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Temps de lecture estimé : 41 mn
19/04/16
Résumé:  Un rendez-vous chez le dentiste et un retrait de permis peuvent avoir des conséquences inattendues.
Critères:  fplusag fdomine voir noculotte fellation pénétratio -extraconj
Auteur : PapaTangoCharlie
Un rendez-vous chez le dentiste

Antoine était un jeune coursier de vingt-neuf ans qui avait été embauché depuis peu dans une société d’étude et de construction de villas de luxe. Une entreprise qui marchait bien : offrant des prestations très haut de gamme à des clients fortunés, elle intervenait essentiellement dans l’Ouest parisien.


Le travail d’Antoine était très varié, allant de la simple course administrative, jusqu’au transport de matériaux ou d’outils entre les différents chantiers. Mais ce qu’il préférait avant tout, c’était de jouer le rôle du chauffeur qu’on lui faisait parfois tenir quand il fallait emmener quelque client VIP pour une visite de chantier ou de villa modèle. Alors, il laissait de côté son vieux Citroën Berlingo de livraison pour s’installer, avec un plaisir immense, au volant de la confortable berline de la société. C’était une belle Audi noire à l’intérieur cossu, où planait un délicieux et subtil parfum de cuir. Antoine, amoureux de belles voitures, n’aurait jamais pu s’offrir un tel objet, aussi appréciait-il à leur juste valeur ces moments privilégiés.

Ce matin-là, alors qu’Antoine rentrait au bureau après sa première course de la journée, l’hôtesse d’accueil lui apprit que le patron voulait le voir tout de suite.



Il se demanda ce que le « vieux » pouvait bien lui vouloir. Qu’avait-il pu faire pour mériter la colère du boss. Il se repassa le film de la journée d’hier, mais n’y trouva rien qui eut pu prêter à critique. Monsieur N. était un homme au caractère bien trempé, commandant tout son petit monde avec une poigne de fer et ne souffrant aucune contestation. La soixantaine bien sonnée, les cheveux grisonnants, un peu bedonnant, mais la démarche toujours volontaire, le patron était craint de tout le personnel et rares étaient ceux qui osaient lui tenir tête. Aussi Antoine, jeune employé fraîchement arrivé dans la société, était-il dans ses petits souliers lorsqu’il frappa à sa porte.



Le patron c’était renversé dans son fauteuil et considéra Antoine d’un regard insistant et d’autant plus gênant pour ce dernier qui s’attendait à quelque réprimande.



Il n’eut pas le temps de finir sa phrase ; son patron le coupa :



Antoine souffla. Apparemment le « vieux » n’était pas fâché après lui. Le patron poursuivit sur un ton enjoué :



Puis il continua :



Le patron ne détestant pas non plus les belles autos laissa Antoine s’enflammer pour ce sujet sur lequel il était intarissable. Dans le feu de la discussion, il en vint même à oublier le fossé hiérarchique qui le séparait de son boss. Il montra à ce dernier qu’il connaissait sur le bout des doigts les cylindrées, les puissances, les tours/minutes de n’importe quelle voiture de sport.



Il prit alors un air plus grave, marqua une pause, puis reprit :



Hésitant, il semblait chercher ses mots :



Antoine écoutait en silence et commençait à se demander où le boss voulait bien en venir. Allait-il servir de chauffeur à Madame ?



Bingo ! se dit Antoine. Le « vieux » veut faire de moi le chauffeur de sa « vieille » ! On aura tout vu !… Et pourquoi pas sortir le « chien-chien » ? Il fronça les sourcils.



C’est peu de dire que cette perspective n’enchantait pas Antoine. Me voilà devenu le chauffeur de « Bobonne », pensa-t-il ! Au moins, j’aurai peut-être la satisfaction de prendre l’Audi de la boîte pour emmener Madame… ?



Doublement déçu, Antoine rongeait son frein. J’aurais vraiment tout fait dans cette boîte, grogna-t-il intérieurement. Le patron se levant pour mettre fin à l’entrevue, Antoine fit de même l’air renfrogné.




Vendredi


C’était une belle matinée de mai, avec un ciel lavé de tout nuage, qui laissait augurer une chaude journée. Le soleil, déjà haut dans le ciel, réchauffait l’atmosphère et finissait de sécher les rues fumantes des pluies de la nuit. Antoine conduisait glace ouverte, le bras à la portière, se laissant guider par son GPS dans cette ville de l’Ouest parisien qu’il ne connaissait pas du tout. Ce n’était que larges avenues bordées de grands arbres le long desquelles s’alignaient de grandes propriétés souvent dissimulées derrière de longs murs en meulières ou de hautes haies. Il trouva un charme certain à cette ville cossue, avec ses plans d’eau artificiels où glissaient cygnes et canards, et ses vastes espaces verts. Il y régnait une sérénité rassurante et tout incitait à la flânerie. Malgré la pénible perspective de la corvée qui l’attendait, il appréciait cette promenade dans ces beaux quartiers, si éloignés de son univers habituel de banlieue populaire.

Il arrêta son Berlingo devant une grande propriété fermée par de hautes grilles. Derrière s’étendait un vaste jardin planté de marronniers centenaires au fond duquel on distinguait, entre les arbres, une superbe villa en pierre et briques rouges.

Cela correspondait bien à l’adresse que son patron lui avait indiquée. Il sonna donc à l’interphone.



La massive grille, mue par une force invisible, bascula lentement sur ses gongs avec un léger grincement. Antoine entra son Berlingo dans le jardin et suivit l’allée qui serpentait entre les grands arbres jusque devant le perron. C’était en effet une très belle maison de maître, élevée sur trois niveaux, avec sur le côté, une haute tour à poivrière d’inspiration Viollet-le-Duc. Les bruits de la ville parvenaient assourdis en ce lieu où régnait une paix que seuls les piaillements des oiseaux troublaient.

Antoine grimpa l’escalier du perron, en forme de fer à cheval. En haut une jeune femme lui tendit la main.



Il n’en crut pas ses yeux. La personne qu’il avait devant lui ne devait pas avoir plus de quarante ans, c’était une grande blonde aux longs cheveux dont les boucles rebelles s’étalaient sur ses épaules. Lui aurait-on dit qu’elle fût top model dans une autre vie qu’il n’en aurait pas été plus étonné. Eh bien, se dit Antoine en pensant à son patron, il ne s’emmerde pas le « vieux »… Le salaud ! Elle pourrait être sa fille !



Il la suivit dans l’entrée, le regard rivé sur son superbe postérieur serré dans une jupe noire moulante. Elle avait de longues et belles jambes mises en valeur par de fins escarpins dont les talons claquaient sur le dallage de l’entrée. Il se dégageait une telle classe de cette femme d’une élégance raffinée et qui marchait un peu à la façon des mannequins, qu’il en fut tout intimidé. Elle disparut derrière une porte. Il en profita alors pour jeter un regard circulaire autour de lui, découvrant un intérieur au décor très classique avec meubles de style, grands doubles rideaux aux fenêtres et tableaux accrochés aux murs. Décidément, son boss ne s’emmerdait pas, pensa-t-il encore ! Jolie femme, belle maison… Mais madame N. reparut, interrompant sa rêverie.



Ayant enfilé sa veste, elle apparut dans un tailleur très chic, serré à la taille et sagement décolleté. La jupe découvrait à peine le genou. Sa mise était tout en sobriété ; suggérer sans montrer… Cette jolie personne avait autant de goût que de distinction, pensa Antoine.

Ils sortirent sur le perron et pendant que madame N. verrouillait la porte d’entrée, Antoine se précipita pour ouvrir son Berlingo.



Et elle se dirigea résolument vers un cabriolet sport de couleur rouge qui était garé sur le côté de la maison et qu’Antoine n’avait pas remarqué en arrivant. C’était une superbe Z4… Il resta un long moment devant, comme fasciné par la belle auto. Il n’en revenait pas, il allait piloter une Z4 !



Et comment, il saurait ! Antoine se dit qu’il avait vraiment beaucoup de chance. Il pensait accompagner une vieille de l’âge de son patron, il se trouvait en compagnie d’une jeune et jolie blonde, certes plus âgée que lui, mais vraiment « canon »… Il pensait reprendre son vieux Berlingo, il allait conduire un superbe cabriolet auquel il n’aurait pas même pensé en rêve !

Il tint la portière passager pendant que Madame s’installait. Elle fit pivoter ses jolies jambes vers l’intérieur d’un mouvement gracieux. Antoine en fut tout émoustillé.


Pendant qu’il faisait le tour de la voiture, madame N. l’observa discrètement du coin de l’œil. Il est mignon mon chauffeur, pensa-t-elle. Pour une fois que mon mari a une bonne idée !

Antoine démarra le bolide et fit rugir le moteur. Ses yeux brillaient. Il était heureux comme un enfant qui découvre un nouveau jouet. Il caressa le volant d’un geste sensuel et dit :



Elle lui fit un simple sourire en guise de réponse. Antoine démarra lentement, faisant craquer le gravier de l’allée sous les pneus du puissant cabriolet.



Durant le trajet, ils firent connaissance, ou plutôt devrait-on dire, ce fut surtout Madame qui questionna son chauffeur. La jeunesse et le charme de son chauffeur ne la laissaient pas indifférente et elle voulait tout savoir sur lui.



Absorbé par la conduite de la belle auto, il ne répondit pas tout de suite.



Bien sûr qu’il permettait. Partagé entre le plaisir de sentir tant de chevaux sous l’accélérateur et celui de jeter de temps en temps un furtif coup d’œil sur les élégantes jambes de sa passagère, il se sentait le cœur léger. Il lui expliqua comment il était entré dans la société et ce qu’il y faisait. Madame N. était de plus en plus sous le charme. L’observant toujours discrètement, elle constata que son chauffeur avait de longues mains fines qui manipulaient avec habileté le volant et le changement de vitesse. Elle continua son interrogatoire :



Elle marqua une nouvelle pause, puis reprit :



Elle ne finit pas sa phrase et marqua un long silence comblé par le seul ronronnement du six cylindres. Antoine s’apprêtait à lui demander pourquoi, mais il se reprit, pensant qu’après tout cela ne le regardait pas. Elle continua :



La compagnie du jeune homme lui était si agréable qu’elle se sentit bientôt avec lui comme avec un vieil ami auquel on a l’habitude de se confier. Elle finit par lui raconter sa rencontre avec Jean-Paul, un intime de son père qui était souvent invité à déjeuner à la maison. Parfois même, il passait le week-end en famille dans leur maison de campagne.



Se tournant vers elle, Antoine croisa son regard et crut y lire une certaine mélancolie. Quels beaux yeux, pensa-t-il. Elle poursuivit :



Elle resta un moment silencieuse.



Il eut un regard pour les genoux de sa passagère, sagement serrés et pensa que cette jolie bourgeoise faisait preuve d’une désinvolture étonnante à déballer sa vie privée sans complexe. Elle reprit brusquement :



Antoine se tourna vers elle, interloqué.



Antoine, très gêné, ne savait plus trop quoi répondre. Il se concentra donc sur sa conduite, tandis que madame N. continuait ses confidences, qui prirent bientôt une tournure de plus en plus intime.



Puis après un nouveau silence, elle reprit :



Mais la jeune femme n’agissait pas par hasard. Antoine lui plaisait beaucoup et elle voulait clairement lui signifier qu’elle se sentait libre, qu’elle était prête à vivre une aventure. Elle sentit que ses déclarations mettaient son jeune chauffeur dans l’embarras, aussi le mit-elle en confiance :



Puis elle ajouta :



Elle se tourna vers lui et lui fit un sourire engageant. Antoine se demanda si cette petite bourgeoise n’était pas en train de le draguer. En tout cas, elle avait un sacré toupet de raconter tout ça à un employé de son mari, dont elle ignorait jusqu’à l’existence une heure auparavant.



Son sourire hypnotisa complètement Antoine. Décidément, se dit-il, cette femme a un charme fou et il sentait clairement qu’il commençait à y succomber. Du calme Antoine, se dit-il ! Tu ne vas pas fantasmer sur une vieille, tu es marié et tu aimes ta femme… Antoine aimait en effet son épouse d’un amour profond et sincère. Jamais il ne l’avait trompée et il entendait bien continuer à lui rester fidèle… et pourtant.


De son côté, Pascale se sentait bien en compagnie de ce jeune homme séduisant au sourire enjôleur ; elle se sentait rajeunir. Non qu’elle se crut vieille ; elle n’avait que trente-neuf ans et remarquait bien, aux regards appuyés des hommes, qu’elle pouvait encore séduire, mais elle sentait tout de même ses jeunes années filer inexorablement. Aussi fut-elle flattée de constater que son chauffeur jetait de discrets, mais fréquents, regards sur ses jambes. L’observant à la dérobée, elle lui trouvait un joli profil… C’est vraiment un bel homme, pensa-t-elle !… Mais allons, Pascale, tu ne vas tout de même pas tomber amoureuse d’un gamin, lui souffla sa Raison ! Il doit avoir au moins dix ans de moins que toi !


Mais sa Raison ne pesait pas lourd face à l’attirance qu’elle avait pour lui. Elle imaginait déjà sa longue et belle main glisser sous sa jupe et progresser entre ses cuisses jusqu’à toucher son petit string. Elle ferma les yeux pour mieux vivre la scène. Elle se dit alors que si Antoine avait, à l’instant même, l’aplomb de le faire, elle serait totalement incapable de l’en empêcher. Elle sentit une agréable sensation de chaleur dans son bas-ventre et se mit à sourire.

Plongée dans ses pensées érotiques, elle ne se rendit pas compte qu’ils étaient déjà arrivés devant le cabinet médical. Antoine se gara et sortit précipitamment de la Z4 pour ouvrir la portière de madame.



Comme il faisait beau, Antoine flâna un moment dans la rue en repensant à tout ce que cette femme lui avait déballé. Cette sacrée jolie blonde n’a pas froid aux yeux, se dit-il !… Et en plus, elle est tout à fait baisable !


Il remonta dans la voiture et n’eut pas longtemps à attendre. Peu de temps après Pascale ouvrit la portière et s’installa.



Le supermarché n’était en effet qu’à deux minutes et bientôt Antoine gara la Z4 dans le parking.



Quelques minutes plus tard, Antoine poussait le Caddie en suivant sa patronne dans les rayons du magasin. Il se surprit à aimer faire les courses. Ce qui avait toujours été une corvée pour lui devenait un plaisir avec cette jolie femme. Il aimait à suivre son pas gracieux dans les allées. Sa démarche légèrement chaloupée, presque sensuelle, qui faisait onduler sa jupe étroite, lui inspira de mauvaises pensées. Antoine se demanda même si elle n’en faisait pas un peu exprès pour l’aguicher. De temps en temps, elle se retournait pour déposer un article dans le caddie tout en lui adressant un sourire qui aurait fait craquer n’importe quel homme. D’ailleurs Antoine sentait que son sexe commençait à durcir, ce qui l’amusa… tout au moins au début. C’était la première fois qu’il bandait dans un magasin. Mais plus il regardait Pascale onduler devant lui, et plus il sentait son pénis prendre du volume et ça n’allait pas tarder à devenir gênant. Il jeta un coup d’œil à son pantalon et constata qu’une bosse était déjà bien visible. Alors, il essaya de distraire son attention en regardant ailleurs. Il faut que j’arrête de mater le cul de cette salope, se dit-il, sinon je ne vais pas tarder à bander comme un étalon en plein supermarché !


De retour à la voiture, ils chargèrent le coffre du cabriolet, puis Pascale ramena le Caddie. Quand elle revint, Antoine, en chauffeur stylé, lui tenait la portière. Elle le gratifia d’un sourire et, en s’installant sur son siège, elle remonta imperceptiblement sa jupe, ce qui n’échappa pas à Antoine.

Durant le trajet de retour, cette jupe légèrement remontée attira obsessionnellement son regard. Cependant, ils continuèrent à discuter de choses et d’autres comme de vieux amis qui se connaissent de longue date. En fait Pascale se sentait de plus en plus d’atomes crochus avec lui ; elle fut même prise tout à coup d’une furieuse envie de flirter comme une adolescente. Jamais elle ne s’était sentie aussi jeune. Du calme, se dit-elle encore. C’est un gamin !

Arrivés à la maison, Antoine l’aida à décharger la voiture. Quand tout fut fini, elle le remercia :



Elle lui fit un grand sourire et lui tendit la main.



De nouveau seul au volant de son Berlingo, Antoine ne cessait de penser à cette matinée passée avec cette femme qui l’avait littéralement envoûté. Cette jolie petite salope n’a pas cessé de m’aguicher, pensa-t-il. Si ça continue comme ça, mercredi prochain sera chaud !

Rentré au bureau, il fonça aux toilettes et s’y enferma pour se masturber. Il revoyait les belles jambes de Pascale, son petit cul onduler devant lui. Il n’en pouvait plus. Il fallait qu’il exulte au plus vite.


Le soir venu, madame N. demanda à son mari si elle pourrait encore bénéficier du « chauffeur de la boîte » pour son prochain rendez-vous. Monsieur N. grogna un peu, mais accepta :



Les cinq jours suivants parurent très longs à Pascale. Seule dans sa grande maison, elle ne pensait qu’à ce beau jeune homme, n’attendant plus qu’une chose : le mercredi suivant. Plus rien d’autre ne comptait. Elle se prépara longtemps à l’avance, se demandant surtout comment elle allait s’habiller. Elle voulait le séduire, mais sans ostentation : être séductrice, mais sans paraître putain. Elle hésita longtemps sur la robe qu’elle mettrait. Finalement elle opta pour une petite robe d’été rouge, assez ample et remontant légèrement au-dessus du genou, et qui, largement décolletée, lui laisserait les épaules et le dos nus. Elle l’essaya, se regardant dans la glace afin de juger de l’opportunité d’une telle tenue pour une séance chez son dentiste ?


Il aura une superbe vue sur mon décolleté. Il va sûrement se rincer l’œil, ce vieux cochon, se dit-elle ! Mais qu’importe.


Par ailleurs, avec cette robe très décolletée, qui mettait bien en valeur ses seins, impossible de mettre un soutien-gorge. Hésitant encore longtemps, elle se dit finalement que ça irait. Il faut se donner les moyens de séduire, alors va pour cette robe ! Puis, fouillant dans son armoire, elle retrouva un porte-jarretelles noir qu’elle avait acheté il y a bien longtemps, du temps où son mari, encore amoureux, aimait qu’elle portât ce genre d’accessoire. Elle enfila des bas, passa le porte-jarretelles et y fixa les bas. Enfin, elle passa un string rouge, puis elle souleva la robe pour juger de l’effet produit, se tournant d’un côté, puis de l’autre : elle se trouva extrêmement sexy. Une vraie femme fatale !


Antoine, lui aussi, trouva la semaine longue. Cette femme occupait ses pensées de manière de plus en plus obsessionnelle, ce qui eut bientôt quelques conséquences sur sa vie intime. Un soir, alors que son épouse et lui venaient de se coucher, en mal d’amour elle lui saisit la verge et commença à la masturber. Rapidement, il se mit à bander, mais il se surprit soudain à imaginer que cette douce caresse était due à la main de Pascale. Saisi d’un terrible sentiment de culpabilité, il se montra plus aimant pour son épouse, l’embrassant, lui prodiguant mille tendresses et tâchant de chasser l’image de l’autre. Mais l’ultime moment de la pénétration venu, l’image lui revint à nouveau ; il revit le petit cul de Pascale onduler devant lui et ce n’était plus sa femme qu’il pénétrait de sa verge tendue à l’extrême, mais la belle Pascale, se qui précipita d’autant plus son orgasme.



Mercredi


Le mercredi enfin venu, Antoine roulait dans son Berlingo le cœur en joie à l’idée de revoir la jolie bourgeoise. Il faisait beau, plus chaud même que le vendredi précédent. Arrivé devant la propriété, il sonna et entendit la douce voix de Pascale.



Il gara le Berlingo devant le perron et en gravit lestement les quelques marches. En haut, madame N. lui tendit la main en souriant.



Il ne put répondre tout de suite. Hypnotisé par le charme qui se dégageait de cette femme diabolique ; son regard ne pouvait quitter ce décolleté profond qui laissait deviner une poitrine avantageuse. Elle se dit à ce moment-là qu’elle avait fait le bon choix. Le poisson est ferré, pensa-t-elle !



Et comment ! Comme d’habitude, il lui tint la portière, mais cette fois, à son grand étonnement, elle ne prit aucune précaution en s’installant et sa robe légère et ample remonta généreusement. Antoine ne manqua rien du spectacle qu’elle lui offrait.



En même temps, elle se laissa glisser dans son siège, ce qui eut pour effet de remonter encore sa robe. Elle exhiba alors sans complexe ses cuisses largement découvertes, ce qui ravit Antoine. Il s’enhardit même à lui dire :



Comme la semaine passée, ils discutèrent durant le trajet, continuant à faire connaissance et comme la semaine passée, ce fut surtout elle qui le questionna.



Elle hésita un moment, puis lui déclara dans un souffle :



Elle se tourna vers Antoine et continua sans le moindre scrupule :



Antoine n’en crut pas ses oreilles et se mit même à rougir. La crudité des propos de madame N. le stupéfia au plus haut point. Cette jolie bourgeoise, qui continuait à exhiber ostensiblement ses jolies cuisses, avait épousé un vieux sans vraiment l’assumer. Cependant, tout ce déballage intime commençait aussi à l’amuser. Devant madame N., il feignait la compassion, mais au fond de lui-même il se réjouissait d’apprendre que son boss, ce type qui terrorisait tout le personnel au bureau, était impuissant à la maison !… Une « petite bite », se dit-il ! Il en rigola intérieurement.

Puis, gêné, mais tâchant de garder son sérieux, il parvint à enchaîner :



Puis elle continua :



Antoine, surpris par l’aplomb de son interlocutrice, hésita avant de répondre.



Mais Pascale entendait bien profiter du trouble du jeune homme pour entretenir cette chaude atmosphère. Elle continua :



La voiture étant arrêtée à un feu rouge, Antoine se tourna vers sa passagère et constata que, des deux mains, elle maintenait sa robe largement relevée, découvrant le haut des bas, le porte-jarretelles et la peau blanche de ses cuisses. En même temps, elle croisa les jambes d’un geste lent et mesuré. Le cœur d’Antoine se mit à battre à tout rompre et son sexe se dressa presque instantanément. Avalant sa salive, il se mit à rougir, sans pour autant quitter des yeux cette image sublime.



Elle laissa retomber sa robe légère, sans vraiment cacher ce qu’elle avait découvert.



Alors, de plus en plus mutine, elle lui répondit d’une manière qui leva tout doute (s’il pouvait encore en avoir) sur ses intentions :



Le feu étant repassé au vert, il redémarra et heureusement, sinon il l’aurait violée sur place ! Quelle salope, pensa-t-il… Mais diablement belle ! Il reprit ses esprits :



Puis, posant la main sur la cuisse d’Antoine, elle continua :



Il saisit cette main et la caressa doucement. Il jetait de fréquents regards sur les cuisses de sa passagère, qui continuait à les exhiber indécemment. Pascale était décidément terriblement sexy.


Arrivés devant chez le dentiste, Antoine proposa de l’accompagner, mais elle refusa.



Vingt minutes plus tard, elle sortait déjà. Antoine, qui se tenait près de la voiture lui ouvrit la portière. Elle le gratifia d’un grand sourire et monta dans la voiture sans se soucier de sa robe qui, à ce moment, avait encore largement remonté, et bien sûr, Antoine ne manqua rien du joli spectacle. Lorsqu’il reprit place au volant, il constata qu’elle avait encore relevé sa robe au-delà de toute raison.



Pour toute réponse, elle se tourna vers lui et lui fit un clin d’œil.


Dans le magasin, comme la semaine passée, il la suivit avec le Caddie en regardant se trémousser son petit popotin. Elle se montra aussi plus proche, n’hésitant pas à venir à son contact sous prétexte de charger le caddie d’un article. Antoine pouvait à ce moment sentir son subtil parfum ; un parfum floral qui s’accordait à merveille avec son teint frais. À un autre moment, elle lui demanda s’il pouvait saisir un article trop haut pour elle. Pour le remercier, elle le gratifia d’un baiser sur la joue, ce qui l’électrisa littéralement. Son pénis se mit tout à coup à gonfler, déformant son pantalon d’une manière telle que cela devenait difficile à cacher. C’est alors qu’elle passa sa main autour de sa taille, à la plus grande surprise d’Antoine. Il y a peu de risque que je rencontre une connaissance dans ce supermarché loin de chez moi, se dit-elle. Et comme j’ai très envie d’aguicher mon gentil chauffeur… profitons-en !


Antoine, lui, ne cessait d’être étonné par cette femme. Estimant qu’il eût été bête de ne pas en profiter, il la prit également par la taille tout en se serrant contre elle. Maintenant, ils marchaient côte à côte. Antoine, sentant sa tempe effleurer ses cheveux blonds, huma son doux parfum de séductrice. Elle lui sourit. Il avait également une vue plongeante sur son décolleté et constata que la naissance de ses seins promettait une superbe poitrine. Il s’enhardit à déposer un baiser sur sa joue. Elle lui sourit encore sans dire un mot. Leur relation avait désormais atteint une tout autre dimension. Il sentait que Pascale avait besoin de son contact, il lui semblait même que sa soif d’amour était telle qu’elle n’était peut-être déjà plus maîtresse d’elle-même. Quant à lui, de plus en plus sous le charme de cette couguar, il sentait son désir monter inexorablement.


Au moment de remonter dans la voiture, comme à l’accoutumée il lui tint la portière, espérant secrètement avoir une belle vue sur ses jambes. Il ne fut pas déçu. Elle reprit son petit jeu de la passagère qui veut émoustiller son chauffeur : elle entra d’abord une jambe, laissant l’autre à l’extérieur, ce qui l’obligea à écarter généreusement les cuisses. En même temps, elle releva impudiquement sa robe offrant à Antoine une vue imprenable sur son porte-jarretelles et sur son joli petit string rouge à dentelles. Se sentant coupable de ne pas détourner le regard et surtout de sentir son sexe réagir vigoureusement, il se mit à rougir stupidement. Pascale, quant à elle, était ravie de l’effet qu’elle avait produit sur lui et fixait avec une gourmandise non dissimulée l’énorme bosse qui déformait son pantalon.


Il referma la portière, fit rapidement le tour de la voiture en essayant de dissimuler son excitation, dans ce parking très fréquenté à cette heure. Lorsqu’il fut installé au volant, il remarqua que la robe de sa passagère était complètement remontée, laissant voir le porte-jarretelles et la peau blanche de ses cuisses qui tranchait sur ses bas noirs. Pascale fixa avec insistance cette bosse que son chauffeur ne pouvait dissimuler, ce qui ne fit qu’accentuer son excitation :



C’était la première fois qu’elle le tutoyait et cette soudaine familiarité l’intimida. Alors, elle lui prit la main et la posa sur sa cuisse :



Le contact chaud de cette cuisse nue lui fit l’effet de l’éclair et il oublia sa gêne. Il s’enhardit à la caresser, glissant d’abord lentement la main dans l’entrejambe, puis en remontant vers le string.



Puis elle lui murmura à l’oreille :



Elle l’embrassa sur la joue, lui prit la main et la posa sur le volant :



Tout le long du trajet, Antoine ne cessa de jeter des regards concupiscents sur les cuisses découvertes de sa passagère, risquant même une caresse de temps à autre.



Tachant d’oublier sa timidité et tentant de se montrer à la hauteur de cette petite dévergondée, il parvint à la tutoyer lui aussi :



Elle ne répondit pas, se contentant de lui sourire. Tout à sa joie de constater qu’Antoine commençait à se lâcher, elle fit en sorte de ne pas laisser retomber la pression en prenant soin de maintenir sa robe bien retroussée. Elle eut même très envie de poser sa main sur le pantalon de son chauffeur, histoire d’éprouver la rigidité de son sexe, mais elle se ravisa. Ne brusquons pas les choses, se dit-elle. Une honnête femme ne prend pas la bite d’un homme qu’elle ne connaît que depuis une semaine ! Ce beau garçon lui faisait tourner la tête, mais elle n’était tout de même pas une petite écervelée en chaleur.


Ils arrivèrent bientôt à la propriété. Pascale actionna la télécommande et la lourde grille s’ouvrit pour laisser passage à la Z4. Il la gara devant le perron et lui proposa de l’aider à décharger le coffre. En descendant de voiture, elle lui montra encore très généreusement son entrecuisse et Antoine se remit à bander de plus belle.



Ils déchargèrent les courses et les déposèrent dans la vaste entrée. Ils n’avaient maintenant plus qu’à se séparer, mais Pascale tenait à lui faire un petit cadeau à sa façon, afin de lui laisser un souvenir inoubliable.



S’approchant toujours plus, elle lui fit le regard sans équivoque de la femme qui désire un baiser. Leurs lèvres se rapprochèrent imperceptiblement, puis se touchèrent. Antoine enlaça alors sa partenaire et mêla sa langue à la sienne. Ce fut un baiser plein de feu. Il la serra très fort contre lui, sentant ses seins s’écraser contre sa poitrine, tandis qu’elle lui passait ses bras nus autour du cou.


Antoine était au comble de l’excitation et son sexe se sentit tout à coup très à l’étroit dans son pantalon. Cette petite bourgeoise était furieusement bandante ! Tout en continuant à l’embrasser, il caressa son dos nu, puis ses mains descendirent sur ses fesses, qu’il pétrit sans retenue. Elles étaient à la fois tendres et fermes. Il ressentait une telle excitation qu’il n’avait désormais plus aucun complexe. Il remonta la robe jusqu’à ce qu’il sentit le contact du string. Ce dernier était doux comme de la soie et il prit plaisir à faire glisser ses mains dessus, débordant vers l’entrecuisse.

Pascale aimait cette caresse sur son petit cul. Alors, elle ondula de tout son corps pour encourager son amant à continuer, tout en se frottant au passage à sa verge qu’elle sentait dure comme du bois. Lui se sentait sur le point d’éjaculer.


Cependant, la femme honnête reprit ses esprits et se dit qu’il était temps d’arrêter ce petit jeu qui allait immanquablement mal finir. Il n’était pas question qu’elle couche aujourd’hui. Trop tôt, pensa-t-elle ! Elle en avait déjà bien assez donné et il emporterait avec lui ce petit cadeau qu’elle lui avait fait. Elle s’écarta :



Lui qui était sur le point de la violer, fut très déçu de devoir relâcher son étreinte.



Elle déposa un baiser sur sa joue :



Elle lui lança un baiser de la main.

Il bandait encore lorsqu’il remonta dans son Berlingo. Elle l’avait tellement excité. Il lui fit un dernier signe de la main, puis il démarra.


De retour au bureau, il se précipita vers les toilettes, mais manque de chance, il croisa son boss dans un couloir :



« Petite bite », se répéta Antoine. Et il fonça aux toilettes pour aller se masturber.


Monsieur N. s’était une nouvelle fois résolu, non sans rouspéter, à envoyer son coursier à sa femme pour son prochain rendez-vous. Elle aurait donc la chance de passer encore un heureux moment avec Antoine. Mais la semaine fut longue. De plus en plus obsédée par ce beau jeune homme auquel elle pensait sans cesse, il lui arrivait la nuit, seule dans son grand lit, de se toucher en pensant à lui. Elle se masturbait le clitoris jusqu’à l’orgasme, imaginant que c’étaient les doigts d’Antoine qui l’investissaient.

Elle se dit que la prochaine fois ils feraient l’amour. C’était décidé, programmé en quelque sorte. Elle serait maîtresse de la situation ; ce n’est pas Antoine qui déciderait de la manière de mener leur relation, ce sera elle et elle seule. Pascale avait un caractère affirmé, elle n’entendait pas se laisser mener par le bout du nez par un homme, qui plus est… un gamin de dix ans son cadet.


Comme la semaine passée, elle rechercha soigneusement la tenue qu’elle porterait. Pour l’emmener dans son lit, il fallait qu’elle fût sûre de le séduire, aussi se décida-t-elle pour son tailleur le plus sexy. C’était un ensemble gris, avec une jupe très courte lui arrivant à mi-cuisses. Quand elle l’avait acheté, son mari lui avait demandé si cela n’était pas un peu trop osé, aussi n’avait-elle jamais eu le courage de le porter à l’extérieur. L’essayant devant une glace, elle trouva la jupe effectivement très courte, mais elle se dit que pour séduire, il fallait être désirable. Pour compléter sa tenue, elle choisit aussi un chemisier vert pâle qui avait l’avantage d’être assez transparent. Elle le passa sans mettre de soutien-gorge et constata que l’effet était saisissant : on voyait très clairement ses seins pointer sous le fin tissu. Elle se dit, non sans une certaine fierté, que malgré son âge elle avait gardé une poitrine de vingt ans. Elle enfila la veste du tailleur, ferma l’unique bouton et vérifia que cela cachait bien ses seins. Il ne s’agissait pas de déclencher un scandale dans la rue ! En fait sa tenue restait très correcte et même très chic. Une vraie businesswoman !

Enfin dernier point important, non seulement elle remettrait ce porte-jarretelles qui avait tant émoustillé Antoine la semaine passée, mais cette fois elle avait décidé de ne pas porter de culotte. Rien dessous ! Ainsi, pensa-t-elle, leur petit jeu du chauffeur qui tient la portière de sa passagère se montrera extrêmement chaud.



Jeudi


Le jeudi venu, Antoine se présenta à l’heure convenue devant la grille et sonna.



Antoine, impatient, monta quatre à quatre les marches du perron et quand il pénétra dans l’entrée, Pascale se jeta littéralement à son cou.



En guise de réponse, il l’embrassa d’un baiser encore plus brûlant que celui de la semaine passée. Leurs langues se mêlèrent et jouèrent longtemps ensemble pendant qu’il la serrait très fort. Puis, il s’éloigna un peu d’elle afin de mieux la voir, tout en la tenant par les deux mains.



Bien entendu, elle avait fermé la veste. Elle lui ferait un peu plus tard la surprise de dévoiler son chemisier transparent.



Arrivé à la Z4, il lui ouvrit la portière :



Pascale prit soin de bien remonter sa jupe étroite pour s’installer, dévoilant du même coup son porte-jarretelles. Puis, s’asseyant, elle écarta malicieusement les jambes, prenant tout son temps afin de laisser Antoine se rincer l’œil à loisir. Elle vit à son regard exorbité qu’elle avait réussi son effet. Reprenant ses esprits et oubliant désormais toute timidité, il parvint à dire :



Il fit le tour de la voiture, s’installa au volant et démarra le moteur. La jupe de Pascale, déjà largement remontée, laissait voir le porte-jarretelles. Il lui caressa doucement la cuisse et, sa main glissant sous la jupe, il sentit bientôt au bout de ses doigts le contact chaud et humide de ses lèvres intimes. Pour toute réaction, elle ferma les yeux, ce qu’il interpréta comme une invitation à continuer. Aujourd’hui, elle avait décidé de le laisser faire, elle ne lui interdirait rien : no limit !


Il fit d’abord glisser ses doigts de bas en haut, balayant ainsi les lèvres intimes de son amante, puis il la pénétra doucement de son index. Elle poussa un petit cri de surprise, suivi d’un long soupir de plaisir. L’intromission de ce doigt dans son vagin déclencha en elle un violent séisme. Ça faisait si longtemps qu’elle n’avait pas eu une telle sensation. Son souffle se fit court et elle se sentit partir. Il lui fallut beaucoup de volonté pour se ressaisir et dire :



Ramenant son index à sa bouche, Antoine le suça avec délectation, s’enivrant de cette fragrance particulière du sexe féminin qu’il aimait tant. Il lui sembla que celle de Pascale était particulière, légère et subtile.



Durant tout le trajet, ils restèrent silencieux. Antoine conduisait d’une main, l’autre n’arrêtant pas de flirter avec les cuisses de sa passagère. Quant à elle, elle appréciait simplement le bonheur d’être en sa compagnie, le bonheur d’être caressée, le bonheur d’être désirée. Elle était heureuse.

Ils approchaient du cabinet médical, quand elle lui demanda de tourner à droite.



Elle se tourna alors vers lui et lui fit un sourire malicieux :



Antoine se tourna vers elle, stupéfait :



Il gara la voiture dans le parking du supermarché et arrêta le moteur, puis, se tournant vers elle, il glissa une main sous sa jupe.



Au centre commercial, ils marchèrent l’un contre l’autre en se tenant mutuellement par la taille comme de jeunes amoureux. De temps en temps, il lui déposait un baiser sur la joue ou dans les cheveux, alors elle lui souriait tendrement. Il leur sembla que le monde n’existait plus autour d’eux ; il n’y avait plus qu’eux et leur amour naissant.

De retour à la voiture, ils reprirent en riant leur petit jeu du chauffeur qui tient la portière de sa passagère complaisante. Là encore, elle ne lui cacha rien de son intimité. Une fois installé au volant, Antoine lui glissa la main entre les cuisses tout en collant ses lèvres aux siennes.



Elle l’avait appelé « mon chéri » ! Cette marque d’amour troubla beaucoup Antoine qui sentit monter en lui un sentiment de satisfaction béate en même temps qu’un violent désir qui lui fit venir « l’eau à la bouche », comme avait si bien chanté Gainsbourg. Il en était certain maintenant, la jolie petite bourgeoise allait lui céder. Ils allaient faire l’amour !


Durant le trajet du retour, prétextant qu’elle avait trop chaud, Pascale ôta sa veste. Quand il se tourna vers elle, à la faveur d’un feu rouge, il remarqua la transparence de son chemisier au travers duquel il voyait nettement pointer les tétons de ses seins. Il tendit la main et toucha délicatement l’un d’eux au travers du fin tissu.



Antoine se sentait des ailes et son excitation était telle qu’il oubliait maintenant toute timidité. Mais un coup de klaxon impatient le sortit de sa rêverie, lui rappelant qu’il était sur la route.



Arrivés à destination, il gara la voiture devant la maison et coupa le moteur.



Ils s’embrassèrent puis, alors qu’elle sentait ce sexe grossir dans sa main et devenir de plus en plus dur, lui s’était mis en devoir de déboutonner son chemisier. Il ne lui fallut pas longtemps pour défaire les quatre premiers boutons, alors il se recula pour ouvrir les deux pans du léger vêtement. Il put enfin admirer les seins de la belle, nus et offerts comme deux beaux fruits mûrs. Sa poitrine était superbe ; ses seins au galbe délicat étaient fièrement dressés et étaient une invitation à la caresse. Il se pencha pour lui sucer un téton, tandis qu’elle intensifiait la pression de sa main sur le sexe de son amant. Elle essaya de le masturber au travers du tissu et sentit le membre réagir immédiatement :



Interrompant son léchage de tétons, il lui fit remarquer qu’elle faisait vraiment tout pour ça : la jupe complètement relevée, les seins à l’air, avec en sus la masturbation du bonhomme. Quel homme résisterait à un tel traitement ? Elle se contenta de lui rappeler qu’ils devaient décharger les courses. Sans refermer son chemisier, elle passa rapidement sa veste afin de pouvoir sortir de voiture dans une tenue décente. Mieux valait se prémunir de l’éventuel regard d’un voisin trop curieux.


Antoine se précipita pour lui tenir la portière et elle ne manqua pas de lui exhiber, toujours avec la même ostentation, son sexe nu. Il n’était pourtant pas nécessaire de lui en montrer tant pour l’exciter et l’énorme bosse qui déformait son pantalon amusa et ravit Pascale.

Ils déchargèrent le coffre, amenant le tout directement dans la cuisine, pièce qu’Antoine n’avait pas encore visitée. Elle était grande et entièrement aménagée avec tout le confort moderne. Un long plan de travail, sur lequel trônaient quelques ustensiles, occupait tout le mur de droite, tandis que le long du mur d’en face on trouvait les plaques à induction, le four et un grand évier.


Pascale jeta sa veste sur un fauteuil de l’entrée et entreprit de ranger les commissions, laissant volontairement son chemisier ouvert. Antoine eut donc tout le loisir d’admirer sa poitrine dénudée, émergeant du frêle vêtement. Pascale s’activait dans sa cuisine, se baissant pour ranger un article ou deux dans un placard bas, puis se relevant pour en ranger un autre en hauteur ; ses seins dansaient joyeusement au rythme de ses mouvements, au plus grand ravissement d’Antoine.

Une fois tout rangé, elle poussa un soupir de satisfaction :



Elle s’approcha de lui, empoigna cette bosse qui déformait toujours son pantalon et la serra fermement tout en lui jetant un regard de défi.



Antoine sentit sa queue tendue à l’extrême et quand elle commença à lentement la masturber au travers du tissu, arborant toujours son admirable poitrine nue, son cœur se mit à battre à cent à l’heure et il crut bien exploser.

Il lui empoigna les seins et les massa avec une grande énergie, espérant que ça la ferait lâcher prise. Mais au contraire, sa masturbation se fit encore plus ferme et rapide.



Elle retira sa main, déposa un baiser sur ses lèvres :



Pascale se dit que maintenant il était temps de passer aux choses sérieuses. Elle avait l’intention de l’exciter toujours plus, bien décidée à ce qu’il aille jusqu’au bout. Elle-même était déjà dévorée de désir pour lui, son entrejambe en témoignait.

Elle commença à déboutonner sa chemise, lui déposant un baiser sur le poitrail à chaque bouton enlevé. Quand le dernier eut cédé, elle ouvrit largement les deux pans du vêtement et, les deux mains à plat, caressa doucement la poitrine du jeune homme, presque dépourvue de pilosité. Puis elle le débarrassa de cette chemise qu’elle jeta au loin.

Enfin elle s’attaqua à la ceinture qui fut prestement ouverte, tira la braguette et descendit brutalement le pantalon. Le regard de Pascale fut alors attiré par le boxer d’Antoine, tendu aussi fort qu’une toile de tente, et elle en effleura l’extrémité du « mât » du bout des doigts :



Et joignant le geste à la parole elle tira lentement sur le boxer qui lâcha bientôt son prisonnier. Une belle verge turgescente jaillit alors comme un diable de sa boîte. Elle l’empoigna fermement de la main gauche, le décalotta complètement, puis elle fit glisser les doigts de sa main droite autour de la couronne du gland en une douce caresse circulaire. Jamais une femme, pas même Carole, ne l’avait masturbé avec une telle dextérité.



Elle le tira par la verge jusqu’à l’évier, ouvrit le robinet et se savonna abondamment les mains. Puis elle lui enveloppa le pénis et les testicules de ses deux mains et savonna le tout d’un geste lent et mesuré. Antoine ferma les yeux pour mieux s’abandonner à cette masturbation délicieuse. Pascale avait assurément des mains de fée, sa caresse était d’une douceur insupportable.

Enfin elle se rinça les mains, ainsi que la verge de son amant qu’elle essuya ensuite à l’aide d’une serviette dont le contact un peu rêche sur son gland fut très agréable à Antoine.



Sans plus attendre, elle s’agenouilla devant lui et emboucha cette verge tendue qui lui sembla aussi dure qu’un morceau de bois. D’abord, sa langue joua avec le gland, glissant autour ou léchant le bout. Antoine lui massait les cheveux tout en gémissant à cette divine succion. Mais sa queue, bandée à l’extrême, en demandait toujours plus. Alors il maintint la tête de sa suceuse entre les mains et imprima à son membre un mouvement de va-et-vient. Au même moment, Pascale lui effleura les testicules d’une main experte et habile. Une vraie professionnelle, pensa-t-il. Sentant alors l’orgasme monter de manière fulgurante, il cessa son mouvement de va-et-vient et essaya de reprendre ses esprits. Mais son amante ne l’entendait pas ainsi et c’est elle qui fit alors glisser sa bouche le long de la verge dans un mouvement large et énergique. Parfois la verge ressortait complètement de sa bouche, alors elle la reprenait et se l’enfonçait jusqu’au fond de la gorge. Antoine poussa de longs râles de plaisir et sentant qu’il allait bientôt tout lâcher si elle continuait à ce rythme, il la supplia d’arrêter. Elle cessa alors sa fellation, se releva, colla sa poitrine nue contre son torse et lui susurra à l’oreille :



Elle se débarrassa de son chemisier, se suspendit à son cou et ils s’embrassèrent à nouveau. Collés l’un à l’autre, il sentait l’agréable contact de ses seins s’écrasant sur sa poitrine, tandis qu’elle sentait sa verge tendue se frotter contre son bas-ventre. Il lui prit les fesses à deux mains, les caressa et les pétrit sans retenue tout en soulevant sa jupe. L’excitation de Pascale monta encore d’un cran. Désormais elle n’avait plus qu’une idée en tête, baiser, sentir sa bite la pénétrer ! Cela devenait une obsession.



Il avait encore en effet le pantalon et le boxer à ses pieds, se qui entravait ses mouvements. Il se déchaussa, les enleva et les jeta au loin. Puis, il se plaça derrière elle, tira la fermeture-éclair de la jupe qui glissa aussitôt le long de ses jambes. Elle n’avait plus alors sur elle que son porte-jarretelles, ses bas et ses escarpins. Antoine, toujours derrière elle, admira ses jolies petites fesses bien rondes. Il la saisit par les hanches, se colla à elle et lui glissa la queue entre les cuisses. Accueillante, elle laissa s’immiscer cette verge intrusive, puis resserra les jambes, la gardant ainsi prisonnière.

Il embrassa son amante dans le cou pendant que ses mains parcouraient ses seins en tout sens, s’attardant de temps en temps sur un téton pour le rouler entre ses doigts. Elle rejeta la tête en arrière, heureuse et comblée, résolue à offrir à cet homme son corps de femme en mal d’amour.


Les mains caressantes d’Antoine descendirent bientôt sur le bas-ventre, puis continuant leur exploration, atteignirent enfin la vulve. Au bout de ses doigts, il sentit une douce chaleur et une humidité qui levait tout doute sur le degré d’excitation de sa belle. L’index violeur d’Antoine glissa d’abord sur ses lèvres intimes, puis s’arrêta sur le clitoris qu’il titilla doucement.


Pascale devenait folle. Les caresses de son amant lui faisaient perdre tout contrôle d’elle-même et elle crut qu’elle allait défaillir. Son souffle se fit de plus en plus court, elle râlait de plaisir et sentit monter son orgasme. Antoine, attentif aux moindres réactions de sa partenaire, accéléra le mouvement de son doigt et la caresse se mua en une violente masturbation. Alors, n’en pouvant plus, elle cria littéralement son plaisir en accédant au nirvana dans un orgasme bestial et délicieux, comme elle n’en avait plus connu depuis bien longtemps.



Mais lui n’avait aucune intention d’arrêter. Bien au contraire, il voulait qu’elle hurle de plaisir, qu’elle ne fût plus capable de réagir, qu’elle devienne « sa chose »…



Enfin, il mit fin à son doux supplice et relâcha son étreinte. Elle se retourna, déposa un baiser sur ses lèvres et lui dit :



Puis elle hésita et finit par lui dire un « je t’aime mon amour » qui bouleversa Antoine tant il paraissait sincère.



Antoine, gêné, l’avertit qu’il n’avait pas de préservatif sur lui.



Elle ne le laissa pas terminer sa phrase :



Elle lui saisit la bite afin d’en éprouver la rigidité, constatant avec satisfaction que son érection n’avait pas molli, la masturba tout de même un peu, lentement, puis elle se retourna, s’appuya au plan de travail de la cuisine, écarta largement les jambes et l’appela :



Une telle supplique venant d’une si jolie femme eut transformé n’importe quel homme en taureau furieux. Antoine en oublia tout scrupule et désormais ne pensa plus qu’à ça lui aussi. Il avait déjà les yeux rivés sur ces superbes fesses appétissantes, qui étaient à elles seules une véritable invitation à baiser. Il s’approcha par-derrière, glissa sa queue entre les cuisses chaudes de sa partenaire, la guida vers sa vulve et la pénétra d’une seule poussée. Sa chatte était tellement trempée que la verge s’enfonça jusqu’au bout sans la moindre résistance.


Puis, la maintenant fermement par les hanches, il commença à la pilonner avec l’énergie du mâle fou de désir. Son plaisir fut immense et il fut surpris de constater que cette jolie petite bourgeoise en porte-jarretelles et escarpins, qui semblait plus que jamais aimer la queue, l’excitait beaucoup plus que sa Carole. Bientôt, il sentit que le point de non-retour était atteint et qu’il n’allait pas tarder à jouir.


Pascale, de son côté, était au paradis. Malgré sa position inconfortable, appuyée au plan de travail de sa cuisine, elle jouissait de sentir la bite de son bel Antoine aller et venir en elle, une bite qu’elle avait tant désirée, une bite qui lui semblait énorme tant elle avait l’impression d’être totalement remplie. Elle ne tarda pas à avoir son second orgasme et hurla son plaisir :



Ce cri de femme heureuse et comblée déclencha l’orgasme d’Antoine, une jouissance violente qui lui fit atteindre des sommets de plaisir.

Ils avaient tellement joui tous deux qu’il leur fallut plusieurs minutes pour recouvrer leurs esprits. Alors, se tournant vers lui, elle lui déclara son amour :



Quand Antoine rentra au bureau, il n’éprouva pas le besoin d’aller se soulager aux toilettes comme les autres fois. Il se sentait partagé entre le sentiment de sérénité de l’homme qui a obtenu ce qu’il voulait de la femme qu’il convoitait et la fierté d’avoir baisé une jolie petite bourgeoise, qui plus est, la femme du patron !

Il marchait le cœur léger, tout en sifflotant, dans les couloirs de l’entreprise, quand il rencontra justement monsieur N.



Soudain très gêné par cette rencontre impromptue, se sentant comme un enfant surpris la main dans le pot de confiture, Antoine tenta de chasser de son esprit l’image de cette formidable scène de baise qu’il venait de vivre avec la femme de son interlocuteur. Mais ce n’était pas facile et il avait très peur de se trahir.



Comme l’attitude d’Antoine lui semblait étrange, il ajouta :



En même temps, il triturait dans sa poche ce petit carré de papier sur lequel Pascale avait pris soin de griffonner son numéro de portable un quart d’heure auparavant.



« Petite bite », pensa joyeusement Antoine lorsque son patron lui tourna le dos.