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Temps de lecture estimé : 45 mn
12/03/16
Résumé:  Comme trop souvent, ce vendredi soir, mon petit ami organise chez nous une partie de poker.
Critères:  fh intermast fellation cunnilingu pénétratio -occasion
Auteur : Patrik  (Carpe Diem Diemque)            Envoi mini-message
Deux paires de deux




Comme trop souvent, ce vendredi soir, mon petit ami organise chez nous une partie de poker. Enfin, chez nous, c’est vite dit, car c’est bien moi qui paye le loyer, l’eau, l’électricité et les impôts locaux, sans parler du remplissage du frigo !


Comme d’habitude, Anton (mon petit ami) m’utilise à la fois pour que je serve d’hôtesse et aussi pour que je distraie l’attention des autres joueurs par mes diverses tenues ! Actuellement, je suis en short et chemisier assez déboutonné sur mon soutif. Point trop n’en faut ! Il n’exige pas de moi que je sois habillée en entraîneuse de bar ou en péripatéticienne (quoique…), mais il faut que je fasse au moins un peu rêver ou fantasmer le chaland. Au début, ça ne me disait trop rien. Maintenant, j’avoue que ça m’amuse un peu de faire saliver certains joueurs. Et quand Anton gagne, ce qui arrive souvent un peu grâce à moi, la nuit est très torride !


Je suis en train de servir les rafraîchissements, et vu la tête de mon copain, je ne pense pas que ce sera la fiesta ce soir, car visiblement, le nouveau joueur qu’il a invité joue les bulldozers en ratissant très souvent les mises. C’est tout juste si Anton me gratifie d’un grognement en guise de remerciement pour le verre que je viens de lui déposer. Je lève les yeux aux ciels et quand je les redescends, c’est pour croiser le regard amusé de ce joueur très méthodique et chanceux. Il faut reconnaître qu’il n’est pas trop mal, et j’aime sa façon de me regarder, pas le style baveux ni le loup dans les dessins animés. Oui, j’aime bien, même si je ne me l’explique pas trop bien…


C’est à présent le break, comme ils disent. Bref, la pause pour parler français. Assez énervé, Anton m’entraîne dans la cuisine :



Il me toise de la tête aux pieds :



Sourcils froncés, je croise les bras :



Je lève les yeux au plafond ! Oui, ce Louis est un crétin absolu dans certains domaines, sinon c’est un bon vivant agréable à vivre, mais il y a des sujets sur lesquels il ne faut pas le brancher, mais alors pas du tout !



Je préfère ne pas répondre. Pourquoi diable j’en suis arrivée là ? Ce type m’énerve un maximum, à tel point que j’en deviens vulgaire ! Mais qu’est-ce que je fais avec cet idiot d’Anton ? Bon, c’est vrai qu’il est pas mal, et quand il a du fric, Monsieur sait se montrer généreux. Mais quand il n’en a pas, c’est la croix et la bannière ! Et comme du fric, il en a souvent plutôt moins que plus, pour un jour de soleil, je me coltine souvent une semaine de pluie !


Je me réfugie dans la salle de bain, je me regarde dans la glace, me demandant bien dans quelle galère je me suis mise en ayant flashé sur cet Anton de malheur et sa passion du jeu. C’est alors qu’il passe la tête dans l’embrasure de la porte pour me dire :



Avant que je puisse lui balancer un gant de toilette bien humide en pleine figure, il a disparu. Je soupire ! Ma copine Michelle avait raison quand elle me disait que ce type m’apporterait plus de soucis que de satisfactions !


Soudain, j’entends du bruit ; encore ce con d’Anton qui revient à la charge !



Je me fige : cette voix, c’est celle du fameux joueur trop chanceux, Sylvain. Je bredouille :



Il entre et se dirige vers le lavabo. Il s’asperge le visage, s’essuie prestement avec le gant de toilette, me regarde posément puis déclare tranquillement :



Il s’empare d’une serviette afin de s’essuyer, puis la repose en la repliant correctement. Se tournant à nouveau vers moi, il sourit :



On dirait une sorte de félin qui joue avec une souris, et je n’aime pas trop le rôle de la souris blanche… Il me regarde quelques instants puis demande, une lueur dans les yeux :



C’est à moi de le regarder posément :



Il taquine mon nez de son index :



Un certain sourire fleurit sur mes lèvres :



Puis il quitte la salle de bain avant que j’aie pu lui répondre. Je me traite de folle : pourquoi je me suis laissée entraîner dans ce truc ? Oh et puis merde ! Ils veulent tous du spectacle ? Ils en auront !




Deux coqs



Je suis plutôt contente de mon effet ! Mon homme a ses yeux qui vont lui sortir de la tête, le Sylvain est franchement admiratif, quant aux deux autres, n’en parlons pas !


J’ai une jupette noire, très seyante, et par-dessus un top très échancré, composé d’une première bande qui contourne mon cou, qui couvre un peu mes seins, mais pas leurs naissances et qui s’achève sur une autre bande qui ceinture mon ventre. C’est limite maillot de bain, je trouve pour ma part que ça fait très « croupière de casino » comme dans les films d’espionnage. Bref, ça cache un peu, et ça excite bien la gent masculine ! Il faut simplement que j’évite de trop me pencher, sinon on verra tout !


Les participants sont nettement plus intéressés par mon « décolleté » que par les cartes qu’ils ont en main. Je vois bien que Sylvain n’échappe pas à la règle, même s’il est moins ostensible que les autres.


Diverses parties s’enchaînent, mais toujours pas à l’avantage de mon copain. À peu près une heure plus tard, Anton peste :



Dédaignant le conseil, Anton s’adresse à son vis-à-vis :



En les claquant, Anton pose ses mains sur la table :



Là, c’est moi qui viens de protester, tandis que les autres haussent des sourcils. C’est un peu moins visible chez Sylvain qui reste assez flegmatique :



Prestement, j’interviens :



De sa voix étonnamment calme, son menton posé sur ses poings, Sylvain reprend :



Abasourdie, je proteste :



Nous regardant sans ciller, Sylvain, un grand sourire aux lèvres tel un tigre en train de savourer intérieurement son futur repas, balance sa bombe :



Un très lourd silence s’installe. Je suis tellement estomaquée que je ne sais plus quoi dire. Par contre, visiblement, Anton cogite comme un fou, c’est tout juste si je ne vois pas sortir de la fumée de ses oreilles ! C’est d’ailleurs lui qui brise le silence sous le regard très perplexe des autres joueurs :



Un autre silence s’installe. Les deux autres joueurs suivent la scène avec intérêt, cette partie de poker devenant décidément très intéressante, même s’ils ne sont plus concernés. Moi, tétanisée, je ne proteste même pas ! Remonté à bloc tel un coq, Anton pose ses conditions :



J’arrive à m’extirper de mon immobilisme, je me plante devant Anton :



Sylvain se lève, se voulant rassurant :



Et sur ces paroles énigmatiques, il s’assied, attendant la distribution des cartes. J’ai déjà vécu des sacrées soirées de poker, mais celle-ci décroche le pompon ! Méticuleusement, Anton bat les cartes, et moi, comme une conne, j’attends pour les distribuer. C’est alors que je me demande pourquoi je reste là plantée sur place, alors que je pourrai très bien claquer la porte de l’appartement ! Non, pourquoi irais-je claquer la porte de mon appart ? Je suis chez moi, c’est à eux de dégager, pas à moi !


Je suis partagée entre deux sentiments contradictoires. Le premier est qu’Anton gagne, il sera content, il aura du fric, et ça ira bien quelques jours, lui et moi. Le second est que Sylvain gagne pour donner une leçon à mon petit ami ! Mais qu’adviendra-t-il ensuite ? Parce que ce Sylvain, je ne le connais pas du tout ! OK, il n’est pas moche, pas aussi mignon qu’Anton, mais certainement plus pondéré. Un gentleman, soit. Mais seul avec moi, qui me dit qu’il ne se transformera pas en fauve affamé ?



Comme une automate, je coupe le paquet puis je distribue les cartes. Ils en redemandent chacun deux autres après s’être défaussés. Anton a une mine réjouie, il doit avoir un bon jeu. Je résiste à l’envie d’aller me placer derrière lui pour le connaître. Comme si j’étais dans un film, j’écarte les mains et je propose :



Très satisfait de sa main, Anton rigole :



Levant ses bras au plafond, Anton éructe !



Il s’arrête net devant les huit yeux braqués sur lui. Étonné, il se justifie :



C’est moi qui interviens, mettant mon nez à quelques centimètres du sien :



Soudain il se fige, tétanisé, stupéfait ! Puis dans un long gémissement, il enfouit sa tête entre ses mains. Étrangement détachée, je contourne la table pour me planter juste à côté du vainqueur :



Je me surprends à lui demander :



Il se contente de sourire, puis se levant, il ordonne sereinement aux deux autres assez hilares :



Et soulevant un Anton totalement amorphe, les autres joueurs quittent joyeusement l’appartement, me laissant seule face au vainqueur !




Après le poker



Une foi la porte refermée, toujours aussi paisible, Sylvain tend le bras vers la bouteille près de lui. Se servant un verre de jus de pomme, il m’avoue calmement :



Poings sur les hanches, je me plante devant lui :



Il s’installe dans le canapé, il me désigne la place juste à côté de lui :



Mais étrangement, je lui raconte plein de choses, un torrent de mots sort de ma bouche, je raconte à cet inconnu quasiment toute ma vie ! Lui, il m’écoute, relançant parfois la conversation. Puis ensuite, j’arrive à en savoir un peu plus sur lui. Soudain, je regarde l’heure, je m’exclame :



Soudain, je me lève :



Je laisse ma phrase en suspense, chagrinée… C’est lui qui complète :



Il se lève à son tour, puis s’isolant au fond de la pièce, il sort son portable et appelle. La conversation est courte. Il vient ensuite vers moi :



Il ne répond rien, se contentant de me regarder. Je ne saurais dire exactement pourquoi, mais j’aime sa façon de me regarder, elle est… différente. Je ne me sens pas scrutée ni salie. C’est lui qui casse le silence :



Je le regarde pour savoir si je dois le croire. Je ne sais plus quoi penser avec Sylvain, il fausse ma façon de raisonner. Je m’entends lui répondre :



Il s’approche de moi, se penche sur mon décolleté puis dépose un baiser entre mes seins. Ça me procure un grand frisson qui n’est pas désagréable ! Puis il me contourne un peu afin d’être face à la naissance de mon sein droit. Après l’avoir admiré, il l’embrasse à son tour, me procurant un autre frisson tout aussi agréable !


À ma grande surprise, il me contourne à nouveau, allant se poster près de mon autre sein. Il précise :



Pour lui faciliter la tâche, je mets mon bras gauche dans mon dos. Se contorsionnant un peu, il dépose alors un doux baiser bien appuyé sous la masse tendre de mon sein qu’il soulève un peu. Un énorme frisson s’empare de moi. C’est alors que je réalise qu’avec cette position, j’ai révélé beaucoup de chair que je ne le pensais !



Il s’écarte de moi. En effet, il n’a rien tenté de plus. Je me sens un peu gauche, un certain silence s’installe. Claquant dans ses mains, il annonce :



Il me coupe aussitôt la parole, faisant un geste de dénégation :



Et il s’engouffre dans ma chambre tout en me lançant :



Un peu dépassée par les événements, je pars me changer. J’ai la curieuse sensation que je peux néanmoins lui faire confiance, du moins, assez confiance. Du coup, je ne ferme pas le verrou de la salle de bain. Je me choisis une tenue assez opaque, une chemise de nuit toute simple, mais confortable. Il ne faudrait quand même pas trop tenter le diable, même s’il est assez mignon !


Il est déjà au lit, torse nu. Quelque chose me dit qu’il doit être nu sous le drap. Il étale son bras sur le lit, à ma place :



Je suis très méfiante, je connais assez les hommes pour ne pas trop les croire. Néanmoins, je fais comme il a dit, je m’allonge à côté de lui, utilisant son bras comme oreiller. Je me tourne un peu vers lui, il en profite pour m’attirer à lui, mettant sa main sur mon épaule qu’il commence à caresser délicatement :



Je pouffe bien malgré moi. C’est vrai que je ne suis pas trop mal, ainsi blottie contre lui, sa main sur mon épaule. D’ailleurs, ça m’inquiète un peu !



Je lève les yeux vers Sylvain :



Je pouffe de rire à cause du ton employé pour dire cette phrase anodine devenue célèbre à sa façon. Je me sens très bien comme ça.



À ma grande surprise, il te tente rien, sauf de continuer à me caresser l’épaule. Mue par un réflexe, je me blottis contre lui pour mieux me nicher. Je suis bien, très bien, trop bien. Sa respiration s’apaise, comme la mienne, nous respirons à présent de façon synchrone. Sa caresse devient plus lente, plus douce aussi. C’est alors que j’ose placer ma jambe entre les siennes pour venir caler ensuite mon pied par dessous. Juste un petit tressaillement de sa part, puis il m’attire encore plus contre lui. J’aime son odeur, sa chaleur…


Je me sens si bien, parfaitement détendue et je m’enfonce sans peur dans le pays des songes…




Un réveil assez différent des autres



Le soleil est déjà levé, quelques rayons de lumière filtrent dans la chambre. J’ai fait un drôle de rêve, cette nuit, celui d’avoir été vendu à un homme suite à une partie de poker et que nous avions dormi ensemble ! C’est alors que je réalise que je ne suis pas seule dans le lit ! En effet, je suis visiblement dans les bras d’un homme qui m’enlace, une main sur mon ventre, l’autre capturant un sein, tandis qu’il est plaqué contre mon dos ! Et je sens que cet homme est en pleine forme, d’après ce qui est compressé sur mes fesses !


Dans quelle situation à la con, je me suis laissé embarquer ! ! Par contre, je reconnais que j’ai bien dormi, en sécurité…



Je soupire, sans pour autant me dégager…



Il rit, sans toutefois relâcher son étreinte :



C’est à mon tour de rire. Femme qui rit est déjà dans ton lit ; moi, j’y suis déjà ! C’est alors qu’il fait quelque chose qu’il ne fallait pas qu’il fasse :



Et il m’embrasse dans le cou !




Collée-collé



Ce n’est pas la première fois qu’on m’embrasse dans le cou, mais cette fois-ci, je fonds littéralement ! C’est dingue l’effet que ça me fait ! Je me demande bien ce que je dois faire ? Je l’envoie balader ? Je ne bronche pas ? Je me laisse aller ?



Il caresse de plus en plus sensuellement mon sein, tandis qu’il se colle à moi insidieusement. Son autre main caresse délicatement ma jambe, s’arrêtant juste au tissu de ma bien faible chemise de nuit. Il murmure à mon oreille :



C’est alors que je réalise ce que je viens de dire et le gros sous-entendu qu’il y avait dedans. Vite, une autre phrase pour masquer celle-là ! Trop tard, il rebondit :



Et cet horrible homme m’embrasse à nouveau dans le cou ! Quel pervers ! Visiblement, il a compris un de mes points faibles. Mais pourquoi diable je ne sors pas de ce lit en quatrième vitesse ? Il m’enlace peut-être, mais j’ai l’impression qu’il relâcherait son étreinte si je faisais l’effort de vouloir me dégager.


En attendant, c’est moi qui ai l’impression d’être le lapin dans les pattes d’un renard ou d’un loup. Renard ou loup ? Bonne question ! En tout cas, il glisse sa main sous ma chemise de nuit pour continuer à caresser ma jambe, lentement, délicatement, mais sûrement ! Il est presque arrivé sur ma hanche. Et son machin durcit de plus en plus, c’est évident !


Il continue de m’embrasser dans le cou, sensuellement ; je me laisse faire. Pourtant, je ne suis pas du genre à me laisser faire par le premier venu, mais là, je n’y vois pas d’objection. Quelque chose me dit que je peux me permettre un flirt poussé sans être obligée de passer à la casserole. Apaisée, je ferme les yeux, profitant de ces moments de douceur et de sensualité. Il murmure :



Ses caresses deviennent de plus en plus pressantes, mon sein dans sa main, ses doigts qui glissent sur ma hanche, mon ventre, qui effleurent mon petit bosquet. Je sens bien qu’il fait un rude effort pour encore se contrôler ! À présent, il joue avec les boucles de ma toison :



Ce n’est pas comme Anton qui préfère que ça soit plutôt lisse. Mais à chaque fois que je rase, ça repousse plus dru et plus bouclé encore, surtout sur mon pubis, curieusement mes lèvres étant assez épargnées. Et puis ces derniers mois, c’était tellement speed au boulot que j’avais autre chose à penser d’autant qu’Anton était en balade la plupart du temps.


C’est nouveau pour moi qu’un homme s’amuse avec mes boucles comme s’il s’agissait de mes cheveux. D’habitude, les hommes sont nettement plus directs : ils me pelotent les nichons, mettent leurs doigts plus bas juste pour taquiner mon petit bouton rose et crac, ils s’invitent, eux et leur queue, sans trop me demander mon avis ! Bon, souvent, je tire quand même mon épingle du jeu, mais je ne déteste pas quand c’est un peu plus lent et délicat comme aujourd’hui !



Il arrête de jouer avec mes boucles, ses doigts glissent délicatement sur mon ventre, ma hanche, ma cuisse puis mon genou. J’aime les petits frissons que ça me procure ! Je me demande bien ce qu’il a en tête. Je le sais très vite quand je constate qu’il relève le bord de ma chemise de nuit jusqu’à ma taille. Le pire est que je l’aide un peu en me soulevant.



Je frissonne ! Mais c’est qui, ce type qui me fait ce genre d’effet ? Si je ne réagis pas, il va se croire tout permis ! Déjà que maintenant, je sens distinctement son machin tout dur et chaud sur mes fesses ! Mais bon, j’ai une furieuse envie de me laisser faire… tout au moins juste un petit peu…



Joignant l’acte à la parole, il relève un peu plus ma chemise afin que sa main qui agrippait mon sein depuis tout à l’heure puisse à présent le capturer à même la peau. Et je dois reconnaître que c’est mieux ainsi, surtout quand on joue délicatement mon téton bien érigé ! Bah, au point où j’en suis…



En un rien de temps, je me retrouve nue, ma chemise gisant au pied du lit. Sylvain se repositionne contre mon dos, son bâton de chair plaqué contre la raie de mes fesses, son bras en oreiller, sa main jouant toujours avec mon sein et son téton, tandis que l’autre caresse ma hanche pour venir glisser sur mon ventre puis mon pubis, afin qu’il rejoue avec mes bouches. Alors que ses doigts s’emmêlent, je lève ma jambe afin de lui faciliter la tâche et l’accès à mon bosquet. Bien sûr, il comprend tout de suite le message !



S’emparant plus voracement mon sein, il m’embrasse dans le cou tandis que ses doigts agiles taquinent ma fente humide. Ils ne mettent pas bien longtemps pour dénicher mon clitoris qui n’attendait que leur visite ! Hou que c’est bon ! Lançant ma main en arrière, j’agrippe une fesse bien ferme que j’attire à moi, je me cabre, j’adore sentir cette colonne de chair sur mon cul, sentir qu’on me désire ! Je lève encore plus la jambe afin que mon galant ait un plein accès à ma chatte qui exige son dû !


Je me frotte impudiquement contre sa verge, ses doigts me masturbant d’une façon très efficace, un mélange doux et impérieux. Oh oui, que c’est bon ! Très bon ! Trop bon ! Ce Sylvain est décidément un bon numéro, je ne regrette pas du tout qu’il m’ait gagnée ! Même s’il a triché pour m’avoir, mais Anton avait fait de même. Tant pis pour lui ! Et tant mieux pour moi ! Et autant en profiter un max, alors je souffle :



Je me déhanche comme une petite folle à me frotter sur cette belle queue ! J’adore sentir cette colonne chaude et douce écarter mes lèvres détrempées, sentir ce gland frôler mon clitoris tandis que des doigts taquins m’excitent au plus haut point ! Oh, il faut que je la touche, que je la plaque encore plus contre moi ! Je veux pouvoir capturer ces couilles pleines, je veux plein de choses !


Il frémit quand je plaque mes doigts sur sa verge, quand mes doigts caressent ses veines palpitantes ! Il se cabre quand je capture ses testicules, quand je joue avec les boules que je sens distinctement sous la fine peau ! Oh que c’est bon, de se frotter comme ça ! De sentir ses doigts qui agacent mon clitoris, avec cette queue gonflée de désir !


Je n’en peux plus, je pousse un petit cri rauque, et je jouis dans mille tremblements !


Il me serre dans ses bras tandis que je sombre dans un demi-sommeil ; je ne sens très bien ! C’est incroyable comme je me sens bien ! Ses mains caressent mon ventre, ma hanche, mes seins, ma bouche mordille mon oreille… Oui, je me sens très, très bien !


Je tourne un peu la tête vers son visage :



Impudiquement, je repose mes doigts sur sa verge qui est toujours bien dure :



Je soupire, agaçant la tige de chair avec mes doigts taquins :



Il me serre plus contre lui, possessivement, me disant à l’oreille divers mots assez cochons qui m’émoustillent :



Soudain, à ma grande stupéfaction, il s’éloigne de moi. Je me retourne :



Je lance ma main et je capture son mandrin entre mes doigts ; je me glisse presque sous lui, et le regardant dans les yeux, je lui déclare :



Il me surplombe, jambes écartées, ses boules bien suspendues et en évidence pas loin de mon nez, un sourire amusé :



Il se positionne juste à côté de moi, puis prenant une voix d’obsédé sexuel :



Lâchant sa tige, je soupèse ses boules, et avec un large sourire, je lui lance :



Eh bien, il m’a fait tout ce qu’il m’avait promis ! Et ça m’a beaucoup plu !




Samedi



Après toutes ces aventures matinales, quand nous nous sommes définitivement réveillés, il a fallu que j’aille prendre une douche avec tout ce sperme sur mon corps qui commençait à coller un peu ci et là. Je m’étonne moi-même de m’être endormie ainsi ! Avant, nous nous sommes faits plein de bisous et de câlins. Pour la douche, il a tenu à la prendre avec moi. Nous sommes dans la cabine, il me lave délicatement, gant de toilette en main :



Je me retourne pour lui faire face :



Je me redresse sur mes orteils pour lui déposer un bisou sur ses lèvres humides. Intrigué, mais ravi, il demande :



Il se jette sur moi et m’inflige un baiser brûlant et vorace, avec ses mains baladeuses qui m’explorent de partout. L’eau coule toujours sur nous, j’aime beaucoup ! Je réponds sans vergogne à son baiser. Nous nous dévorons mutuellement. Puis il faut bien reprendre ses esprits. Nous sortons de la douche. Tandis qu’il m’essuie :



Il s’arrête de m’essuyer et me regarde intensément :



Et il me soulève dans ses bras et me porte jusqu’au lit afin de couvrir mon corps de baisers, et me faire jouir à nouveau, sa tête entre mes jambes, en train de me déguster suavement !


Nous nous sommes calmés. Nous avons pris le petit-déj ensemble. Puis comme si nous vivions ensemble depuis un certain temps, nous nous sommes réparti les tâches ménagères. Peu après, mon appartement est nickel. À deux, ça va plus vite !


Soudain le portable de Sylvain sonne, il consulte le message :



Il me regarde un peu étonné, tout en mettant son portable dans sa poche, il se rapproche de moi pour mieux me dévisager :



Il pose ses mains sur mes épaules :



Je le regarde intensément :



J’écarquille grands mes yeux :



Je m’écarte de lui, assez troublée, je fais au moins trois ou quatre fois le tour de la table, cherchant à trouver une solution qui ne daigne pas venir :



Soudain, j’entends une clé essayer de s’introduire dans la serrure.



D’un bond, Sylvain s’approche de moi puis il pose à nouveau ses mains sur mes épaules :



Pour toute réponse, il dépose un doux baiser sur mon front, ça me surprend et ça me calme en même temps ! L’instant d’après, c’est un Anton assez furieux qui déboule !



Sylvain l’accroche aussitôt, mâchoires crispées :



Prestement, Sylvain l’attrape, le secoue sans ménagement, puis le coince près d’un gros meuble :



Maintenant toujours fermement Anton, Sylvain se tourne vers moi :



Stricto sensu, c’est vrai que Sylvain ne m’a pas pénétrée. Je bredouille :



Un peu radouci, Anton se tourne vers moi :



Je l’ai dit avec une telle hargne, une telle conviction, mélangée d’une grande lassitude envers ce crétin qui me pourrit la vie depuis si longtemps, qu’Anton se radoucit. Avec un sourire narquois, il s’adresse à nouveau à Sylvain :



Aussitôt, Sylvain lui agrippe le col :



J’interviens, un peu lasse :



Là, les deux hommes me regardent assez étonnés. Oui, j’ai oublié de raconter ce détail hier soir à Sylvain. Je continue :



Je secoue la tête, je me sens lasse, je m’adresse aux deux hommes, d’abord à mon ex-copain :



Je ferme la porte derrière moi. J’entends des éclats de voix tandis que je jette dans un carton les affaires d’Anton. Il y en a peu, il mettait presque toujours les mêmes habits. Même pas propre, rien pour lui, pourquoi je me suis encombrée de ce type si longtemps ? J’ouvre la porte, je fais glisser le carton hors de la chambre. Les deux hommes me regardent rentrer à nouveau dans la chambre, voûtée. Déprimée, je m’assieds sur le rebord du lit. Je n’ai même pas envie de pleurer. Le temps passe. On toque à la porte.



Il entre puis s’agenouille face à moi. Je lui demande :



Surprise, je lève la tête :



Amusée, je lui balance un oreiller dans la figure. Puis je tombe à la renverse sur le lit, les bras en croix, un sourire aux lèvres. Sylvain s’allonge à côté de moi, accoudé, me surveillant, vaguement inquiet. Il finit par me demander :



Il s’exécute aussitôt. Oui, c’est fou ce que je peux me sentir bien comme ça !


Puis nous sommes sortis en ville, main dans la main. Il est en chemise et jean, et moi, dans une petite robe verte. Nous avons déambulé dans les rues et parfois dans les magasins, sans but précis, grignotant une gaufre ou léchant une glace, nous dévorant de bisous, profitant du soleil dehors jusqu’à ce que le soir survienne…




Samedi soir sur la terre



Nous sommes attablés à la terrasse d’un petit restau libanais. Il fait bon dehors, la cuisine est savoureuse, et je suis très heureuse d’être là avec Sylvain. Nous parlons de tout et de rien, avec cette curieuse impression que nous nous connaissons depuis des mois, des années. Oui, tout va bien. De temps à autre, il me demande de goûter à ce qu’il a dans son assiette, morceaux qu’il me présente au bout de sa fourchette. C’est peut-être enfantin ou un peu gnangnan, mais ça me plaît beaucoup ! Je m’en fiche, je profite de l’instant présent. Peut-être que demain soir, ce sera fini, même s’il m’a donné l’assurance qu’il voulait aller plus loin, mais peut-on faire vraiment confiance à un homme ?


Le dessert avalé, nous déambulons à nouveau sans plan établi. C’est ainsi que nous nous retrouvons auprès de l’écluse. Je m’accoude à la barrière, il m’enlace par-derrière puis il capture mes lèvres. On ne peut pas dire que je résiste beaucoup ! J’adore ses baisers, sucrés, chauds, doux et parfois exclusifs.



Il me serre un peu plus contre lui :



Je tourne la tête vers lui, il en profite pour me faire pivoter contre lui, son visage très près du mien. Je questionne :



Stupéfaite, je pile sur place, Sylvain continue son récit :



Je laisse un peu traîner ma réponse :



Pour toute réponse, il m’embrasse, je réponds promptement à son baiser. Puis nous regagnons lentement mon appartement. En parlant de ça, il faudra qu’il me montre le sien, un de ces jours, mais quelque chose me dit que ce sera pour bientôt !


Quelque chose me dit aussi que dans bien peu de temps, ça va être très animé ! Je me vois très mal faire la causette, gentiment, les yeux dans les yeux quand nous serons rentrés à l’appart ! Je devine que Sylvain a envie de moi, ce qui tombe très bien puisque j’ai aussi envie de lui ! Surtout que l’aperçu que j’ai pu avoir ce matin était particulièrement prometteur !


Un grand homme disait que le meilleur moment de l’amour, c’était quand on montait l’escalier. Je suis en train de monter l’escalier qui mène à mon appartement, j’espère bien que ça sera plus festif une fois arrivés tous les deux là-haut !


J’en ai la confirmation quand je referme la porte et qu’il m’attrape dans ses bras pour un long baiser ! Quelques minutes après, le souffle court, nous nous dirigeons vers le salon. À peine sur place, il m’enlace à nouveau, posant son front contre le mien :



Je souris, narquoise, attendant la suite :



Je le regarde droit dans les yeux :



Faire les choses deux fois possède l’immense avantage de s’améliorer encore plus, sans parler d’explorer des voies qu’on avait négligées précédemment ! Puis je m’amuse à quelques digressions…


J’embrasse délicatement son gland frémissant, je descends lentement le long de son sexe puis je le décalotte complètement. Je commence alors à le lécher, doucement, humidifiant ce beau gland de ma salive, le rendant luisant. Je constate que Sylvain contemple avec beaucoup d’intérêt le spectacle que je lui offre, me regardant œuvrer sur sa queue.


Soudain je prends avidement son sexe entre mes lèvres, puis je le fais entrer dans ma bouche toute chaude, petit à petit, de plus en plus loin. Je m’efforce de l’avaler tout entier, car je veux savoir ce que ça peut faire que d’avoir se belle queue complètement en moi, au fin fond de ma gorge ! Sous l’effet de mes caresses buccales, il soupire, il gémit doucement. Je le regarde dans les yeux, je sais que ça le trouble. Je me contrefiche de passer une la dernière des salopes, même si je sais qu’il le pense pas. Du moins, pas encore, car il ignore encore tout ce que je suis capable de faire !


Je le suce, je le pompe. Je sais bien, je sens bien que son plaisir arrive, impérieux ! Sa tige frémit sous ma langue, il se retient encore, mais il va craquer dans peu de temps.


Alors en bonne vicieuse que je suis, je continue !


N’en pouvant plus, il lâche au fond de ma gorge un abondant flot de sperme, qui se déverse en moi en longues saccades ! Sans relâche, je continue mon petit manège, avalant tout ce qu’il m’offre, très contente de mon pouvoir sur lui.


Et ce n’est qu’une étape parmi bien d’autres…




Dimanche



Devinez ce que j’ai fait une bonne partie de la matinée ? Oui, j’ai fait des folies de mon corps ! C’est divin d’être désirée de la sorte par un homme qui se soucie réellement de vous, qui sait alterner les coups de folie avec les élans de tendresse !


J’adore ses caresses, ses baisers, le contact de sa peau sur la mienne, ses larges mains sur mes pleins et mes déliés ! J’aime quand il me capture, quand il me soumet à sa convoitise, quand il entre en moi, quand il me remplit, quand son désir et le mien ne font plus qu’un !


Il est presque midi, et je vois bien que mon Sylvain est un peu hors service. Je lui accorde donc un peu de repos, il l’a bien mérité, il a bien payé de sa personne avec moi. Je me lève pour aller faire une petite toilette et boire un jus de fruit. Puis je reviens dans la chambre. À peine me suis-je approchée du lit que mon amant m’agrippe et m’attire à lui. Entraînée par le mouvement, je me vautre carrément sur lui. Il en profite pour m’embrasser tout en câlinant mes fesses. Après quelques mignonnes excitations, je lui demande :



Nus tous les deux, sans complexe aucun, nous mangeons rapidement, car nous avons hâte de replonger dans le lit continuer nos folles aventures ! D’ailleurs, Sylvain me prend par la main et m’entraîne vers la chambre !


D’un coup, je me retrouve plaquée contre Sylvain qui m’a capturée et qui m’a entraînée avec lui quand il s’est laissé tomber à la renverse sur le lit. Je suis complètement affalé contre lui et il retient fermement, ses bras dans mon dos.



Et sur ce, il m’embrasse d’abord tendrement puis se fait plus exigeant. Je réponds comme une folle à ses baisers, je me plaque à lui, heureuse, émerveillée qu’il veuille de moi à ce point !


Comme je n’y tiens plus, je glisse mes mains sur son torse pour palper sa large poitrine. Nos langues s’emmêlent plus encore, une main cherche mes fesses, une autre me caresse le dos. Dieu, que c’est bon d’être désirée ainsi. J’ai trop envie de lui, mais néanmoins, je me lève, m’échappant alors de son emprise. Il me regarde, un peu inquiet.


Avec un large sourire coquin, je lui prends la main et lui dit simplement :





La minute qui suit, je suis nue contre lui, les draps défaits, plaquée contre son magnifique corps qui m’offre tant de plaisir, son sexe bien dur contre mon ventre. Puis complètement offerte, sa tête entre mes jambes, je subis la douce torture de sa langue qui me cherche, qui me contourne, de ses doigts qui parcourent mon corps, mes seins, mon ventre. Il exige tous les moindres recoins de mon corps, devant, derrière, s’attardant sur le creux de mes reins avant de partir de plus belle vers mes fesses.


Puis il m’impose de rester sur le ventre, jambes et bras en croix tandis qu’il remonte ma jambe à coup de baisers appuyés, sa langue longe ma cuisse et plonge par-derrière dans ma chatte brûlante. Puis il remonte lentement. J’ai un petit frisson quand il s’attarde un court instant à l’orée de mon petit trou. Il remonte le long de mon dos, se frottant à moi sans m’imposer le poids de son corps. Il arrive dans mon cou et plus bas, je sens son sexe cherche à entrer en moi. Il capture mes seins, joue délicatement avec mes tétons tandis qu’écartant les cuisses, je l’accueille sereinement en moi.


Tout est bon chez lui et je sens nettement chaque centimètre de sa queue s’enfouir en moi, son corps puissant recouvrir le mien, les tortures exquises que ses mains voraces infligent à mes seins et les morsures délicates dans mon cou. Maintenant, il est complètement entré en moi, je me sens pleine. Il commence un lent va-et-vient. Une main relâche mon sein pour fourrager dans ma fente détrempée. L’instant d’après, nos deux corps sont agités de soubresauts, mes fesses cherchent sa queue afin qu’il se plante plus loin en moi, il me pistonne tout en imprimant à son engin un mouvement circulaire, se frottant sur mon cul, épousant impudiquement sa rondeur.


Ses doigts excitent sans le toucher directement mon clitoris en fusion, mon téton entre ses doigts, mon sein en pleine main, sa bouche qui s’est rivée à la mienne, j’explose. Des tas d’étoiles fusent à mes yeux, une onde, une vague puissante m’envahit et je me laisse porter, heureuse, comblée. Je me sens pleine de lui.


Durant des heures, il continue à m’aimer, à plonger en moi, à se caler entre mes seins, dans ma bouche. Toute la nuit, je goûte chaque parcelle de son corps, le goût âcre de son sperme comme lui qui n’oublie rien d’explorer sur et dans mon pauvre petit corps en folie trempé de sueur et de désir. C’est quand j’ai exigé, une dernière fois, de lui qu’il replonge en moi pour me combler, me forcer de son engin, que quand j’ai goûté à nouveau de son sexe trempé de nos sécrétions jusqu’à ce qu’il mollisse dans ma bouche, que nous nous sommes endormis emmêlés, fatigués, épuisés, mais rassasiés.


À présent, le lit est un véritable champ de bataille. Nous venons juste de refaire l’amour, j’ai ignoblement profité d’un commencement d’érection ! Et bien sûr, il s’est laissé faire, m’en mettant partout ! Ma tête repose sur son ventre, il caresse tendrement mes seins, jouant souvent avec leurs pointes dressées. Je sens son regard brûlant posé sur moi, il semble rire doucement, se souvenant vraisemblablement de tout ce qui s’est passé et me dit :



Un peu plus tard, comme l’heure tourne, nous nous décidons à quitter notre lit dévasté. Après avoir plongé dans le réfrigérateur à la recherche de quoi boire et de quoi grignoter, nous regagnons le salon. Il s’adosse au mur, bras croisés :



Je le regarde, bouche bée :



Il s’approche de moi pour m’enlacer :



Taquine, je fais la moue :



Ceci dit avec assurance, il m’embrasse, je me laisse convaincre par ses lèvres sur les miennes. Je me laisse tellement convaincre qu’il reste jusqu’au petit matin… et bien plus…




Continuité



Après quelque temps de va-et-vient entre nos deux appartements, nous avons décidé d’en prendre ensemble un plus grand. Je paye presque moitié moins cher, puisque nous nous partageons les frais, c’est mieux situé et j’ai plus d’espace, sans parler d’une place réservée pour ma petite voiture dans un parking fermé en sous-sol ! Les joies de la colocation. Sans parler aussi que j’ai mon Sylvain à disposition, jour et nuit, et surtout les nuits…


Anton a complètement disparu de la circulation, ce qui est très bien comme ça, et Sylvain a décrété qu’il ne jouerait plus du tout au poker avec d’autres personnes, sauf, bien sûr, au strip-poker avec moi :



Mutine, je lance mes bras autour de son cou ; il ne répond rien, mais n’en pense pas moins. Néanmoins, il poursuit :



Et il m’embrasse, mettant déjà ses mains partout ! Je sais très bien comment tout ceci va finir, mais comme j’aime beaucoup, ça ne me dérange absolument pas !