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Temps de lecture estimé : 33 mn
03/05/16
Résumé:  Il est déjà assez tard, il est l'heure d'aller dormir. Après avoir coupé l'ordinateur, direction la chambre pour y rejoindre Laura, ma femme, qui lit au lit.
Critères:  fh couple exhib fmast intermast fellation cunnilingu 69 pénétratio fsodo -couple
Auteur : Patrik  (Carpe Diem Diemque)            Envoi mini-message
Sucettes du soir

Il y a sept jours dans une semaine, du lundi au dimanche…

Ce texte ne se focalise que sur les turpitudes du soir, pas sur les autres sucettes qui n’en sont pas absentes pour autant, mais non relatées ici…




Lundi soir



Il est déjà assez tard, il est l’heure d’aller dormir. Clignant des yeux, je coupe l’ordinateur, puis après avoir bu un dernier verre de jus de fruit, direction la chambre pour y rejoindre Laura, ma femme, qui lit au lit. Sans dire un mot, elle lève un peu la tête quand j’entre sans hâte dans la chambre. M’approchant du sommier, je défais la ceinture, j’entrouvre mon peignoir, laissant s’échapper une queue déjà au garde-à-vous.


Sans un mot, Laura referme délicatement son livre, après avoir placé un repère-page, tandis que je m’agenouille sur le matelas. Elle s’approche alors paisiblement de moi, sinueusement, languissante. D’un geste lent, elle écarte un peu les pans de mon peignoir, elle contemple la bête dressée face à son nez. Elle la connaît depuis un certain temps, des années, elle regarde ce bâton de chair, ce gland décalotté, ce frein tendu, ces couilles gonflées.


Puis comme pour une friandise, elle enveloppe ma queue de ses lèvres et commence une longue et jouissive caresse chaude et humide.


J’ai l’immense chance d’avoir une femme qui adore faire des fellations, et ce, presque n’importe où et n’importe quand ! Elle n’est pas fan des pénétrations, pas vraiment, mais elle compense allègrement par sa bouche ! Et je dirais, en bon pervers que je suis, que c’est meilleur de se répandre dans sa bouche que dans sa chatte ! C’est plus jouissif et vicieux…


Et en plus, elle ne déteste qu’on la chosifie, qu’on la traite parfois en gourgandine, pour rester poli. Je me rappelle de certains moments où elle a souhaité que je ne la ménage pas et que je la traite en dernière des dernières. La première fois, ça fait tout drôle, mais c’est très excitant, je l’avoue…


Comme à sa bonne habitude, elle me fait une bonne léchouille d’enfer, sachant parfaite alterner coups de langue, baisers et sucions. Sans parler qu’elle joue en même temps avec mes boules qu’elle malaxe délicatement ! Comment voulez-vous résister sous pareille torture si douce et sensuelle ? Oui, comment résister quand on a la queue nichée dans un endroit si chaud, si suave, soumis aux bons soins d’une délicieuse suceuse ?



C’est avec un immense plaisir que je me laisse aller dans cette bouche si câline, que je me vide sur sa langue agile, sachant avec une évidente satisfaction mâle qu’elle avalera tout le sperme dont je remplis et dont je remplirai encore et encore sa gorge. Je ferme les yeux, et je savoure l’instant présent, tandis que je m’écoule en elle…


Peu après, ma queue flasque pendouille lamentablement entre mes jambes. Les lèvres encore un peu souillées, elle me regarde, amusée. Puis elle reprend sa place dans le lit, me tournant le dos, comme si de rien n’était. Je me glisse dans les couvertures, puis je viens me blottir, me plaquer contre elle, ma main capturant un sein, tandis que ma bite molle se cale sur ses fesses.


Elle murmure, lutine :



Elle laisse quelques secondes s’écouler avant de répondre :



Néanmoins, il est évident que ma queue devient à nouveau un pieu bien dur, décidé à reprendre du service dans son corps ! Et comme le corps en question est très excitant et aguicheur, la situation se redresse sans problème !


Plaqué contre son dos, je m’excite à la caresser, à me frotter sans vergogne sur ses fesses, ses reins, partout où il me prend la fantaisie. Je soulève sa jambe pour pouvoir me glisser dans son entrejambe, l’orée de ses lèvres que mon gland bouscule à présent. Un coup de bassin, et j’entre sans encombre, sans demander la permission.


Pour m’aider, Laura se cambre, envahie volontaire. Bien sûr, j’en profite pour plonger plus loin encore. J’adore cette position dite des petites cuillères ! Être en elle, plaqué contre ses fesses, ses seins bien en main, mes lèvres dans son cou !


Je sens ses doigts qui s’agitent frénétiquement dans son entrejambe, pour se donner un double plaisir, celui de ma queue bien raide et inquisitrice, et celui de son clitoris cajolé par un index et un majeur farfouilleurs !


Sous les frôlements insidieux de ses doigts, voire de ses ongles, il ne me faut bien longtemps pour jouir égoïstement, bruyamment, impétueusement ! Elle m’accompagne aussitôt, se libérant elle aussi de cette tension sexuelle accumulée…




Mardi soir



Installé dans le canapé, je lis un livre dans le salon, ma femme est assise juste à côté de moi, faisant la même chose. Ma chère Laura vient de faire une belle fellation, il y a environ une demi-heure. Je suis content, un peu flottant. Souvent, je caresse distraitement un genou ou un sein. Je suis assez tactile, surtout des courbes de ma femme, je l’avoue.


Soudain quelque chose claque exagérément.



Je me tourne vers Laura qui vient de refermer bruyamment son livre. Je demande :



Puis elle quitte la pièce. Je sais que je dois la laisser tranquille un certain temps, donc je continue à lire l’ouvrage que j’ai en main. Je l’entends qui s’active dans la salle de bain. Je pense que j’irai la rejoindre dans la chambre d’ici un bon quart d’heure.


Environ vingt minutes plus tard, je m’invite dans la chambre, peignoir largement ouvert, queue déjà bien tendue. Je me plante au bord du lit, quasiment sous le nez de ma chère légitime :



Elle se contente de me dire :



Ce qui ne l’empêche pas actuellement de me sucer avec gourmandise. Laura use de ma tige comme s’il s’agissait d’un sucre d’orge, plaquant sa langue friande à la base puis remontant suavement vers mon gland, qu’elle couvre ensuite de ses lèvres enrobantes. Pourquoi irais-je me priver de la grande virtuosité de ma femme en la matière ? Alors qu’elle redescend le long de ma tige, elle assène :



C’est vrai que depuis que je suis rentré, j’ai eu droit à des petites gâteries, sans aller toutefois à l’éjaculation. J’aime beaucoup me faire sucer quand je rentre, ça me détend d’une façon extraordinaire ! Une minute de léchouille, ça vaut bien une heure de repos complet ! Sans parler de celles qu’elle me fait parfois pendant que je lis…



La surplombant, je la regarde, intrigué :



J’évite de répondre. Ah oui, le fameux Gérard, il m’était sorti de l’esprit. Je n’ai jamais compris à l’époque pourquoi il s’était rétracté en dernière minute alors que ma femme passait aux choses sérieuses avec lui. Son excuse avait été sa nouvelle conquête. Ma coquine de femme avait été assez vexée, je la comprends parfaitement !


C’est ainsi que ma femme libertine : elle aime beaucoup les sucettes et elle aime aussi beaucoup changer de parfums afin de les savourer tous. Sauf le mien auquel elle reste fidèle depuis bien des années.


Je suis perdu dans mes réflexions tandis qu’elle me lèche admirablement sur toute ma longueur, elle n’oublie pas les deux extrémités, s’attardant sur mon gland, jouant avec mes deux boules gonflées. Je me laisse faire, c’est très bon ainsi ! Je me souviens alors de Jean-Paul, qui en pleurait presque de se faire sucer ainsi par ma femme ! C’est devenu un fidèle, mais comme sa femme le surveille de très près, il n’est pas toujours disponible.


Un des trucs que Laura adore, c’est le glory hole, elle s’en offre un, environ tous les deux mois. Elle commence à être connue, et nous retrouvons souvent les mêmes habitués. Elle aime sucer des tas de queues, mais modérément, pour ne pas se lasser, comme elle dit. Je me suis souvent posé la question de la « modération » avec elle ! À bien y réfléchir, qu’une seule fois tous les deux mois ? Faut que je calcule… On doit être à plus, cette année…


Je reviens sur terre, ou plutôt à la langue de ma femme. Je lui ordonne :



Le pire, c’est qu’elle serait capable de jouir très vite ! Ma relation sexuelle avec ma femme est assez spéciale : elle veut toujours et encore des trucs nouveaux ou cochons, mais se refuse de me dire quoi. C’est à moi de trouver, d’imaginer, d’imposer !


Houla, elle le fait exprès de se masturber comme une petite folle ou quoi ? Je crois bien que oui. Alors j’agis dans l’urgence :



Toujours obéissante dans pareil cas, Laura se couche sur le ventre, m’offrant ses belles fesses bien rondes. Je me positionne du mieux que je peux, puis je frotte lascivement mon sexe bien dur et chaud sur son popotin. Elle a quelques frissons. Je joue avec ma verge sur ses fesses, me frottant éhontément dessus, me glissant parfois dans son sillon.


Avant de céder, tant la tension et l’excitation sont fortes, je m’adresse à ma femme qui est bien passive et permissive :



Toujours et encore obéissante, Laura écarte lentement ses fesses, me révélant son sombre petit trou interdit.



De pareil spectacle, comment ne pas en profiter ? Je commence à venir me frotter juste au bord, épousant sa petite cuvette du bout de mon gland. Je frotte, m’y refrotte, profitant de cette sensation assez excitante, de cette sorte de caresse plutôt incongrue ! Le moins que je puisse dire est que ça me plaît énormément et je dois faire un sacré effort sur moi-même pour ne pas tout lâcher tout de suite ! Que la vie est mal faite ! Pourquoi n’arrive-t-on pas à pouvoir profiter longtemps de ce genre de divins plaisirs ?



J’accentue ma pression :



Sans attendre, elle glisse une main sous son pubis pour venir taquiner le haut de sa fente, tout en gardant son autre main qui continue d’écarter une fesse, me laissant un bon accès à son petit trou qui s’évase petit à petit. J’accentue mes mouvements et mes agaceries, allant, venant, parcourant ce magnifique cul offert !


Je suis arrivé au bout de mes limites ! Ma queue a un premier spasme puis un jet blanc vient s’écraser dans le sillon. Je me sens tout à coup libéré d’un immense poids ! J’ouvre la bouche pour aspirer l’air, laissant sortir un gémissement de plaisir. Laura accélère les mouvements de ses doigts dans sa fente détrempée !


Je répands mon sperme entre ces fesses si accueillantes ! Ma semence jaillit, impétueuse, maculant encore plus les abords de son petit trou qui disparaît sous cette étrange gelée. Impudiquement, je me frotte dedans, la sensation est si bonne ! C’est très agréable de se laisser aller ainsi, de flotter de la sorte…


C’est aussi très vicieux, très pervers, mais si bon !


Tendant ses fesses comme pour échapper à ses doigts, Laura jouit à son tour. Mon gland vient épouser parfaitement cet anus entrouvert, noyé de sperme. Alors sans trop réfléchir, oubliant ma promesse, je pousse mon bassin en avant pour que disparaisse dans ce puits sombre mon gland écarlate. Laura continue de jouir, ne cherchant pas à me chasser.


Alors je m’enfonce un peu plus pour venir l’inonder de l’intérieur. Nous jouissons tous les deux, moi planté en elle, dans mille cris, dans mille petits soubresauts !


Oui, c’est très vicieux, très pervers, mais si bon !


Si bon ! Très bon ! Trop bon qu’on pourrait en perdre la vie !


Quelques minutes plus tard, nous sommes allongés l’un à côté de l’autre, elle toujours sur le ventre, ses fesses luisantes de sperme. Je me redresse pour mieux apprécier le spectacle de son sillon empoissé. Et je sais très bien qu’elle a fait exprès de ne pas se nettoyer. J’adore ce spectacle si lubrique !


Toujours allongée sur le ventre, espiègle, Laura s’adresse à moi :



Elle me regarde avec un grand sourire :



Elle s’approche de moi, très près :



Et goulûment, elle m’embrasse tandis que je lui capture les fesses, indifférent au fait qu’elles sont encore gluantes…




Mercredi soir



À nouveau le soir tombe. Aujourd’hui, à la lueur des événements d’hier soir, j’ai décidé de me la jouer plus hard, dirons-nous. Un peu avant l’heure habituelle, je m’invite dans notre chambre. Elle est un peu surprise de me voir déjà là, mais elle arrête néanmoins de lire, attendant la suite.


Arrivé près du lit, ayant laissé tomber au sol mon peignoir, j’ordonne :



Laura obéit sans prononcer une seule parole. Je sais que ça l’amuse que je donne des ordres. Pas tout le temps, mais de temps à autre, elle avoue que ça change agréablement. Je rejette la couette, comme de coutume, ma femme est nue. Ça va faire bien longtemps que nous avons banni le pyjama et autre vêtement afin de mieux profiter l’un de l’autre.


Je m’installe posément de part et d’autre de sa tête, puis guidant ma bite bien raide, je la glisse entre ses lèvres. C’est une position vraiment dominatrice, ce qui n’est pas pour me déplaire de temps à autre. Je la domine du haut de ma stature tandis qu’elle gît entre mes jambes, sa bouche agréablement soudée autour de ma pine qui entre et qui sort et qui se couvre de sa salive peu à peu.


C’est délicieux, mais j’ai envie d’une autre fantaisie. Alors, à sa grande surprise, j’ôte mon bâton de chair de ses lèvres, je me soulève un peu, puis lentement, vicieusement, je frotte mes couilles sur son visage. Elle proteste pour la forme :



Pour toute réponse, elle embrasse mon scrotum puis le lèche. Je continue mon vicieux petit jeu, promenant mes bourses sur son menton, ses lèvres suaves, son nez mutin, ses joues toutes douces, ses yeux aux longs cils, et même son front légèrement bombé.


Quand je reviens sur ses lèvres, elle gobe un testicule qu’elle capture au chaud dans sa bouche. La sensation est forte ! Ce n’est pas la première fois que j’ai le plaisir d’avoir une boule en elle, voire même parfois les deux, mais décidément la sensation est très puissante, presque à en éjaculer tout de suite !


Heureusement pour moi, elle décide de ne pas trop persévérer dans cette perversion. C’est avec soulagement et aussi un peu de regret que ma couille captive réémerge à l’air libre. Reculant un peu, je me masturbe un peu, puis je pointe mon gland à l’orée de sa bouche ouverte. Je décrète :



Elle se contente de sourire avant d’ouvrir à nouveau la bouche.


Il ne me faut pas bien longtemps pour jaillissent les premières gouttes de sperme qui viennent tapisser sa langue. Tandis que je me soulage, je peux distinctement voir l’intérieur de sa bouche ouverte devenir de plus en plus blanche et visqueuse. Je vois bien à la lueur de ses yeux que cette étrange situation un peu avilissante l’amuse. J’accentue ma masturbation afin d’expulser les derniers jets qui viennent s’écraser sur sa langue bien couverte de foutre. Puis dans un ultime sursaut, je frotte lentement mon gland poisseux sur ses lèvres roses.


Je me redresse un peu pour contempler mon œuvre. C’est vrai que c’est… excitant de voir mon sperme dans cette bouche avide et accueillante ! Tendant le bras, j’agrippe mon téléphone portable sur la table de chevet et je prends diverses photos. Puis, j’ordonne :



Elle s’exécute sans ciller. Ses lèvres se ferment lentement, puis la fine peau de son cou se soulève un peu, j’imagine sans problème mon sperme couler dans sa gorge et se perdre plus bas. Toujours en me regardant dans les yeux d’un air canaille, elle ouvre la bouche pour que je constate qu’elle a obéi. Elle s’offre même le luxe de lécher ensuite ses lèvres d’une langue assurément gourmande. Quand on se déniche une telle belle cochonne, on se la garde contre vents et marées. Même si parfois le prix peut être parfois difficile à payer.


Car maintenant, son élévation vers la jouissance va être d’une haute exigence, vu comment j’ai disposé d’elle. Tout est question d’équilibre, mais je n’ai rien contre les défis ! Alors ma bouche vorace s’en va s’égarer entre ses jambes…




Jeudi soir



Au volant de ma petite voiture, je suis sur la route du retour vers la maison après une dure journée de labeur pour une faible rémunération. Soudain je reçois un SMS de ma femme qui m’écrit que Jean-Paul souhaite passer à la maison. Elle me demande si j’y vois un inconvénient. Je mets en route mon kit mains libres, et je lui réponds oralement :



Jean-Paul a réussi à se trouver un créneau ? Tout arrive ! Faut dire que sa légitime est d’une jalousie maladive, mais au lieu d’avoir un comportement passionné et passionnel, elle joue les étoiles de mer au lit, quand elle n’a pas la migraine ou quand elle n’est pas fatiguée, c’est-à-dire dans quatre-vingt-quinze pour cent des cas. Pauvre Jean-Paul !


Bref, c’est ma femme qui joue les infirmières, soulageant le trop-plein de notre ami. Ce qui est amusant avec lui, ce sont les lieux qu’il désigne pour l’opération. Ça met assurément du piment !


Ça y est, enfin, je suis arrivé chez moi, chez nous. Au bout de la rue, j’ai reconnu la voiture de Jean-Paul. Il aurait pu se garer devant chez nous. Je ne pense pas que sa chère et tendre soupçonne quoique ce soit entre Laura et lui.


Quand j’entre, j’entends quelques soupirs qui viennent du salon. En effet, Jean-Paul est assis confortablement dans un fauteuil avec Laura agenouillée entre ses jambes. Elle s’active de bien belle façon, son mignon popotin danse au rythme de la caresse buccale qu’elle prodigue. Elle m’a souvent dit que la semence de notre ami avait un bon petit goût. Je la crois sur parole, je n’irai pas vérifier !


Je les laisse tranquilles. À peine une minute après, j’entends distinctement un râle de plaisir, ma femme a gagné, comme presque toujours ! Il est très difficile de résister longtemps à sa virtuosité ! J’attends un peu avant de faire mon entrée, je vais me servir à boire, puis le verre bu, je me lance :



Amusé, je fais remarquer à Jean-Paul :



Jean-Paul marque une petite pause pour mieux récupérer puis se lance :



M’enlaçant, Laura intervient :



Coquine, elle taquine à présent la braguette de notre ami avant de poursuivre :



Puis nous discutons d’un peu de tout. Jean-Paul est de bonne compagnie, son seul défaut finalement, c’est sa femme qui est moins conviviale et surtout assez soupe au lait. Je me demande pourquoi diable il l’a épousée et qu’il lui fait trois enfants ! J’en viens à me poser la question du comment !


Dans le couloir, Jean-Paul nous dit au revoir. Tout en lui faisant la bise, Laura lui met carrément la main au paquet :



Elle relâche sa mainmise :



Il s’en va, Laura referme la porte, puis elle me regarde, faussement navrée :



Pour toute réponse, je m’accroupis prestement, tirant sur sa jupe, la descendant jusqu’à ses pieds. Et avant qu’elle amorce un mouvement, j’en fais de même avec sa petite culotte. J’en profite pour embrasser son pubis dévoilé. Elle proteste mollement :



Je me redresse, je la serre contre moi, lui mettant une main à la fesse qu’elle a nue à présent, et me penchant sur elle, je dis :



Et sans lui laisser placer un mot, je l’embrasse fougueusement !


Peu de temps après, dans notre chambre, nous sommes en train de nous offrir un splendide soixante-neuf, elle allongée sur moi, tandis que je farfouille avec délice son entrejambe détrempé. J’aime boire à sa source, en avoir plein les lèvres, plein la bouche, être enivré de son odeur.


Tout en me suçant divinement, elle remue son bassin, épousant mes lèvres, se frottant carrément dessus sans aucune gêne. Qui cédera le premier ? Elle dans mille petits cris sous ma langue ? Moi en longues salves dans sa bouche ?


Je continue ma dégustation, sa cyprine abondante coulant sur mes joues, se perdant ensuite dans les plis des draps froissés, je fourrage avec délectation sur ses lèvres, entre ses lèvres, autour de son petit bouton sensible. Je sens à certains tressaillements de sa part que je joue bien ma partition ! De mon côté, j’essaye de résister, j’ai envie qu’elle jouisse avant moi ! Alors j’utilise une petite astuce un peu déloyale : je commence à taquiner sont petit trou sombre, en espérant qu’elle n’en fera pas de même pour moi, car dans ce cas, je n’y résisterai pas du tout !


Qui ne dit mot consent. Donc je m’enhardis et c’est la première phalange pleine de cyprine de mon doigt inquisiteur qui s’introduit. Elle frémit, je sais que d’aller la visiter de la sorte l’excite beaucoup dans c’est le bon moment ! Délicatement, je tâte le terrain, exerçant une certaine pression sur la paroi chaude. Je redouble mes efforts tandis que les siens faiblissent. Une seconde phalange vient se planter en elle. Elle gémit doucement sous la caresse de ma langue et l’exploration de mon doigt.


J’amorce un faible mouvement de va-et-vient qui semble beaucoup lui plaire. Alors je me déchaîne, mes lèvres virevoltent dans son sexe détrempé. Elle gémit de plus en plus, je force la dose aussi bien avec ma langue que mon doigt complètement en elle.



Puis elle jouit bruyamment dans mille petits cris si sexy, dans mille soubresauts, tandis que, n’en pouvant plus de mon côté, je me laisse aller, éjaculant mes longues salves, ignorant où celles-ci meurent ! Dans sa bouche ? Sur son visage ? Son cou ? Ailleurs ?


Ça, je le saurais bientôt. En attendant, il n’y a plus que deux corps entrelacés en feu qui jouissent pleinement, abondamment, indifférents au reste du monde…




Vendredi soir



Le vendredi soir, c’est souvent un peu différent. En effet, comme nous ne travaillons pas le lendemain, ça ouvre diverses perspectives, comme des invitations ou des sorties. Néanmoins, je reconnais que c’est plutôt le samedi soir que nous y allons de bon cœur.


Ce soir, Laura n’est pas bien, je vois bien que quelque chose ne va pas. Elle pense que c’est le repas de ce midi qui passe mal :



Et elle part se coucher. Ce sont des choses qui arrivent. Je préfère qu’elle soit en forme pour demain, car le samedi est une longue journée propice aux amusements. Et puis, nous ne sommes pas des machines !


Une demi-heure plus tard, je vais la voir, elle est à moitié ensommeillée.



Elle ne répond pas, s’enfouissant sous la couette. Un bon quart d’heure plus tard, je reviens avec un plateau et un bol de potage. Lentement, elle le déguste. Puis quand elle a fini, elle se recouche me disant :



Et je l’embrasse sur le front qu’elle a assez brûlant. Je m’installe dans le salon pour passer la soirée sans ma femme. Je la rejoins plus tard, en essayant de faire le moins de bruit possible. Alors je viens de me glisser sous la couette, elle se niche contre moi :



Elle se blottit encore plus contre moi. J’aime beaucoup. Je glisse mon bras pour l’attirer mieux encore. Elle soupire de satisfaction. Sa main caresse mon torse, je me laisse faire. Puis elle descend lentement vers mon ventre, j’aime me faire caresser sans rien faire, ça me change un peu, la plupart du temps, c’est moi le caresseur.


Elle s’empare de ma verge qui est déjà bien droite, ses caresses me faisant de l’effet. Elle a un petit gloussement :



Elle me branle délicatement tandis que je la serre encore plus contre moi. Nous restons ainsi quelques longues minutes puis, petit à petit, sa caresse ralentit. C’est avec mon sexe en main qu’elle s’endort, partie dans je ne sais quel rêve que je suppose érotique. Ses doigts toujours serrés autour de mon pieu de chair, je m’endors à mon tour.




Samedi soir



Nous sommes en début d’après-midi, les courses ont été faites du matin, les achats ont été rangés. Une bonne chose de faite, surtout que nous avons été plus vite que d’habitude, ce qui n’est pas un mal. Je préfère nettement faire les magasins en semaine, quand je le peux, mais hélas, en semaine, je travaille et ma femme aussi. Assise dans un fauteuil, le nez dans un périodique, Laura m’interpelle :



Je pose directement la question :



Elle se contente de sourire, et elle se replonge dans son magazine. Bon, c’est à moi de me creuser la tête pour trouver quelque chose qui plaise à Laura. Poursuivant une idée qui me trotte dans l’esprit depuis quelques jours, je vais sur Internet pour aller voir sur un site spécialisé dans la drague ce qu’il y aurait en préparation pour ce soir, et aussi s’il y aurait une réponse à ma demande. La chance me sourit et j’entrevois quelque chose, mais rien ne me garantit que ça puisse se concrétiser, car dans ce domaine il y a beaucoup de fantasmeurs et de lapins ! Mais comme je ne déteste pas les challenges…


Je dialogue un peu puis, allant m’isoler, je donne un coup de fil, un internaute m’ayant communiqué son numéro. À prime vue, c’est bon.


L’après-midi s’écoule paisiblement, puis le soir arrive. C’est alors que je propose :



Je lui cite quelques noms de films, nous nous décidons pour l’un d’eux. Je lui dis :



Je suis peut-être un grand malade attardé, mais quelques minutes plus tard, j’ai l’immense plaisir de me diriger vers le cinéma avec à mes côtés une magnifique femme, gentiment sexy, avec un quelque chose en plus qui rend fou !



Peut-être aussi que je ne suis pas pragmatique, mais ma femme est… enfin… magnifique, quoi, somptueuse, comme je l’avais dit auparavant et tant pis si je suis le seul à le penser, mais je ne pense pas être le seul à être de mon avis ! Et sa robe légère la met particulièrement en valeur !


Nous venons juste d’arriver sur le parking. À la surprise de ma femme, je l’invite à se diriger vers la porte de sortie. J’envoie en même temps un court SMS. Quelques secondes plus tard, la porte de sortie s’ouvre sur un homme d’une quarantaine d’années qui nous fait entrer. Il ne se prive pas de regarder Laura d’un air admiratif plutôt évident, tout en parlant :



De son côté, ma femme me regarde d’un drôle d’air, un petit sourire en coin. Elle penche vers moi :



Elle ne répond rien, mais n’en pense pas moins… Après quelques déambulations, l’homme ouvre une porte :



Nous nous séparons. Laura et moi, nous nous installons comme indiqué. La partie haute de la salle est quasi vide. Plus bas, il doit y avoir dix à douze personnes. Peu après, la lumière s’éteint.


Soudain, je vois deux ombres s’approcher de nous. L’une d’elles s’assied à côté de ma femme, tandis que l’autre me murmure :



L’homme, assis à côté, de Laura se penche un peu vers elle et dit :



Je le vois esquisser un sourire, puis il extirpe une queue déjà bien en forme. Laure ne se fait pas prier ; elle commence son ouvrage, puis elle fait signe à l’autre de s’approcher. Courbée sur son voisin, donnant quelques coups de langue sur le gland frémissant, elle déboutonne à l’aveugle la braguette de l’autre participant, puis, assez facilement, elle en extrait un bout de chair bien rigide qu’elle se fait un plaisir de prendre en main dans les deux sens du terme !


Une queue qui durcit en main, Laura est penchée sur celle de l’inconnu assis à côté d’elle. Elle s’active sur le mandrin bien dressé, l’astiquant à sa façon entre ses lèvres. L’homme apprécie visiblement, soupirant d’aise. L’autre attend son tour, tout en étant branlé par la main agile de ma femme. Soudain, je sens une nouvelle présence derrière moi, je me retourne : c’est le projectionniste. Il se penche vers moi et murmure :



Puis comme moi, il regarde Laura s’occuper de l’homme assis, tout en ne négligeant pas l’autre. Soudain, nous entendons un faible râle, la tête de l’homme assis est prise de petits sursauts ; il est en train de jouir dans la bouche de ma femme qui ne se fait pas prier d’avaler. J’entends un murmure d’approbation. Je regarde alors le projectionniste qui hoche de la tête :



Durant ce temps, Laura se détourne de son voisin et attaque sans préambule l’homme qu’elle branlait. Sans aucun chichi, elle enfourne la queue offerte et commence une belle fellation. Je vois bien que cet homme ne résistera pas bien longtemps à l’effet de succion des lèvres avides. À peine trente secondes plus tard, il se vide à son tour dans la bouche chaude et accueillante. Trop facile, doit penser ma femme…


Néanmoins, elle le garde en bouche, afin de continuer à jouer avec la tige molle, afin de lui refaire une beauté, la sortant de temps à autre pour mieux la reprendre entre ses lèvres. Mais malgré ces efforts méritoires, la bite reste avachie. Alors elle avise le projectionniste, lui faisant signe d’approcher. Celui-ci ne se fait pas prier, extirpant au passage un pieu bien membré et nervuré. Je vois une lueur appréciative dans les yeux de ma femme.



Et avec aisance, elle s’empare de ce mandrin pour le faire complètement disparaître dans sa bouche, ce qui n’est pourtant pas une mince affaire. L’homme qui est assis juste à côté d’elle reprend peu à peu du poil de la bête, comme en témoigne son sexe à nouveau bien dressé. Il regarde avec attention les prouesses buccales de ma chère femme sur Lionel, le projectionniste. Ce dernier apprécie visiblement, son visage parle pour lui !


L’homme assis veut à nouveau sa part ; il capture la main de Laura pour la poser sur son vit bien raide. Ma femme comprend aussitôt le message, elle le branle délicatement, puis intensifie le mouvement. L’homme se renverse un peu plus sur son siège, puis laisse échapper béatement :



De son côté, l’éjaculateur précoce se remet petit à petit. Lui aussi ne perd pas une miette du spectacle ! Laura décide de passer la vitesse supérieure en massant les boules qui frottent actuellement son menton. Elle fait coulisser la totalité de la verge, du gland aux abords des couilles venues, dans sa bouche chaude et accueillante. Après quelques entrées-sorties de la plus belle espèce, le projectionniste finit par se laisser aller, tandis que ma femme avale sans sourciller un sperme que je devine plutôt abondant.



Et posément, il attire la tête de ma femme vers sa bite qui n’attend que sa bouche. De bonne composition, Laura se fait un plaisir de le sucer à nouveau. Le projectionniste s’affale sur le siège à côté de moi et me confie :



Il hoche la tête plusieurs fois :



L’éjaculateur précoce se mêle à la conversation :



J’interviens :



Il ne croit pas si bien dire ! Ma gourmande de Laura se fait un plaisir de les sucer encore plusieurs fois, vidant leurs couilles de la plus belle manière ! André est le premier hors service, puis Jean-Jacques crie grâce ensuite, totalement avachi dans son fauteuil. Moi-même, j’ai eu droit à quelques sucettes du meilleur aloi…


Assez essoufflé, Lionel se penche vers moi, tandis que ma femme s’occupe de moi, nichée entre mes jambes :



Et il me murmure une suggestion à l’oreille. J’acquiesce en inclinant la tête, l’idée me semble amusante, donc acte, et tout de suite ! Je repousse délicatement la tête de ma femme. Elle libère mon sexe puis elle me regarde, un peu intriguée. J’annonce tout de suite la couleur :



Elle soupire, mais l’instant d’après, elle n’a plus de culotte tandis que quatre paires d’yeux contemplent sa belle fente. Elle demande innocemment :



C’est avec un petit rire qu’elle s’exécute, jambes largement ouvertes, laissant apparaître un fruit bien appétissant à la vue de tous. Pour mieux le faire apprécier, elle relève sans complexe le pan avant de sa robe. Notre projectionniste s’extasie :



Et aussitôt, il s’agenouille pour venir déposer un premier baiser sur les lèvres intimes. Puis il s’enhardit, explorant de la langue le fruit ouvert et offert. Laura semble aimer son coup de langue, c’est assez évident. Les deux autres le regardent faire avec une certaine envie. Il joue vicieusement entre les plis et replis de l’intimité de ma femme, il la taquine, la suçote, la boit avidement. Pour l’aider, elle s’avachit plus encore dans le siège, projetant son bassin vers sa bouche. Je la vois qui frémit, qui tangue, elle se mord les lèvres, résiste un peu puis se laisse aller à sa jouissance, réprimant ses cris, agitée mille soubresauts.


Peu après, Lionel se relève, les lèvres luisantes. Alors Jean-Jacques prend sa place. Il semble moins expert en la matière, mais ça ne semble pas gêner ma femme qui frémit à nouveau sous ses assauts un peu plus désordonnés. Il fourrage littéralement son nez dans l’intimité de Laura, à grand renfort de bruits assez incongrus ! À nouveau, ma femme se laisse aller, elle agrippe la tête de son lécheur pour mieux la plaquer sur ses lèvres détrempées, puis elle jouit très vite, en silence, mais de façon agitée.


Par contre, André décline ; il préfère visiblement le rôle du voyeur que celui du lécheur. Tant pis pour lui. J’attends un peu, puis je tends la main pour aider ma femme à se relever. Lionel se penche à mon oreille :



J’en profite pour embrasser ma femme, tout en la plaquant contre moi. J’aime ces petits moments suspendus et elle aussi… Puis je m’assieds au mieux dans le fauteuil, ma queue bien dressée, prête à accueillir une certaine fente déjà très lubrifiée par les bons soins de nos partenaires du jour. Lentement et délicatement, me tournant le dos, elle s’assoit sur moi, laissant bien voir aux autres ma bite s’enfoncer en elle puis disparaître. Je me pince les lèvres quand je sens que toute ma longueur est à présent en elle. Par pure provocation, elle remue du bassin ! Face à elle, Lionel est admiratif. Je vois mal l’expression des deux autres, mais je pense que ça doit être la même.


Lionel s’approche, ma femme s’incline un peu, et quelques secondes plus tard, je devine qu’elle est déjà en train de le sucer, tout en remuant lascivement des fesses, pivotant lentement, mais vicieusement autour de ma queue rivée en elle. Je la reconnais bien là ! Tout mon problème va être de résister un maximum, à moins que le projectionniste ne lâche sa purée plus vite que la mienne ! Malheureusement pour moi, il semble savoir résister à cette douce torture ! Laura s’active autour de sa sucette de chair, j’entends assez distinctement les bruits de succion…



Puis il laisse passer un petit soupir, ma femme fait alors un drôle de bruit avec sa bouche, puis il se laisse aller, éjaculant dans cette belle bouche que je connais tant et que j’apprécie tant aussi. Il ne m’en faut pas plus pour que j’explose dans cette chatte toute chaude, la remplissant à mon tour par en bas, tandis que Lionel la remplit conjointement par en haut.


J’imagine parfaitement la chose, haut et bas… une belle image assez vicieuse ! Ça m’excite encore plus tandis que mes salves jaillissent dans sa grotte intime, la tapissant de sperme, la remplissant afin qu’elle déborde !


Oh oui, c’est totalement divin, sublimement bon !


Peu après, nous nous séparons, Laura préfère rentrer se reposer, même si après le documentaire, C’est au tour du film d’être projeté. Sous les yeux intéressés des trois hommes, nous sommes partis, Laura n’ayant pas remis sa culotte, ses cuisses étant luisantes de mon sperme, car elle n’a même pas pris la peine de s’essuyer ! Par pure provocation de sa part, alors que nous étions à mi-chemin vers la porte de sortie, elle s’est arrêtée, elle a soulevé l’arrière de sa robe, faisant admirer ses fesses nues qu’elle a lascivement fait dandiner. Puis me lâchant la main, elle s’est sauvée en riant.




Dimanche soir



Le dimanche est le jour de Seigneur. Autrefois. Néanmoins, en général chez la plupart des couples, le dimanche soir, c’est repos, sauf éventuellement pour nous deux. Un petit câlin au lit n’a jamais fait de mal !


Je pense que nous allons revoir le trio d’hier soir, ça a beaucoup amusé ma femme. Tant mieux pour elle. Son carnet d’adresses se remplit petit à petit, et un beau jour, il va falloir que je le gère sur l’ordi si ça continue ainsi !


Je repense à notre semaine, une semaine assez classique finalement. Enfin, ça dépend pour quoi, je le reconnais. Ce sont nos petits jeux. Elle aime que je dispose d’elle. Parfois elle adore que je la traite en vraie prostituée de bas étage. Parfois, elle se conduit en grande dame. Elle sait parfaitement jouer bien des rôles. Elle est multiple. Pourquoi irais-je chercher d’autres femmes puisqu’elle est toutes en une ?


C’est à moi d’imaginer certains scénarios en fonction de son désir du moment. Tout au plus, elle m’indique la tendance générale, comme le ferait un antique baromètre concernant le temps de demain. Je farfouille parfois les bas-fonds d’Internet pour dénicher une idée. Ce n’est pas que j’en manque, mais ci et là, je découvre diverses choses plus ou moins gratinées auxquelles je n’ai pas songées.


Bien sûr, il faut que je fasse avec ses préférences, ses goûts. La pénétration ne la passionne pas trop, enfin celle faite par d’autres hommes. Elle aime être désirée, être caressée par d’autres. En retour, elle les caresse, joue avec eux, les suce, les laisse éjaculer sur elle, dans sa bouche aussi, mais il faut que le feeling soit fort pour qu’elle les accepte en elle. Jouer les chiennes, les soumises avec un homme dominant l’enthousiasme, mais sans en abuser.


Néanmoins, elle n’aime pas trop l’inconnu pur et dur. Elle préfère que je contrôle de A à Z la situation, ce qui réduit parfois mes possibilités. Ainsi, quand nous nous rendons quelque part, genre parking ou aire de repos, les personnes qu’elle y rencontre, je les ai sélectionnées auparavant. Elle fait semblant de croire que c’est le hasard, mais elle sait très bien que j’ai veillé au grain avant. Et elle préfère ainsi.


Laura me tire de mes pensées :



Je me jette sur elle pour lui expliquer à quel point j’ai raison ! Mes lèvres capturent les siennes et je m’offre les plaisirs d’un long baiser ! Et pour quelqu’une qui se lamentait d’être tombée sur moi, je la trouve curieusement docile !


Néanmoins, c’est encore moi qui vais devoir me creuser le crâne pour venir épicer la prochaine semaine ! Dure responsabilité, dure comme ma chose dans mon pantalon !