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Temps de lecture estimé : 17 mn
06/04/16
Résumé:  Au départ, c'est une scène classique d'un homme qui regarde une femme pour laquelle il éprouve des désirs. Sauf que cette femme est une transsexuelle et qu'elle va initier notre héros aux délices du 3ème sexe.
Critères:  hbi grossexe hsoumis trans 69 hdanus hsodo -transsex
Auteur : Louis2806      Envoi mini-message
Rencontre du troisième genre

C’est un après-midi comme les autres à Paris dans le 8ème arrondissement. Le quartier des affaires, avec ses hommes en costume et ses femmes en tailleur, mais aussi celui des touristes que l’on voit flâner joyeusement devant les boutiques. J’ai trente-deux ans et me retrouve à la table d’un café branché près des Champs-Élysées, après avoir assisté à une réunion pour mon travail. Rien n’est sorti de cet entretien, il est 17 heures et je pourrais déjà rentrer chez moi.


Je me sens néanmoins d’humeur nonchalante et ai envie de profiter de cette fin de journée en terrasse et d’apprécier ma demi-solitude en observant le spectacle des passants. Il faut dire que regarder les gens dans la rue, surtout la gent féminine, est une activité que j’affectionne tout particulièrement. Le 8ème arrondissement est riche de surprises agréables pour l’œil : des corps féminins moulés dans des tailleurs sexy mettant en valeur, ici une poitrine généreuse, là des fesses rebondies, rivalisent avec les petites robes légères des touristes européennes ou asiatiques. Une envie d’avoir des bras et des mains invisibles qui me permettraient de caresser impunément ces jambes nues et ces étoffes soyeuses, me torture délicieusement l’esprit. Dès que je me retrouve un peu seul dans ces endroits, je me sens envahi par une torpeur érotique et une envie de satisfaire mes désirs sensoriels.


Mon regard se pose sur les courbes de la serveuse qui vient vers moi avec le gin-tonic que je viens de commander. C’est une grande femme avec de longs cheveux châtains et un regard profond. Sa tenue ne laisse aucun doute sur l’effet qu’elle souhaite laisser à la clientèle masculine qui fréquente ce café : une robe moulante glissant sur des hanches arrondies jusqu’au-dessus des genoux, des chaussures à talon, type Louboutin qui lui donne aisément 5 cm de plus que le 1,75 m qu’elle doit déjà atteindre sans ces « strapontins ».


La serveuse dépose le gin-tonic sur la table et remarquant que je la regarde d’un air insistant, me fait un sourire gêné. Mince, je ne suis pas très discret pour cacher mes émotions.



Sa voix m’interpelle. Très douce, mais légèrement enrouée, outre un accent latin. Sa gestuelle aussi attise ma curiosité. Le mouvement de ses bras est très maniéré et l’effet est accru par la longueur de ses doigts. Elle se retourne pour se rediriger vers le bar et inévitablement, mon regard suit le mouvement de ses hanches. Je suis impressionné par la courbe de ses fesses qui pourraient être celles d’une déesse grecque. Sa robe moulante laisse aisément deviner le pli de son string, ce qui a l’effet d’accroître mon excitation. Cette vulgarité me plaît furieusement et il y a je ne sais quoi de spécial qui se dégage de ce corps sublime.


La voilà qui revient pour servir un autre client. Nos regards se croisent une nouvelle fois. Cette fois, elle ne se dérobe pas. Au contraire, elle appuie son regard d’un sourire mutin. Je descends mon gin-tonic et l’interpelle de nouveau pour commander un autre verre.



Je ne peux pas m’empêcher de jeter un œil furtif sur son décolleté généreux. Elle l’a bien noté, mais ne semble pas avoir l’air gêné.



Quelle réponse stupide de ma part. Je me sens idiot et en même temps, incroyablement attiré par elle. Et elle n’est visiblement pas insensible à mes regards. Je n’ai pas l’habitude à vrai dire, car je ne suis pas un séducteur né. Bien qu’ayant un physique plutôt agréable, je ne fais pas souvent l’objet d’avances et suis très mauvais pour reconnaître les signaux de séduction lorsque je drague une nana.


Mais cette fois, il y a quelque chose d’électrique qui me stimule. Je suis déjà en train d’imaginer glisser mes doigts sous le tissu de sa robe et remonter progressivement dans la chaleur de son entrecuisse. Cette pensée suffit à me susciter un début d’érection et je me réinstalle discrètement sur la chaise où je suis assis pour laisser mon sexe se mouvoir plus librement dans le tissu de mon pantalon.


La serveuse revient pour la troisième fois toujours en me regardant d’un œil indiscret, j’ai l’impression que ses seins m’observent aussi, son corps entier est une provocation pour mes sens. Je me surprends à l’interpeller ainsi après avoir descendu mon second gin-tonic d’un trait et ai l’impression de ne plus être trop maître de mes paroles.



Mon visage fixe le sien, sa grande bouche et ses traits m’apparaissent soudainement moins délicats qu’à première impression, bien que ses yeux d’un noir profond et ses grands cils continuent de m’hypnotiser. Un sentiment étrange m’envahit, ce corps si chargé sexuellement, ces jambes que je rêve d’embrasser, ces seins de pétrir et ce cul de dévorer, tout cet ensemble dégage pourtant une forme de virilité inattendue. Et si… cette femme n’en était pas totalement une ?


Il m’est arrivé d’observer parfois des travestis ou transsexuelles dans le quartier de la place de Clichy ou les alentours du bois de Boulogne, mais j’étais assez indifférent, voire repoussé devant ces visages aux traits masculins maladroitement arrangés d’un maquillage douteux ou sous une perruque trop visible. En revanche, il est vrai que depuis plusieurs mois, je m’aventure sur Internet dans les rubriques shemales des sites spécialisés et je suis de plus en plus excité par ces scènes fantasques où l’on voit ces créatures au visage incroyablement féminin, au corps merveilleusement érotique, dévoiler sous leur dessous des attributs masculins superbement dressés qu’elles enfoncent dans la bouche de leur partenaire masculin ou carrément dans leur intimité anale pour le plus grand plaisir, apparemment, de ce dernier.



Que suis-je en train de faire ? J’ai l’impression d’entendre ma voix se saisir de mots que je ne contrôle pas. Cela ne me ressemble tellement pas d’être aussi direct.



Je suis abasourdi et excité de cet échange. Tout cela est mêlé à une sorte d’appréhension et mon cœur s’est accéléré. Cette superbe plante, est-ce vraiment une femme ou bien une créature du troisième sexe ? À qui appartiennent ces fesses rondes, ces lèvres rouges et provocantes, ces formes insolentes appelant à la luxure ? Et s’il ne s’agit pas d’une femme biologiquement née ainsi, que se cache-t-il sous l’étoffe de cette robe légère ? Si je rejoins Amanda dans son appartement et qu’elle y invite mes mains à se saisir de son corps, qu’est-ce que mes doigts découvriront lorsqu’ils exploreront le dessous de son petit string ?


Mes pensées s’agitent. Je devrais raisonnablement décider d’en rester là dans le doute : reprendre un verre de gin tonic, puis rentrer chez moi, appeler ma copine et baiser lorsqu’elle me rejoindra comme nous le faisons si bien d’habitude, quitte à imaginer lorsque mon corps nu chevauchera les petites fesses de ma copine, pénétrer le corps provocant d’Amanda.


Mais je ne fais rien de tout cela, mes jambes me portent jusqu’au bar pour régler mes deux gin-tonics, puis je sors du café pour suivre l’itinéraire suggéré par Amanda. Il ne me faut pas deux minutes pour rejoindre notre lieu de rendez-vous. En arrivant à l’endroit, j’aperçois Amanda se diriger vers moi par la rue perpendiculaire. Elle avance avec une certaine assurance et fait mine de ne pas me voir cette fois. Dans les derniers mètres qui nous séparent finalement, elle dirige son grand regard sur moi et se penche pour me faire la bise comme si nous nous connaissions de longue date. J’en profite pour sentir son parfum et ma main se laisse aller à la rencontre de ses hanches qu’elles saisissent l’air de rien.



Je n’hésite pas une seconde et galvanisé à présent par mon excitation et l’alcool qui commence à me monter à la tête, j’accélère le pas en lui tirant la main plus fermement comme pour lui démontrer que le trouble dans lequel Amanda m’a laissé, ne m’empêche pas de demeurer le mâle dans notre couple inattendu. Nous franchissons tous les deux le porche d’un immeuble haussmannien classique pour traverser la cour intérieure afin d’emprunter un escalier de service. La belle doit probablement vivre dans un de ces petits studios logés sous les toits. Amanda interrompt sa marche et, d’un geste hautement provocateur, elle se penche en avant pour retirer sa paire de Louboutin…



Je la laisse m’emboîter le pas. Cette prétendue galanterie n’est pas innocente bien évidemment. L’escalier en colimaçon m’offre la plus belle vue qui soit sur le postérieur d’Amanda qui monte chacune des marches avec une nonchalance feinte. Mon regard est scotché sur ses longues jambes et remonte le long de ses cuisses tandis que le tissu de sa robe semble vouloir s’envoler à chaque nouvelle marche gravie par elle d’un pas assuré. À deux ou trois occasions, je peux admirer clairement les fesses quasiment nues d’Amanda et la ficelle de son string coincée entre les deux.


La situation me paraît irréelle. Il ne peut y avoir de doute sur les intentions d’Amanda à mon égard. Nous avons peu parlé durant les cinq minutes du trajet jusqu’à cet immeuble, moi par timidité, elle se laissant aller à quelques remarques anodines sur l’intérêt d’une vitrine d’un magasin ou la beauté d’une femme croisée sur le chemin (un test de sa part ?).


Nous nous arrêtons, un peu essoufflés, au cinquième étage et Amanda glisse une clé dans la porte d’entrée de son logement. J’entre dans un studio cosy et richement décoré d’objets de style pop art, tous très colorés.



Alors Amanda se rapproche de moi de face, place ses jambes au-dessus des miennes en s’asseyant sur mes genoux puis sa grande bouche s’empare de la mienne et nous nous embrassons délicieusement. Ma tête tourne tandis que nos langues se chassent mutuellement puis s’enroulent l’une autour de l’autre. J’ai l’impression que ces lèvres vont m’avaler.



Je la regarde de près et je n’ai plus aucun doute à présent.



Oui, c’est vrai, je suis totalement envoûté par ce corps mystérieux et ne puis m’empêcher de penser à ce que je vais découvrir lorsque nous nous dévêtirons. C’est-à-dire maintenant. D’abord, sa robe moulante se retire non sans quelques mouvements déhanchés, tandis que nous continuons de nous embrasser. Je découvre un ventre plat et des hanches qui me semblent encore plus larges que lors de mes premiers regards. Fasciné d’être face à une shemale, mes yeux scrutent avec émerveillement son entrejambe.


Son string cache difficilement une proéminence qui m’envoûte prodigieusement. Amanda est debout devant moi et fait une petite danse en se retournant. Son cul est incroyable, elle a des fesses très rondes et l’élastique de son string se perd dans le sillon de sa raie. D’un mouvement gracieux de ses deux bras, elle ôte son soutien-gorge pour m’offrir deux seins généreux surplombés par de larges tétons. Je me lève et saisis les deux globes. À ma surprise, ses seins ne sont pas trop durs comme cela est souvent le cas lorsqu’ils ont subi une opération. Ma langue lèche avidement sa poitrine. Amanda en profite pour saisir la ceinture de mon pantalon et ouvre celui-ci en faisant descendre le zip de ma braguette. Mon sexe est déjà dur et sort de mon caleçon. Les doigts d’Amanda le caressent ce qui a pour effet d’accroître mon ivresse. Nos corps se rapprochent et se serrent l’un contre l’autre tandis qu’Amanda fait glisser mon caleçon et mon pantalon par terre. Je suis dans un état totalement second et ne parviens toujours pas à réaliser ce que je suis en train de faire.


Mon esprit est captivé par un seul et unique objectif : ce qu’il y a entre les jambes d’Amanda, caché sous le fin tissu de ses dessous. Amanda en a conscience et ses mains saisissent les miennes les invitant à effleurer son corps bouillant. Ma main est sur ses cuisses qu’elle contourne pour venir se caler près de son sexe. Premier contact sur le tissu de son string, je sens un amas de chair chaude, déjà durci. Je suis tellement excité. Ma bouche suit ma main sur les cuisses d’Amanda puis s’aventure dans son entrejambe qu’elle embrasse. Le sexe dur d’Amanda, toujours protégé par l’étoffe est entre mes lèvres.



Les mots d’Amanda sont directs et crus, mais cela me plaît énormément.



Alors surgit du mince tissu un long sexe totalement imberbe. Sa taille est impressionnante, ma main s’en saisit et je sens Amanda durcir. J’observe avec fascination cette longue tige turgescente. En dehors de ma propre bite, je n’avais jamais eu l’occasion de regarder de si prêt une verge. Je regarde ses couilles qui tombent dans le bas de son sexe et constate non sans un certain étonnement que je resterais bien là à observer longuement dans cet état d’euphorie et d’excitation ce corps, parfait mélange du féminin et du masculin.


Mais Amanda me rappelle rapidement à la réalité. Elle veut que je m’occupe de son sexe et me le fait comprendre. Saisissant ma tête qu’elle rapproche de son vit dressé, elle ne me donne pas d’autre choix que d’ouvrir mes lèvres et de laisser s’enfoncer jusque dans ma gorge son gros engin. Je suis surpris à quel point j’apprécie le goût de cette bite dans ma bouche. Je sens l’érection d’Amanda se raffermir, de ma main gauche, je caresse ses testicules et risque un doigt dans le sillon de son cul.



Ma langue joue autour de son sexe et ma main remonte derrière les couilles d’Amanda jusqu’à se trouver au niveau de son petit trou. Je glisse un doigt dans son anus. Amanda émet un petit cri de plaisir. Quelle salope !


Après avoir agité sa queue dans ma bouche pendant au moins deux longues minutes pendant que mes doigts ont fouillé le trou de son cul avec toujours plus d’insistance, Amanda me propose de rejoindre sa chambre pour profiter du confort de son lit.



De nouveau, me voilà abasourdi par l’audace des propos de ma grande brune. Si la perspective de prendre en bouche le long sexe d’Amanda et de goûter au jus qui s’écoule de son méat grâce à l’excitation de ses va-et-vient entre mes lèvres a électrisé mes désirs, l’idée d’être pénétré par cet énorme engin et de devoir encaisser les coups de hanche de ma partenaire m’effraie. Et me donne envie à la fois. Mais ce n’est pas encore mon heure. Je comprends qu’Amanda a envie de s’occuper de ma verge. Pour ne pas me laisser en reste, elle se positionne au-dessus de moi en 69 léchant à grand coup de langue les contours de mon sexe, la pointe de sa langue s’attardant sur mes bourses. Dans un même temps, elle présente à mon visage son long sexe glabre que j’admire avec fascination. Amanda bande terriblement et j’ai l’impression qu’elle veut me baiser la bouche, alors mes lèvres repartent à l’assaut de plus belle.


Nos deux corps s’entrelacent et nos bites servent de point de jonction. Je suis tellement excité que j’ai peur d’exploser dans la bouche d’Amanda. Celle-ci s’en rend compte et de façon démoniaque accélère le rythme. Cette fois c’est trop pour moi, je sens un gigantesque frissonnement m’envahir tout le corps. Amanda sourit en voyant cela et se recule légèrement pour admirer les soubresauts de mon pénis et les jets de sperme qu’il répand au hasard. Une partie atterrit sur les seins d’Amanda qu’elle a avancés volontairement, le reste sur mon torse et sur les draps du lit.


Amanda éclate d’un rire satisfait.



Me voilà toutefois de retour sur terre et me je me sens bizarre de me trouver nu et plein de sperme en face de ce corps hybride au sexe resté fièrement dressé.



La proposition est séduisante même si j’ai bien compris qu’Amanda ne comptait pas s’en tenir à un simple massage. Je dois pour le moment reprendre mes esprits. Je file dans la salle de bain, réfléchis rapidement à tout ce qui vient de m’arriver, pense à ma copine que je viens de tromper (enfin pas vraiment, car nous nous sommes tous deux accordé le droit d’avoir quand nous le souhaitons, des relations passagères, considérant que notre fidélité reposait avant tout sur les sentiments que nous avions l’un pour l’autre et les projets que nous construisons exclusivement ensemble). Et en plus avec un homme, pardon un corps de femme incroyablement excitant avec une grosse surprise entre les jambes.


La douche m’a rafraîchi le corps et les idées, je glisse au passage un doigt savonneux dans mon anus par souci hygiénique comme mu par un pressentiment sur la suite. La sensation est loin d’être désagréable. Je sais à présent que j’ai envie de rester et de me laisser aller entre les grandes mains d’Amanda. Celle-ci a d’ailleurs remis le lit en état. La giclée de sperme qui avait maculé ses draps s’est quasiment volatilisée. Amanda est revêtue d’une jupe courte bien que je soupçonne qu’elle n’a rien mis en dessous. Ses beaux seins restent à l’air. Elle a un look incroyable me fait penser à ces amazones des récits mythologiques. Je suis prié de m’allonger sur le ventre alors qu’un disque de Lana del Rey retentit dans l’appartement.


Le massage est très agréable, plutôt appuyé lorsqu’elle s’affaire à mes épaules et au dos. Mais je sens qu’Amanda à d’autres idées pour moi lorsque ses mains se dirigent dans le bas de mon dos pour glisser sous la serviette qui m’entoure les hanches. Elle insiste à chaque aller-retour sur mes fesses et aventure ses doigts dans le sillon. Je sens mon désir se réveiller. J’ai toujours adoré qu’on me touche le cul. Mes copines le savent bien et nombreuses sont les fois où leurs doigts coquins se sont introduits dans ma zone anale lors de nos ébats sexuels, car mon excitation redoublait. Avec l’une de mes ex, je me souviens notamment d’un soir où nous avions joué avec l’un de ses sextoy favoris, un long godmichet. Plutôt que de l’utiliser sur elle, celle-ci avait introduit dans mon orifice quelques centimètres de l’objet me faisant gémir de plaisir, ce qui avait d’ailleurs fortement excité mon amie de l’époque.


Bref, je suis allongé sur ce lit avec une magnifique shemale dont la queue, à peine recouverte par une mini-jupe provocante, flirte avec la peau de mon dos et dont les doigts fouillent mon entrejambe avec toujours plus d’audace. Mes jambes s’écartent doucement et je sens une excitation se réveiller le long de mon sexe. Il faut dire que les mains d’Amanda glissant le long de la raie de mon cul et chatouillant mes couilles en passant derrière mes fesses me réjouissent particulièrement. Amanda est de nouveau excitée et me demande de lui retirer sa jupe. Je me retourne sur le dos et l’aide à descendre le long de ses jambes le vêtement qui cachait vaguement jusqu’à présent sa magique baguette. Mon dieu, comme j’ai envie de toucher ce sexe !


Mes doigts se rapprochent du gland. Amanda est à genoux sur le lit, sa bite en avant que mes mains tripotent. Elle joue avec mon propre sexe qu’elle masse après avoir imbibé ses mains d’une huile délicieuse. Puis nos deux sexes sont en contact l’un avec l’autre et Amanda imprime un mouvement de va-et-vient entre nos deux verges les masturbant ainsi avec entrain. La sensation est exquise et nous voilà avec deux belles érections. Amanda décide alors de se placer entre mes jambes qu’elle écarte un peu plus et ses doigts imbibés de son huile de massage font leur chemin sous mes bourses. Un index vient doucement forcer l’entrée de mon anus. Bien que je sente dans son regard et à la vue de son engin, un désir sexuel très puissant, Amanda reste calme et son entrée dans mon fondement est faite avec beaucoup de délicatesse.



Un deuxième doigt vient se frayer un passage. Je lève légèrement les hanches, surpris par le plaisir de voir mon cul traité ainsi.



Amanda sait que je suis prêt désormais. Elle revêt son engin d’un préservatif qu’elle enduit ensuite de vaseline tout comme l’entrée de mon orifice. Elle place un coussin sous mes fesses comme si mon cul était pour elle un trophée. Puis son gland se place dans l’entrée de mon anus qu’il titille. Je suis sur un nuage. D’un seul coup, mon cul aspire la verge d’Amanda. Un mélange de douleur et d’extase m’envahit tout le corps. Amanda reste douce dans ses gestes, elle sait que c’est un moment critique où la douleur, si elle l’emporte, peut faire retomber toute la magie de l’instant. Je résiste et sens le chibre d’Amanda s’enfoncer doucement dans les parois de mon orifice. Un dernier coup de reins et Amanda a maintenant son pieu intégralement enfoncé.


Je suis au summum du plaisir et le fais savoir à Amanda. Encouragée par mes soupirs, elle fait coulisser son sexe dans mon cul et me donne des coups de hanche de plus en plus insistants. Pour accroître mon excitation, les mains d’Amanda sont autour de mon sexe dur et voici qu’Amanda me branle tout en me pilonnant le cul. C’est absolument délicieux.



Puis nos corps basculent et je me retrouve la chevauchant, elle allongée sur le dos. Je découvre alors mon image dans le miroir, confusion totale de nos deux moi, puisque je suis dans le rôle de la femme et qu’elle exprime toute sa virilité dans les mouvements solides de son bassin. Une fois de plus, mon excitation a atteint un sommet et je suis sur le point de jouir de nouveau. Les mains d’Amanda et les miennes se joignent autour de mon sexe qu’elles caressent. C’est le geste de trop. Mon corps est envahi d’une onde puissante alors que mon cul continue de se faire ramoner. Je jouis intensément, le sperme se répand de nouveau sur le bas-ventre d’Amanda qui gémit de plaisir à chaque nouvelle giclée. Je me penche vers la bouche d’Amanda que j’embrasse avec gourmandise, ses seins contre mon torse, son ventre humide de mon sperme, sa bite toujours installée dans le chaud de mon bas-ventre.


C’est au tour d’Amanda de jouir et elle l’a bien mérité. Elle me met en position de levrette.



Je me retourne alors et sens de nouveau le sexe d’Amanda me pénétrer. Au bout de deux minutes des coups de boutoir de ma belle Argentine, celle-ci se retire brusquement, retirant la capote qui couvrait son sexe bandé. Amanda exulte. Son corps est parcouru de soubresauts et elle jouit en frottant son sexe sur mon corps. J’ai juste le temps de me retourner pour voir des nouvelles giclées de sperme se répandre sur le lit et sur nos deux corps enlacés. Son liquide est épais. Je regarde avec fascination et saisis cette belle bite qui vient de jouir. J’hésite puis, incité par mon excitation, ma langue lape le gland humide d’où s’écoule le dernier jet qui a achevé la jouissance d’Amanda. C’est sucré et légèrement liquoreux, pas désagréable. Je saisis alors la bouche d’Amanda et nous nous embrassons repus de nos efforts.


Je quitte l’appartement d’Amanda une demi-heure plus tard, l’esprit encore étourdi par tout ce qui vient de se passer. Cette première expérience avec une trans, totalement inattendue, sera pourtant loin d’être la dernière.