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Temps de lecture estimé : 13 mn
13/05/16
Résumé:  Une belle-mère qui trouve dans une relation avec son gendre un exutoire à sa douleur. Écriture à deux plumes.
Critères:  fhh fplusag alliance fépilée lunettes fsoumise facial fellation cunnilingu anulingus double sandwich fdanus fsodo confession
Auteur : DuranDuran            Envoi mini-message
Michelle, assise près de moi...

Antoine


Quand Katy m’a demandé si j’acceptais que nous prenions sa maman quelques semaines à la maison, le temps qu’elle se remette de son deuil, je n’ai pas hésité une seconde. Michelle est une femme adorable, très sympathique, le portrait craché de sa fille avec évidemment quelques années de plus, années qui n’ont pas outragé son charme, bien au contraire. Fine d’allure, un style assez classique, mais chic, elle porte les cheveux châtains courts et son visage est illuminé de ses grands yeux noisette. Malgré ses soixante ans, elle cultive sa tonicité et son dynamisme par des sorties hebdomadaires avec son cheval Titan. Nous avons des relations très cordiales, voire amicales, nous aimons beaucoup nous taquiner, ce qui rend parfois jalouse Katy.


Le jour de l’enterrement, Michelle portait un tailleur noir cintré, jupe au genou sur des bas clairs perlés. Si triste, si délicate, si désemparée, je la pris un long moment dans mes bras. Elle ressemblait tant à Katy, avec une féminité fragile en plus.

Les premières semaines furent assez douloureuses pour elle. Malgré les efforts de mon épouse et de moi-même, elle semblait distante, perdue. Je dois l’avouer, quand elle nous rejoignait le soir pour regarder un programme télé, dans sa robe de chambre en organdi, que je découvrais parfois un bout de ses jambes nues, je ne restais pas indifférent. Je sais que je suis un pervers, et que parfois, dans mes relations avec ma femme, je pousse dans le jeu le bouchon un peu loin, ce qui la bloque parfois…




Michelle


Antoine me fait rire. Et autant dire qu’en ce moment, j’en ai vraiment besoin. La mort de mon mari fut si soudaine que je me suis trouvée complètement désemparée. Heureusement que ma fille et son époux m’ont accueillie. Je fais en sorte d’être discrète et il me semble que la cohabitation fonctionne bien. Dans quelques semaines, quand cela ira mieux, je repartirai dans ma grande maison. La présence physique de mon mari me manque. Nous sommes de la génération qui a bénéficié de l’insouciance des années soixante-dix et notre relation était fusionnelle. Jusqu’à son accident, nous faisions l’amour quasiment tous les jours et malgré les années, il trouvait toujours une idée nouvelle pour nous exciter. Son rire et son corps me manquent…




Antoine


Je suis enseignant et bénéficie donc d’horaires plus souples et allégés comparés à Katy. Souvent, le petit déjeuner est partagé seul avec Michelle, qui est assez peu bavarde le matin. Ensuite, elle part à son travail, dans une boutique de mode du centre-ville où elle dispose d’un mi-temps. Ce matin-là, comme souvent, seul dans la maison, je me branche sur internet et me masturbe tranquillement en attendant l’heure de mon premier cours. Je dois reconnaître que je suis assez vicieux, ayant des besoins importants que mon épouse ne comble pas, ou plus. N’étant pas volage, je me donne du plaisir seul. Autant, je fus longtemps intéressé par les nymphettes, autant mes fantasmes se portent aujourd’hui exclusivement sur les femmes beaucoup plus matures. Le caleçon aux chevilles, je m’astique en regardant une jolie jeune grand-mère se faire sodomiser par un chauffeur de taxi.




Michelle


La maison est silencieuse. Mon gendre a dû partir en oubliant de fermer la porte à clé. En raison d’un inventaire que j’avais complètement oublié, j’ai la tête ailleurs en ce moment, je ne travaille pas ce matin, et je vais donc en profiter pour me reposer un peu dans ma chambre à l’étage. J’aperçois de la lumière et j’entends des bruits étranges dans le bureau d’Antoine. Je m’approche, légèrement inquiète, et le vois assis devant son bureau, son bras gauche se secouant énergiquement pendant que sur l’écran de son PC, une femme à quatre pattes semble être prise en levrette. Je suis horriblement gênée devant cette scène. D’abord gênée pour mon gendre, j’ai l’impression de violer son intimité, et aussi gênée de ressentir un trouble et une chaleur déroutante dans mon bas ventre. Que faire : rebrousser chemin ? Lui faire la morale ? Signaler discrètement ma présence ?

Dans mon sac à main, mon smartphone se met à bipper pour un SMS et Antoine se retourne immédiatement. Il rougit instantanément et j’ai le temps d’entrapercevoir un sexe énorme, bien plus gros que celui de feu mon mari. Je rougis également.



Je suis fascinée par la scène. Mes yeux ne quittent pas le sexe droit comme un i d’Antoine. Mon cerveau me dit de fuir, mais mon ventre me retient.



Marc est toujours assis, toujours en érection, et sa main parcourt doucement son membre. Je suis à ma grande surprise assez envoûtée, et la suite de la discussion va m’étonner par la franchise de mes propos.





Antoine


Michelle a pris un fauteuil à roulettes et s’est assise à côté de moi et sa jupe grise remonte au-dessus des genoux. Je lui demande s’il y a des situations, des lieux, des choses, des positions qui la font fantasmer. Elle me répond avec une étonnante franchise et après une longue réflexion que l’amour en extérieur et avec plusieurs hommes pourrait correspondre à ses critères de fantasmes. En quelques clics, je sélectionne quelques films. Le premier est assez cru. Une jeune fille au bord d’un lac se fait entreprendre par deux de ses amis, qui vont la faire uriner devant eux, la déshabiller, lui enfoncer une carotte dans la chatte et l’anus, et ensuite la prendre à tour de rôle. Michelle est à côté de moi, les yeux fascinés par la scène surréaliste. Je bande comme un fou. Elle est dans un état quasi hypnotique. Je prends sa petite main et la glisse dans la fente de mon caleçon, au risque d’une claque qui ne viendra jamais. Elle ne bouge pas. Je prends sa main dans la mienne et monte et descends sur ma bite. Et je la laisse faire seule, comme une grande. Sur l’écran, la jeune fille est à genoux et prend maintenant la semence des deux hommes sur le visage. Il ne m’en faut pas plus et je sens mon sperme couler sur la main de Michelle. Elle se tourne vers moi et me sourit. Son sourire est triste. Elle se lève et d’un pas pressé, rejoint sa chambre. J’entends le clic de la serrure.




Michelle


Mais qu’est-ce qu’il m’a pris ! Je deviens folle. Comment ai-je pu le laisser faire ? Au fond de moi, je dois reconnaître que cela m’a énormément excitée, malgré la honte, ou plutôt grâce à la honte. Je m’essuie le sperme sur la main avec un mouchoir et teste l’humidité de ma culotte. J’ai remonté ma jupe en lin gris et écarte un peu les cuisses. Je glisse un doigt entre les lèvres au-dessus de ma culotte en coton blanc et je sens le liquide d’amour qui baigne mon sexe. Ah le salaud ! J’entends la douche. Il faudra attendre avant de me purifier. Mon doigt s’attarde sur mes lèvres et glisse maintenant sous la petite culotte, touchant le clitoris hypersensible. J’ai peur ! Le plaisir est là, intense, tenace, vibrant, tapi. J’ai peur, car depuis la mort de mon mari, j’éprouve des douleurs désagréables à chaque fois que je me touche. Les images de ces pénétrations brutales, qui me semblent à jamais interdites, ont réveillé en moi des souvenirs que je voulais garder enfouis. Ah, mon mari, quel bel amant ! Comme nous avons ri, aimé ! Jusqu’à son funeste accident.




Antoine


Le soir, le repas s’est déroulé sans histoire. J’ai trouvé Michelle particulièrement silencieuse. Elle a prétexté une grosse fatigue pour aller se coucher tôt. J’appréhendai le petit déjeuner demain matin…




Michelle


Je n’ai pas beaucoup dormi de la nuit. Comment réagir demain devant Antoine ? J’ai pesé le pour et le contre, et j’ai choisi. Enfin, mon corps a choisi pour moi ! Mais je tiens au secret…



Il a eu du mal à fermer la bouche. Il est là, devant moi, debout en pyjama, un bol à la main. J’ai peur qu’il le renverse et lui prends des mains… On « petit-déjeune » en silence. Je lui demande à la fin ce qu’il aime lui. Il ne se fait pas prier et me dit que ce qui l’excite le plus, c’est une femme habillée en jupe, accroupie les cuisses ouvertes, des doigts dans sa chatte et une bite dans la bouche. La crudité de ses propos me choque, mais je sens en même temps l’excitation gagner mon bas-ventre… Je suis en train de changer. Ou plutôt en train de retrouver la femme qui a toute sa vie adoré faire l’amour.




Antoine


Elle s’est assise à côté de moi. Elle a sa robe de chambre qui découvre un peu ses jambes fermes. J’ai sélectionné un film où une jeune femme a rendez-vous avec son amoureux et où ce dernier a invité un ami à participer à la fête. La fille résiste un peu et finit par accepter de sucer l’ami. Michelle a de son propre chef mis la main dans mon caleçon et me branle doucement. Je tente une approche et glisse ma main droite sur une cuisse. Elle ne dit rien. Je remonte et arrive à une culotte. Toujours pas de remarque. Je glisse ma main sous l’élastique et découvre un mont de Vénus complètement épilé. Je tente un doigt entre ses lèvres et je vois qu’elle écarte un peu les cuisses pendant qu’elle me branle plus fort. Sur l’écran, la jeune femme est penchée en avant, la bite de son compagnon dans la chatte pendant qu’elle suce celle du pote. Michelle me branle de plus en plus fort, et comme la veille, je finis par jouir sur ses doigts délicats. Son sourire est plus franc qu’hier, mais sans un mot, elle se lève et s’en va dans sa chambre. Pour moi, il est l’heure d’aller travailler.




Michelle


Je n’ai pas envie d’aller trop vite, et pourtant. Je suis assise sur mon lit, la main gauche pleine du sperme de mon gendre. Du bout de langue, je goûte et trouve le goût « surprenament » exquis. Il vient de frapper à la porte, mais je ne réponds pas. Il n’insiste pas. Je continue à lécher ma main gluante. J’ai envie de plus, mais mes scrupules m’inondent.




Antoine


Caty vient de partir en me laissant dormir. Elle m’a déposé un bisou sur les lèvres et j’ai replongé dans le sommeil, sachant qu’il me reste une heure avant que le réveil ne sonne.




Michelle


Je m’approche à pas de velours de la chambre d’Antoine. J’entrouvre la porte. Il dort profondément. Je souris en m’approchant du lit. Mon mari adorait sa gâterie du matin et j’avais fini par y prendre du plaisir aussi. Je découvre les draps. Marc est sur le dos, une jambe repliée, la tête penchée côté fenêtre. Son sexe, même au repos, me semble impressionnant. Je me penche et donne un léger coup de langue sur le gland. Pas de réaction. Je m’enhardis et commence à le gober. Dans la pénombre de la pièce, je vois le regard d’Antoine et un sourire timide pointer sur son visage.




Antoine


Ma belle-mère est en train de me sucer. Je rêve ! Je prends sa tête et l’enfonce un peu plus profond sur ma bite qui commence à durcir. Elle a une manière très particulière de sucer, c’est lent, très lent et très profond, elle aspire très fort. Je suis entre la douleur et le plaisir extrême. J’ai envie de la toucher, et je ramène son corps sur le lit. Mes mains sont maintenant à hauteur de ses fesses, je remonte sa robe de chambre et parcours sa raie. Elle n’a pas de culotte et sa chatte est humide. Des doigts se glissent maintenant dans son vagin et je la pistonne pendant qu’elle me pompe de plus en plus fort. Je sens que je vais jouir et le lui dit. Elle s’accroche comme une désespérée à ma bite et avale tout mon foutre, par petites gorgées.





Michelle


J’ai l’impression de revivre depuis que je partage ces matinées coquines avec Antoine. Et je sens que du haut de son Paradis, mon mari me comprend et accepte. Je l’imagine même ce vieux coquin se tripoter sur son nuage en voyant ma bouche engloutir le membre de mon gendre. Cependant, un point me chagrine. J’ai honte de moi, si honte quand je pense à ma fille. Pourvu qu’elle ne le sache jamais…

Tous les matins, maintenant, nous avons notre petit rituel. Dès que ma fille claque la porte, j’attends cinq minutes et me glisse dans la chambre d’Antoine. Généralement, je le suce jusqu’à ce que son adorable liqueur m’inonde la gorge. Parfois, quand je me sens moins angélique, je m’accroupis sur son visage, et alors, il me lèche la chatte d’une langue avide. Ce matin, il m’a basculée en 69 et, comment dire, il me bouffe littéralement le cul, pendant qu’il me pistonne la bouche de sa virilité.




Antoine


Michelle s’est assise ce matin sur ma bouche. Je dormais encore un peu quand j’ai senti la bonne odeur du savon vanillé de la chatte de ma belle-mère. J’ai très envie de l’enculer. Sa fille n’aime pas trop cela, mais j’ai constaté que la mère adorait quand je lui mettais des doigts dans le cul. Nous n’avons encore jamais parlé de sodomie, mais je vois, quand on regarde les petits films X sur mon PC que son branle est plus violent quand la fille de l’écran se prend une grosse bite dans le cul.




Michelle


Cet adorable salaud est en train de me dilater l’anneau avec son pouce pendant qu’il me lèche la chatte. Je ne lui ai pas encore dit, mais de toutes les pénétrations de mon mari, c’était la sodomie que je préférais. J’avais le sentiment d’être une vraie femme quand il me pilonnait les fesses. Mais le membre de mon gendre me fait un peu peur. Il est si gros, si dur. À l’idée de le prendre par mon petit trou, je ne me rends pas compte, mais je le pompe comme une forcenée et il jouit une quantité impressionnante de sperme dans ma gorge. Je lui ferai une surprise cet après-midi. Il rentre à 17 heures et ma fille vers 19 heures…




Antoine


La maison semble vide alors que Michelle m’avait dit qu’elle serait là. Je monte à l’étage me changer et en passant devant la porte de la chambre de ma belle-mère, je vois de la lumière. Je m’approche et la découvre sur la lit, à quatre pattes, les fesses tournées vers moi, de la main gauche, elle écarte sa raie impubère, et de la droite, elle enfonce son majeur dans l’anus. Elle a tourné sa tête vers moi, à travers ses lunettes d’écaille, ses yeux sont rieurs, et elle me lance dans un sourire : « surprise ! »




Michelle


Des positions préférées de mon mari, celle qui l’excitait le plus était quand je me mettais tout habillée à quatre pattes sur le lit, que je tournais les fesses vers la porte et que je me caressais en l’attendant. J’espère que mon gendre va aimer et qu’il ne trouvera pas cela trop vulgaire. Il semblerait que non ! Antoine se rue sur moi, ou plutôt sur mes fesses et pendant qu’il me tète les lèvres en bavant, il se déshabille. Je ne perds rien de ses efforts et découvre bientôt sa sublime bite qui dans quelques minutes va me transpercer le cul. Rien qu’à l’imaginer, je sens une nouvelle vague d’humidité dans mon intimité. Avec une langue profonde, il a pris possession de mon anneau et me pistonne comme s’il avait un petit sexe entre les dents.




Antoine


Putain ce qu’elle se dilate vite. Ce ne doit pas être la première fois qu’elle se fera enculer ! Mon gland est à l’entrée de son cul et c’est sans difficulté que je m’enfonce en elle. Elle recule d’un coup sec et se retrouve emmanchée jusqu’à la garde. Nous restons quelques instants immobiles, je sens que ma bite gonfle encore, et puis, par de longs mouvements lents, je commence à la limer en douceur. Elle me susurre qu’elle adore ça, que c’est si bon d’avoir un sexe aussi gros dans le cul, que je peux accélérer si j’ai envie, qu’elle est écartelée, qu’elle va mourir de plaisir. Plus elle me parle et plus elle m’excite, et plus je la pistonne. Elle veut que je jouisse dans sa bouche, comme d’habitude. Je sens l’orgasme monter, les barrages céder. Je sors de son cul étroit brutalement et elle se jette immédiatement sur mon chibre pour me pomper comme une assoiffée. Je gicle une telle quantité qu’elle ne peut tout avaler malgré ses efforts. Des débordements de sperme coulent sur son menton. Son beau visage est rougi par l’effort et le bonheur. Je suis essoufflé comme après un marathon. On se regarde, et on finit par éclater de rire. Elle récupère les dernières gouttes et les avale d’un geste coquin. Le tout n’a duré que cinq minutes, mais jamais je n’ai eu un tel plaisir avec sa fille.




Michelle


Depuis quelques jours, je me suis offerte à Antoine dans toutes les positions. Il me sodomise quasiment tous les jours, et il est des matins où je garde son sperme dans mon cul plusieurs heures. Je pense qu’il est encore plus vicieux que mon mari, et pour l’instant, ce n’est pas pour me déplaire. Il exerce un véritable pouvoir magnétique sur moi, je ne devrais pas le dire, et je suis tous les matins en attente de ses désirs. Il parle maintenant de rencontrer un de ses amis en toute discrétion. C’est quelque chose que je n’ai jamais fait et je suis partagée entre crainte et excitation. Mais après tout, je risque quoi ?




Antoine


Michelle m’a rejoint chez Marc, un ami du lycée, prof de gym. Je lui ai envoyé un SMS dans l’après-midi avec l’adresse. Elle est ponctuelle. Elle embrasse anxieusement Marc sur la joue. Elle semble timide, apeurée. Elle nous dit que c’est la première fois. Elle s’assoit sur le canapé entre nous deux, très sérieuse, et Marc, plutôt entreprenant, commence à lui caresser une cuisse. Elle fait toute petite à côté de ce grand gaillard blond.




Michelle


L’ami d’Antoine est très beau. Je l’avais déjà remarqué dans le village, et à aucun moment, il ne m’était venu à l’idée qu’il me caresserait un jour la chatte. Il s’est installé à genoux entre mes jambes et me broute avec délectation le minou. Antoine est debout sur le canapé, le pantalon aux mollets, et me tend sa verge encore molle afin que je la gobe. Marc sort la tête de mes cuisses et lui demande gentiment de ne pas rester debout sur le canapé. Avec un sourire triste, Antoine s’exécute. Mais je ne vais pas le laisser dans cet état, le pauvre. Je remonte ma jupe grise sur les cuisses et m’accroupis entre les deux étalons. Ma petite culotte blanche aux chevilles, j’écarte largement les jambes et me caresse le clitoris. Les deux hommes s’approchent encore plus et me tendent leur verge. Je lèche alternativement l’une puis l’autre. Je commence à sentir le feu en moi. Dans cette fin d’après-midi de printemps, je vivrai plusieurs premières fois. Ma première double pénétration, avec ce sentiment étrange d’être complètement possédée, ma première « brochette », un sexe dans l’anus et l’autre dans la bouche, comme un vulgaire cochon, ou plutôt cochonne, à la broche, et ma première double éjaculation sur le visage, accroupie dans la même position qu’au départ. Je me sens vidée et remplie, les garçons m’ont anéantie. La pièce sent l’amour et la sauvagerie. Vivement la prochaine fois.