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n° 17380Fiche technique8115 caractères8115
Temps de lecture estimé : 6 mn
16/05/16
corrigé 06/06/21
Résumé:  Un anniversaire, une soirée en boîte qui se termine chez mes amis. J'aide Agnès à coucher son mari. Surprise! Elle finit par s'occuper de moi
Critères:  fh couplus extracon pénétratio -entrecoup
Auteur : Ruomatrio69  (Homme 60a avec des envies à partager avec un couple coquin)      
Agnès et Jean : ils vont au bout de leur fantasme...




Me revoilà de nouveau parmi vous, dix ans peut-être. Je ne résiste pas à vous raconter ce souvenir et un jour peut-être je prendrai le temps de vous dire que ma vie amoureuse a commencé par un trio. J’ai vite compris que le monde des coquins en couple est en fait très fermé…

Cette histoire avec un couple d’amis est celle qui m’a le plus surpris, car totalement inattendue. Oh, bien sûr, notre amitié s’est aussi vécue avec des regards et parfois des troubles… Qui n’a jamais senti de tels désirs, parfois partagés envers un(e) ami(e) ? Très nombreux sont ceux et celles qui les enterrent pour ne pas risquer de détruire une belle amitié ?


C’était en juillet, un ami, Jean, pour fêter ses quarante ans, nous a invités, ma femme Aurélie, Agnès son épouse, trente-six ans toutes les deux, et moi Alain, trente-neuf ans, dans un superbe restaurant.


Après un repas bien arrosé, on est parti finir la soirée en boîte de nuit où l’on s’est super-éclatés. Comme souvent, Jean chahute, anime, mais danse peu, alors que moi, j’adore. C’est sans arrière-pensées que j’ai dansé avec des filles parfois très chaudes. L’ambiance, le whisky…


Mais vers deux heures du matin, l’ami ayant pas mal bu, ne tenait plus debout. Moi aussi, je commençais à bien être allumé. Les femmes décidèrent qu’il était temps de rentrer.

Agnès, étant restée sobre, prit le volant, et nous ramena d’abord chez moi. Mais vu l’état de Jean, ma femme me demanda de rester avec Agnès pour l’aider à coucher Jean.

Puis elle lui dit, pour éviter de me ramener, de me garder à coucher chez elle et qu’elle nous attendait demain vers midi pour déjeuner.


Arrivés chez mes amis, avec bien du mal on avait réussi à coucher Jean. Après avoir aidé à le dévêtir, avec les efforts que j’avais faits, je commençais à tituber.

Agnès, en me voyant ainsi, se précipita sur moi en me disant :



Elle passa sous mon bras pour m’aider tenir debout. Je sentis son parfum et en profitai pour la taquiner.



Arrivé à l’étage, elle me conduisit dans la chambre d’amis, mais au moment de m’aider à m’allonger, je m’écroulai sur le lit, en l’entraînant dans ma chute. Et là, je me retrouvai couché sur le dos, avec Agnès en travers, la jupe relevée, dévoilant un magnifique string en dentelles rouge et une jolie paire de fesses bien raffermies par des années de pratique de fitness. Cette furtive vision, me provoqua une solide érection qu’elle n’a pu que sentir.


Mais Agnès s’étant très vite relevée en riant aux éclats, me demanda de retirer ma chemisette, pendant qu’elle s’occupait de me retirer mon pantalon. Étonné, je laisse, car je ne suis pas dans un état qui le justifie…

Lorsqu’elle tira sur le bas de mon pantalon pour me l’ôter, mon caleçon vint avec, et là, je me retrouvai la queue à l’air fièrement dressée devant ses yeux exorbités.

Elle resta un long moment à fixer mon sexe. Moi je restais inerte, à sa merci, en silence. Elle se retourna pour quitter la chambre. Arrivée à la porte, elle éteignit la lumière puis en un clin d’œil, elle se mit à poil.


Je pouvais admirer son corps splendide grâce à l’éclairage du palier. C’est la première fois que je la voyais nue, bien gaulée, pas grande, mais bien proportionnée, sa chatte de brune bien fournie, mais entretenue. Elle rampa sur le lit, une main posée sur son sexe, puis elle m’enjamba, prit mon sexe dans ses mains, le secoua de gauche à droite, et murmura :



Puis joignant le geste à la parole, elle s’accroupit au-dessus de mon bas-ventre, fit glisser mon gland entre les lèvres charnues de sa vulve luisante de mouille couleur rose bonbon et s’empala doucement sur mon sexe, en gémissant de plaisir, se laissant doucement glisser sur toute la longueur de mon membre. Elle stoppa un instant en me répétant « Je te sens bien », comme pour prendre la mesure de mon sexe, puis se mit à faire des va-et-vient langoureux.


Je pouvais sentir la douceur de son fourreau, chaud et humide, enserrer mon sexe, j’avais du mal à croire que j’étais en train de baiser la femme de mon ami, mais je la laissai faire, j’étais trop bien et en plus j’adorais ça. Elle accéléra la cadence, poussant un cri à chaque fois que ma queue percutait le fond de sa matrice. Cela me sembla durer une éternité puis elle se cabra : l’orgasme la submergea tel un tsunami, elle hurla son plaisir la bouche grande ouverte, les yeux mi-clos.



Une abondante émission de cyprine me trempa les bourses. Cette vision provoqua ma propre jouissance, j’inondai copieusement le fourreau étroit d’Agnès, en beuglant comme un veau. Mon foutre a jailli de ma queue, en tapissant de vagues crémeuses les parois de son vagin. Agnès explosa à nouveau :



Elle m’embrassa tendrement en allant au bout de sa jouissance puis finit par se désemmancher de ma queue qui bandait encore :



Sous l’emprise de l’alcool et de la fatigue, je sombrai dans une profonde extase mélangée à un certain trouble. Ma femme était cocue…


Le sommeil ne vint pas et une envie de vider ma vessie se fait sentir. C’est au radar que je rejoignis les w.c. en silence et dans le noir.

En sortant, une lumière m’indiqua la direction de la chambre de mes amis. La porte était entrouverte et un spectacle s’offrait à moi. Je découvris Jean très excité et alerte, bouffant la chatte de sa femme qui étouffait sa jouissance en mettant ses mains sur sa bouche certainement pour que je ne l’entende pas : donc Jean nous a entendus baiser…


Le lendemain matin, vers onze heures, après une bonne douche, je retrouvai mon ami dans la cuisine, avec une de ces tronches, s’envoyant un café serré. Il rigola en voyant la mienne, et m’offrit un même café.

J’étais en train de siroter ma tasse quand Agnès rentra et nos regards se croisèrent fugacement. Croyait-elle que je ne me rappelai pas de ce qui c’était passé cette nuit ?

Perdu dans mes pensées, le son de sa voix me tira de ma réflexion.



Je réalisai un peu plus que leur choix de cette soirée à quatre n’était pas le fruit d’un hasard… Jean me donnera-t-il les clés pour comprendre ce qui vient de se passer ?

Agnès prit le volant, Jean à ses côtés, moi assis derrière. Pendant le trajet elle me lança des regards interrogateurs, mais discrets dans le rétroviseur. Elle voulait savoir si je me souvenais.


Mais ça, c’est une autre histoire.