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Temps de lecture estimé : 20 mn
17/03/16
Résumé:  Un couple de parents fêtent leurs vingt ans de mariage dans leur camping favori. Mais le marié n'y va pas que pour fêter ses belles années avec sa femme, mais surtout pour y retrouver quelqu'un d'autre...
Critères:  fh couple extracon voisins vacances lingerie fellation pénétratio confession
Auteur : Lentai91      Envoi mini-message
7 jours pour tromper

Samedi 1er juillet



16 h


Avec trente degrés au thermomètre, on arrivait enfin au camping. Après neuf longues heures de route, neuf heures d’enfants qui se chamaillaient à l’arrière de la voiture, neuf heures en présence de ma femme que je ne supporte plus… On sortit libre de la voiture. Une liberté qui n’allait durer que quelques jours. Mais une liberté dont j’allais bien profiter. Et je savais avec qui. Oh non, pas avec ma femme !



Je ne pouvais même pas rêver tranquillement. Elle m’appelait, car c’était notre tour de récupérer les clefs du mobil-home. Ça faisait des années que nous venions au même camping. Un camping qu’on adorait. Comme d’habitude, on était là pour une semaine. Juste une semaine c’était trop court bien sûr, surtout pour ce que j’avais envie de faire.


Nous fêtions cette année nos vingt ans de mariage. En tout cas c’est ma femme qui voulait fêter ça. Vingt ans de mariage, vingt et un ans de vie commune – oui, on s’était mariés jeunes, à vingt ans pour moi, vingt-cinq pour elle – et deux enfants, un garçon et une fille de dix et treize ans. Et ça faisait à peu près autant de temps qu’on allait à ce camping dont on avait eu le gros coup de cœur.


Mais la routine avait pris le dessus. Au fur et à mesure des années, je me suis « lassé » de ma femme. Plus de petits cadeaux, plus de gêne, plus de discussion, plus la flamme du premier jour… Tout ceci avait été remplacé par des disputes régulières et des rapports tous les trente-six du mois… Les belles années sont derrière.


Enfin les clefs en main, on partit en direction notre emplacement. Chaque année c’était un mobil-home différent. À peine l’état des lieux fini, ma femme Marina me chuchota à l’oreille d’une voix sensuelle :



De mauvaise humeur et sans rien dire, ma femme partit s’occuper du rangement des affaires. Non je n’avais pas mal au dos, je ne voulais juste rien faire avec elle, j’avais quelqu’un d’autre en tête depuis que j’avais mis les pieds dans le camping. Une autre que j’avais hâte de voir. Une des grandes raisons de pourquoi je choisissais toujours ce camping.



19 h


Comme chaque premier soir de notre arrivée, nos amis de toujours du camping viennent prendre l’apéro sur notre terrasse. Et pas n’importe quels amis de camping. Les amis que j’attendais tous les ans. Mon ami Ludovic, avec qui je m’entendais super bien, et surtout sa magnifique femme Cindy. C’est elle que j’attendais tant ! C’est elle que j’avais tant hâte de retrouver chaque année !


Ils s’installèrent après les longues salutations. On se servit des alcools et des amuse-gueule. Les conversations se dirigèrent surtout sur l’année passée, les bonnes nouvelles, ainsi que les mauvaises. Ce que chacun devenait. On parlait des amis, de la famille. Du beau et mauvais temps… Chaque année c’était pareil, rien ne changeait. Jusqu’au moment où Cindy se dévoua à aller restaurer les assiettes. Je me levai annonçant que j’allais donner un coup de main. Mais j’avais une tout autre idée en tête. En entrant dans le mobil-home, j’allai la rejoindre dans le coin-cuisine.


La revoir une nouvelle fois cette année m’emplissait de joie. Du haut de ses quarante ans, elle avait une taille normale d’un mètre soixante-dix environ avec un teint basané grâce à ses heures passées au soleil. Malgré son âge, elle avait toujours de belles formes, un peu de poignées d’amour, de bonnes cuisses, juste ce que j’aimais, et une belle paire de… enfin, bref. Des cheveux blonds jusqu’aux épaules, et des magnifiques yeux verts. Dans le bas du dos se trouvait un grand tatouage tribal. Habillée d’un haut de bikini bleu foncé et d’un paréo d’un bleu un peu plus clair, elle était en train de fouiller dans le réfrigérateur. Je m’approchai d’elle et lui caressa le bas du dos.


Cindy se retourna, et d’un geste de la main me fit signe d’arrêter. Je lui chuchotai :



Sur ces mots, Cindy ressortit du mobil-home avec de quoi continuer à manger et à boire. Le cœur palpitant à cause de l’échec que je venais de subir, je mis de longues secondes pour retourner avec les autres. En revenant, ils étaient en train de parler d’un autre couple d’amis et leur fille. Apparemment ils étaient revenus au camping, alors que ça faisait des années qu’ils ne venaient plus. On se dit qu’il fallait passer les voir et pourquoi pas se faire un repas tous ensemble. Pendant tout le reste de l’apéro avec Ludovic et Cindy, cette dernière fit comme si rien ne c’était passé, ce qui fut dur pour moi.


Quand ils furent partis, les gosses allèrent se coucher, et on ne tarda pas à faire de même. Je réfléchissais beaucoup. À la fois j’étais heureux de revoir des vieux amis que je n’avais pas vus depuis des années, et à la fois je me sentais mal à cause du rejet de Cindy quelque temps plus tôt. Je l’aimais cette femme, enfin je pensais. Je ne savais pas ce que je ressentais vraiment. Mais je ne savais pas quoi faire pour qu’elle me prenne au sérieux. Plus le temps passait, plus je l’aimais. La plupart du temps ce n’était que sexuel, et c’était vraiment torride à chaque fois. N’importe où, n’importe quand, en prenant tous les risques. Et mon cœur l’avait choisie elle, et non pas que par sa compétence à me faire jouir. Je ne pouvais faire autrement, je n’avais pas de pouvoir sur ça. Mais plus les années passaient, plus j’essayais de lui faire comprendre qu’il n’y avait pas que son vagin, sa bouche et ses seins que je voulais, mais elle. Juste elle. Elle n’avait jamais voulu me croire. Pourtant, c’était elle.


Déjà allongé dans mon lit, Marina sortit de la douche et vint me rejoindre dans la chambre. Elle avait une serviette autour d’elle qu’elle laissa tomber à côté du lit. Brune aux yeux marron et blanche de peau, ma femme était de plus petite taille que Cindy. Un petit mètre soixante, mais beaucoup plus en chair. Je ne la dirais pas obèse, mais des kilos en trop. Elle avait un peu de ventre, des cuisses un peu trop volumineuses, et un derrière assez formé. Malgré sa prise de poids après la naissance de nos enfants, je l’aimais toujours. Ses formes ne m’avaient jamais dérangé. Mais maintenant, au bout de vingt ans de mariage, c’est tout autre chose, elle ne m’attirait plus. Surtout quand Cindy n’était pas loin…


Elle se coucha à côté de moi et éteignit la lumière. La petite chambre n’était quand même pas dans le noir ; un lampadaire au loin éclairait d’une faible lumière notre couche. Je n’arrivais pas à dormir. Trop pensif. Je tournais sur moi-même.



Elle m’embrassa le cou, puis le torse, tout en continuant doucement à descendre vers le bas. Arrivé en bas, je lui dis que ce n’était pas le moment, mais quand elle prit mon sexe en bouche, je me coupai net. Je ne bandai pas, pas du tout. Mais Marina connaissait déjà la technique. Malgré tout, ça a toujours été, même quand je n’étais ni motivé ni en forme pour ça, elle avait toujours su s’y prendre pour me mettre au garde-à-vous. Peu à peu, mon sexe gonflait dans sa bouche. Elle s’arrêta un instant pour branler mon sexe qui luisait d’une grande dose de salive. Elle me lança un regard coquin avant d’engloutir mon outil de plaisir tout entier. Elle atteint sa taille maximale sans quitter la bouche de ma femme. Elle faisait des va-et-vient assez vite sans rien lâcher. Par moment j’entendais des petits gémissements de sa part. C’est vrai que je ne voulais plus rien faire avec, mais elle savait y faire quand même. La longue période d’abstinence me fit monter le plaisir très vite. Elle continua, elle accélérait par rapport à ma respiration. Sans que je lâche le moindre gémissement, l’extase arriva. Les jets se lâchèrent dans sa bouche. Il y en avait peu, et pas vraiment puissants. Elle en laissa couler le long de sa bouche qu’elle récupéra d’un coup de langue. Elle nettoya mon sexe avec sa bouche, me branla encore deux trois fois, me sourit et retourna se coucher. En effet cette petite gâterie m’aida à m’endormir un peu plus vite.




Dimanche 2 juillet



10 h


Le réveil ne fut pas des meilleurs. Les enfants qui se battaient pour des broutilles, encore une fois… Leur mère se leva les engueuler après m’avoir embrassé. Je sentais que ça allait être encore une matinée très démotivante.

C’était un matin de routine : petit déjeuner dans la mauvaise humeur et les chamailleries.


Le moral fut boosté au moment où Ludovic et la sublime Cindy passèrent devant notre mobil-home et nous saluèrent. Je ne la lâchai pas du regard. Habillée comme la veille, mais avec des couleurs plus chaudes ; rouge et jaune. Ils nous proposèrent d’aller en début d’après-midi tous ensemble à la piscine du camping. J’acceptai sans hésiter. Ma femme fit de même. C’est vrai, j’avais oublié qu’elle allait venir…



13 h


Avant de rejoindre tout le monde à la piscine, je passai au bar-tabac pour aller me chercher un ticket de loto. J’y jouais depuis des années, en espérant avoir un peu de chance… Surtout que cette fois la mise était de dix millions cent cinquante mille ! En entrant dans le bâtiment, je tombai nez à nez avec nos vieux amis qui étaient de retour dans notre camping. Patrick, le père de famille, sauta de joie en me voyant. Il me fit l’accolade. On discuta de son retour en vacances ici. Lui n’était pas grand, mais plutôt costaud. Rugbyman de carrière, il devait faire un mètre soixante-dix maximum pour au moins une bonne centaine de kilos. Plus un poil sur la tête, et un visage assez rond. Sa femme était là aussi. Tout le contraire de son mari, elle devait faire peut-être cinquante kilos pour une grande taille. Blonde aux cheveux courts. Un certain charme, mais pas à mon goût. C’était des gens simples, sans prises de tête, qui prenaient toujours la vie du bon côté. Ils avaient une fille aussi, apparemment pas présente sur le moment. Depuis le temps, elle devait avoir quinze ou dix-sept ans peut-être maintenant. On se dit qu’on devait se croiser pour un apéro. On se quitta, je pris mon ticket, toujours avec les mêmes numéros : 10-12-20-39-44 et le numéro 2.



14 h 30


J’arrivai enfin à la piscine. Les enfants étaient déjà à l’eau. Dans un des coins, Ludo, Cindy et Marina étaient en train de bronzer. J’allai m’installer à côté de ma femme en essayant de ne pas trop regarder Cindy. Bander en maillot de bain n’était vraiment pas la meilleure chose à faire. Les deux femmes décidèrent d’aller se baigner devant, alors que Ludo alla jouer avec les enfants. Ma femme avait un maillot une-pièce noir, et Cindy un ensemble bikini bleu turquoise. Les deux femmes ensemble, je ne pouvais m’empêcher de regarder la femme de mon ami Ludovic. Sa poitrine qui bougeait, ses belles hanches, et ses fesses à chaque fois qu’elle passait devant moi. Impossible de contenir mon érection. Je ne pouvais plus bouger sous risque d’être vu. Ma femme revenue, elle avait vu tout de suite la gêne que j’avais.



Je n’eus le temps de répondre qu’elle repartait dans la piscine. Cindy sortit à son tour, et me dit qu’elle repartait à son mobil-home. Quelques longues minutes plus tard, avec une grande concentration, je fis en sorte que mon érection soit moins forte. J’allai voir ma femme pour lui dire que j’allais chercher quelque chose au mobil-home.


D’un pas motivé, je marchais vers l’emplacement de la femme que je désirais. En arrivant devant le mobil-home de Cindy, je lançai juste un regard curieux dans le bâtiment. Et elle était là ! Ça y était, mon cœur palpita, mon sexe se gonfla de sang. Je toquai à la porte. Elle m’ouvrit et me dit :



Dans le coin-cuisine, elle était en train de préparer du café. J’étais gêné. En début d’érection et gêné. Je ne pouvais pas m’en empêcher en sa présence. Quand je pensais à elle ou que j’étais en sa présence, mon cœur battait la chamade et mon sexe se gonflait. Depuis la première fois, ça avait été toujours le cas. Mais sur le moment, malgré mon envie de la prendre dans mes bras, mon envie l’embrasser, et mon envie de la prendre sur le canapé, j’avais une envie plus importante encore. J’avais besoin de lui parler. J’avais besoin de lui dire ce que j’avais vraiment sur le cœur, et qu’elle sache que j’étais sérieux.



Elle me coupa en me mettant son doigt sur ma bouche.



Cindy finit sa phrase en me caressant le sexe qui était déjà au top de sa forme. Elle le sortit, et en m’embrassant, elle commença à me branler. Elle s’agenouilla, et après un regard coquin, goba mon sexe en entier. Cette fois-ci elle ne voulait pas de tendresse apparemment, car elle ne commença pas par la case sensuelle. Elle fit des va-et-vient avec sa bouche à grande vitesse. Par moment elle s’arrêtait pour me branler, avec le même rythme et en me regardant. Je mis une main dans des cheveux blonds. Elle se mit à ne s’attaquer qu’au gland. Léchant, suçant que le gland. Puis reprit sa fellation frénétique.


Je lui fis signe de s’arrêter, et la portai jusqu’à la petite table où je l’allongeai. Je lui écartai légèrement son bikini, et d’un coup sec m’insérai en elle. Elle essaya de retenir un cri. Elle savait qu’il fallait faire le moins de bruit possible. On n’était pas censés être ensemble. Je restai quelques secondes en elle, et recommençai le même grand coup sec. Elle cria une nouvelle fois. Je l’attrapai par les cuisses, où elle remonta ses jambes sur mes épaules, et enchaînai les puissants va-et-vient. Elle gémit à chaque pénétration. Malgré le silence qu’on voulait, la table grinçait plus fort que les gémissements de Cindy. Mes mains tenant bien fermement ses cuisses au plus bas au niveau de son bassin, je ralentis pour faire quelques rotations. Elle m’agrippa le bas du dos avec ses jambes, je compris ce que ça voulait dire : pas de sensualité, je devais y aller fort ! Je lui donnai des coups de reins encore plus puissants. Mais Cindy continuait à gémir trop fort. Je lui mis une main sur sa bouche, sans arrêter mes violentes pénétrations. Mon autre main était sur l’un de ses seins, à le tenir fermement. Elle me repoussa, pour ensuite se lever et se placer debout face au meuble de la cuisine. Même geste, je décalai son bikini, et insérai mon sexe dans sa fente dégoulinante. Toujours pas de sensualité. Une main tenant sa fesse, l’autre son sein. Je m’insérai à grande vitesse et sans retenue. Les gémissements étaient de plus en plus forts.



Je sortis mon sexe, remontant mon maillot de bain le plus vite possible, et cherchai où je pouvais fuir. Cindy me montra la chambre et me fit signe de ne faire aucun bruit. Je m’exécutai sans attendre.


J’allai donc dans sa chambre et me collai contre un des murs. J’étais terrifié. Ma femme toqua. Je pouvais entendre ce qu’il passait de l’autre côté.



Cindy vint me chercher dans la chambre, et me dit que ça serait mieux que je parte. Je m’exécutai sur-le-champ. Elle me dit qu’elle me recontacterait très vite. Je sortis allant vers mon mobil-home. On avait eu chaud cette fois. Dans tous les sens du terme !


Le soir avait été long, et délicat. D’abord, j’avais dû trouver une excuse convaincante à annoncer à ma femme. Elle avait été voir Ludovic, et savait donc que je n’étais pas avec lui. Je lui avais dit que j’avais eu un souci au moment d’aller chercher mon ticket de loto et que j’y étais retourné. Puis plus tard ma femme avait insisté pour que je m’occupe d’elle. Pour ne pas paraître suspect, je me suis forcé à le faire. Il n’y avait aucune hargne. J’étais sur elle, à faire mon affaire, sans bruit. Même le lit qui n’était pas de bonne qualité n’émettait aucun son. Et ma femme non plus d’ailleurs. La sauce envoyée, je me suis retiré, et me suis endormi presque aussitôt.




Lundi 3 juillet



Ce matin-là fut une matinée pluvieuse. Pas froide, mais comme on disait en Normandie « il pleut comme vache qui pisse ». Les gosses ne pouvant pas sortir étaient insupportables. Mais cette pluie n’allait pas nous empêcher de profiter de nos vacances ; on avait rendez-vous le midi chez Patrick et sa femme Marianne. Nos autres voisins étaient invités aussi, et je n’étais vraiment pas contre. On se prépara, prîmes notre parapluie, et partîmes.



Je préférai ne pas répondre, sous risque d’envenimer les choses. On arriva au grand mobil-home de nos vieux amis.


Dehors se trouvait une magnifique jeune fille que j’avais l’impression de connaître. Une vingtaine d’années peut-être, un mètre soixante-quinze environ, elle était blond clair avec des yeux d’un beau bleu turquoise. Elle était habillée d’un ensemble débardeur et mini-jupe blanche, en train de fumer avec son parapluie à la main. Au contact, on se présenta. Puis à son tour elle dit son nom : Mélodie. Je ne l’avais pas reconnue ! Mélodie, la fille de Patrick et de Marianne. Qu’est-ce qu’elle avait grandi ! Patrick ouvrit la porte, tout le monde salua tout le monde. Puis Patrick me représenta sa fille. Il me dit qu’elle avait vingt et un ans maintenant. Je n’en revenais pas comment elle avait grandi et était devenue aussi belle. Si belle et si attirante !


On s’installa tous. Je fus placé entre ma femme et Mélodie. J’avais une magnifique vue sur ses jambes. Et quelles jambes. En face de moi se trouvaient Cindy et son mari à côté. J’étais si bien entouré !


En plein milieu du repas, dans les retrouvailles, les discutions et les rires, Cindy commença à me faire du pied, délicatement, tout en me regardant sensuellement. Heureusement que la nappe était vraiment très longue, sinon tout le monde l’aurait vu. Et de l’autre côté, les douces jambes de Mélodie avec la jupe qui remontait très haut. Je devais m’efforcer de rester calme. Je fus déconcentré pour toute la fin du repas. Le repas qui, à part la superbe compagnie, se déroula parfaitement bien. Malgré la pluie, ça c’était de vacances !


En revenant au mobil-home, je reçus un SMS de Cindy, me disant qu’elle voulait me parler le lendemain matin, qu’elle avait pris sa décision. Mon cœur se mit à accélérer. Un gros stress était intervenu. Cela pouvait être positif comme négatif. J’avais peur de sa réponse. Il ne fallait pas que ce soit non !


J’avais failli oublier ! Le loto ! Je sortis le journal du jour, et regardai les numéros. Pas besoin de sortir mon ticket, je jouais toujours les mêmes numéros.



Je parlais tout seul. J’étais heureux ! Multimillionnaire ! Je venais de gagner dix millions cent cinquante mille ! Je sortis mon ticket, le vérifiai plusieurs fois. C’était bon ! J’étais riche ! J’embrassai mon ticket et le rangeai dans mon portefeuille. Il ne me manquait plus que Cindy et c’était parfait !


Le soir, au lit, je réfléchis sans cesse. La super bonne nouvelle m’emplissait de joie, mais j’étais inquiet pour la réponse de Cindy. Je me demandais ce qu’allait me répondre, Cindy. J’aurais bien voulu lui dire pour la cagnotte que j’allais empocher, mais je ne voulais pas qu’elle croie que je l’achetais. Je devais garder ça pour moi. Et puis cette Mélodie… Cette superbe Mélodie. Si j’avais eu vingt ans de moins, j’en aurais profité. Mais là ce n’est pas possible. Rien que de penser à cette fin d’après-midi, ça me faisait grandir le sexe. J’avais trouvé mon deuxième fantasme, après Cindy. Mais je devais me concentrer sur Cindy. C’était le plus important.


Alors que j’étais en plein dans mes pensées, positionné dans le lit conjugal, Marina entra dans la chambre, habillée seulement d’une légère nuisette noire transparente et d’un ensemble de lingerie à dentelle de la même couleur en dessous. Elle me sourit et ferma la porte de la chambre doucement et la verrouilla.



C’est vrai, j’aimais ça. J’adorais ça. Elle éteignit la lumière, et s’approcha doucement du bord du lit. Elle ne me lâchait pas du regard. Elle prit délicatement mon sexe, toujours en me regardant et me branla doucement. Mon sexe avait déjà sa grandeur maximale. Elle lécha le bout du gland quelques instants, et recommença à remonter. Marina s’installa sur moi, sur mon sexe. Elle fit quelques mouvements, puis se releva pour bien se caler, et se laissa doucement retomber pour que je m’insère en elle. Elle resta ainsi quelques instants, me regardant, me souriant. Son premier va-et-vient doucement, elle en fit plusieurs sans arrêt. Elle prit mes mains dans les siennes, et accéléra doucement. Elle faisait en sorte que je ne m’enfonce pas en elle à fond, ses va-et-vient ne s’appliquaient que sur la moitié supérieure de mon sexe. Plus le temps passait, plus elle accélérait, et m’embrassait. Puis elle se cambra vers moi, coudes autour de ma tête, pour aller au plus vite qu’elle le pouvait. C’était vraiment top, mais pendant ce temps, je ne pensais pas à ma femme, mais à Cindy. À l’instant où mes pensées allèrent sur Mélodie, je retournai ma femme qui se mit à quatre pattes sur le lit. Je me plaçai derrière, et la pénétrai d’un grand coup violent. Marina cria. Au coup suivant aussi. Je l’attrapai par les hanches, ses grosses hanches, et enchaînai les pénétrations. Ses gros seins bougeaient à chaque coup de reins. Le lit grinçait au rythme de mes soubresauts. Mes cuisses claquaient contre les siennes. Ses fesses rebondissaient jusqu’aux hanches. Mes pensées étaient encore pour Cindy, je n’arrivais toujours pas à penser à ma femme. Puis ensuite, mes pensées allèrent une nouvelle fois vers Mélodie. Cette pensée me fit accélérer, donner des coups plus puissants. Une main attrapa son string, l’autre empoigna sa fesse. L’orgasme arriva. Dans un râle que je ne retins pas, je me retirai d’elle et éjaculai sur son dos. De longs jets s’étalèrent tout le long de son dos sur sa nuisette et sur ses fesses. Je restai accroché à elle pendant tout l’orgasme.

L’extase finie, j’essuyai mon sexe sur ses fesses et me couchai. Marina fit de même. Elle était heureuse. Moi, qu’à moitié. Elle m’embrassa longuement, avant de s’endormir après m’avoir dit qu’elle m’aimait.





Mardi 4 juillet



J’ai passé une très mauvaise nuit. Malgré la partie de jambes en l’air, d’un côté je stressais pour la réponse de Cindy, et d’un autre la petite Mélodie m’obsédait. J’avais envie d’elle, peut-être plus que Cindy encore.

Ma femme était déjà partie avec les enfants. Elle les avait emmenés à un centre équestre, je crois. C’était parfait pour moi. Je contactai Cindy qui me dit que je pouvais venir tout de suite. Je me préparai vite.


Arrivé chez elle, je toquai. Je regardais autour de moi, stressé. Elle ouvrit, me fit entrer avec le sourire. Ce sourire ne me relaxa pas. Elle me proposa un café que je refusai. Je m’installai sur le canapé, toujours en regardant autour de moi.



Cindy était en train de se déshabiller entièrement.



Elle s’accroupit et prit mon sexe en bouche. Avec la même hargne que la veille. Je me laissai aller. Je mis une main dans ses cheveux.



Cindy me poussa, me vira de chez elle. Furieuse, elle continua à m’insulter. Quelle connerie j’avais faite ! J’avais tout gâché ! J’étais mal ! Très mal ! Je partis vers mon mobil-home. Je tremblais de partout. Même en disant à Cindy que j’étais gagnant de plusieurs millions, ça n’aurait pas suffi. J’avais la tête embrouillée. Je ne voulais pas la perdre. Je fis le grand tour du camping pour trouver une solution, mais rien ne me vint. Je passai par le bar boire un verre. Pendant tout ce temps, je n’arrêtais pas de réfléchir. Comment j’avais pu faire ça ? Je m’en voulais. Au moment de payer, je remarquai que j’avais oublié mon portefeuille. Je sentis les autres ennuis arriver. Mais par chance, le barman me fit crédit. Je sentais encore un brin de chance autour de moi.


En arrivant à mon emplacement, je vis la voiture familiale. Je devais prendre une grande respiration, dire à ma femme que j’avais gagné au loto, et essayer de vivre une belle fin de vie avec elle. Juste en passant le bas de la porte, Marina raccrocha son téléphone, passa à côté de moi sans un regard.



Elle ne me répondit pas. Elle fit un aller-retour dans la chambre, la valise déjà prête. Elle sortit en me bousculant.



Elle jeta sa valise dans la voiture. Les valises des enfants y étaient aussi.



Elle rentra dans la voiture. Je voulus me défendre, mais les mots ne sortirent pas. Elle démarra la voiture, fit une marche arrière. Et avant de partir, elle me dit une dernière phrase :



Je ne pus répondre, car elle était déjà partie. J’avais tout perdu. Ma femme, mes enfants, la femme que j’aimais, et dix millions cent cinquante mille euros. Satanés vingt ans de mariage !