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Temps de lecture estimé : 8 mn
22/02/16
Résumé:  La vie dissolue d'une commissaire de la police judiciaire de Paris.
Critères:  fff fplusag jeunes rousseurs uniforme intermast -lesbos
Auteur : John Brachicardie  (Nous sommes de belles demoiselles)            Envoi mini-message
Une commissaire délurée

Le bureau du commissaire était plutôt vétuste. Enfin, sans modernité. On sentait bien que ça n’était pas le souci premier de la jeune femme assise derrière son bureau. Elle était vêtue d’une veste brun doré sous laquelle elle portait un tee-shirt à strass brillants très échancré laissant découvrir une gorge abondante sans soutien-gorge. C’était une fille rousse de trente-cinq ans, le visage piqueté de taches fauves. Ses yeux verts ne cillaient pas. Elle regardait les deux femmes assises en face d’elle. C’est la plus âgée qui lui avait demandé ce rendez-vous.


Elle, c’était une brune très typée, d’environ cinquante ans – un peu plus, sûrement – qui s’entretenait. Ses cheveux étaient longs, épais et abondamment bouclés. Les sourcils étaient fournis et les yeux porcelaine, discrètement maquillés. Elle portait un blouson matelassé noir et un chemisier blanc enfoncé dans un jean très moulant. Elle croisait les jambes mettant en valeur des cuisses musclées. Le commissaire remarqua les bijoux dorés au poignet, autour du cou et à chaque doigt de la main droite et une grosse émeraude à sa main gauche qui serrait la main d’une autre fille assise à sa gauche. Celle-ci était une blonde diaphane avec des cheveux lisses et impeccablement peignés. De son visage translucide, les yeux peints de mascara bleu ressortaient. Elle semblait très réservée. Elle portait une robe rose serrée par une ceinture noire assez large et un long gilet noir. La poitrine semblait menue. Elle devait avoir tout juste dix-huit ans. Le commissaire pensa que c’était la mère et la fille, même si la ressemblance n’était pas flagrante.


Elle demanda :



En effet le commissaire Brigitte ne recevait pas souvent de quidams dans son bureau, c’était plutôt elle qui allait les chercher dans des affaires de vol ou de meurtres.



Le commissaire rapprocha son ordinateur :



La jeune fille murmura :



La fille restait silencieuse, se tournant vers sa compagne. La brune dit d’un ton assuré :



Brigitte secoua la tête :



Mila restait silencieuse, tête baissée.

Brigitte ne cilla pas :



Mila se tournait vers Olga qui l’encourageait du regard en lui caressant le bras pour faciliter sa parole. Mila parla si bas que le commissaire lui fit répéter :



Olga intervint :



Elle se leva suivie des deux femmes. Elles sortirent devant le commissaire. La brune était plantureuse, sculpturale. Elle ondulait sur des escarpins noirs et dorés, précédée de seins en obus. Mila la suivait dans sa robe de collégienne et ses tennis. Elle était fine et assez grande.

Arrivé avenue du Maine, l’appartement était spacieux, superbement meublé. La porte était entrouverte.



La jeune fille confirma. Elles entrèrent. Après un couloir plaqué de boiseries de chêne, elles débouchèrent dans un salon somptueux. Plusieurs canapés en cuir fauve, des tapis anciens et de belles lampes. Les murs étaient tendus d’un tissu rose à motifs et quelques toiles d’artistes éclairaient la pièce. Mila dit :



Elle montrait un des tapis et le sang figé. Mais personne sur le sol. En effet il n’y avait rien, si un homme avait été tué, il était parti.

Brigitte dit :



La brune tomba sa veste noire et se retrouva en chemise blanche quasiment transparente laissant entrevoir une poitrine nue, lourde avec des aréoles très brunes qui pointaient sous le chemisier. Elle avait une attitude très sexy.


Elle attira Mila contre elle, la jeune fille se laissa aller et sa femme l’embrassa à pleine bouche, faisant durer le baiser profond. Brigitte voyait bien que les deux femmes aimaient s’exhiber et que Mila n’était pas la dernière à se déhancher, à plonger sa langue dans la bouche de sa compagne en lui tenant le visage à pleines mains. C’était un mélange de soulagement et d’excitation sexuelle. Olga ne se dégageait pas. Mila relâcha sa compagne pour saisir les gros seins et les malaxer, l’autre geignait.

Brigitte ne bougeait pas, attentive.


Elles s’écartèrent enfin, les joues roses et haletantes. Olga s’ébroua en tortillant ses grosses fesses. La commissaire s’étonnait de se sentir excitée, les reins tendus, mouillée même, mais la bouche sèche.

Olga partit faire le café et Mila vint s’asseoir à côté de Brigitte. Elle dit :



Elle souriait en s’approchant de la commissaire.



Sa voix était douce et parfois rauque. L’excitation de Brigitte avait subsisté. Quand Mila lui prit le visage et le tourna vers elle, elle se laissa faire ; Mila l’embrassa doucement. Elle lui picora les lèvres de petits baisers ; Brigitte ne faisait rien, mais acceptait le petit assaut. Mila lui attrapa la nuque et la plaqua contre sa bouche. Brigitte tenait ses lèvres serrées, la jeune fille tenta de glisser sa langue entre ses lèvres et la commissaire ouvrit la bouche, l’assaillante plongea sa langue humide et chercha celle de sa conquête qui… y répondit. Un combat amoureux s’engagea. Mila tenait fermement Brigitte, elle était frêle, mais solide et nerveuse. Sa main gauche se posa un sein de sa compagne dont la pointe était érigée, elle le soupesa, le malaxa, remonta le sein vers le haut, pinça le téton tendu. Elles continuèrent à s’embrasser.


Brigitte participait, encore lucide, se disant qu’elle était folle. Folle, mais elle en avait envie, si envie qu’elle sentait sa vulve trempée. Elle avait même envie de presser son clitoris qui frottait sur son string de dentelle. Elle s’en empêcha, tentant de garder son sang-froid. Mila avait lâché son sein sans lâcher sa bouche et descendait lentement vers le pubis caché sous le jean. Elle empauma la fermeture éclair et branla l’ensemble de l’entrejambe de la policière qui se mit à geindre en soulevant son bassin sollicitant la caresse. Elle écartait les cuisses déjà offerte.


Olga rentra avec son plateau, elle gloussa, même pas étonnée :



Brigitte s’ébroua, voulut reprendre une attitude plus conforme à son statut, mais Mila la saisit par les épaules et se colla à elle de tout son long ; elle l’embrassa férocement.

Olga posa son plateau et vint s’asseoir à la droite de Brigitte. Les deux amantes encadraient la commissaire. Olga n’était pas en reste. Elle caressa le visage de leur nouvelle compagne en la regardant dans les yeux. Elle glissa deux doigts dans l’échancrure du chemisier et, comme hypnotisée, désormais Brigitte se laissa faire. Olga détacha tous les boutons et sortit le chemisier qui était enfoncé dans le pantalon. Brigitte était nue dessous.

Olga posa ses lèvres sur son oreille et murmura :



Et elle le lui ôta. Les seins étaient très gros, en poire avec des petits tétons aux aréoles minuscules. On voyait assez bien la marque du maillot, deux petits triangles à hauteur des tétons qui ne devaient pas cacher grand-chose sur la plage.

Olga saisit les globes en haletant :



Et elle se pencha pour sucer le sein gauche, elle téta en effleurant de la paume l’autre. Brigitte grognait.

Mila qui regardait sa maîtresse s’emparer de leur conquête se mit à genoux, sur le canapé, enleva sa robe. Elle ne portait que des bas noirs à élastiques et un string minuscule ne cachant que le bas du pubis et sa vulve glabre. Dans son brouillard de plaisir, Brigitte avait envie de cette fille. Mais Olga ne lui laissait aucun répit. Elle avait défait les boutons du jean et poussait le pantalon vers le bas. La commissaire souleva les fesses, consentante, provoquant le sourire de la femme qui l’embrassa goulûment.


Mila s’était collée contre Brigitte qui était toujours à demi allongée sur le canapé. Nue. Elle passa ses mains sur le corps de la rousse les mains tremblantes. Elle attrapa Olga par le cou et lui fit lâcher la bouche de leur nouvelle amie et l’embrassa à bouche-que-veux-tu, dans une bataille de langues. Brigitte frustrée par l’arrêt de l’assaut, caressait les seins de la femme mûre et le ventre de Mila. Celle-ci lui prit la main et l’enfonça entre ses cuisses. Elle lui susurra à l’oreille :



En imprimant un mouvement de va-et-vient à sa main, Olga caressait les seins en les suçant, tirant des soupirs à Brigitte et elle descendit la main droite vers la fente et le pubis à la toison rousse taillée en triangle. Elle empauma toute la vulve et caressa rudement le sexe féminin.


Elle savait y faire se disait Brigitte voulant toujours maîtriser ses envies. Mais l’autre malmenait sa chatte en appuyant sur le clitoris, cela lançait de fortes sensations dans ses reins qu’elle projetait en avant, conquise. Olga sans vergogne, pénétra Brigitte avec deux doigts, celle-ci fut ébahie.



Olga remua dans la chatte en accélérant, cela frottait le bourgeon turgescent et faisait mouiller le vagin. Olga avait même réussi à glisser le petit doigt contre l’anus qu’elle pénétrait quand sa main descendait. Sa proie était en fusion. Elle poussait des petits cris quand la main de la cougar tapait son clito. Olga accéléra et Mila l’étouffait de son baiser. Brigitte se sentit partir. Elle souleva ses cuisses les écarta et offrit sa vulve à ses amies, elle jouit bruyamment et pour la première fois de sa vie, elle éjecta des flots de liquide, extatique, la chatte béante. Ses cuisses tremblaient, elle n’avait jamais ressenti cela. Un vrai pied. Mila se pencha et embrassa la vulve trempée, lapant le jus du con de Brigitte. Olga s’y mit aussi.


Les deux filles s’allongèrent contre leur amie se regardant dans leurs yeux qui disaient, « on s’est fait un commissaire ». Elles le léchèrent partageant la mouille odorante et salée. Puis elles embrassèrent Brigitte qui les enlaça comme pour les remercier.

Elle murmurait :