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Temps de lecture estimé : 26 mn
26/02/16
Résumé:  Lise et Marc sont des expatriés qui doivent s'adapter à leur nouvelle vie. Mais le changement n'est pas toujours là où on l'attend.
Critères:  fh fhh hbi hsoumis fellation sandwich hsodo jouet confession
Auteur : ViolaFleur      
Expatriés

La vie des expatriés fait rêver beaucoup d’entre vous. On les imagine avec de gros salaires, des maisons magnifiques, du personnel à leur service, des amis compatriotes et des fêtes mémorables.

Mais si tout cela est souvent vrai, des effets inattendus peuvent gâcher ce moment capital dans la vie d’un couple qui se faisait une joie de cet exil.

Lise et Marc sont un exemple parfait. Laissez-moi vous conter leur vécu.


Pendant les premiers mois, tout est parfait. Il faut dire qu’ils ont tout pour être heureux. La jeunesse, l’amour, la beauté et tout ce que le statut d’expat peut apporter dans un pays d’Afrique Équatoriale de langue française avant que certains fanatiques n’arrivent. Et puis, au fil des semaines, Marc s’est montré assez négligent concernant le sexe. Pourtant chez eux la sexualité a toute sa place. Avant cette faiblesse, c’est quasiment chaque jour qu’ils baisaient.


Au début, Lise met cela sur le compte du travail, de la chaleur, de la fatigue. Et puis elle soupçonne une maîtresse locale. Il faut dire que certaines femmes sont magnifiques. Un port de reine. Des hanches généreuses. Des fesses dissimulées sous de fins tissus qui les mettent en valeur. Et cette liberté, cette spontanéité que nous avons perdues, coincés dans un carcan de bienséance.

Lise soupçonne même leur servante. À la maison, deux femmes et un homme assurent l’intendance. Une cuisinière, matrone grassouillette entre deux âges, et une servante, femme de ménage qui joue dans une autre catégorie. Plus d’une fois, elle a surpris le regard de son mari vers les formes magnifiques de cette femme. Enfin au début, car maintenant elle semble devenue transparente pour lui.



Pourtant ici, la sexualité est une seconde nature. Les gens sont décomplexés et même si rien ne se voit vraiment on sent que la convoitise et l’adultère ne sont pas des péchés. Et si Marc s’éloigne un peu plus chaque jour du lit conjugal, Lise en souffre beaucoup. Bien sûr elle s’interroge, mais aussi cela lui manque de plus en plus à mesure que les semaines passent. Maintenant, c’est au moins une fois par jour qu’elle se caresse pour évacuer cette tension. Heureusement elle a emporté dans ses malles ses deux jouets érotiques. Le premier, un gode assez fin, ne lui sert pas beaucoup. En métropole Marc s’en servait pour la sodomiser. Bien sûr, il la prenait aussi par ce chemin avec son propre sexe, mais pendant une période il aimait la posséder par ses deux trous. Le gode dans le cul, sa queue dans la chatte. Lise adorait cette façon de faire l’amour, cette façon de se sentir vraiment prise.

Ici, c’est l’autre jouet qui est son confident. Un sextoy vibrant qui ronronne ou tourne dans son vagin pendant qu’une excroissance, véritable langue vivante excite son clitoris.


Ce matin-là, comme tous les jours de la semaine, elle est seule dans sa chambre, Marc partant à l’aurore pour l’usine. C’est devenu une sorte de tradition, la nuisette enlevée, elle se saisit de son jouet et en vérifie le fonctionnement en le faisant vibrer. Rien n’est plus désagréable de se retrouver en route pour la jouissance et sentir que les vibrations faiblissent jusqu’à s’arrêter. Ici, les piles n’ont pas la fiabilité de chez elle !

Ensuite elle s’allonge à même le sol, face à un miroir et elle s’approche assez, afin de pouvoir poser chaque pied en appui sur le mur. Positionnée ainsi, la tête confortablement calée sur un coussin, elle a la vision parfaite sur son intimité. Son sexe rose transpire déjà. C’est un peu comme s’il savait que le plaisir allait venir. Juste dessous, son anus n’est qu’un disque sombre.


Une idée l’assaille. Soudain elle se relève et va jusqu’à sa table de nuit pour se saisir du gode enculeur. En deux pas, elle va se repositionner. Se replaçant, elle a l’impression obscène que son petit cul s’est légèrement ouvert. Elle ne l’a jamais fait. Sucer le fin sextoy est déjà un plaisir. Et puis elle le place au centre de la corolle. Elle est surprise comme il force le passage, pourtant abandonné depuis des lustres. Bientôt, il disparaît sous la poussée d’un seul doigt. Elle le voit. Elle le sent. Maintenant ce n’est plus qu’un rond rose qui cache son cul. Il tient tout seul. Marc l’avait choisi avec un profil de plug et ce rétrécissement typique à la base, afin que le sphincter se referme et le bloque. Pour un peu, elle pourrait se relever et le conserver. Mais cela ne lui suffit pas.


Maintenant c’est sûr, sa chatte ruisselle. L’autre jouet est bien plus gros, le bout courbé, la hampe cannelée. Malgré tous ses efforts, elle ne peut en prendre qu’une bonne moitié dans la bouche. Peu importe, cela suffit pour le recouvrir d’une salive abondante et grasse. Il paraît énorme dans la glace lorsqu’elle l’approche de sa fente. Lui, entre plus difficilement. La place est déjà prise. Elle doit forcer, mais c’est bon. Elle sent qu’il la dilate. Il est bien plus gros que la queue de Marc qui pourtant lui donnait déjà une impression de plénitude. Elle s’aide des deux mains, non pas qu’il faille une telle force, mais l’une pour pousser alors que l’autre dirige.



Lise lui parle comme à un confident, comme à un amant. Elle se force à regarder, tentant d’associer ce qu’elle voit avec ce qu’elle ressent. Elle sent maintenant que l’excroissance arrive au contact de son petit bouton. Encore un effort et le jouet est tout en elle.

La vision dans la glace est à la fois obscène et érotique. Les deux godes qui bataillent à l’intérieur ne forment plus qu’une surface rose à l’extérieur. Elle reprend son souffle. Sa main retourne vers la base du sextoy.



Déjà la vibration à l’intérieur la surprend. C’est beaucoup plus fort que d’habitude. Pourtant le réglage est le même. Elle comprend que le gode enculeur résonne avec son compère et amplifie la sensation.



Son clito bondit hors de sa gaine dès que l’excroissance démarre. C’est insoutenable. C’est bon. C’est fort. Tout son corps participe. Elle se force à garder ses jambes en appui, car elle n’a qu’une envie, c’est de se recroqueviller pour engloutir les deux monstres en elle. Elle cherche même à appuyer sur la langue vibrante pour améliorer encore le contact sur son clito. Le plaisir est là. Elle ferme les yeux pour mieux en profiter. Il augmente. Il augmente. Combien de temps cela dure-t-il ? Une seconde ? Une minute ? Une heure ? Elle n’est que plaisir. Elle coule. Même son cul doit ruisseler. La jouissance arrive. Elle l’attendait, mais ne pensait pas à un tel déferlement. C’est bon…


Elle ouvre les yeux. C’est bien elle, les cuisses encore ouvertes, le con et le cul encore occupés. Et puis une impression. Une ombre qui bouge et en regardant plus haut c’est un visage qui apparaît dans le miroir. Elle sursaute. C’est Abiou, la bonne, qui regarde. Depuis combien de temps est-elle dans la pièce ? C’est ridicule de se poser la question, car sa position ne lui cache rien.

Que dire ? Que faire ? S’excuser ? Elle a honte de se faire surprendre dans cette attitude si perverse et cochonne.


Mais Abiou bouge. Elle fait comme si de rien n’était. Elle s’occupe de ranger le lit.

Lise se retire les deux godes. Ils luisent de ses liqueurs. Elle se sent vide tout à coup. Et puis Abiou s’en saisit.



Et comme si tout était naturel, elle va dans la salle de bain. Une minute plus tard, elle tend les jouets à Lise qui s’est levée et a revêtu une robe de chambre.



Lise met un moment à comprendre la question.



Abiou regarde les deux godes. Son expression est évidente. Elle demande :



Lise hésite entre la colère et la honte de se savoir si transparente aux yeux d’Abiou. Mais à quoi bon lutter et crier. C’est un autre monde et sa bonne est pleine de bonne volonté.



Lise est stupéfaite. Ainsi son infortune est sur la place publique. Tout le monde doit savoir. Le plus drôle c’est que la bonne se sente solidaire d’elle parce que son mari ne la regarde pas. Le monde à l’envers.



La conversation cesse. Abiou retourne à son travail. Lise se prépare. Elle donne quelques cours dans une association pour des enfants. Mais toute la journée, elle ne cesse de penser et tourner le problème dans tous les sens.


Le soir même, alors que Marc sort de la douche et entre dans la chambre, il est surpris du spectacle qui s’offre à lui. La vision est magnifique. Lise, sa femme est debout devant lui, en petite tenue, en dessous d’une blancheur immaculée. On dirait une jeune mariée qui vient d’enlever sa belle robe et se montre dans ses plus beaux atours à son bien-aimé de mari. Il se souvient très bien de ce moment. Mais aujourd’hui, c’est encore plus beau.


Lise a eu cette idée de faire appel à un souvenir mémorable dans la vie de son couple. Bien sûr, Marc et elle vivaient déjà ensemble avant de se marier, mais Marc avait voulu marquer ce moment par une nuit de noces inoubliable. À partir du moment où elle lui était apparue avec ses dessous tout de blancheur, du soutien-gorge aux bas de soie, en passant par la culotte, il s’était lancé dans un marathon de plaisir. Pas un endroit de leur chambre qui ne gardait le souvenir de leurs ébats. Elle compte sur ce rappel pour émoustiller son mari.


Un peu plus tôt, alors qu’elle se regardait dans la glace en revêtant sa parure, Lise ne pouvait que se trouver encore plus belle. La blancheur de la dentelle tranchait merveilleusement avec son teint de miel. Il faut dire qu’elle passe des heures avec ses amies au bord de sa piscine. Ils sont peu nombreux à avoir ce privilège et c’est un lieu de ralliement. L’ambiance est décontractée. Les femmes papotent, se font des confidences, rapportent des ragots sur la fidélité de certaines, avouent parfois leur propre sortie des clous et tout cela en tenue d’Ève. Tenue qui semble naturelle même si Antoine, l’homme à tout faire de la maison trouve toujours quelque chose à faire à proximité pour se rincer l’œil, même si les femmes ne sont pas dupes et que certaines s’amusent à s’ouvrir totalement au soleil afin de lui fournir un point de vue inoubliable. Au début, Lise était gênée de cette attitude qui réduisait l’homme à un objet, mais elle s’est habituée. Elle s’est habituée surtout depuis le jour où, quittant la piscine pour aller chercher de la boisson, elle avait surpris Antoine et Abiou dans des ébats dont ses amies et elles étaient certainement le déclencheur.


Donc pour en revenir à cette reconstitution de nuit de noces, Lise et Marc se font face. C’est elle qui s’avance vers lui. Le baiser qu’ils échangent est délicat puis fougueux. Lise retrouve son mari. Il la caresse. Elle le caresse. Elle défait la serviette qui ceint ses reins. Elle est pourtant un peu déçue de ne pas découvrir le sexe en érection, à peine gonflé.


Elle décide de lui faire le grand jeu. Elle pousse Marc sur le lit, s’agenouille devant lui et entame une parade amoureuse auquel peu d’hommes peuvent résister. Avant, la verge de son mari était tout de suite érigée en bâton dur et fier, aussi, avantage de sa faiblesse, elle apprécie maintenant de pouvoir prendre ce morceau de chair vivant, mais encore endormi entre ses lèvres. Elle ne connaissait pas ce plaisir, mais c’est délicieux de pouvoir gober l’engin jusqu’aux couilles et attendre, avec juste quelques coups de langue que la bête se réveille, s’ébroue et se dresse enfin au point que le gland qui bute au fond de son palais repousse millimètre après millimètre jusqu’à ce que la gorge ne puisse conserver qu’une bonne moitié de la queue maritale. Elle le pompe, elle le suce, elle lui caresse les couilles dont la peau se tend. Il est dur. Marc gémit. Il est prêt.

Elle se relève et dans un geste provocateur, s’arrange pour que ses seins s’extirpent du soutien-gorge qui maintenant mérite plus que jamais son nom, faisant de sa dentelle une base amplificatrice.


Alors elle avance, enjambe son mari, repousse le tissu de sa petite culotte pour dégager sa fente, et vient s’empaler sur la queue brillante. Elle adore cette position. Elle est maîtresse de son plaisir. Elle ondule sur le pieu de chair. Elle se tortille comme pour vérifier la vérité de ce qui la prend. C’est seulement après qu’elle commence sa danse, montant et descendant sur la queue qui glisse sans peine dans sa chatte grasse d’envie.

Mais très vite elle déchante. Il lui semble que le bâton se transforme en roseau ployant sous sa charge. Son mari débande. L’érection diminue et maintenant ce n’est plus qu’une verge à peine gonflée.


Lise, si elle est étonnée ne désespère pas. Elle se replace à genoux et reprend ses caresses buccales. Très vite la verge regonfle, mais le demi-échec d’avant l’inquiète. C’est alors que lui revient en mémoire une confidence de femme. Elle lui avait confié que pour exciter son amant, elle lui massait la prostate. Lise n’a jamais essayé avec Marc, car il ne semblait pas demandeur de cette caresse. Mais aux grands maux les grands remèdes. Lise enduit son index de salive et l’introduit très doucement dans l’anus de son mari. La queue qu’elle conserve en bouche semble réagir. Une sorte de vibration.


Elle s’enhardit. C’est maintenant tout son doigt qui encule son homme. Il est évident que Marc réagit à cette caresse. Elle entend un « Lise, qu’est-ce que… » qui ne va pas plus loin. Maintenant elle cherche la glande. Elle la caresse. Plus de doute la queue réagit. Ainsi, c’est vrai. Lise devient plus audacieuse. Maintenant elle essaye d’ajouter le majeur. L’anus ne proteste même pas. Elle encule son mari. Il apprécie. Il apprécie d’autant, que bouche et doigts font assaut de concert.


Lise se relève. Elle vient reprendre sa place, cavalière de son mari. La queue est si dure et tendue qu’elle se laboure avec. Lorsqu’elle se penche en avant, le mandrin cherche à la retenir et frotte sur ses parois intimes. Elle reprend sa possession. Marc lui caresse les seins, tordant des tétons comme elle aime tant. Elle-même se caresse le clito. Ainsi l’accord est parfait. Elle retrouve… non… il lui semble que… Marc débande.

Son mari réagit. Il soulève sa femme et c’est elle qui, maintenant, est allongée sur le lit. Elle pense un instant qu’il va la prendre, mais en réalité c’est avec ses lèvres qu’il vient la caresser. Marc est expert en la matière. Il s’applique, la suce, la lèche, pousse des doigts dans sa fente, mordille ses tétons avant de redescendre. Petit à petit Lise se décontracte. Petit à petit le plaisir monte. Petit à petit elle sent la jouissance. Elle jouit. C’est bon.


Le couple est allongé. Lise a bien vu que Marc ne bandait pas pendant et après ses caresses.



Lise sent bien que quelque chose ne tourne pas rond. Son mari, comme tous les hommes, n’est pas branché psychologie. Dès le lendemain, elle prend contact avec leur médecin, celui que Marc a sûrement consulté.



L’homme rit.



Et l’homme raccroche laissant Lise plus que perplexe. Elle a bien compris la jalousie, mais l’autre suggestion est pour elle une énigme.


Les jours passent, mais Lise n’avance pas. Elle n’ose pas en parler à ses amies et encore moins à la bonne. Cela fait maintenant six mois qu’ils sont dans le pays. Elle décide de se faire un petit repas en amoureux. Elle prépare tout. C’est une surprise. Elle se fait belle. Mais d’une beauté simple. À peine maquillée. Une robe noire qui la moule, pas du tout le style du pays, mais d’une élégance assurée. Toujours pleine d’espoir de reconquérir son mari et de déclencher son désir, elle est nue sous sa robe. En temps normal, c’est une attention qu’il remarque. Ce soir aussi.


Lise est pleine d’espoir. Le repas est simple, mais elle a fait l’effort de sélectionner un bon champagne et surtout un grand rouge à peine arrivé de France. Elle est pompette. Son mari l’est un peu moins, mais de bonne humeur.

Ils dansent. Des slows bien langoureux qui facilitent les frottements. Lise ne se prive pas de caresser son mari. Elle lui gobe le lobe de l’oreille, partie dont il est particulièrement sensible. Son pubis est une provocation tellement elle le frotte contre son mari. Ses seins gonflent et ses tétons dardent de sa propre excitation.

Et puis elle cherche à passer sa main pour se saisir de la verge de Marc. La déconvenue est totale. Pas le moindre frémissement. Alors, est-ce du fait de l’alcool ou d’un dépit de femme négligée, les deux sûrement, la colère la prend.



Elle ne continue pas, car elle avouerait que tous les matins, elle se caresse et que justement ce matin elle s’est retenue pour être plus « nature » et vierge de tout plaisir. Mais elle reprend.



Lise n’apprécie pas le petit sourire de son mari. Petit sourire qui semble la défier alors que certainement c’est juste un sourire d’excuse. Mais ce sourire lui fait mal. Il semble signifier « chiche, tu n’es pas capable ».

Sa colère augmente. Un instant, elle cherche comment se venger. Et puis la remarque du médecin, « jalousie », revient à sa mémoire.



L’appel retentit dans la maison. Pourquoi cette idée d’appeler Antoine ? Mais c’est ce prénom qui lui est venu à l’esprit. Après tout n’est-il pas le seul homme de la maison à part son mari, cet impuissant ?



L’homme ne devait pas être bien loin.



L’homme avance vers le couple. Il est encore en tenue de travail, simple polo et short.



Antoine ne sait quoi répondre. Son regard va de Marc à Lise et il sent bien la tension palpable.



Lise toujours énervée :



L’homme hésite toujours à répondre. Alors Lise d’un mouvement que seul le dépit peut expliquer, fait glisser la fermeture éclair de sa robe et en deux mouvements se retrouve nue devant les deux hommes.



Maintenant Antoine semble moins gêné. Il regarde sa patronne. Ce n’est pas la première fois qu’il la voit nue, il traîne toujours lors des séances de bronzage avec les autres femmes, mais ici c’est différent. Il pourrait presque la toucher. Elle est différente. Elle respire la féminité. Mais il n’ose pas parler.



C’est Marc qui répond.



Elle semble ailleurs, dans un autre monde, un monde de colère, de frustration. Antoine s’exécute. Le polo tombe au sol. Le short descend sur les jambes. Pas de slip. Sa nudité apparaît. Son sexe se détache parfaitement, le bout rose tranche sur le noir de la hampe.



Il est vrai que l’homme bande. Il bande et pourtant sa situation n’est pas des plus confortables devant cette femme et son mari. Mais Lise l’inspire. Qui ne serait pas tenté par cette femme, belle, élancée, la peau claire qui semble si délicate, la poitrine abondante, mais ferme et surtout le sexe totalement épilé. C’est pour lui, le comble de l’érotisme. Chez lui, seules les femmes qui se donnent pour de l’argent peuvent se montrer ainsi. Une femme honorable doit garder au moins un peu de sa toison.

Son sexe, libéré du short est presque à l’horizontale, avec une érection bien avancée.



Elle s’arrête comme si elle était effrayée de ce qu’elle allait dire. Et puis lui reviennent à sa mémoire les conseils du toubib, « Jalousie »…



Antoine et Lise regardent Marc. Les regards se croisent. Un instant Lise craint d’avoir été trop loin. Mais…



Et sur ces quelques mots, Marc part. Lise est sidérée de sa réaction. Elle s’attendait à des cris. Mais non. Un instant elle ne sait que faire, mais sa colère revient. Aussi, à quoi bon baiser avec Antoine si son mari ne réagit pas plus que cela. Ce qu’elle veut, c’est que son mari redevienne comme avant. Sans s’en rendre compte, pendant ses réflexions, elle s’est approchée de l’homme et d’une main négligente lui saisit le sexe. Antoine gémit de cette caresse.



Lise suivie d’Antoine, qui a eu la présence d’esprit de ramasser la robe et ses propres vêtements, se dirige vers la chambre. En chemin, elle entrevoit Abiou qui semble sidérée de cet équipage. La porte de la chambre est fermée. Elle ouvre. Son mari est en train de se déshabiller et le slip ne libère qu’un sexe flasque.



Marc ne dit rien. Il baisse les yeux. Immobile, il voit sa femme pousser Antoine sur le lit. Antoine dont l’érection a à peine diminué. Pendant le court trajet, ses yeux n’ont pas quitté les reins de Lise.



Lise s’étonne elle-même de ses propres paroles. Mais ce qui l’étonne aussi, c’est que son mari obéit et s’approche. Tous deux sont devant Antoine.



Lise ne se reconnaît plus. Pourtant tout s’enchaîne. Elle voit son mari s’agenouiller devant Antoine. Elle voit Marc se saisir délicatement de la verge de l’homme. Il s’en saisit entre deux doigts comme s’il avait peur. Elle regarde un instant les doigts s’étirer pour en faire le tour avec la paume. C’est maintenant la main qui enveloppe la hampe, tirant un peu plus sur la peau.



Et Marc le fait. Elle voit la tête de son mari se pencher. Elle-même fait un pas de côté pour mieux voir. Les lèvres closes ne font qu’effleurer le gland. Elle va le rappeler à l’ordre, mais les lèvres s’entrouvrent et enveloppent le bout rose. Il semble hésiter et pourtant il avance. Les lèvres progressent et puis s’arrêtent. Une bonne moitié de la queue noire a disparu dans la gorge de son mari.

Lise est presque jalouse. Elle se prive de ce plaisir. Cela fait des années qu’elle ne connaît que la bite de son mari. Celle-ci est différente. La couleur bien sûr. La texture de la peau doit être particulière. La hampe, parcourue par une grosse veine, donne un aspect plus viril.


Mais Marc semble se prendre au jeu. Il monte et descend sur la queue qui brille de salive. Lise est sidérée. Mais ce qui la surprend le plus, c’est ce qui se passe entre les cuisses de son mari. Il bande. Son sexe est dressé vers le haut. Elle n’en croit pas ses yeux. Elle s’agenouille à côté de son mari et se saisit de l’engin. Mais oui, elle ne rêve pas. Marc gronde de ce geste. Lise sourit en son for intérieur. On ne parle pas la bouche pleine.



Elle le caresse. Que c’est bon cette bite bien dure. Elle voudrait pouvoir se prendre avec. Oui, mais si, une fois en elle, cela recommence comme l’autre jour… Une idée germe dans son esprit.



Elle se sent forte, puissante, maîtresse des deux hommes à ses ordres. Marc est allongé en travers du lit. Lise a reproduit ce que son mari fait avec elle de temps en temps. La tête, tout au bord, a tendance à vouloir partir en arrière. Bien sûr, Marc n’est pas dupe de cette position. Il le sait d’autant plus que sa femme dirige Antoine pour l’amener vers lui.


C’est une évidence. Il entrouvre ses lèvres pour que la queue, un instant abandonnée, retrouve la chaleur de sa gorge. Dans cette position il est passé d’actif à passif. Il le sait bien pour l’avoir souvent fait sur Lise. L’homme se sent tout puissant dans cette position et la gorge offerte, qu’elle soit féminine ou masculine, n’est que le trou où il va se couler.


Antoine ne fait pas mentir la tradition. Il faut dire que Lise l’encourage. Il sent sur ses fesses les mains de sa patronne et rien n’est meilleur. Il pousse sa queue. Elle avance. Il se retire entraînant des filets de salive. Il avance un peu plus. Pendant ce temps, Lise a fait le tour du lit. Elle n’en revient pas que son mari bande toujours sans même être stimulé. Il est pourtant à l’opposé de ses habitudes. Normalement, c’est sa queue qu’il force dans la gorge de Lise. Les rôles sont inversés. Inversés. Le contraire, voilà ce que le toubib avait ajouté, si la jalousie n’était pas efficace. Mais oui. Tout est clair maintenant. Et si…


Pourquoi réfléchir. Lise ouvre sa table de nuit. Elle hésite un instant entre les deux godes, mais c’est le fin qu’elle choisit finalement. Maintenant elle vient sur le lit. La queue de son mari est là, devant ses yeux, belle, dure, tendue sur son ventre. Elle hésite à peine. Après avoir constaté qu’Antoine se baise bien profond dans la gorge, elle suce rapidement le gode, fait plier les jambes de Marc et positionne la pointe du gode à la porte de l’anus. Elle le pousse doucement. Le sphincter s’ouvre. L’anneau étrangle le silicone, mais ne peut résister.


Antoine a vu Lise avec le sextoy et ce qu’elle en fait. Lui aussi regarde, fasciné. Il s’est retiré de la gorge ne laissant que le gland dans la bouche. L’enculé gémit, mais Lise ne se laisse pas distraire. Voilà l’objet est dans le cul et seul le disque est visible. La suite n’est que du bonheur. Lise s’empale sur la bite de Marc. Elle se baise sur lui. Très vite, elle constate que loin de débander, la queue semble grandir en elle.

La chambre est remplie des bruits de l’amour. Des fesses de Lise qui claquent sur le ventre de son homme. Des gargouillis que la bite d’Antoine produit en s’enfonçant toujours plus profond. De la respiration de Marc qui cherche l’air à chaque fois que son baiseur le libère un peu.


Le visage de son mari est souillé de salive. Elle forme des coulures et des tas infâmes, mais si « sexe » que cette vision excite Lise. Mais il semble qu’Antoine donne des signes de faiblesse. Lise lui fait signe de ne pas jouir dans la gorge de son mari et elle lui montre son ventre. L’homme retire sa queue de la grotte accueillante. La bouche de Marc est maintenant écrasée par les grosses couilles pendant que son baiseur se branle.

C’est magnifiquement pervers et obscène. Jamais Lise n’aurait imaginé cela. Elle ne quitte pas des yeux le bout rose et soudain une giclée en surgit. C’est si puissant que le foutre va jusqu’à elle. Le contact l’électrise et alors qu’elle sent que Marc inonde son vagin, sa jouissance arrive. Elle ne sait plus ce qui est le meilleur. Tout contribue à son plaisir. Deux bites s’ébrouent et elle-même se sent couler.


Quelques minutes plus tard, le trio reprend son souffle. Marc s’est essuyé le visage et le ventre. Lise est perdue dans ses pensées. Que s’est-il passé vraiment ?

Et puis elle aperçoit Abiou sur le pas de la porte. Nul doute que la coquine se soit régalée du spectacle. Sa présence paraît anachronique. Le trio est nu et elle a son petit tablier et en plus tient un plumeau dans la main.

Déjà Lise envisage de… Il faut vérifier que Marc…




Voilà donc l’histoire de Lise et de Marc.

Je vous entends dire que j’ai tout inventé.

Que c’est faux.

Mais, pour vous mettre sur la piste, si je dis que je m’appelle Antoine, est-ce que cela vous aide.

Oui ? Non ? Et pourtant.


Lise et Marc sont rentrés en Europe. Mais ce sont des patrons sympas et ils nous ont aidés. Il faut dire qu’Abiou et moi, on avait un vécu particulier avec eux. Mais une fois rentrés, certains se seraient dépêchés d’oublier et surtout ne pas conserver de contacts de ce qui pouvait être considéré comme une période trouble ou non avouable.

Mais non, ils ont accepté de se déclarer « Correspondants » officiels des deux immigrés qu’Abiou et moi étions en France. Nous aussi nous sommes des expatriés, mais ici cela ne veut pas dire la même chose.

Bref, ils nous ont aidés. Ils nous ont logés pendant tout le temps nécessaire pour qu’Abiou puisse travailler dans un salon de coiffure « Afro » et que moi, je trouve mes marques dans les métiers du bâtiment.


Et le reste, vous pensez ? Au pays, notre quatuor avait pris des habitudes. Pas un instant je pense que Lise et Marc aient imaginé arrêter nos jeux. Certains d’entre vous l’ont certainement vécu. Dès que l’on sort du classique et que chacun y trouve son compte, il est quasi impossible de revenir en arrière.

Alors régulièrement ils nous invitent. Justement nous sommes chez eux.



Il faut dire que Marc a de quoi s’occuper.

Par mon travail, je connais beaucoup d’hommes célibataires, émigrés comme moi et qui bien sûr sont partant pour une bonne baise. Et quoi de meilleur pour eux, presque une sorte de revanche, d’être invités chez des autochtones, bourgeois de surcroît, avec le programme annoncé de « se faire » la femme du proprio. Et actuellement, justement c’est le proprio qui les suce sous les ordres de sa femme. Et non seulement elle ne cesse de l’encourager par la parole avec des mots si crus que jamais ils ne pensaient l’entendre dans la bouche de cette jeune femme si distinguée, mais en plus elle tient la tête de l’homme entre ses mains le forçant à engloutir chacune des bites qu’on lui propose.

Mmmmmmmmm… est bien la seule chose qui peut sortir de la gorge de Marc en dehors des gargouillis que la salive pistonnée par la queue que Lise force à avaler jusqu’aux couilles.


Le spectacle est magnifique. Je ne m’en lasse pas. Abiou non plus d’ailleurs qui est assise sur mes genoux. Elle et moi, nous nous caressons mutuellement. Que de chemin parcouru depuis cette fameuse soirée où Lise m’a invité dans le but de provoquer son mari. Après qu’elle a invité Abiou à nous rejoindre, tous les tabous sont tombés. Et depuis, en France, c’est encore mieux.


Pour pimenter le jeu, Marc a les mains attachées et un énorme plug dans le cul. Pourtant maintenant il n’a plus besoin de cette stimulation pour bander. Mais cela contribue à l’ambiance. Mes deux copains sont aux anges. Il sait sucer, le Marc ! Lise le force, mais ce n’est presque pas nécessaire. Les deux queues brillent et paraissent de vrais pieux de chair.



Marc rampe vers elle. Les cuisses grandes ouvertes de sa femme l’accueillent. Il se penche.



Marc s’exécute. Tous les yeux sont braqués sur lui. Il s’active. Il suce, lèche, humidifie, dilate. Abiou me branle doucement. Je bande. Elle aussi est humide. D’une reptation lente, la fente vient sur mon gland. Abiou s’assoit. Je glisse dans son fourreau. C’est bon. C’est tiède, gras, accueillant. Mais nous ne bougeons pas. Le spectacle est juste devant.

Depuis cette journée, Lise s’est révélée une parfaite maîtresse, parfaite organisatrice de nos plaisirs, toujours surprenante, arrivant à nous étonner à chaque fois.


Elle pousse un des hommes sur le lit. Marc toujours agenouillé regarde. Il regarde, à moins d’un mètre, sa femme se prendre sur la grosse queue qu’il lui a préparée. Une fois engagée sur l’engin, Lise le regarde. Il l’aime. Elle l’aime. Combien Marc est heureux de cette faiblesse qui a transformé leur vie. Maintenant il n’a plus besoin d’être soumis pour bander, mais c’est encore meilleur. De voir sa femme ainsi, le comble. Le comble. Mais c’est plutôt Lise qui peut le dire à l’instant, car le deuxième homme, celui à la queue effilée et qui a parfaitement compris ce qu’on attend de lui, en justement en train de se placer.


Oh, combien je regrette à cet instant d’avoir les mains liées dans le dos, pense le mari.

Oh combien j’aimerais pouvoir guider le gland rose, que la circoncision dévoile totalement, vers le trou qui brille de ma salive. Tenir la verge et la guider. La voir forcer l’anus et se glisser dans les profondeurs.



Lise adore cette pratique. C’est bien meilleur que ce qu’elle faisait avec ses sextoys. Elle n’a qu’un regret, c’est l’obligation de faire mettre des capotes à ces inconnus. Elle ne connaîtra pas le plaisir de sentir le foutre l’inonder et couler pour former avec son propre plaisir une rivière où son mari pourrait s’abreuver. Mais la puissance des inconnus se charge de lui faire oublier ce détail.


Pendant que Marc regarde sa femme se faire défoncer par les amis d’Antoine, Abiou s’est levée. Elle vient s’allonger à côté de son amie. Un baiser entre les deux femmes scelle leur complicité. Car cela aussi, Lise l’a découvert. Le plaisir entre femmes. Mais pour l’instant ce sont deux queues qui la bourrent.


Je me lève. J’aide Marc à se soulever. Il est très difficile de se redresser avec les mains liées dans le dos. Je le guide pour le placer entre les cuisses d’Abiou. Sa queue trouve d’elle-même le chemin de la grotte que ma propre queue vient de quitter.

Mari et femme sont à l’unisson. Il ne manque plus que moi. Retirer le plug du cul de Marc est un plaisir. Le sodomiser d’une poussée violente est une joie. Maintenant je ferme les yeux. Mes sens s’aiguisent. Je suis le chasseur. J’entends, je sens, je ressens.

À mon côté, la gazelle a trouvé son maître. La longue tige entre et sort de ses fesses, la poussant toujours un peu plus sur le pieu rustique, mais fort du partenaire allongé.

J’entends le bruit sourd du ventre qui claque les fesses. C’est la mélopée, celle que le tam-tam rythme.


Je suis entraîné à mon tour. Moi aussi je claque mon ventre sur des fesses. Et si ce sont des fesses d’homme, cela n’en est que meilleur. La mélopée augmente. Les gémissements se mélangent. Est-ce Marc qui gémit ? Est-ce sa femme qui subit. L’odeur du rut est une fragrance que toutes les époques connaissent. Mais l’harmonie fait place au chaos. On n’entend que des cris de plaisir. D’une dernière poussée qui doit quasiment traverser Marc et propulser sa propre queue au plus profond d’Abiou, je largue les amarres. Mon foutre jaillit. Source de vie, il va pourtant se perdre dans des contrées lointaines et infertiles, mais il déclenche et amplifie l’éjaculation de Marc qui inonde la grotte d’Abiou.


Tout le monde reprend son souffle. Lise, en parfaite maîtresse de maison, va nous chercher des boissons. Rien que de la regarder déambuler, j’ai envie d’elle. Je sais que je lui plais. Bien sûr elle aime son mari, mais beaucoup de choses nous lient. C’est un peu la même chose entre Marc et Abiou.

Je rêve un instant d’un monde meilleur. Une maison. Une grande maison. Lise, Abiou, Marc et moi y vivons ensemble. Nous partageons tout. Nous osons tout. Nos enfants jouent en parfaite harmonie. Des blancs, des noirs, des métisses…