Dix-neuf heures quarante-cinq.
Je rentre dans notre appartement. Je retrouve Vincent qui rentre en général après moi, je l’embrasse rapidement et lui dit :
- — Je suis désolée, j’ai été retenue au travail, un dossier urgent à boucler.
- — Rien de grave ? me demande Vincent
- — Non, non, rien de grave. Je file prendre ma douche et je te rejoins mon chéri. Il y a une salade dans le frigo, Vincent, tu veux bien la sortir et mettre la table ?
- — OK, je m’en occupe. Je devrais m’en sortir.
Il s’occupe de tout préparer alors que je prends ma douche. Je le rejoins rapidement et nous passons aussitôt à table. Le reste de la soirée est tout à fait ordinaire, rien de spécial à signaler. Nous regardons une série, blottis l’un contre l’autre dans le canapé et filons nous coucher dès que l’épisode est terminé.
Sitôt couchés, Vincent se colle contre moi. J’aime me blottir quelques minutes contre lui comme cela lorsque nous nous couchons. Mon dos contre son ventre, en général, rapidement, je sens son sexe qui grossit dans le bas de mon dos. Cela suffit en général à « m’énerver » et à lui faire passer un sale moment pour finir la journée puis bien nous endormir. Mais pour l’instant, il y a quelque chose qui me préoccupe et je ne sais pas comment aborder le sujet. Après quelques hésitations, je me lance.
- — Vincent, j’ai des aveux à te faire, lui dis-je alors.
- — Des aveux ! Que se passe-t-il, Louise ?
- — Eh bien voilà, nous sommes mariés depuis plus de trois ans et nous nous sommes promis de toujours tout nous dire.
- — Oui, c’est vrai ! II se passe quelque chose de grave ?
- — Je dois te dire pourquoi je suis rentré tard ce soir, Vincent.
- — Ah oui, j’avais effectivement remarqué !
- — Alors que je me préparais à partir, Serge, mon patron, m’a appelée pour que je passe le voir avant de quitter mon poste. Je croyais que j’étais seule dans les bureaux et m’apprêtais à éteindre les lumières et à fermer à clé. Je me suis alors présenté à l’entrée de son bureau, la porte était entrouverte.
- — Entrez Louise, me dit-il, fermez la porte et asseyez-vous.
- — Il y a un problème Monsieur ? lui dis-je plutôt inquiète.
- — Non au contraire, je voulais vous parler de votre travail, Louise. Vous êtes ici depuis plus de trois mois et je tenais à vous féliciter pour vos actions depuis votre prise de fonction. Depuis que vous avez pris en charge la comptabilité de l’entreprise, les retards de paiement de nos clients ont disparu comme par enchantement. Cela représentait presque 6 % de notre chiffre d’affaires et cela posait de sérieuses difficultés à notre trésorerie. Pouvez-vous m’expliquer comment vous avez réussi à résorber tout cela ?
- — Ah oui, je voulais vous en parler justement. En fait, c’était assez simple, Monsieur.
- — Appelez-moi Serge, s’il vous plaît, me dit-il en me souriant.
- — Euhhh… d’accord Serge, lui dis-je un peu surprise de cette familiarité. Donc, Serge, j’ai appliqué les méthodes que j’ai apprises à l’école. J’ai d’abord analysé tous les retards de paiement et établi un graphique pour voir comment ces retards étaient répartis. Je me suis rendu compte qu’ils étaient répartis en un très beau Pareto.
- — Un Pareto, me demande-t-il, qu’est-ce que c’est ?
- — Pareto est le nom d’un sociologue et économiste italien. Il a fait des études sur les statistiques et en a créé un principe qui porte son nom. Bref, dans notre cas, comme souvent d’ailleurs, 80 % des retards étaient concentrés sur 20 % des clients en retard de paiement.
- — Ah oui la fameuse loi des 20 - 80, me dit Serge.
- — Oui, c’est bien cela. Dans notre cas, cela ne représentait finalement que quatre clients à relancer. J’ai donc utilisé le réseau d’Experts Comptables de mon école, pour les contacter et finalement, obtenir assez facilement le recouvrement de ces créances. Un bon réseau, ça peut toujours servir. Ensuite j’ai travaillé sur les 20 % restants et j’ai confié cette mission à Patricia, mon assistante, qui s’est très bien débrouillée de cette tâche avec quelques-uns de mes conseils.
- — Bravo Louise, me dit-il, visiblement impressionné par ces explications, vos prédécesseurs n’avaient jamais réussi à faire baisser ce trou dans notre trésorerie, je vous en félicite.
- — Je n’ai fait que mon travail, Serge, lui dis-je modestement.
- — Vous l’avez très bien fait Louise ! Bon, ensuite, je viens de terminer la lecture du compte-rendu que vous avez fait sur l’analyse financière de la société que vous venez de remettre à M. Pelletier, notre Directeur financier. C’est remarquable ! Votre analyse est précise, claire et très argumentée. Cela va nous permettre de nous ouvrir de nouveaux horizons et certainement des nouveaux marchés.
- — Eh bien, c’est très bien, Louise, me dit Vincent. C’est tout cela qui t’inquiète ?
- — Laisse-moi continuer, Vincent, ce n’est pas tout. Je le remercie alors de tous ses compliments.
- — J’ai de grands projets pour vous, me dit Serge. Tout d’abord pour le travail que vous avez accompli, je tiens à vous féliciter et à vous remercier en vous gratifiant d’une prime exceptionnelle. J’ai pensé à deux mois de salaires. Est-ce que cela vous convient ?
- — Deux mois ! dit Vincent.
- — C’est exactement ce que je lui ai dit.
- — Oui, Louise, vous les méritez et c’est une goutte d’eau par rapport à ce que vous venez de faire gagner à mon entreprise, dit Serge. Donc, comme je vous le disais, j’ai de grands projets pour vous.
- — Des grands projets, Serge ?
- — Oui, me dit-il en se levant et en faisant le tour du bureau.
Il se présente derrière moi et pose ses mains sur mes épaules en me disant :
- — Louise, M. Pelletier prend sa retraite dans un an. Je suis certain que vous avez les capacités de réussir ce que je vais vous proposer. Accepteriez-vous de prendre sa place, de devenir en quelque sorte mon adjoint, mon bras droit, notre nouvelle Directrice financière ? Bien sûr, il vous assistera pendant ce laps de temps et votre salaire sera revu en conséquence.
Troublée par ses mains posées sur moi, je balbutie :
- — Heuu Serge ce serait avec plaisir, je ne sais que dire.
- — Dites oui, tout simplement, me dit-il, alors que ses mains commencent à me masser la nuque, puis les épaules.
- — Il t’a massé la nuque !
- — Oui, Vincent, mais ce n’est pas tout. En fait, je crois que c’est précisément à ce moment-là qu’il a commencé à défaire un à un les boutons de mon chemisier. J’étais pétrifiée, comme hypnotisée par ses mains si douces, si délicates et tellement sûres d’elles. Ils les a tous enlevés un à un, tranquillement, et a écarté les pans de mon chemisier.
- — Comment ça, douces et délicates, dit Vincent.
- — Laisse-moi continuer, je t’ai dit, ce n’est pas tout. En fait, j’ai pu apprécier la douceur de ses mains lorsqu’il a commencé à glisser ses mains sous mon chemisier et à caresser ma poitrine. Ses deux mains plongeaient sous mon soutien-gorge, me caressaient, me malaxaient.
- — Comment ça, te caressaient ? dit Vincent en commençant à me caresser à son tour.
- — Oui, c’était très agréable, mais ce n’est pas tout. Il a alors extrait mes deux seins de mon soutien-gorge. Il m’a dit qu’ils étaient très beaux et particulièrement imposants. J’étais subjugué par autant de hardiesse et n’osait l’empêcher d’agir. En même temps, cela me plaisait d’être ainsi désirée par cet homme de presque vingt ans mon aîné.
- — Il a enlevé ton soutien-gorge, dit Vincent ?
- — Mais non, Vincent, pas du tout, il ne se serait pas permis ! Il a seulement dégagé mes seins de cette emprise et a continué à me caresser, tout mon corps frissonnait au contact de ses mains, de ses caresses. Mais ce n’est pas tout. Après m’avoir malaxée, caressée, il s’est mis à côté de moi, a sorti son sexe de son pantalon et l’a présenté face à ma bouche. Il était magnifiquement gonflé, les veines saillantes dessinées sur la hampe, le gland presque violacé tant il était empli de sang. Ses bourses pendaient sous cette magnifique bite. J’ai d’abord léché la pointe de son gland d’où coulaient quelques gouttes de son liquide visqueux, c’était très bon, presque sucré. Après l’avoir bien léché, je l’ai alors pris à pleine bouche, tout en lui caressant les couilles.
- — Tu lui as fait une pipe ! dit Vincent qui commence à me caresser le minou qu’il découvre humide comme rarement.
- — Ben oui, évidemment, mais ce n’est pas tout. Je lui ai alors fait ma spéciale, ma pipe de gala. Excitée comme j’étais, j’avais une envie folle d’avaler toute sa queue. De l’avoir au plus profond de ma gorge. J’ai commencé à l’avaler, mais j’avais surestimé mes capacités et sous-estimé la taille de l’engin qui était nettem… euh… un peu plus gros que le tien, Vincent. Malgré tous mes efforts, je n’arrivais pas à tout avaler, comme je peux le faire si facilement avec ta queue, Vincent. Finalement, je retins ma respiration, me concentrai et parvins au but recherché. Elle était en moi, enfin, tout au fond de ma gorge, j’arrivais même à lui lécher les couilles en même temps. Je ne sais comment je réussis cet exploit, l’excitation sûrement. Je l’ai alors pompé du mieux que je pouvais – tu me connais – je suis une perfectionniste, je ne suis pas du genre à bâcler.
- — Assez, me dit Serge au bout d’un bon moment, ou je vais tout lâcher.
- — Oui, je préfère que tu aies arrêté dit Vincent dont les doigts ruisselants glissaient maintenant en moi alors que mes jambes s’écartent de plus en plus.
- — Bien sûr, j’étais un peu déçue de ne pas terminer mon travail buccal. Mais heureusement, ce n’est pas tout. Il m’a alors demandé de me lever, puis a ôté ma petite culotte, tu sais la culotte en dentelle très transparente que tu m’as offerte pour la Saint-Valentin, mon chéri. Il l’a posée sur son bureau, puis il m’a fait s’asseoir sur celui-ci, en relevant ma jupe.
- — Mais, votre chatte est entièrement épilée, Louise ! me dit-il surpris par ce spectacle semble-t-il inhabituel pour lui.
Je lui ai alors dit que je t’avais fait cette petite surprise après avoir regardé ensemble des films pornos et vu des actrices dont le sexe était entièrement épilé. Que cela m’avait excitée et que j’avais eu envie de te faire plaisir.
- — C’est très joli, me dit-il, je n’avais jamais goûté à une chatte épilée.
Il m’a alors offert un magnifique cunnilingus comme rarement on m’en avait fait. Sa langue habile allait et venait en moi, me léchait, me suçait. Par moment sa langue titillait délicatement mon clitoris, puis l’instant suivant, elle me pénétrait, puis absorbait toute ma vulve. Je mouillais comme une folle et devait inonder sa bouche de ma cyprine ruisselante.
- — Comment ça, tu dégoulinais ? dit Vincent, dont les doigts vont de plus en plus profondément en moi.
- — Oui, je dégoulinais, vraiment, c’était tellement bon de se faire bouffer la chatte comme cela, mais ce n’est pas tout. J’étais prête à jouir dans sa bouche quand il cessa de jouer avec sa langue. Il présenta alors son énorme queue à l’entrée de mon vagin puis me demanda si j’en avais envie.
- — Tu lui as dit non, j’espère, me dit Vincent, dont je sens la queue de plus en plus dure contre ma cuisse.
- — Comment ça lui dire non ! J’étais surexcité et n’avais vraiment pas envie que cela cesse. Je lui ai dit : « Oui, baisez-moi, s’il vous plaît ! » Il ne s’est pas fait prier et a commencé à venir en moi tout doucement. La sensation était extrême, j’avais l’impression d’être entièrement remplie, comblée par son immense engin. Malgré tout, il était extrêmement délicat et ne voulait pas me brusquer, ni me faire mal, elle est tellement volumineuse aussi. Sa verge allait maintenant en moi régulièrement, en douceur, lubrifiée qu’elle était par ma mouille. Je ne sentais aucune douleur, bien au contraire, c’était divin de se faire prendre ainsi. Bien sûr, tout en me limant, il me léchait les seins ou les caressait. Ils lui plaisent vraiment, j’en suis certaine.
- — Mais il t’a baisée, ma parole ! dit Vincent stupéfait, mais ne cessant de me caresser et d’introduire plusieurs doigts dans ma chatte maintenant.
- — Ben oui, c’est ça et c’était vraiment très bon et il est tellement doué, mais ce n’est pas tout, Vincent.
- — Comment ça, ce n’est pas tout ?
- — Non, Serge m’a ensuite gentiment demandé de me mettre à genoux sur sa chaise de direction. Évidemment, je ne me suis pas fait prier et ma poitrine appuyée sur le haut du dossier, je me cambrais tant que je pouvais pour qu’il admire ma croupe, le cul en l’air pour continuer à l’exciter. Il a alors ouvert un tiroir, en a extrait un flacon dont il a fait couler un liquide gluant sur mon anus.
- — Sur ton anus ! dit Vincent qui commence alors à faire tourner un de ses doigts sur ma petite rondelle.
- — Oui, mais ce n’est pas tout. Il a ensuite pris son coupe-papier et s’est amusé à le faire glisser sur ma vulve dégoulinante. Je sentais le froid du métal, la peur qu’il me blesse me faisait frémir et me rendait folle en même temps. Il a joué ainsi quelques minutes en faisant glisser cette lame de ma vulve à mon anus sans jamais me faire mal. C’était toujours très doux, très délicat. Il a ensuite présenté le manche du coupe-papier à l’entrée de mon anus et a commencé à pousser tout doucement.
- — Voulez-vous ? m’a-t-il demandé.
- — Je ne sais pas, lui ai-je répondu, je ne l’ai jamais fait.
- — Mais il voulait t’enculer avec ce coupe papier, tu n’as jamais voulu avec moi, me dit Serge.
- — Vous allez voir, ça va bien se passer, m’a-t-il répondu.
- — Alors, allez-y, mais soyez très doux, s’il vous plaît.
- — Tu as accepté ? dit alors Vincent dont un des doigts vient de pénétrer mon étroit conduit.
- — Oh oui alors ! Mais ce n’est pas tout. Il a alors enfoncé le manche du coupe-papier dans mon anus. Il n’était pas très gros et la sensation procurée était incroyable. Une sensation nouvelle, inconnue. Ce manche allait et venait en moi tout doucement, je le sentais profondément en moi. Il faut dire qu’il était quand même assez long, une bonne vingtaine de centimètres quand même.
- — Ah oui, quand même, dit Vincent qui vient de me mettre un deuxième doigt dans l’anus et qui me lime maintenant avec deux doigts dans le cul et les deux autres dans la chatte.
- — À un moment, il a laissé ce manche dans mon cul puis est passé de l’autre côté du fauteuil pour que je le suce à nouveau. Je ne me suis pas fait prier et je l’ai englouti du mieux que je pouvais. L’avaler tout en sentant cet engin dans mon petit trou était une sensation très étrange, inhabituelle, mais très agréable.
Serge est ensuite revenu derrière moi, a retiré le coupe-papier, a rajouté du liquide sur mon anus et a commencé à pousser avec sa verge. Il n’a pas eu le temps de me demander si j’en avais envie, j’ai écarté mes fesses avec mes mains pour lui faire comprendre que la route était dégagée.
- — Il t’a enculée ? me demande Serge qui présente son sexe à l’entrée de mon anus et le fait pénétrer sans effort.
- — Oh oui, il a d’abord fait pénétrer le gland tout doucement dans mon anus, il l’a ressorti, a recommencé plusieurs fois en accentuant un peu plus la poussée à chaque va-et-vient. Alors qu’il poussait une fois de plus, j’ai aussi poussé dans l’autre sens pour qu’il se fiche entièrement en moi. J’ai eu alors envie de pousser un cri que je retins, puis ce moment de douleur fut remplacé rapidement par une sensation inconnue alors que je sentais ses couilles venir battre mon clitoris et frotter mes lèvres gonflées de plaisir. À chaque va-et-vient l’excitation montait, je gémissais comme jamais. Je crois que j’ai joui alors que de longues giclées de sperme inondaient mon conduit anal. Ses mains se crispaient sur mes seins alors que je sentais son sexe gonfler encore un peu plus en moi.
- — Il a joui dans ton cul ? me dit Vincent dont le sexe me sodomise pour la première fois, sans aucune retenue maintenant.
- — Oui, Vincent et toi aussi tu vas y avoir droit maintenant, lui dis-je tout en ondulant sur cette bite que je connais si bien.
- — Oui, oui, salope, prends ça. Prends ça, grosse pute !
- — Oui, je suis ta pute, dis-je à Vincent, alors que je n’avais jamais prononcé ces mots-là dans ce genre de moment.
Je sens comme tout à l’heure, son sperme me remplir pour la première fois dans ce trou encore vierge quelques heures auparavant. Vincent se retire, je sens son sperme qui dégouline, expulsé de mon conduit anal, le long de ma cuisse. Je prends à pleine main son sexe gluant et le caresse alors qu’il se ramollit peu à peu.
- — Tu m’en veux, mon chéri ? Ah, en plus, je ne t’ai pas tout dit, Serge a gardé ma culotte. Il m’a dit qu’il me l’a rendrait à une seule condition.
- — Ah oui et quelle condition ? demande Vincent.
- — Soit j’accepte son offre de promotion et ses jeux sexuels, alors lundi je reviens sans culotte sous ma jupe pour qu’il me la remette. Soit je refuse et il gardera ce trophée en souvenir, bien sûr je conserverai alors mon poste actuel. Tu veux que je fasse quoi, mon chéri ?
- — Cette culotte est jolie, c’est un cadeau que je t’ai fait et ce serait dommage de la perdre. Et tu ne vas quand même passer à côté d’une promotion et d’une belle augmentation. De plus et surtout, je constate que ce qui s’est passé m’a permis de découvrir une Louise que je ne connaissais pas et dont je souhaite bien profiter et peut-être même abuser maintenant.
- — J’y compte bien, je crois que quelque chose s’est décoincé en moi, un tabou s’est brisé. Alors lundi, je vais récupérer ma culotte, c’est décidé !
Le lundi suivant, j’arrive dans le bureau de Serge, et ferme la porte derrière moi. Serge me regarde, il attend ma décision.
- — Alors, me demande-t-il ? tout en jouant ostensiblement avec son fameux coupe-papier et en le portant à la bouche d’un air qui se veut provoquant. Avez-vous pris votre décision ?
- — Pour toute réponse, je lève ma jupe et lui fais découvrir mon sexe épilé.
- — C’est parfait ! dit-il en sortant ma culotte de son tiroir et en arborant un sourire radieux. Il s’approche de moi et positionne ma culotte pour que je la remette, il me dit alors, tout en me caressant les fesses.
- — Louise, j’ai fait procéder dès vendredi après-midi à un virement correspondant à un peu plus de deux mois de salaire, j’ai arrondi largement. Je pense que cette somme sera sur votre compte dès aujourd’hui. Quelle que soit votre décision, vous auriez touché cette somme. De plus, voici l’avenant à votre contrat, je vous laisse le lire à tête reposée, vous me le ramènerez signé quand vous voudrez, prenez votre temps.
- — Je vous remercie, je le lirai chez moi tranquillement, à plus tard, Serge, dis-je en baissant les yeux.
- — À plus tard Louise.
Je retourne à mon bureau, regarde ma messagerie et découvre une demande de réunion de la part de Serge sur mon agenda :
Objet : Louise – Heure : 18 h – Lieu : bureau du Directeur
Je comprends tout de suite la teneur de cette réunion, un sourire que je ne peux contrôler parcourt mon visage, je lève les yeux et vois Serge qui m’observe et sourit à ma réaction. Je sens immédiatement une bouffée de chaleur qui envahit mon bas-ventre alors qu’un frisson parcourt tout mon corps. Déjà, j’ai hâte d’être à ce soir pour cette « réunion » et de découvrir les turpitudes de mon nouvel amant. La journée va être longue, très, très longue.