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n° 17294Fiche technique18572 caractères18572
Temps de lecture estimé : 11 mn
14/03/16
Résumé:  Deux amies sans le sou se rendent service mutuellement, et des envies leur viennent. (Librement inspiré de personnages réels).
Critères:  ff jeunes fépilée rasage cunnilingu anulingus fdanus init -initff
Auteur : Lincube            Envoi mini-message
L'entraide

Comme chaque mois, Meryem et sa meilleure amie Yasmine ont rendez-vous pour leur séance d’épilation mutuelle. Cette fois-ci, c’est chez Meryem que ça se passe. Ses parents et ses frères sont partis en visite familiale, ils en ont pour plusieurs heures, elles peuvent donc profiter de la maison tranquillement. Ces séances ne sont pas des parties de plaisir, en général, mais la perspective que quelqu’un entre dans la pièce n’aide pas à se détendre. Évidemment les choses seraient plus faciles dans un institut, mais comme la plupart de leurs amies, elles n’en ont pas les moyens, et le fait de le faire faire par une connaissance donne tout de même un bien meilleur résultat que de s’épiler seule.


Yasmine a pris une douche juste avant de venir, et ses cheveux sont encore humides et brillants en arrivant. Meryem, elle, en sort tout juste, son amie est en avance, elle n’a eu que le temps d’enfiler une culotte, un jean et un teeshirt. La première chose que fait Yasmine en entrant chez son amie est d’allumer la chaîne hifi pour mettre de la musique.



Les deux filles dansent un peu en écoutant de la musique, puis Meryem rappelle quand même à son amie pourquoi elles sont là.



Meryem va dans sa chambre avec l’appareil rudimentaire, le branche et y met les bâtons de cire à tiédir. Son amie la suit quelques minutes plus tard. Elle retire sa djellaba, sous laquelle elle ne porte qu’un teeshirt très court, qui lui couvre à peine le nombril, et un pantalon moulant.



Et en effet, Meryem, passée la surprise, trouve son amie particulièrement sexy dans ce teeshirt trop serré et ce jean moulant qui soulignent ses formes.



Yasmine s’exécute aussitôt, elle se retourne et passe le petit bout de tissu élastique au-dessus de sa tête. En levant la tête Meryem a la surprise de découvrir la poitrine épanouie de son amie. Non qu’elle ne l’aie jamais vue ainsi, elles se connaissent depuis l’enfance et partagent tout, mais depuis quelque temps, et surtout depuis quelques lectures que lui a envoyées ce pervers de parisien avec qui elle correspond, elle se sent un peu drôle quand elle se retrouve confrontée à des corps féminins nus.



Yasmine s’assoit sur le lit de son amie, et soulève un bras, puis l’autre, pour que Meryem applique de la cire.



Une fois la cire refroidie, elle tire sur les bandes de cire, arrachant de petits cris à sa copine. Ça ne dure que quelques instants.



Yasmine retire son jean en prenant tout son temps, elle n’est pas si pressée que ça.



Yasmine se débarrasse du pantalon, et se place en position assise au bord du lit. Meryem s’assoit en face d’elle sur une chaise, et met la jambe de son amie sur ses genoux, et commence à étaler la cire et les bandelettes sur le bas de la jambe. Cette fois, pas de petits cris de douleur, la zone est beaucoup moins sensible. Les bandelettes sont vite arrachées. Meryem attaque alors la cuisse de la même jambe, et au fur et à mesure qu’elle remonte vers l’aine, elle sent sa copine se tendre. Mais Yasmine est habituée à ce traitement et elle retient ses cris quand Meryem retire les bandes. La seconde jambe suit le même chemin.



Les deux filles rêveraient de sous-vêtements plus coquins mais ce n’est pas vraiment ni dans leur budget ni dans les habitudes de leurs familles. Yasmine est donc seulement vêtue d’une sage culotte de coton blanche, qui dénote un peu avec le reste de son look. Elle s’en défait sans rougir une seule seconde. Pour le coup, c’est même Meryem, un peu plus timide, qui rougit, en découvrant pourtant pour la énième fois la nudité complète de sa meilleure amie. Cette dernière s’allonge sur le lit et remonte les jambes, les pieds bien à plat sur le lit. Une serviette protège la couverture des coulures de cire.

Répétant ce qu’elle a lu sur un site féminin occidental sur l’épilation, Meryem propose :



Jouant le jeu, Yasmine lui répond :



Meryem commence à étaler la cire en fines bandes successives, puis quand celles-ci ont refroidi elle les arrache d’un coup sec.



Les petits cris de sa copine ne lui font ni chaud ni froid. Ou plutôt si, elle prend un étrange plaisir à dominer sa victime. Et un grand plaisir aussi à venir placer sa main immédiatement après avoir arraché la cire sur les chairs sensibles du pubis et des grandes lèvres, pour apaiser la douleur. Elle n’avait jamais ressenti ça jusque là. Encore les idées coupables que le parisien lui a mises en tête.


Une fois le mont de Vénus entièrement dégagé, elle demande à Yasmine de se mettre à quatre pattes pour le sillon inter-fessier. Celle-ci s’exécute en lâchant un malicieux :



Meryem rougit à nouveau, mais Yasmine ne la voit pas. Elles sont toutes les deux vierges, bien sûr, mais elles aiment jouer les femmes fatales et habituées à vivre des aventures.


La vue du beau postérieur de son amie la trouble beaucoup plus que d’habitude. Ses mains tremblent en étalant la cire entre les fesses offertes. Elle fait bien attention de ne pas toucher le petit trou plissé plus qu’il ne faut. Même cet endroit, qui d’habitude ne l’attire pas du tout, au contraire, lui semble beaucoup plus intéressant après ses dernières lectures. Elle se force à rester concentrée. Yasmine gémit quand elle tire les bandes, et son anus se crispe à chaque fois, pour se détendre à nouveau ensuite quand Meryem passe les doigts sur les chairs brûlantes. La jeune femme ne peut s’empêcher de frémir en posant les doigts à cet endroit si intime. Et elle y reste un peu plus longtemps qu’il ne faudrait. Yasmine, elle, ne fait aucun commentaire, pour une fois. Elle semble assez détendue et ne pas s’offusquer de sentir les doigts de son amie stationner autour de son périnée ou jusque sur les bords si sensible de son petit œillet.



Elle étale généreusement la crème sur tous les endroits qu’elle vient d’épiler, et termine par les chairs les plus sensibles, sur lesquelles elle essaie de ne pas trop s’attarder, mais c’est un tel plaisir, une douceur si sensuelle… Elle parvient tout de même à s’extraire de sa transe.



Meryem ne sait pas quoi répondre. Elle aimerait que son amie se rhabille pour faire taire son propre émoi, mais elle ne peut pas le lui dire sans la vexer. Et d’un autre côté ça l’excite beaucoup qu’elle reste ainsi. Elle fait comme son amie un peu plus tôt et retire son teeshirt, nettement plus ample. Comme elle n’avait pas prévu de sortir, elle n’a pas non plus mis de soutien-gorge, et Yasmine lui fait un compliment sur ses seins.



Meryem rougit à nouveau, puis va se mettre en place pour les aisselles. Elle pensait que ça la calmerait, mais le fait que Yasmine soit restée nue la distrait sans cesse, elle ne peut s’empêcher de reluquer ses seins, ses formes. Assise sur le lit, elle sent son entrejambe chaud et moite. « Oh mon Dieu, qu’est-ce qu’elle va penser de moi tout à l’heure ? » pense-t-elle. Mais la pensée de ce qui va suivre, l’idée de se montrer nue et offerte à une si belle fille la trouble encore davantage. Elle ne pense même pas à la douleur qu’elle devrait ressentir quand Yasmine arrache les premières bandes, sous ses bras.


Les aisselles nettes, elle retire son pantalon, Yasmine s’assoit pour lui faire les jambes, du bas vers le haut. Au début, tout va bien, mais plus elle se rapproche de son entrejambe, plus la tension revient. Et elle ne fait rien pour dissiper cette tension, n’arrêtant pas de reluquer ce même entrejambe, pourtant encore recouvert d’une culotte. Meryem finit par comprendre que c’est tout simplement sa propre humidité que sa meilleure amie est en train de regarder. « Oh, ma culotte doit être toute transparente ». Mais Yasmine ne perd pas le nord, et se lève.



Étrangement, plutôt que de détourner la tête comme d’habitude, Yasmine regarde son amie retirer sa culotte, en croisant les bras. Meryem est à la fois gênée et excitée par ce regard. Elle ne sait pas comment se mettre, toute position la dévoilera de toute façon. Elle fait au plus vite et va s’allonger sur le lit, pieds à plat, comme son amie quelques minutes plus tôt. Elle serre les cuisses pour ne pas dévoiler son humidité.



C’est toujours ce qu’elle demande, donc ça ferait louche de changer. Yasmine étale la cire avec précaution et minutie. Elle arrache les bandelettes une par une, en allant de l’extérieur vers l’intérieur. Elle tapote doucement les cuisses de son amie pour qu’elle les écarte et libère l’accès aux grandes lèvres. La douleur est horrible et exquise, Meryem sent son clitoris gonfler. « Ce n’est pas possible, elle doit voir que quelque chose n’est pas normal. »


À mesure que Yasmine se rapproche de la zone la plus sensible, Meryem crispe les mains sur la couverture. Sa sensibilité a été multipliée par mille, elle a l’impression de recevoir des décharges électriques quand les doigts de son amie se posent sur ses lèvres. « Elle ne peut pas ne pas s’apercevoir que je suis trempée » se dit-elle. Et en effet, ses cuisses légèrement écartées laissent voir ses nymphes d’un rose framboise, complètement collées par la cyprine. Mais Yasmine fait comme si de rien n’était. À un moment, en tirant la peau d’une lèvre avant de décoller une bandelette, ses doigts glissent sur la peau humide, et elle essuie les lèvres doucement avec la serviette, sans faire le moindre commentaire.



Elle n’ajoute même pas leur plaisanterie habituelle, le fameux « je vais te baiser, tu vas voir ! » Meryem, toute tremblante d’émotion, se positionne comme on lui a demandé, les genoux à 90 degrés et les cuisses serrées. Elle se redresse le plus possible pour ne pas se cambrer et s’ouvrir. Yasmine lui donne une petite claque sur une fesse.



Meryem obéit à la fois avec joie et à regrets. Elle sent son sexe s’ouvrir comme une fleur, et l’air frais caresser les chairs surchauffées et humides. Elle sent aussi le souffle de son amie, nettement plus chaud, au moment où celle-ci commence à étaler la cire le long du vagin, à la fin des grandes lèvres, sur le périnée et de part et d’autre de son petit trou, qui se crispe à ce contact.



Meryem se force à rester immobile. Elle regarde entres ses propres cuisses le visage et les seins de Yasmine, dont les pointes sont anormalement tendues. Les bandelettes de cire sont vite retirées, arrachant des petits gémissements à Meryem, qui commence à ne plus trop distinguer entre plaisir et douleur. Après chaque arrachage, les doigts de son amie viennent appuyer sur les chairs meurtries, et cette sensation est comme une seconde brûlure, de plaisir cette fois.



Elle s’abandonne aux caresses de Yasmine, qui étale la crème doucement, et la masse sensuellement, aisselles, mollets, cuisses, pubis. Elle se laisse aller aux sensations délicieuses, la tête sur le matelas, se cambrant et offrant de manière presque obscène son postérieur à la vue de son amie. Puis, tout à coup, en lieu est place de doigts crémés, elle sent une chair humide et chaude se coller à son entrejambe. Elle rouvre les yeux et est stupéfaite de voir la tête de Yasmine collée à sa fente, par derrière. Passée la surprise, elle ne peut s’empêcher de pousser un gémissement de satisfaction.



Depuis le temps qu’elle fantasme sur ça, qu’elle rêve d’être léchée, par un homme, par une femme, peu importe. La langue de Yasmine est tout d’abord très hésitante, malhabile, papillonnant à droite et à gauche mais, peu à peu, elle se concentre sur une courte zone, entre le vagin et le clitoris, faisant saillir ce dernier à chaque passage, et tressaillir Meryem. Les bruits de succion sont presque aussi excitants que le cunnilingus lui-même.


Meryem gémit de plus en plus fort, elle sent quelque chose monter au fond d’elle-même, quelque chose qu’elle n’a jamais ressenti auparavant. Mais Yasmine n’est pas disposée à le lui donner tout de suite. Sa langue abandonne la zone clitoridienne pour remonter vers le vagin, dans lequel elle tente de s’enfoncer, mais où elle rencontre tout de suite la barrière de l’hymen. Elle quitte donc la place et remonte encore, vers le périnée, faisant à nouveau gémir sa complice, qui ignorait tout de l’érogénéité de cette zone. Mais ça ne dure pas très longtemps, et la langue remonte encore vers son anus. Ça la dégoûte et ça l’excite en même temps, mais elle choisit plutôt de continuer à s’abandonner. La langue commence par tourner autour de l’objectif, ce qui lance à la jeune fille des vagues de plaisir inconnues. Puis elle tente une approche plus directe, et tente doucement d’abord, puis plus vigoureusement ensuite, de s’enfoncer dans cet antre si secret et si intime. Meryem n’oppose qu’une résistance de principe, et bientôt elle sent la langue pointue s’infiltrer tout doucement là où ses propres doigts ne se sont jamais aventurés. La sensation est d’une volupté assez incroyable, elle murmure :



Ses propres mots l’étonnent, elle ne se serait jamais crue capable et coupable de tels propos. Mais ça l’excite encore plus de les avoir prononcés. Pour toute réponse, Yasmine accentue son invasion, et sa langue joue le rôle d’un mini-pénis, beaucoup plus mobile et doué d’ailleurs, allant et venant, léchant, frottant les tissus hyper-sensibles.


Alors qu’elle se sentait à nouveau au bord de quelque chose, Meryem est terriblement déçue de sentir tout à coup la bouche de son amie l’abandonner. Mais ce n’est que pour un instant, et elle sent vite la langue brûlante à nouveau collée à son petit bouton, tandis qu’un corps plus dur tente de pénétrer son anus tout humide. Le doigt ne rencontre presque aucune résistance tant le chemin a bien été préparé. La sensation est encore plus intense qu’avec la langue, et Meryem ressent avec délice le passage d’une phalange puis de la seconde. Yasmine continue à la lécher frénétiquement, et il ne faut que quelques minutes pour que la jeune vierge sente monter en elle un orgasme dévastateur.



Son corps tremble violemment sous les secousses de la jouissance, et elle finit par s’écrouler en avant, en serrant les cuisses pour échapper à la langue infernale de son amie, qui ne veut pas abandonner son clitoris devenu trop sensible. Le doigt glisse doucement entre ses fesses, libérant encore quelques étincelles de plaisir. Yasmine se redresse, à genoux sur le lit, et après s’être essuyé la bouche d’un revers de la main, dit en souriant à sa complice :