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n° 17290Fiche technique17988 caractères17988
Temps de lecture estimé : 11 mn
09/03/16
Résumé:  Un récit réaliste, vécu et apprécié ! La complicité amoureuse est tellement bénéfique à la passion sexuelle !
Critères:  fh fsoumise odeurs cunnilingu fgode pénétratio fdanus fsodo jouet yeuxbandés -amourdura
Auteur : Lucyoli  (Débutant en la matière j'attends vos remarques !)            Envoi mini-message
Le petit chaperon rouge et le grand méchant loup

C’était un mercredi, j’étais au travail le matin, et, avec Julie nous échangions déjà quelques messages téléphoniques remplis de tendresse et d’amour comme tous les jours. Les messages devenaient de plus en plus sulfureux au cours de la matinée, et quelques idées sensuelles voire sexuelles émanaient déjà. Je pense que tous les deux étions très excités à l’idée de se retrouver seuls chez Julie pour passer une après-midi que l’on espérait torride.


Et voilà que vers 12h15, j’arrive chez Julie. Nous mangeons rapidement un petit repas froid et je vais à la douche histoire de donner un peu de fraîcheur à mon corps fatigué par cette matinée de travail. Julie me fait comprendre juste avant mon départ pour la douche qu’elle va se préparer pour notre petit moment à tous les deux, moyennant un petit déguisement. Soit !


En sortant de la douche, je me dirige vers le salon, mais ne vois personne ! J’attends un moment, assis sur le canapé, entends quelques bruits qui me rassurent sur sa présence. Au bout de quelques minutes, la porte du salon s’entrouvre. Je vois la main de Julie passer dans l’ouverture, me tendant un petit bandeau. J’attrape sa main et dirige Julie dans le salon. Elle a les yeux fermés comme si elle ne voulait rien voir. Je comprends vite l’utilité du bandeau. Je le saisis, le passe autour de sa tête, bande ses yeux avec, et d’un petit geste ferme serre le nœud.


Je peux alors admirer la splendeur de son déguisement coquin. Elle a enfilé un imperméable rouge, des bas noirs fixés par un magnifique porte-jarretelles noir aussi, et des chaussures à talons-aiguille qui déjà lui donnent une cambrure très sensuelle. Ça y est, j’ai mon petit chaperon rouge rien que pour moi !


Tel un enfant découvrant son nouveau jouet, je l’accompagne tout doucement à côté du canapé. Elle est là, debout, pas un mot, pas un geste, comme complètement soumise déjà. Je l’embrasse tendrement dans le cou en passant mes mains dans son dos, sur ses épaules, sur ses hanches, je hume la douce odeur qui émane de son corps excité. Emportée par le désir, elle me susurre tout doucement à l’oreille à partir de maintenant, je suis ton objet sexuel, fais de moi ce que tu veux, sans limite ! Je me retrouve tout excité à l’idée que Julie devienne mon objet sexuel et surtout par la notion de sans limite. Parfois, les mots peuvent avoir un impact surdimensionné sur l’excitation cérébrale.


Je commence par caresser ses chevilles et tout doucement je remonte mes mains sur l’arrière de ses jambes que je caresse par de petits allers-retours tout du long de ses magnifiques mollets remodelés par la posture qu’imposent les tallons-aiguille. Puis je commence à passer mes mains derrière ses genoux, la caressant avec tendresse, passion, sensualité, et excitation extrême. J’ai du mal à me contenir tant la situation me semble surréaliste. Nous sommes comme plongés dans un rêve ou un fantasme et il n’est plus possible de faire machine arrière sans avoir obtenu satisfaction sexuelle l’un de l’autre. Nous sommes donc plus qu’intimement liés.


Puis mes mains remontent derrière ses cuisses, je commence à ressentir les petits soubresauts de son corps et des petits frémissements qui la font vibrer toute entière. Quelques petits suçotements commencent de sortir de sa bouche. À ce moment, je vois un autre lien posé sur le canapé. Je m’en saisis, puis commence à lui attacher les mains dans le dos, ce qui lui donne encore plus cette sensation d’être mon objet sexuel. Elle devient un idéal dont tout homme voudrait abuser.


Puis mes mains commencent des caresses autour de ses hanches, sur son ventre, je rapproche mon visage de son corps pour sentir la féminité de son odeur. De par son excitation, son odeur devient de plus en plus animale. Elle commence de se trémousser, là, debout, ses cuisses se frottant l’une contre l’autre, comme pour essayer de contenir son excitation. Je commence à dégrafer le premier bouton du bas de son imperméable. Chaque petit geste comme celui-ci est interprété par Julie comme un acte de surexcitation. Puis, vient le deuxième bouton. J’aperçois sous son imperméable un tee-shirt noir, sous-dimensionné d’au moins deux tailles. Je comprends vite en voyant la paire de ciseaux posée sur le canapé. Je continue de défaire les boutons jusqu’au dernier.


L’imperméable s’ouvre complètement, comme une mini explosion. Quel bonheur de voir apparaître son corps formidable sachant que je vais pouvoir en abuser. Puis, comme un petit signal, elle commence à écarter doucement les jambes. Une de mes mains redescend, passant sur sa hanche, caressant l’intérieur de son aine, puis passe entre ses cuisses. Mon index et mon majeur commencent à explorer son sexe. Assez vite je sens au bout de mes doigts cette petite humidité qui tout de suite me renseigne sur l’intensité de la situation et me donne un coup de fouet. Je ne peux alors m’empêcher d’introduire mes doigts dans son sexe, avec lenteur, de faire quelques va-et-vient et de porter à ma bouche la récolte magnifiquement odorante pour déguster cette mouille délicieuse.


La posture de Julie évolue sans cesse. Sa nuque commence à partir en arrière, ses pieds s’écartent de plus en plus l’un de l’autre. Je me lève et passe derrière elle. Je suis là, contre elle, mon sexe commence à frôler ses mains ligotées dans le dos au niveau des fesses. Enfin, elle peut commencer de profiter pleinement des caresses que je lui inflige sur tout le corps. Une de mes mains entre tout doucement dans son string par l’avant pour toucher délicatement l’entrée de son sexe, tandis que l’autre commence à toucher ses seins gonflés par l’excitation à l’intérieur de son tee-shirt. J’attrape d’un geste un de ses tétons pour le martyriser du bout des doigts. Je tire dessus, puis passe à l’autre, le maltraite à son tour. Julie piétine de plus en plus, ses talons-aiguille claquent sur le sol, elle ne sait plus comment se contenir.


Maintenant, j’ôte le lien qui attache ses mains afin qu’elle puisse commencer à s’en servir. Je lui retire complètement son imperméable, passe la main dans ses cheveux, puis les saisis fermement en lui tirant la nuque en arrière. C’est bon d’imposer sa domination masculine dans ces moments-là. Immédiatement son allure change, elle devient plus chienne. Malgré ses mains détachées, elle les garde derrière elle au niveau de ses fesses pour caresser mon sexe en érection. Elle essaye doucement de m’indiquer le chemin pour faire entrer en elle ma verge gorgée de sang. Je m’y refuse, ne voulant pas tout lui donner de suite. J’ai déjà en tête l’utilisation des ciseaux sur le tee-shirt sous dimensionné.


Délicatement, je l’allonge à plat dos sur le canapé et pose ses fesses sur l’accoudoir. Je m’installe accroupi entre ses cuisses relevées, ses tallons-aiguille pointant vers le ciel. Je saisis les ciseaux pour commencer délicatement à découper le tee-shirt de bas en haut. Ses seins gonflent de plus en plus bien qu’ils soient engoncés dans ce tee-shirt trop petit. Je pose la lame froide sur son ventre, attends quelques secondes, j’essaie de profiter de l’excitation perverse qui envahit son cerveau. Tout doucement je coupe le tissu noir avec délicatesse et passion. Quand la lame froide atteint son entre-seins, je sens Julie, les yeux toujours cachés derrière son bandeau, envahie de désir pervers, émettre quelques soubresauts en entendant le crissement des deux lames tailladant le tissu. Elle est à mi-chemin entre fantasme et réalité. Elle veut être mon objet sexuel, alors je vais la servir comme il se doit.


Les ciseaux continuent doucement leur ascension, attaquent les derniers millimètres de tissu et je vois surgir ses deux magnifiques seins comme expulsés et libérés. Je me jette dessus pour les téter, les malaxer, les tripoter, les s’embrasser, les lécher goulûment. Julie cherche à attraper mon sexe pour l’introduire dans sa vulve. Je lui accorde cette fois les premiers millimètres de mon érection, mon gland entre un peu en elle mais je ne voudrais pas que tout lui soit trop facile, ce serait tellement dommage ! Alors je lui propose un petit jeu dont je lui donne les règles sur le champ.


Je lui explique que ce petit jeu consiste à mériter des millimètres supplémentaires qui l’amèneront à un plaisir plus intense. Pour cela, je lui propose la station accroupie. Elle s’exécute immédiatement, ayant en tête ce gain de quelques millimètres qui la font rêver et dont la privation la frustre. Une fois dans cette position, elle attend, bouche ouverte vers le haut et sexe ouvert vers le bas. Elle a compris les règles : pour toucher du bout du doigt son cadeau il lui faut faire acte de succion et se soumettre a une petite fellation baveuse et langoureuse. La soumission n’est pas un problème pour Julie, elle aime ça, elle aime vraiment ça.


Alors j’approche mon sexe de sa bouche sans la toucher. Elle comprend vite, cherche mon sexe de la bouche, s’en saisit et commence à envelopper mon gland entre sa langue et ses lèvres. Puis, délicatement, elle pose une main sur mes testicules et les malaxe tout doucement. Mon plaisir ne fait que croître. Elle prend encore plus de longueur en bouche et opère quelques va-et-vient qui me sont insupportables. Je me fais violence pour ne pas me laisser aller en elle, j’essaie de gérer la situation au mieux, ce qui m’est vraiment, vraiment, vraiment difficile. Elle continue de me sucer délicatement, frénétiquement, enfourne mon sexe jusqu’au fond de la gorge, le retire, se met à le lécher comme on lèche une glace. Elle me rend fou, elle reprend mon sexe d’une seule bouchée, puis le ressort, crache dessus, lèche le gland, enfin bref, encore une multitude de choses insupportables.


Je n’en peux plus. Je la supplie d’arrêter ! Une fois le jeu un peu calmé, je lui propose de s’allonger sur le canapé et d’ouvrir ses cuisses pour offrir son sexe à ma bouche. Nullement besoin de rééditer ma demande, Julie veut tout, elle veut profiter du moindre plaisir qui se présente. Alors je lui confie doucement à l’oreille qu’elle a bien mérité quelques millimètres de plus, mais attention, la partie n’est pas gagnée pour autant.


Je m’agenouille à côté du canapé, commence de humer son sexe tout doucement sans le toucher. Julie ne voit rien, elle est toujours privée de la vue, il me faut donc lui signaler ma présence entre ses cuisses par mon souffle et la chaleur de mon visage. Puis, du bout de la langue, je récupère quelques gouttes de mouille qui dégoulinent le long de ses grandes lèvres. Mon plaisir est à son comble, c’est extrêmement excitant d’offrir un tel plaisir à une aussi belle femme. Puis ma langue commence à s’enfoncer en elle, remonte, redescend encore, remonte jusqu’à effleurer son clitoris. Je sens ses cuisses effectuer quelques petits mouvements nerveux.


Je glisse un doigt, le plus long, dans son sexe et récupère ce délicieux suc d’excitation. Je le lui donne à sucer, elle l’engloutit tout entier et le lèche goulûment comme elle lècherait mon sexe. Je remets ce doigt dans son sexe. Il commence à déraper doucement vers son orifice interdit. Je commence à l’enfoncer très délicatement, puis, en rajoute un deuxième, puis un troisième. Je sais que pour Julie cet endroit est le plus sensible de tout son corps. Ses terminaisons nerveuses sont à fleur de peau. Ma bouche s’empare de son sexe et saisit son clitoris pour le téter comme un bout de sein. Je l’aspire dans ma cavité buccale, le relâche, le lèche, le martyrise, lui inflige tous les plaisirs possibles et imaginables. Mes doigts bougent par de petits va-et-vient saccadés dans son petit trou. À ce moment là, je sais qu’il ne faudrait pas bien plus pour qu’elle explose, pour qu’elle jouisse. Je retire mes doigts, et lui annonce que je vais lui servir le petit cadeau qu’elle a bien mérité.


Alors, je commence de la pénétrer en lui donnant ce qu’elle attendait tant, mais encore une fois, je ne veux pas tout lui donner, je veux faire durer ce moment torride. Je veux qu’elle reste encore un moment sur sa faim. Alors, je lui propose une dernière partie de ce jeu pervers pour mériter les derniers centimètres restant de mon sexe.


Cette dernière partie consiste à se masturber devant moi en respectant toutes les consignes que je vais lui imposer. Elle ne se pose aucune question et s’exécute. Elle approche sa main de son sexe, commence à caresser son clitoris par de petits mouvements rotatifs lents, puis par des mouvements linéaires plus énergiques de haut en bas. Son sexe se déforme sous la pression et l’excitation. La vision de cette scène augmente encore ma raideur pénienne. Je lui demande maintenant, avec son autre main, d’introduire des doigts dans son sexe ce qu’elle fait immédiatement. Elle opère quelques petits va-et-vient à l’intérieur de sa vulve brillante, mouillée par l’excitation. J’avise alors sur le canapé un sextoy qu’elle avait préalablement disposé ainsi, au cas où ! Je lui tends l’engin et lui fais comprendre qu’elle doit l’introduire dans son mini orifice. Elle le saisit, le prend à pleine main, le mouille délicatement dans son vagin via quelques va-et-vient, puis commence à l’introduire dans la partie la plus intime de son corps. Son excitation est telle qu’elle doit s’arrêter par moments. Elle se ressaisit, puis, enfonce encore quelques centimètres de l’engin, sa respiration augmente, devient saccadée, des gémissements plus prononcés sortent de sa bouche.


Maintenant, au bout de ces deux heures de pur plaisir, je la sens prête pour l’assaut final. Alors je la prends par la main, l’emmène dans la chambre, puis l’allonge sur le lit à plat dos. Là, je lui donne ce que je lui ai promis et qu’elle a tant mérité, c’est-à-dire toute la longueur de mon pénis raide comme du bois. Julie n’en peut plus, son souffle devient haletant. À partir de maintenant ce sont de vrais coups de reins que je lui administre, lui faisant profiter de toute ma structure sexuée. Ma main glisse sur son sein, le malaxe doucement, puis remonte jusqu’à son cou. Là, elle entoure sa gorge et commence à serrer. Sa tête part en arrière. Je serre de plus en plus fort, elle aime vraiment ça, la pression raidit tout son corps, elle est magnifique, sensuelle comme jamais, elle est dans toute sa splendeur mon objet sexuel.


Puis je relâche doucement. Mes coups de reins baissent d’intensité. Maintenant, je la baise doucement. Pour dire mieux, je lui fais l’amour un instant. Mais l’excitation sexuelle reprend vite le dessus et mes coups de queue s’amplifient tant en rythme qu’en intensité. Elle n’avoue guère sa perversité, mais elle est là, je la devine, je la ressens. Sentant son heure arriver, je lui demande d’adopter la position à quatre pattes et lui demande d’être encore plus chienne. Je m’approche par derrière, contemple un moment son postérieur généreusement ouvert et optimiste, puis, prenant mon sexe à la main, je le dirige délicatement vers son anus déjà quelque peu dilaté par les assauts infligés par le sextoy. Elle sait dorénavant qu’elle ne va pas pouvoir se contenir très longtemps car elle connaît bien cette zone qui va être maltraitée. J’entre en elle, doucement, je lui fais profiter de plus en plus de mes raideurs, les va-et-vient s’intensifient, je ressors mon sexe un instant, le réintroduis, mes mains attrapent ses hanches et les saisissent fermement. Les coups de reins deviennent brutaux. Je sens la pression qui monte en moi, je sens que mon désir d’éjaculation n’est plus très loin. Alors, joueur, je ralentis un peu, je me ressaisis et lui administre quelques petits coups au ralenti.


Elle essaie d’adopter une attitude d’attente, mais je sais combien cela lui coûte. Puis mes coups de reins reprennent un rythme effréné, la pression de mes mains sur ses hanches se fait de plus en plus ferme, je lui inflige même une fessée sans retenue, une fessée avec une vraie violence dictée par l’excitation perverse du moment, qui prend encore une autre dimension quand celle-ci est infligée au moment d’une sodomie. Sa fesse en devient toute rouge, je reconnais la trace de mes doigts, son corps tremble. Puis sentant son plaisir reprendre le dessus, je ne peux m’empêcher de lâcher ma semence au fond de son petit orifice dilaté.


Elle se lâche alors et part dans un orgasme effréné. Ses cris assourdissants se répandent dans toute la chambre et certainement, franchissent le pas de la fenêtre en alertant le voisinage. Nous avons un orgasme simultané qui dure une bonne dizaine de secondes. Nos corps bougent, ondulent, c’est tellement excitant de lâcher mon suc en elle au fond de son orifice interdit. Puis nos corps se relâchent doucement, se décollent l’un de l’autre, s’écrasent sur le lit, tremblent comme des feuilles. Ma main attrape la sienne et nous revenons tout doucement sur terre à une situation plus amoureuse. C’était bon, tellement bon, au-delà de ce que mon modeste cerveau pouvait imaginer auparavant.


Cette femme me comble de bonheur de par son amour pour moi et de par notre complicité sexuelle sans retenue ni tabou. Quand le sexe et l’amour se donnent la main, tout devient magique, surréaliste, divin au-delà de tous les fantasmes.