n° 17408 | Fiche technique | 7842 caractères | 7842Temps de lecture estimé : 5 mn | 01/06/16 |
Résumé: Lors d'une soirée de travail, deux collègues se découvrent, jouent, dansent, rient... Mais l'alchimie entre eux va provoquer des envies irrésistibles de sexe et de fantasmes brisant alors tous les interdits. | ||||
Critères: fh extracon collègues plage hotel voyage fellation cunnilingu pénétratio fsodo confession -coupfoudr -nature | ||||
Auteur : Chouquette (il me surnomme chouquette...) |
À ce moment-là, lui et moi étions dans la même société.
Nous nous sommes réellement rencontrés en janvier ; il m’est apparu comme une évidence que cette nouvelle année à venir ne ressemblerait à aucune autre.
Je ne sais pas vraiment expliquer pourquoi cet homme m’a fascinée quasi instantanément ; il était très élégant dans son costume sombre, avec des mains larges qui laissaient présager des caresses modèle et son regard doux, à la limite de l’enfance. Je ne me serais pas retournée sur lui dans la rue, mais dans l’obscurité de cette grande salle mon regard était saisi car il ne ressemblait à aucun autre, et je savais peut-être inconsciemment qu’il ferait de moi une autre femme.
Une relation simple entre collègues de travail, des échanges de conseils, une expérience partagée… bref, une amitié tranquille qui dura quelques mois, avec des coups de téléphone, mais tout bascula un 15 avril.
Nous étions à nouveau réunis par le travail, cet après-midi-là. Il faisait chaud. Arrivés à notre hôtel, nous avons partagé un café dans sa chambre en regardant un match de tennis. Alors que nous étions côte à côte sur son grand lit, il s’est délicatement approché de moi. Je sentais son souffle chaud dans mon cou… Ses lèvres se sont posées sur les miennes ; j’ai eu un frisson, comme un éclair brisant le ciel noir un soir d’orage et je me suis sentie humide et excitée avant que mon esprit réaliste ne reprenne le dessus, m’obligeant à me redresser et à rejoindre ma chambre à toute allure en essayant de me convaincre que cela ne devait pas arriver.
Mon esprit était lucide, mais mon corps ne suivait plus, engageant alors un combat des plus féroces entre le désir que me procurait cet homme et l’interdit qui était bien présent de par le fait que nous travaillions ensemble, mais surtout par le fait que nous étions tous deux mariés. Je n’ai pas cédé à son désir ni au mien, et aujourd’hui j’en suis fière !
Nous nous sommes retrouvés quelques semaines plus tard, à mon initiative. Je savais que si je le revoyais, cela serait le début d’une situation compliquée ; mais j’étais irrésistiblement attirée par lui, et il fallait que je sache où cela nous mènerait.
Nous avons fait l’amour la première fois dans une chambre d’hôtel, mais je ne perdrai pas de temps à décrire cet acte tant il fut chaotique, puis nous nous sommes revus encore et encore. Et là… quel bonheur ! Non seulement cet homme était charismatique, mais il possédait un organe splendide ! Mes seins devenaient durs et mes tétons pointaient dès que je me trouvais face à lui ; il s’empressait alors de poser ses lèvres sur mes seins, de mordiller mes tétons, de les pétrir, et je retrouvais sur moi ses mains qui m’avaient tant fait rêver. Je le sentais se raidir contre mon ventre ; ses yeux brillaient d’excitation… Je m’agenouillai pour consommer ce tison d’or qui s’offrait à moi. Son gland était somptueux. J’enroulai ma langue autour de ce cadeau, me procurant un plaisir unique. De petites gouttes se perdaient dans ma bouche ; il avait un goût merveilleux, ce gars-là !
Allongés, je m’empressai de venir m’empaler sur lui. Son sexe glissait dans mon trou chaud avec une facilité indécente ; il allait se loger très loin, ce qui me procurait un plaisir terrible. Pendant que je m’activais à me déhancher avec frénésie, il me pinçait délicatement le bout des tétons, créant ainsi un accord symphonique digne des plus grands orchestres. Il faisait claquer ses mains sur mes fesses, et je gémis de plaisir jusqu’au moment où il se vida en moi, atteignant une jouissance exquise.
Après un déjeuner très excitant en bord de mer, nous fîmes un arrêt sur une plage déserte. Il faisait un temps radieux, nous étions complètement seuls. Il a commencé à me caresser. J’ai senti ses doigts s’enfiler en moi ; j’étais trempée. Il attrapa alors mes cheveux et les tira vers l’arrière ; nous étions dans un état second. Son pantalon descendu sur ses chevilles, je pouvais admirer tout l’ensemble de ce que je m’apprêtais à recevoir…
Je me mis dos à lui ; je le sentais dur dans le creux de mes reins. Je me penchai vers l’avant, souhaitant le recevoir en moi avec une force paralysante. Après avoir humidifié mon petit trou, il s’y engouffra délicatement, exécutant de petits va-et-vient ; c’était une découverte pour moi, je me sentais planer, incontrôlée. D’un coup, je sentis un jet puissant m’inonder ; j’éprouvai alors une sensation délicieuse.
Nous aimions faire l’amour dans les vignobles où nous sentions la brise nous caresser. Il me pénétrait avec folie, et rien alors ne nous manquait : nous étions tous les deux entre la terre et le ciel ; ce furent nos plus beaux instants.
Nous nous amusions à élaborer des mises en scène reprenant les fantasmes que nous évoquions sous forme de jeux, de décors et d’ambiances : les chambres d’hôtel se transformaient alors en théâtre dont nous étions les principaux acteurs.
Nous échangions des SMS brûlants accompagnés souvent de photos ; je lui envoyais les photos de mes sous-vêtements du jour, puis une autre où je retirais le haut, puis le bas. Je lui racontais de quelle façon j’étais en train de me caresser ; lui me disait ce qu’il voulait que je fasse. Nous commencions à faire grimper l’excitation puis, au moment où nous étions prêts, nous nous téléphonions afin de jouir ensemble ; notre imagination n’avait aucune limite.
Il aimait aussi écarter mes cuisses afin de lécher mon bouton dur. Il passait le bout de sa langue sur mon clito fou puis descendait entre mes lèvres ; il me pénétrait avec sa langue tel un affamé mais je relevais sa tête car il m’aurait fait jouir sans vergogne. Ce que j’aimais par-dessus tout, c’est jouir avec lui. Il me fixait alors et savait que je voulais recevoir sa queue en moi, qu’il me secoue, qu’il gicle dans mon ventre.
Lors d’une énième rencontre, nous étions dans une ambiance studieuse, tentant de rester concentrés, mais cela fut de courte durée. Il s’approcha de moi. Sa ceinture était au niveau de ma bouche. Je tournai la tête et me retrouvai face à une bosse subtilement dissimulée sous le jean ; cette vision me fit trembler. Je décidai que cette fois serait différente. Je déboutonnai son jean et l’abaissai légèrement, de quoi passer mes mains sur ses fesses. J’ai bien cru que son boxer allait craquer car son sexe plein de nervures et rouge comme le feu se dressait devant moi. Je l’attrapai et le posai sur ma langue. Je titillai son petit orifice juteux avant de l’engouffrer totalement dans ma bouche. Il m’attrapa les cheveux et guida mon élan pendant que je retirais ma tunique ; il gémissait pendant que je le suçais, puis il explosa son jus sur mes seins, me recouvrant le cou. Son liquide chaud dévalait mes seins montagneux.
Nous avons réalisé nos délires les plus fous ; du sexe parfait, une pleine osmose. Chacune de nos retrouvailles était de plus en plus charnelle et passionnelle. Cet homme est un amant fabuleux : il a révélé en moi l’amour du sexe, et l’amour tout court, finalement. Quand un être comme lui croise votre route, il est impossible de redevenir la femme que vous étiez avant. J’aime tout chez cet homme : il est insolent et provocant, il a de l’humour tout en étant très posé, il fait magnifiquement bien l’amour, c’est un doux rêveur qui m’a emmenée, depuis un an, faire les plus beaux voyages…