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Temps de lecture estimé : 8 mn
12/03/16
Résumé:  Mon ex me confie une expérience qu'elle avait vécue lorsque nous étions ensemble...
Critères:  ff fff cunnilingu fdanus init -fhomo
Auteur : Oli Mart 1977            Envoi mini-message
Premiers émois différents de mon ex




Je m’appelle Éric. Je suis marié avec une belle femme brune originaire d’Europe de l’Est, Iva. Avant de rencontrer Iva, je suis resté pendant quelques années avec une jolie brunette avec qui j’avais fait une partie de mes études, Hélène.


Nos premières années ensemble furent assez belles et riches. Nous étions jeunes et, au départ, assez innocents et inexpérimentés tous les deux. J’avais quelques expériences assez courtes à mon actif. Hélène était vierge lorsque nous nous rencontrâmes, et c’est avec moi qu’elle perdit sa virginité, voire même un certain nombre de ses virginités !


Hélène est une fille brune avec des cheveux bruns, longs et raides, un visage fin avec toujours une jolie couleur miel, des yeux bleu azur et une bouche très bien dessinée sans être pulpeuse. Beaucoup de charme et un sourire radieux. Un joli body fin et galbé comme je les aime.


Nous avons fait nos études dans le sud de la France, en école de commerce. Nous avions un beau groupe d’amis plus ou moins proches et nous sortions beaucoup en boîte ou dans des soirées organisées par des associations de l’école. De temps en temps étaient organisés des week-ends de randonnée, ou de visites ou bien tout simplement de beuverie…


Plusieurs années après nous être quittés et avoir chacun refait sa vie de son côté, elle me raconta une histoire qui avait eu lieu pendant notre relation et qu’elle ne m’avait jamais avouée.


Une association de l’école avait organisé avec d’autres écoles de la région, un week-end en basse montagne réservé aux filles. Il y avait des épreuves sportives par équipes, des ateliers à thème sur la femme et sa place dans les entreprises, et une soirée autour du feu avec chansons, danses et boissons, puis une nuit sous la tente… C’était le mois de juin, il faisait déjà beau et chaud.


Hélène n’avait pas l’habitude de boire de l’alcool en soirée et lors de ce week-end, elle fit une exception. Elle et son équipe, cinq filles au total, voulaient fêter leur deuxième place dignement et, après la petite veillée auprès du feu, lorsque les autres équipes partirent se coucher, Hélène et ses coéquipières restèrent auprès du feu. Hélène ne connaissait pas ces filles, qui provenaient d’autres écoles. Mais le courant était tout de suite passé et elles avaient bien ri et fait preuve de solidarité pendant les épreuves. En particulier avec une jolie petite blonde qui avait un caractère très affirmé, une vraie « leader ».


La leader en question s’appelait Aline et avait désormais les joues joliment rosées grâce au vin (rosé aussi) et voulait apparemment s’amuser. Elle était comme les autres en short et avec juste un top de maillot. Je vais raconter le reste de cette histoire comme Hélène me l’a racontée.


La leader, Aline, s’était levée et dansait en se déhanchant, en passant devant les quatre autres filles qui étaient assises. À chaque fois elle se baissait en pliant les jambes jusqu’à être nez à nez avec la fille devant elle. Elle fit ça une première fois, sous nos applaudissements ; elle but une gorgée de rosé et reprit sa danse, mais cette fois, en se baissant elle embrassa la première fille sur la bouche en prenant sa tête entre les mains. Juste un long smack puis elle se releva et translata vers la deuxième fille ; à nouveau elle se baissa, lui prit le visage entre les mains et l’embrassa, mais plus longtemps, avec la langue. La fille était subjuguée et se laissait faire. Nous continuions à applaudir. Aline se releva en caressant la joue de la fille qui était sous une sorte de choc érotique… puis passa à la suivante, qui s’était mise à genoux par terre avec les jambes légèrement écartées.


Aline se baissa en se déhanchant, l’autre lui prit les mains et les posa sur ses seins tout en approchant son visage ; elles s’embrassèrent à pleine bouche et l’autre fille se mit à frotter sa main sur le short en jean d’Aline au niveau de l’entrejambe…

Pendant ce temps, les deux premières filles s’étaient approchées l’une de l’autre, une dans le dos de l’autre. Celle qui se trouvait derrière embrassait l’autre dans le cou tout en manipulant ses bouts de seins. Elles observaient Aline et sa comparse s’embrasser en se tripotant.


Je n’avais jamais eu d’expérience avec une fille. Non que je n’y avais jamais pensé (mon petit copain de l’époque, Éric, m’avait même souvent demandé si ça ne me tentait pas…) ni que cela me rebute totalement, mais je n’avais jamais même vu deux filles s’embrasser en vrai. La charge érotique était incroyable… J’étais à la fois excitée et subjuguée par ce que je voyais, mais aussi tendue, car je ne savais pas comment j’allais le prendre quand ce serait mon tour de me faire provoquer par Aline.


Pas le temps de réfléchir, elle se releva et vint vers moi. Elle fit sauter son soutien-gorge, libérant deux seins pas très gros, mais magnifiquement formés et fermes, avec les bouts de seins tout durs, sans doute sous le coup de l’excitation. Elle se baissa vers moi, s’arrêta devant mon visage inquiet, me regarda droit dans les yeux, prit mes mains et les posa sur sa poitrine. Quel contact doux et érotique. Ma culotte commençait à sérieusement devenir humide d’excitation. Je la caressai en faisant doucement rouler ses tétons entre mon pouce et mon index.


Bizarrement elle ne m’embrassait pas, elle restait juste à quelques centimètres de mon visage et je sentais son souffle chaud. Je n’y tenais plus et c’est moi qui finis par l’embrasser sur la bouche. Juste un smack. Elle sourit avec un petit air de triomphe dominant. Je crois qu’elle avait perçu mon stress, voire ma réticence et elle m’avait forcée à passer outre. Elle mit ses mains derrière ma tête et m’embrassa à pleine bouche. Sa langue était petite, fine, douce, tellement chaude. Elle embrassait merveilleusement bien. Elle me poussa doucement en arrière, je me retrouvai couchée sur le dos. Elle vint sur moi et recommença à m’embrasser. Elle me léchait les lèvres, elle m’avait levé les bras et tenait mes mains. Elle lâcha mes mains et ses doigts descendirent petit à petit le long de mes bras en me caressant doucement avec ses ongles, me chatouillant légèrement. J’étais docile et passive, mais je sentais qu’elle pouvait me faire ce qu’elle voulait, j’étais sa chose, son jouet sexuel…


Elle enleva mon haut de maillot et commença à masser mes seins. Puis elle descendit avec sa bouche et commença à me les lécher et mordiller. Elle avait un savoir-faire incroyable, j’étais excitée au possible. Je tournai la tête pour voir ce que faisaient les autres filles et je constatai qu’Aline avait apparemment allumé la mèche d’une bombe érotique, car la première fille embrassait à pleine bouche la deuxième qui était désormais nue et se faisait lécher le sexe par la troisième fille, agenouillée entre ses jambes.


Ça allait bientôt être mon tour, je le sentis, car Aline déboutonna mon short et le fit glisser le long de mes jambes. Elle vint humer mon sexe à travers la culotte puis elle enleva aussi ma culotte. Elle m’écarta les cuisses et commença à lécher mon minou, d’abord des gros coups de langue bien mouillée sur les lèvres ; je sursautais à chaque coup. Puis elle écarta mes petites lèvres et dégagea mon clitoris de son capuchon et elle se mit à faire tourner sa langue délicatement sur mon organe bien dur grâce à l’excitation. J’étais comme folle, elle me rendait dingue. Et d’entendre les gémissements de la deuxième fille qui se faisait déguster par la troisième n’arrangeait rien ; j’avais les yeux fermés, mais je pouvais dire, à l’oreille, que la fille allait très bientôt jouir. Elle me donna raison en gémissant des « ouiiiii » désespérés…


Puis le silence de ce côté-là. Je me concentrai sur ce que me faisait Aline, qui était une amante incroyable. En plus de me lécher le sexe, elle avait pénétré un doigt dans mon vagin et faisait des va-et-vient qui faisaient croître la boule de plaisir que je sentais monter en moi… La troisième fille s’était couchée perpendiculairement à moi et me regardait de très près ; elle avait l’air de lire le plaisir et toutes les émotions nouvelles pour moi sur mon visage. Puis elle se pencha et m’embrassa langoureusement. Elle venait de lécher une fille et sa bouche avait un léger goût, sa salive était un peu plus épaisse. Je ne savais pas dire si cela me plaisait ou pas, surtout avec le plaisir que je prenais grâce à Aline.


La troisième fille se leva, mit une jambe de chaque côté de mon visage et descendit ; elle descendit jusqu’à ce que son sexe soit juste au-dessus de ma bouche. Je n’avais pas beaucoup le choix, mais je crois que ce n’était pas plus mal. Je n’aurais sans doute jamais osé aller explorer une chatte de moi-même ce soir-là.


Je commençai donc à la lécher, elle était très excitée, sa chatte mouillait abondamment sur mon menton. Je suçais son clitoris comme j’aimais qu’Éric me le fasse. L’effet sur elle était très clairement positif, elle haletait déjà. Je décidai de lui faire une autre chose qu’Éric me faisait habituellement et qui me faisait jouir très vite : je lui caressai l’anus tout en léchant son clitoris. J’appuyais de plus en plus sur son anus qui était ruisselant de son jus et donc très lubrifié… Je sentis ses sphincters résister beaucoup au départ, puis de moins en moins au fur et à mesure que l’excitation montait chez elle. Puis la sentant prête, je pénétrai son petit trou avec mon majeur, et entamai des va-et-vient alors qu’elle commençait à émettre des râles de jouissance…


Aline avait dû voir ma stratégie, car je sentis que tout en me léchant le clitoris et en continuant de me pénétrer le vagin, avec deux doigts maintenant, elle se mit aussi à me caresser l’anus ; elle pénétra rapidement et sans difficulté, les sodomies régulières avec Éric faisant que mon petit trou était habitué à recevoir des intrus. C’était merveilleux, cette sensation d’en avoir de partout.


La troisième fille jouit bruyamment sur mon visage, secouée de spasmes ; mon cerveau partit en surchauffe et en tilt à l’idée d’avoir fait jouir une fille avec ma langue, ma bouche et mes mains, tout en me faisant moi-même déguster par Aline.

Je partis donc dans un orgasme ravageur, une lame de fond dévastatrice qui me surprit par sa violence et son intensité.


La troisième fille s’était couchée à côté de moi. Aline remonta pour m’embrasser sur la bouche. Son baiser était magnifique. Elle prit ma main et la mit sur son sexe. Je compris le message et me mis à la branler. Elle était très excitée et se blottissait dans mon cou en gémissant doucement. J’étais étonnée par la facilité que j’avais à faire monter son plaisir ; avec Éric, j’ai mis longtemps à comprendre la subtilité du fonctionnement d’un pénis. Avec une chatte, tout était beaucoup plus simple pour moi. Il fallut peu de temps pour qu’Aline jouisse sous mes doigts, serrée contre moi ; nous échangeâmes un baiser tendre et naturel lorsqu’elle reprit sa respiration.


Tout était désormais calme, les trois autres filles étaient toutes aussi rassasiées de jouissance que nous. Nous bûmes un dernier verre de rosé, en trinquant aux femmes, qui sont les meilleures. J’osai demander laquelle des filles avait déjà eu une expérience homosexuelle auparavant. Je ne fus pas surprise d’apprendre qu’Aline était lesbienne bien que s’accordant de temps en temps une expérience hétéro pour le fun. La troisième fille avait déjà eu une expérience à trois avec son mec et une autre fille qui lui avait plu. Les deux autres filles, comme moi, n’avaient jamais eu d’expérience lesbienne et comme moi, avaient aimé vivre celle-ci. Avant d’aller nous coucher, Aline proposa que chacune d’entre nous embrasse profondément chacune des autres filles, ce que nous fîmes, en rigolant.



Lorsqu’Hélène me raconta cette histoire, elle craignait que je réagisse mal parce qu’elle m’avait trompé. En réalité j’étais effectivement fâché, mais pour deux raisons différentes :

1) parce que si elle me l’avait raconté à l’époque, cela m’aurait excité à mort et que cela aurait peut-être pu élargir les horizons de notre vie sexuelle,

2) parce qu’elle me racontait ça maintenant durant un dîner, déclenchant chez moi une érection monstrueuse et donc une frustration de ne pouvoir satisfaire le désir qu’elle avait suscité chez moi.


Frustration, frustration…


Nous rîmes de bon cœur et Hélène fut contente de ma réaction et d’avoir soulagé sa conscience tout en gardant intacte notre amitié.