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Sa femme n'est pas là !

Cela fait un peu plus de quatre semaines que sa femme est en déplacement professionnel. Quatre semaines qu’il couche seul dans leur grand lit. Quatre semaines qu’il pense à son corps, à la douceur de sa bouche, de ses seins, de son ventre, de ses fesses ; qu’il pense à la douce chaleur de sa chatte, de sa fente, de son œillet. Après une bonne douche, il va s’allonger nu sur le lit, s’enduit la bite d’huile de massage et commence à se masturber pour mieux fantasmer sur sa femme. Ce soir, il veut repenser, revivre, revoir dans sa tête toutes leurs magnifiques parties de fesses, de sexe.

Il imagine qu’à son retour, ils iront se faire un petit resto en amoureux. Il imagine qu’elle a chaussé des talons aiguilles et s’est habillée d’une robe qui lui moule parfaitement le corps et particulièrement ses fesses. Avec un petit sourire, elle lui fait remarquer qu’elle n’a rien mis dessous et lui montre en souriant son minou et ses fesses libres comme l’air.

Après un bon repas, ils rentrent tranquillement. Durant le retour, elle abaisse le dossier de son siège, remonte sa robe jusqu’à la taille, met ses pieds sur le tableau de bord en écartant largement les cuisses. Doucement elle commence à caresser son abricot, puis elle lui prend la main et la pose sur sa chatte. Tout de suite il sent la chaleur de son sexe, délicatement il lui caresse les lèvres de son minou et titille doucement entre ses doigts son clitoris qui se met à durcir. D’un geste expert elle ouvre sa braguette, sort sa verge déjà turgide, la prend en main et se met à la branler doucement. Elle se redresse et commence à lui faire une magnifique pipe, mais elle doit arrêter de sucer sa queue, car ils arrivent chez eux…

Arrivés dans l’appartement, elle se met nue et lui dit de venir avec elle se rafraîchir sous la douche. Elle lui demande de s’asseoir et de la regarder se laver. Elle s’asperge d’eau chaude, en le regardant d’un œil coquin elle commence à caresser doucement son ventre, ses seins, ses fesses, son minou. Il sent sa queue qui commence à se raidir sérieusement ; il ouvre son pantalon, sort sa bite et commence à la caresser ; elle le regarde faire avec un petit sourire. Elle lui dit de venir de lui frotter le dos. Il se déshabille, entre sous la douche, se met derrière elle. Il passe ses mains sur son dos, caresse son ventre, ses seins, sa chatte, ses fesses, sa fente. Il sent ses cuisses se refermer sur sa bite et sa chatte se frotter sur son gland, ses jolies fesses lui caressent le ventre. Elle se retourne, prend sa queue et la frotte doucement contre son clito… Il a envie qu’elle branle sa bite, mais avec un sourire et un regard malicieux, elle lui dit :

• — Mon chéri, va dans la chambre et masturbe-toi en m’attendant. Il va s’allonger sur le lit et contemple dans la glace ses couilles et sa queue complètement rasées. Il regarde sa main tourner autour de son gland pendant que son autre main caresse ses couilles, doucement ses doigts descendent entre ses fesses et titillent son cul. Il se caresse le ventre et les pectoraux, pince le bout de ses pectoraux. Il s’excite, il attend sa femme. Il sait que leurs ébats érotiques vont être torrides…

Sans qu’il l’entende, elle entre discrètement dans la chambre et vient se camper devant lui vêtue d’une nuisette et d’un string noirs complètement transparents. À travers le tissu, il devine ses seins et leurs tétons tout raides ; sa chatte toute lisse est fendue en deux par le string. Avec arrogance elle lui montre ses fesses entre lesquelles se perd son string. De la voir ainsi, sa queue se durcit encore plus et elle s’en amuse. Elle lui dit de continuer à se branler pendant qu’elle écarte d’un doigt son string, ouvre les lèvres de sa moule et lui montrer son adorable clitoris qui se raidit sous ses caresses.

Elle s’agenouille face à lui sur le lit, les cuisses bien ouvertes elle écarte son string et lui montre avec impertinence et fierté son minou tout épilé et ses doigts qui le caressent. Elle caresse langoureusement son ventre, ses seins, ses fesses, titille son bouton. Ses yeux brillent de plaisir et d’envie, sa langue se promène sur ses lèvres comme si elle léchait une bite. Elle aime lui montrer comment elle sait s’exciter, elle adore le faire bander en se masturbant devant lui ! D’un geste elle enlève son string et lui montre son minou tout déjà tout humide, tout ouvert.

Elle se retourne pour lui montrer toute sa fente qu’il adore et vient délicatement la poser sur sa bouche, en lui disant :

• — Suce-la, lèche-la, je veux sentir ta langue lécher ma chatte et titiller mon clito.

Il aspire doucement son bouton en le mordillant tendrement, enfonce toute sa langue entre ses lèvres humides. Il sent son ventre qui sursaute à chaque coup de langue. Sa chatte se met à mouiller, il lèche son miel. Il titille les pétales de son œillet qui s’ouvrent doucement à chaque coup de langue. Il adore voir sa chatte et son œillet s’ouvrir, il aime sentir son clitoris durcir dans sa bouche.

Elle s’allonge en 69 sur lui, prend sa queue dans la main et commence à la branler doucement, son autre main caresse ses couilles, ses doigts descendent entre ses fesses et lui titille le trou du cul. Dans sa bouche avide, elle enfourne toute sa bite pour l’aspirer et faire monter son jus. Ils se lèchent, ils s’aspirent, ils se sucent, ils adorent cette position… Il voit les pétales de son adorable cul tout ouverts, il tourne autour avec sa langue et doucement l’enfonce à l’intérieur, elle adore ça. Elle commence à se cambrer, remuer ses fesses sur sa bouche, alors doucement, il enfonce son doigt dans son joli cul pour le préparer à recevoir sa queue. Pendant qu’il suce et doigte son adorable œillet, elle continue à s’amuser avec sa bite. Elle la masturbe, il sent sa main lui caresser les couilles, il sent son doigt caresser son cul et s’enfoncer doucement à l’intérieur. Il est excité comme un fou, il ne veut pas jouir maintenant.

Mais elle continue, il sent son doigt s’agiter dans son cul, elle veut voir son foutre gicler. Voyant qu’il tente de résister, elle passe de grands coups de langue tout le long de sa queue, elle lui bouffe le gland en continuant de lui caresser les couilles, elle veut le faire jouir. D’un coup elle sent sa sève qui se met à jaillir au fond de sa gorge, elle aspire, elle boit toutes ses giclées en lui pressant la bite pour en faire sortir la dernière goutte.

Il est un peu vexé d’avoir jouit si vite, mais maintenant c’est à lui de faire jouir son minou. Il la fait asseoir sur sa bouche et lui fait écarter sa moule pour qu’il puisse être inondé par son nectar ; il enfonce complètement son doigt dans son adorable œillet et lui suce de plus en plus vite la chatte et le clito. D’un seul coup elle se met à jouir, son nectar lui inonde la bouche, le noie, l’asperge par saccades, il boit avec avidité son miel. Il sent son cul qui se contracte autour de son doigt à chaque spasme de sa jouissance, il est aux anges, c’est tellement bon de la faire jouir, de la voir jouir. Ils ont joui en se léchant, en se suçant, en se buvant leur jouissance…

Ils restent un grand moment sans bouger, comme ça, l’un sur l’autre, ils goûtent leur extase. Ils aiment leurs parties de sexe où tout leur est permis. Ils reprennent doucement leurs esprits. Ils se caressent mutuellement et se frottent l’un contre l’autre. Tendrement il lui lèche les seins, le ventre, l’intérieur des cuisses. Pour elle, l’effet est immédiat, elle s’allonge sur le dos écarte largement les cuisses et lui dit :

• — Viens lécher mon œillet, viens bouffer ma moule et mon clito, cela va te faire bander pour que tu puisses baiser ma chatte comme j’aime.

Il s’allonge entre ses cuisses, les relèvent, ses doigts écartent les lèvres de son minou et il commence à donner des petits coups de langue sur son clito. L’effet est immédiat, elle se cambre, à chaque coup de langue elle ouvre davantage la chatte. Il lèche sa moule trempée, boit son nectar salé-sucré, il se régale. Soudain, elle se retourne pour se mettre en levrette, sa position favorite. Elle lui montre son adorable abricot et son cul tout ouverts, elle lui dit :

• — Viens baiser ta chatte, enfonce ta queue tout au fond.

Elle prend sa queue, l’enfourne tout au fond de son minou avec des petits coups de reins, en lui disant :

• — Baise-moi, baise ma chatte comme tu aimes le faire, elle est à toi, c’est ta queue qui la fait jouir, j’adore sentir ta bite en train de la fourrer.

Il la pénètre, sa queue fait des va-et-vient, donne des petits coups de boutoir, il voit sa bite avalée, aspirée, sucée par son fourreau ; il lui caresse les seins, titille leurs tétons, lui pétrit le ventre. Elle lui caresse les couilles pendant que son autre main masturbe de plus en plus vite son clito. Il sent qu’il va jouir, il veut vider son jus dans sa chatte d’amour, il bande de plus en plus. Elle lui dit :

• — Vas-y mon chéri, donne-moi des coups de bite c’est trop bon, vide tes couilles, remplis-moi de ton foutre, inonde ma chatte.

Il sent son jus qui se met à gicler dans son fourreau ; pendant que ses couilles se vident en elle, elle s’active de plus en plus vite sur son clito et se met à jouir comme une folle, elle gémit, se tord de plaisir. C’est bon, c’est merveilleux, c’est délicieux.

Une fois encore, ils sont étendus sur le lit, complètement ivres de plaisir. Malgré leur fatigue, elle prend sa queue dans la main et recommence à la branler doucement. Pour le faire bander une fois de plus, elle lui susurre à l’oreille :

• — Je sais que tu adores mon cul, j’ai envie que tu le sodomises, je veux sentir ta queue tout au fond de mon œillet, viens m’enculer comme j’aime, viens vider tes couilles tout au fond …

Pour lui, en vrai vicieux qu’il est, l’effet est une fois de plus immédiat, sa queue se remet à bander de plus en plus et tout en continuant à la masturber elle vient la sucer. Quand elle constate que sa bite est à nouveau raide comme elle aime, elle se met en levrette et lui montrant ses fesses tout ouvertes. Elle lui dit :

• — Regarde mon amour, mon cul t’attend, viens le sodomiser, viens le défoncer comme tu aimes, viens y mettre toute ta bite, j’adore quand tu m’encules …

En même temps elle prend sa queue et vient empaler son joli trou, elle se cambre tant qu’elle peut pour laisser le passage à sa bite, elle adore sentir son gland qui se fraye un passage jusqu’au fond. Il regarde sa verge disparaître dans son cul, il voit son fourreau faire des allers-retours tout le long de sa queue ; il est aux anges, c’est un vrai bonheur, il adore sodomiser sa femme, il aime sentir sa bite se vider dans son merveilleux cul. Elle aussi adore ça, en vraie vicieuse elle lui dit :

• — Défonce mon cul, fais jouir ta queue au fond de mes fesses, je veux sentir ton jus inonder mon fourreau.

Mais il ne veut pas jouir maintenant, alors il se retire doucement et s’allonge sur le dos.

Furieuse de ne plus sentir sa verge dans son cul, elle se retourne, vient s’asseoir sur sa queue et empale à nouveau son œillet. Dans la glace il regarde ses fesses qui montent et qui descendent sur sa verge ; il voit ses doigts qui s’enfoncent dans sa chatte, elle se caresse les seins, le ventre, le clitoris.

Ils n’en peuvent plus ! Il sent que ses couilles vont à nouveau éclater, elle sent que sa chatte va exploser de jouissance. Elle veut qu’ils jouissent ensemble, elle accélère les va-et-vient de son fourreau autour de sa bite, elle la sent prête à exploser. À nouveau, il sent son doigt qui lui rentre dans le cul, c’est trop bon. Elle est excitée exactement comme il aime. Ils se regardent, les yeux dans les yeux, et se mettent à jouir une fois de plus ; il lui remplit son joli cul de son foutre, elle inonde ses couilles et sa raie des fesses de son nectar. Ils gémissent, ils râlent de plaisir. C’est absolument délicieux…

Leurs corps sont fatigués de leurs ébats amoureux, mais tous leurs sens sont enfin apaisés. Ils se caressent amoureusement, s’embrassent tendrement et s’endorment serrés dans les bras l’un de l’autre.