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Temps de lecture estimé : 12 mn
26/02/16
Résumé:  Marc rencontre un jeune homme après un contact sur internet.
Critères:  hh hplusag piscine exhib lingerie odeurs fellation anulingus préservati hsodo init -hhomo
Auteur : Love Doctor
Un après-midi entre hommes

Allongé sur la pelouse de la piscine municipale, je me sentais un peu nerveux. Pourtant il faisait beau et chaud en ce début juin et la foule des vacanciers n’avait pas encore envahi ce carré de verdure posé juste à côté du lac, encore frais en cette saison. Je tentais calmer mon impatience en feuilletant un magazine pris au hasard dans la pile des exemplaires pas encore lus.


Je regardais ma montre sans cesse, heureux et anxieux à la fois à l’idée de rencontrer Maxime pour la première fois ; vous avez sans doute compris que je suis un homme qui attend un autre homme et ma nervosité s’expliquait par le caractère nouveau de cette situation.


En effet, marié 52 ans et bisexuel depuis peu, j’avais enfin osé créer un compte sur un site de rencontres gay et Maxime avait répondu un soir à une tentative de dialogue. Échaudé par des conversations précédentes qui s’étaient révélées soit trop trash, soit absolument nullissimes, je n’avais pas cru intéresser quelqu’un sur ce site lorsque Maxime (dit Max) répondit à mon premier message. Rapidement le feeling passa et malgré notre différence d’âge (il avait 27 ans) les dialogues furent intelligents, constructifs et excitants… Si bien qu’on décida de passer au stade supérieur et après quelques vérifications d’usage (échange de photos puis de tel) nous décidâmes de nous rencontrer


Et le jour J était enfin arrivé ! Max devait me rejoindre cet après-midi près du grand bassin de la piscine municipale. Je ne quittais pas des yeux la sortie des vestiaires hommes et pour le moment aucun joli blond n’était arrivé. Je commençais à douter de sa véritable envie lorsqu’il apparut tel que sur les photos : les cheveux blonds courts, un corps de sportif bien ciselé. Il avançait sûr de son charme que les regards des jeunes mamans présentes confirmaient sans peine.

Le cœur battant je me levai pour attirer son regard et lui souris lorsqu’il m’aperçut. J’eus tout le temps de détailler son corps qui me faisait déjà envie tandis que je sentis son regard faire de même sur le mien. On se serra la main chaleureusement en déclinant nos prénoms comme lors d’une réception formelle.



Je ne perdis pas une miette du spectacle de beau mâle déjà doré et uniquement vêtu d’un boxer de bain noir moulant des fesses à croquer ! Mon imagination galopait déjà provoquant en moi un trouble que Max remarqua discrètement, mais dont il ne fit aucune mention. Je me mis rapidement sur le ventre pour reprendre notre conversation et tenter de masquer mon érection naissante. Nos échanges par mail et par téléphone avaient déjà « dégrossi » le sujet et Max connaissait mes deux expériences gay précédentes et mon envie de connaître autre chose, en particulier être actif et non plus seulement offrir mon cul à mon futur partenaire.


Dom et Dan m’avaient chacun sodomisé pour mon plus grand plaisir, mais je rêvais de prendre un mec à mon tour. De son côté, Max avait un penchant pour les hommes mûrs et mon physique, encore pas trop décrépi malgré mon âge, lui avait donné envie de me rencontrer pour « voir »… Nous fûmes rapidement à l’aise et, vus de loin, nous pouvions passer pour des amis discutant de voitures ou de femmes, tandis que nous échangions sur nos souvenirs de nos expériences antérieures tout en gardant une distance de bon aloi entre nos serviettes. Pourtant je crevais d’envie de me coller à ce corps lisse et musclé et je bandais maintenant sans discontinuer déformant mon maillot de bain de manière obscène. Heureusement je restais sur le ventre, mais mon nouvel ami le remarqua tout de même et se fit taquin.



Il me sourit gourmand et murmura :



Je frémis à ces mots et me retins de baisser mon maillot pour le prendre au mot, mais un scandale serait mal vu dans cette ville bourgeoise… Je repris ma position initiale et osai aussi une remarque sans ambiguïté sur son physique.



Max contracta au maximum ses fessiers pour rendre sa posture encore plus excitante ce qui ne calma pas mon érection, bien au contraire. Son regard bleu me fit frissonner en lisant dans ses yeux l’envie qu’il avait que mon fantasme se réalisât avec lui. Un silence lourd de sous-entendus régna un instant avant que Max ne prit l’initiative.



Je ne répondis pas de suite, conscient que cette phrase nous engageait sur une pente à la fois excitante et effrayante. Puis je rassemblai mes affaires et souris.



Nous passâmes rapidement un short pour masquer nos envies et marchâmes côte à côte vers les vestiaires. Mon esprit coquin imaginait des premières caresses dans les cabines et je me faisais une joie à cette idée excitante. Malheureusement, mon beau blond fut reconnu par une jolie jeune femme qui engagea la conversation et je continuai seul mon chemin pour ne pas éveiller les soupçons sur notre entente. Dans la cabine, mon sexe tendu gêna mon déshabillage et je me caressai doucement, imaginant la suite de notre après-midi. Si tout allait bien, ce soir je serais un autre homme ! Je gémis doucement sous les bienfaits de ma masturbation, mais l’interrompis assez rapidement, ne voulant pas gâcher la suite de la journée.

Mon shorty ôté, je me rhabillai rapidement et sortis de la piscine tenant de prendre un air décontracté pour attendre Max à l’ombre des platanes bienvenus. Il ne fit pas trop attendre et me chercha du regard sitôt sur le trottoir. En me voyant, il marcha rapidement dans ma direction, un air désolé sur son visage.



Je le rassurai sur la gêne occasionnée ou plutôt l’absence de gêne et me gardai de le questionner sur cette jolie brune. Nous marchâmes sans traîner en direction du centre-ville et les ruelles ombragées nous firent du bien nous évitant d’être baignés de sueur. Max pénétra dans un hall d’un immeuble ancien et prit les escaliers.



La porte ouverte, il entra puis je lui suivis dans un bel appartement clair décoré avec goût de photos noir et blanc magnifiques. Je déposai mon sac à l’entrée et fit quelques pas vers le salon.



Je lui souris, amusé par cette remarque et acceptai son offre de boissons.



Il revint avec deux verres, m’en tendit un et déposa le sien sur la table basse, tandis que je pris place dans un canapé de tissu clair.



Il poussa une porte qu’il referma derrière lui et mon esprit divagua quelques instants, mes pensées m’emportant sur des océans de sensualité masculine. Je fus tiré de ma rêverie par des pas légers qui me firent tourner la tête et le spectacle que je découvris fit battre mon cœur encore plus fort : Max s’était changé et m’apparut vêtu uniquement d’un boxer noir transparent qui laissait apercevoir son corps de mâle dans son ensemble. Je ne pouvais détacher mon regard de son sexe dressé, emprisonné dans ce tissu indécemment transparent qui magnifiait son corps plus qu’il ne le masquait. Le souffle court je ne relevai pas la tête et Max se crut obligé de se justifier :



D’une voix rauque, je lui confirmai mon approbation, lui demandai de se tourner. Max s’exécuta et son admirable petit cul apparut, rendu encore plus désirable par ces dessous inattendus. Je me retins de lui sauter dessus et me contentai de l’admirer sans gêne. Max garda un instant la pose puis s’assit à mes côtés dans une attitude presque féminine. Nous ne nous touchions pas, conscients de la nature magique de cet instant, prélude à de probables élans moins retenus.



Je souris, espiègle, mais répondis par la négative.



Je me levai en silence et ôtai d’abord mon tee, révélant mon torse velu puis fis lentement glisser mon short qui était le dernier rempart de ma virilité tendue.



Max ne quittait pas mon sexe du regard et le frôla d’une main légère. Je gémis sous cette première caresse qui scellait notre future étreinte.



Sa main se fit plus précise et, ménageant mon excitation phénoménale, il commença une lente masturbation me faisant frémir. Je restais silencieux, concentré sur les sensations que mon nouvel amant me procurait, vigilant sur le point de non-retour à ne franchir sous aucun prétexte. Max prit les choses en main si j’ose dire et s’appliqua à me prodiguer une masturbation d’une douceur féminine avec la science des sensations qu’un homme ressentait. J’imaginai que c’était la même chose pour une femme qui faisait l’amour avec une lesbienne pour la première fois. Max savait ralentir quand je devenais trop excité et reprendre sa caresse quand mon corps lui donnait cet ordre. Debout près du canapé je m’offrais sans gêne à ce beau blond qui était resté assis. Nous regards se croisèrent et nous nous sourîmes en même temps. Pas besoin de mots lorsque les corps sont à l’unisson.


Bientôt sa deuxième main prit possession de mon corps et frôla mes testicules tandis que ma hampe était enserrée dans un gant de velours. Je laissai aller un premier gémissement de satisfaction qui emplit d’aise mon partenaire qui me murmura des paroles sensuelles flatteuses pour mon sexe et pleines de promesses pour le futur. Les yeux fermés j’étais ailleurs et me laissais dorloter par ces mains câlines et coquines à la fois. Mes bourses sensibles étaient frôlées, caressées palpées et cette caresse qui d’habitude me déplaisait me paraissait cette fois d’une sensualité enivrante.


L’image d’un quinqua se laissant tripoter par un jeune homme pouvait apparaître comme écœurante pour la majorité des gens, mais à cet instant précis je m’en moquai royalement. Max prenait a priori du plaisir à me caresser et j’adorais qu’il me câlinât, restant immobile entre ses mains, ne prenant aucune initiative. Ceci dut le piquer au vif car sans prévenir, il enfourna mon sexe dans sa bouche chaude. Je criai de surprise et ouvris les yeux, croisant son regard brillant de désir. Je caressai sa tête avec douceur tandis qu’il entreprit une lente et exaspérante fellation. Mon sexe était tour à tour aspiré, léché, lustré puis repris en bouche. Je ne me retenais plus de gémir à la fois concentré sur mes sensations et relâché pour m’offrir sans retenue. Max « recracha » mon sexe sans me quitter du regard, mon gland violacé et brillant à portée de sa bouche.



Lentement il enfourna à nouveau mon sexe, telle une vestale. Il joua avec un instant avec, le lustrant de salive, le suçant avec douceur ou titillant le frein. Profitant de cette pause je le fis lentement se relever sa bouche abandonnant avec regret mon sexe tendu. De la même taille que moi je pus sans souci me coller à lui et chercher sa bouche avec la mienne. Max gémit se laissant embrasser telle une femme et je découvris avec plaisir le goût de mon sexe sur sa langue.


Mes mains partirent à la découverte de son cul qui m’avait excité dès le premier regard. Je caressais puis palpais son postérieur dont seul un fin tissu protégeait la peau. Notre baiser se fit plus viril et l’envie de caresser la peau lisse de son cul se fit plus forte. Je fis glisser son shorty et nous nous retrouvâmes tous deux nus les sexes bandés se frottant tels des dagues de chevaliers. Je sentais sa bite frôler la mienne et, si je n’avais rien à lui envier en termes de dureté, la sienne paraissait plus épaisse. Ma main me confirma rapidement cette impression et je masturbai lentement mon partenaire déclenchant chez lui une recrudescence de gémissements. Nous titubions dans son salon n’interrompant pas notre baiser malgré nos caresses mutuelles qui devinrent désordonnées au gré de notre excitation. Max s’en rendit compte et se dégagea de mon étreinte avec douceur murmurant aussitôt des paroles rassurantes.



Je le suivis, troublé par la suite des événements qui se profilaient. Max s’allongea sur le dos sur son grand lit et m’attira sur lui pour reprendre notre étreinte à peine interrompue. Ma bouche dévorait la sienne tandis que ses mains caresseraient mon dos. J’avais une furieuse envie de le pénétrer, mais, compte tenu de mon inexpérience en la matière, je lui laissais le soin de me guider où il le voulait. Ses mains glissèrent lentement de mon dos vers mes fesses qui furent rapidement explorées pour mon plus grand plaisir. Je les écartais lentement pour faciliter la tâche de son index explorateur qui frôla mon anus accueillant. Je gémis pour lui faire comprendre mon assentiment et lentement mon cul fut pénétré de son doigt expert. Max joua avec mon fondement quelques instants puis prit mes fesses à pleines mains pour me coller à son corps.


Par là même il me montrait qu’il acceptait que je sois son homme ! À ce titre, je pris les choses en main et me redressai pour interrompre notre baiser. Nos regards se croisèrent et, sans un mot, Max se mit sur le ventre dans une position sans équivoque. Je me reculai pour mieux admirer sa plastique et frôlai sa croupe qui avait déjà dû être honorée par de nombreux amants si j’en croyais ses confidences lors de nos échanges par email.



Max ne dit rien malgré le ridicule de cette sortie et se cambra juste pour m’exciter davantage. Ma caresse se fit alors plus précise et bientôt, il offrit sans retenue son cul à ma vue et à mes mains. Je me plaçai derrière lui et écartai ses globes pour le découvrir en entier. Son anus lisse et sombre était là, ouvert, palpitant et probablement accueillant.


Je prolongeais un instant ce tableau, mais ma gourmandise fut la plus forte et sans attendre ma bouche se colla à son cul. Nous gémîmes de concert, moi excité par ce goût si troublant et lui par ma langue qui forçait déjà son anneau. Je le sentis s’ouvrir davantage, libérant ainsi des effluves plus forts et plus excitants. Je lui bouffai littéralement le cul comme si je dévorais un sexe féminin et j’avais la surprise de sentir mon partenaire apprécier autant que mes maîtresses précédentes. Je sentis Max trembler sous mes assauts tandis que je n’étais pas en reste, le sexe vibrant d’excitation. Je ralentis le rythme conscient des limites de ma résistance et je revins un instant sur terre pour questionner Max



Je repérai les accessoires et rapidement coiffai mon sexe dressé de capuchon en latex symbole de prudence et j’allais utiliser le gel quand Max m’arrêta.



J’obtempérai et repris ma caresse buccale pour humidifier à souhait cet orifice que j’allais bientôt honorer. Max gémit de plus belle et bientôt m’invita à le prendre. Conscient de l’importance de l’instant je restai immobile jusqu’à que de sa voix grave il m’invita à poursuivre.



Aussi bizarre que cela fût, il prononçait mon prénom pour la première fois depuis notre présentation initiale à la piscine. Fébrile, je pris mon sexe en main pour le poser sur l’anneau qui m’hypnotisait. Légèrement anxieux je poussai doucement, m’attendant à une douleur initiale. Mais il n’en fut rien. Après une très légère résistance initiale, mon sexe progressa lentement dans un fourreau aussi accueillant qu’un vagin étroit.

Nous gémissions de concert et je sentis Max se détendre lorsque je fus au fond de lui. Vibrant de désir, je restai immobile, prêt à jouir si un mouvement parasite survenait. Mon amant le comprit et restait inerte soumis à mes envies. Le souffle court je profitai de l’instant : pour la première fois de ma vie je sodomisai mon partenaire, un superbe jeune homme de surcroît.


Le calme relatif revenu, j’entrepris de quitter lentement le fondement de mon amant pour revenir rapidement dans le mouvement éternel du plaisir partagé. Le lit remua bientôt sous notre assaut, tandis que mon sexe avait trouvé sa place et son rythme. Des gémissements aussi peu gracieux qu’une bande-son de film x résonnèrent, traduisant notre plaisir.


Max se laissait prendre avec une docilité envoûtante et je pris du plaisir à être presque brutal dans mes coups de bassin. Mon partenaire appréciait et réagissait à chaque choc par des cris plus sonores. Je le pris dans une levrette classique, mais frustrante, car son beau visage échappait à mon regard. Max tourna la tête et j’eus envie de ne pas le quitter des yeux pendant notre accouplement, contre nature pour certains, mais si excitant. Je ralentis le rythme et Max dut avoir la même envie, car sans nous concerter, il se mit sur le dos, les jambes contre son torse, s’offrant sans ambiguïté.


Je l’embrassai à nouveau à pleine bouche tandis que ma main guida mon sexe vers son cul encore dilaté et, d’une poussée lente et continue je repris possession de son conduit tandis que nos bouches se séparèrent à regret.

Mon bassin reprit son rythme lent et implacable faisant vibrer à chaque poussée le sexe tendu de mon amant docile. Les yeux fermés, celui-ci se laissait sodomiser avec un plaisir évident et ce spectacle dopa mon excitation déjà à son paroxysme. La vue de sa bite épaisse, mais délaissée me donna l’idée de devenir autoritaire avec mon jeune complice et d’une voix ferme je lui intimai de se caresser.



Le ton sans douceur sembla plaire à mon blond préféré et bientôt sa main saisit sa hampe épaisse pour une masturbation au rythme calqué sur celui de mon bassin. Je gémis de plus belle en admirant ce tableau plein de sensualité et de soumission. Mes coups de bassin se faisaient plus rapides laissant présager une jouissance proche.

À la fois excité de frustré de la fin prévisible de ma première sodomie, je me retenais au maximum tentant d’éloigner le point de non-retour connu et redouté par les mâles



Ce fut la parole de trop et, d’un cri guttural, je jouis dans le cul de Max, mes mains enserrant fortement son bassin tandis que de longs jets de sperme emplirent le préservatif bientôt plein. Le corps en sueur je me tétanisai tandis que mon jeune amant se masturba frénétiquement pour me rejoindre dans la jouissance, de longs jets de sperme recouvrant son torse imberbe. Sur mon nuage je me laissais retomber sur son corps musclé mélangeant ma sueur et semence, mon sexe dressé toujours fiché au fond de lui…