et se retrouve toujours à quatre pattes, attendant ma demande.



Sa position me donne une vue excellente sur son entrecuisse, ses lèvres luisantes et oh !



Je pars le temps de la laisser mariner et de trouver… Oui, ça y est ! Je reviens et pose directement le glaçon que j’ai pris dans le frigo sur sa chatte brûlante en disant



Et tout son corps de se tendre

Je passe le glaçon sur ses lèvres, l’intérieur doux et soyeux de ses cuisses, son clitoris (elle retient un cri, mais gémit sourdement), reviens sur les lèvres, les écarte, plonge le reste du glaçon dans sa chaleur.



Nous savons tous deux qu’elle est encore plus excitée qu’avant. Elle est mouillée comme c’est pas permis et ma queue est bien tendue.



Je plonge deux doigts directement dans sa chatte, je m’y enfonce comme du beurre et commente :



Elle tend ses fesses vers moi, essayant de garder mes doigts dans sa chatte



J’introduis directement mon index dans son petit anus étoilé. Encore humidifié, il coulisse sans problème dans ses fesses et un second doigt vient le rejoindre. Elle halète, gémit, tend son corps et je stoppe aussitôt.



Je me positionne derrière elle, crache sur son anus et viens introduire sans ménagement ma queue dans son étroit conduit. Je fais deux trois allers-retours puis me cale au fond, pubis collé contre ses fesses. Elle frissonne, mais n’est pas la seule ! J’attrape le gode que j’avais ramené discrètement en même temps que le glaçon et, me reculant un peu, l’introduis d’un coup dans sa chatte.



Ma main droite, passée sous elle, le tient et le manœuvre puis je m’enfonce de nouveau dans son anus.



Et j’active mes coups de reins dans ses fesses.



Elle se tend, saisit le gode et se branle fort avec. Je sens à travers la paroi musculaire, le va-et-vient de l’engin et ça crée encore des sensations supplémentaires le long de ma queue. J’attrape ses hanches et la pilonne fort pendant qu’elle gémit, partie dans un délire verbal cru.



J’accélère encore le rythme, je claque ses fesses à chaque fois que je m’enfonce en elle et ça monte, ça monte

Elle jouit dans un dernier « sodomiséeeeeeeeee » et je la rejoins immédiatement, tout mon corps tendu par le plaisir

Elle s’effondre sur le lit et je m’affale sur elle, vaincu par la jouissance.




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Quelque temps plus tard, nous émergeons de notre petite séance. Les premières choses que je vois sont ses fesses encore un peu rougies, mais je n’ai pas le temps de m’inquiéter, car son sourire est la seconde chose que je vois.

On s’embrasse tendrement, langoureusement.



Effectivement, Elodie, la collègue d’Aline que nous avions rencontrée (et surtout découverte) sur la Grande-Canarie (voir notre série précédente, nous l’avons écrite, donc nous pouvons faire de la pub pour nous, non ?), arrive ce soir à l’hôtel. Elle ignore que nous sommes là et nous avons toute la journée pour préparer sa réception ; lui laisser un temps de repos ? La séduire rapidement ? Jouer tout de suite ? Soft ? Hard ?


Nous avons tout le reste de la journée pour y penser et, pour cela, après le repas nous nous rendons au Lago Martianez. (Ceux qui n’aiment pas les guides touristiques peuvent reprendre huit lignes plus loin !) Ce superbe complexe nautique, situé directement en bordure de l’océan Atlantique est composé de plusieurs piscines au revêtement blanc, affectant des formes naturelles plutôt ovales. Le sol noir et les rochers volcaniques noirs qui bordent le complexe et le séparent de l’eau salée accentuent la blancheur des bassins. La vue est somptueuse, l’océan d’un côté, la ville de l’autre et les hautes falaises de la ville haute au loin, on s’étale, on profite un peu des palmiers ; on écoute le bruit des vagues, c’est un pur moment de détente qui vaut le déplacement ! Il y a du monde, mais de la place pour tout le monde et nous essayons chaque bassin l’un après l’autre.

Bref un véritable temple dédié à la détente naturelle (fin de l’intermède touristique)


Nous revenons donc requinqués, détendus, et prêts à jouir pour ce soir.

En compulsant les programmes des différents opérateurs, nous notons qu’elle arrive vers 19 h. Nous laissons un message un peu mystérieux à son intention (et celle des lecteurs aussi !) et allons nous restaurer tranquillement.




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Peu avant 21 h, nous contactons la réception et obtenons rapidement son numéro de chambre situé deux étages plus haut. Bon, déjà, elle est arrivée. Nous sommes quand même un peu tendus, va-t-elle être prête à continuer à jouer ? Va-t-elle nous attendre comme demandé ?


Devant la 317, nous inspirons un grand coup puis je mets la main sur la poignée… Elle s’ouvre, ce qui est bon signe… Nous entrons, refermons la porte, mettons la sécurité, cette fois et avançons. Un bref couloir et la chambre où… Oui, Elodie est couchée sur les dos, nue, elle a bien mis un bandeau sur ses yeux et sa respiration rapide traduit son émoi.


Notre pari est gagné. Aline et moi nous regardons et un sourire complice nous unit. On la contemple, si jolie, si sexy. Ses seins ronds, son corps mince de coureuse amateur, son pubis qu’elle a taillé désormais en une bande brune étroite qui conduit à une intimité rose, douce et chaude. Vision électrisante, qui nous réjouit ; qui réjouirait toute personne aimant l’amour.

Nous enlevons nos peignoirs (en raison du spa, nombreux sont ceux à se trouver vêtus ainsi dans les couloirs) et nous approchons d’elle.


Ce sont quatre mains qui parcourent son corps, qui effleurent ses terminaisons nerveuses, qui titillent ses zones érogènes, qui caressent ses tétons. Puis ce sont deux langues qui prennent la relève, léchouillant ses seins, embrassant sa bouche, câlinant ses épaules, son ventre, ses cuisses. Un ballet doux, humide qui la fait se tordre, gémir.

Elle ne prononce pas un mot, conformément à notre demande ; rajoutant ainsi au scénario. Nous non plus ne disons rien, même si les indications données ne laissent aucun doute sur nos identités et continuons à chauffer son corps.

Elle écarte les jambes et ce sont nos doigts, nos langues qui l’affolent, légers effleurements, caresses plus profondes, baisers doux et coups de langue plus forts sur son corps. Elle halète, son corps se soulève par moment, ses mains se crispent parfois sur les draps… On se regarde, on échange un baiser au-dessus du corps de notre amante, baiser profond de complices qui soudent toujours plus notre couple.


Nous finissons par la déguster, son coquillage nacré est si tentant que nos bouches s’y plongent, pendant que d’une main, nous continuons à parcourir son corps, à serrer ses tétons, à caresser son ventre, ses cuisses. Je joue avec son clitoris pendant qu’Aline la lèche profondément, puis nous permutons, non sans échanger un baiser au goût particulier, au passage. C’est délicieusement bon, si bon que nous la sentons se tendre, se tendre puis exploser dans un cri rauque et profond. Nous la contemplons, épanouie, un peu amorphe de son orgasme, puis nous venons l’embrasser, échangeant le résultat de sa jouissance avec elle.

Son bandeau sur les yeux, elle est toujours étendue, un sourire heureux sur des lèvres luisantes de plaisir.


Ses mains deviennent doucement actives et elle tente de nous toucher, mais comme nous nous reculons, elle n’y parvient pas. Par contre, nous y parvenons, puisque nous menons le jeu. J’approche mon sexe tendu (très) de sa bouche et me fais sucer quelques instants. Elodie se jette comme une affamée sur ma queue et sa voracité à me sucer est extrêmement excitante. Je me retire et même si on ne voit pas ses yeux, son air d’envie à continuer, la bouche ouverte, les lèvres gonflées est bandant. Je m’allonge sur le dos et, avec l’aide d’Aline, nous l’amenons à s’asseoir sur moi. Voir Aline la positionner sur moi, saisir mon sexe pour l’introduire dans sa chatte brûlante me provoque des frissons. Waouh c’est vraiment fort !


Je regarde Elodie, totalement empalée sur ma queue, ses seins lourds, gonflés, aux pointes tendues, sa bouche qui halète, encore ouverte sur l’envie. Envie qui va être comblée, puisque Aline qui a sorti un nouvel accessoire vient au-dessus de moi (oh la vue émoustillante !) et approche son gode-ceinture de la bouche d’Aline. Celle-ci, surprise un instant, ne tarde pas à happer la tige de plastique qui affecte vaguement la forme d’une verge et subit les avancées d’Aline qui lui enfonce profondément son sextoy en bouche.


De mon point de vue, je vois les lanières enserrer les fesses de ma femme, l’aplat arrondi de la base du sexe artificiel qui appuie sur sa chatte humide et qui, à chaque coup de reins vient appuyer sur son petit bouton, générant un mouvement perpétuel (enfin jusqu’au prochain orgasme !). Elodie a saisi les fesses d’Aline et caresse tout ce qu’elle peut pendant que ma femme lui enserre la tête et lui baise la bouche.


Je ne bouge pas, savourant, outre la vue de ce duo, les soubresauts d’Elodie que je ressens intensément. Elle bouge sur ma queue tendue, sa position me serre, c’est excitant au possible. Je sens ses fluides couler sur moi et je me sens comme un prince dont les favorites s’occupent.

Aline se recule et, comme dans un ballet bien rodé, je saisis Elodie pour la pencher vers moi. Ses seins s’écrasent sur moi, sa bouche sur la mienne et nos langues évidemment se mélangent dans un ballet, mais endiablé cette fois !

Aline, pendant ce temps s’est positionnée derrière Elodie, savoure un instant la vue de ma queue enfoncée dans la chatte de notre amante, puis s’accroupit et pénètre l’entrée étroite de ses fesses



Terminé, impossible de ne plus parler c’est trop de tension, trop de plaisir


Prise par son amant et son amante, les deux orifices comblés, quatre mains qui la caressent, Elodie ne sait plus où elle en est. Je ne puis plus l’embrasser tant elle est à la recherche d’air, je lui lèche le cou, la joue, réussi à avoir un coup de langue parfois, mais elle ne semble plus que plaisir, poupée pantelante prise partout.


Ses gémissements, les paroles crues d’Aline dont je perçois (entre autres) les : « je t’encule à fond, t’en manquais petite salope, putain c’est génial, bourre-la mon chéri… » qui me parviennent en arrière-plan. Elle n’arrête plus et moi, si sensible au Verbe, et à tout le reste des énormes sensations, je monte, monte dans le plaisir


L’orgasme d’Elodie déclenche le mien et enfin Aline après quelques puissants coups de reins explose aussi dans un cri libérateur.


Nous nous effondrons, pantelants, et, une fois le bandeau d’Elodie retiré, nous nous regardons et partons dans un rire complice garant d’une longue nuit de plaisir.