Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 17412Fiche technique24469 caractères24469
Temps de lecture estimé : 14 mn
04/06/16
Résumé:  Arnaud se lance dans la photographie de modèle. Laura pose pour la première fois.
Critères:  fh exhib strip photofilm lingerie
Auteur : Pandoreoflille      Envoi mini-message

Série : Arnaud, photographe

Chapitre 01
Mon premier modèle vivant

Je m’appelle Arnaud, j’ai 25 ans et cela fait déjà plusieurs années que je pratique la photographie en amateur, c’est même déjà devenu une véritable passion. Elle a débuté à l’occasion d’un voyage en Chine qui fût le prétexte parfait pour l’achat de mon premier reflex, un Canon, et de mes premiers objectifs également.

De fil en aiguille, mon intérêt pour cette pratique s’est largement développé. J’ai aiguisé mon sens critique, travaillé mes compositions, pratiqué, et me suis beaucoup renseigné sur les différents domaines d’application.


Bien évidemment, je me suis d’abord consacré à la photographie de voyage, puisque tel était mon but premier, mais je me suis également très vite orienté vers la photographie de rue, le reportage, les personnes.

De fil en aiguille, une véritable attirance pour les sujets « humains » s’est emparée de moi. Photographier les gens, dans leur quotidien, dans leur train-train, dans la vie quoi.


J’échangeais de plus en plus au sein de forums, de communautés, et c’est finalement naturellement que je décidai, un beau jour, de m’essayer à travailler avec un modèle photo.


Il n’est pas simple de contacter quelqu’un pour s’essayer à une toute première approche de la photographie de modèle, à plus forte raison lorsque l’on débute sur le sujet et que l’on n’a aucun travail à présenter.

Je choisis donc la manière qui me paraissait la plus évidente pour tenter ma chance : publier une annonce sur un site de petites annonces en ligne, dans la rubrique adéquate, et présenter ma requête de la manière la plus simple et claire possible :


« Photographe amateur, travaillant de nombreux sujets depuis quelques années, recherche modèle photo pour un premier shoot en collaboration. Bonne humeur et respect garantis. Débutante acceptée, je suis moi-même débutant sur le sujet ;-) »


Je n’avais rien à perdre, et après tout il faut bien commencer par quelque part !


La première réponse se fit quelque peu attendre, mais je la reçus que trois ou quatre jours plus tard :


« Bonjour, je suis Laura, 21 ans, d’Amiens. Je n’ai jamais vraiment posé pour un photographe, mais j’aimerais réellement m’y essayer. Je ne suis pas modèle, mais je pense pouvoir être à l’aise devant l’objectif et j’aimerais beaucoup avoir quelques chouettes photos de moi. Si cela vous intéresse, n’hésitez pas à me contacter par Skype. »


Ce fut par ces quelques lignes que je fis ma première découverte de Laura,


Je la contactai le soir même sur le chat à l’adresse en question.



Le courant avait l’air de bien passer, Laura étant très sympa, je décidai d’entrer dans le vif du sujet :



Elle marqua un temps de pose dans la conversation Skype, avant de reprendre :



Je ne savais pas trop où elle voulait en venir



Mon souffle était suspendu, je ne m’imaginais pas du tout aborder ces thèmes lors de la séance, j’hésitais même, mais après tout… Pourquoi pas ? La lingerie ou le nu sont de magnifiques sujets de photos, les aborder aurait de toute façon fait partie de ma démarche.


Je repris donc la conversation :



La demoiselle m’envoya de très jolies photos d’une brune mignonne aux longs cheveux bouclés, bien dans son âge et ses baskets, habillée d’un très joli débardeur porté sur un jean qui lui donnait une allure décontractée très sympas.


Nous échangeâmes encore un moment, puis nous fixions rendez-vous quelques jours plus tard, à son appart.

J’avoue que la petite tournure qu’avait prise la conversation, l’air de rien, avait enflammé mon imagination. Et si nous en arrivions là ? Et si nous nous préparions pour un shoot de lingerie ? Voire de nu ? Alors que c’était ma première séance de photographe ? Oserai-je donner les bonnes instructions et assurer ?


Je descendis du train, gare d’Amiens, plein de doutes, d’appréhension, et d’excitation. J’avais eu Laura au téléphone quelques heures auparavant, me confirmant le rendez-vous, et me précisant avec une voix entendue avoir acheté « plein de choses pour l’occasion ».


Il ne me fallut pas longtemps, au sortir de la gare, pour identifier mon charmant modèle. Robe volante sous un blazer noir, tennis aux pieds, de jolies taches de rousseur sur les joues, je me dis que j’aurais pu bien plus mal tomber.

Grand sourire, bise très chaleureuse, et visiblement aucune gêne, nos premiers échanges se passèrent bien plus naturellement que je n’aurais pu l’imaginer.



Elle rit, le compliment semblait bien lui avoir plu.

Nous traversâmes à pied une partie du centre-ville pour arriver à la porte d’un immeuble au style un peu vieillot, mais charmant.



Le petit salon avait bien plus de charme que je n’aurais pu l’imaginer, un canapé l’agrémentait, ainsi qu’une grande armoire normande en bois qui avait beaucoup de caractère.



Son naturel me sciait. En guise de visite, j’eus un aperçu d’une petite salle de bains et d’une chambre un peu exiguë, dont le lit état couvert d’habits.


Après avoir encore pas mal discuté, nous décidâmes de nous mettre en place.



Je crois que c’est surtout moi qui avais besoin de me mettre à l’aise.



Je la laissai se préparer dans la salle de bains, tout en mettant en place mon matériel et en effectuant mes premiers réglages.

Elle revint plusieurs minutes après, très joliment maquillée, cheveux attachés et allure stricte, avec un très beau pantalon de tailleurs noir, assorti à un boléro de la même couleur passé au-dessus d’une chemise rouge. Des talons finissaient de transformer sa silhouette pour la changer en une magnifique working girl.


La température avait monté d’un cran de mon côté et je ne tardai pas à lui donner les premières indications de pose. Elle ne mit pas longtemps à parfaitement jouer le jeu, prendre des attitudes travaillées et se métamorphoser petit à petit en star de l’objectif.


J’étais aux anges, mon modèle assurait terriblement bien, je n’avais plus qu’à me focaliser sur la prise de vue. Elle dégageait aussi quelque chose d’extrêmement sexy qui ne manquait pas de me surprendre.

Au détour de quelques poses, elle dut changer la musique sur la chaîne hi-fi, posée à même le sol. Se faisant, elle se pencha, dos à moi. Je regardais alors les premiers résultats sur l’écran de mon reflex et mon œil fut immédiatement attiré par un magnifique string rouge qui s’afficha entre la chemise un peu retroussée et le pantalon serrant de ma working girl.

J’étais certain que ce n’était pas le fruit du hasard et l’effet fût immédiat. Je sentis gonfler une bosse dans mon pantalon à l’idée de ce que pourrait réserver la suite de la séance.



Une nouvelle fois, je la laissai se préparer dans la salle de bain, profitant de l’intermède pour me remettre les idées en place.


La belle revint avec une très jolie robe à pois et des talons qui la mettaient en valeur de manière ravissante.

Mais ce qui attirait le plus mon regard était ses jolies jambes, visiblement recouvertes de nylon.



Il fallait bien que j’essaie de me tirer de ce charme qu’elle s’ingéniait à déployer si facilement.


Les poses reprirent, autour du canapé cette fois.

Je la fis s’appuyer dessus, s’asseoir, croiser et décroiser les jambes, puis lui demandai de s’allonger sur le ventre, appuyée sur les coudes, et jouant à remonter les jambes.

L’effet inconsciemment souhaité ne tarda pas à se produire et très vite un magnifique liseré de bas se fit de plus en plus apparent. Il s’agissait de bas autofixant, aux liserés larges et pleins de dentelles. Cela m’attirait très fortement.

La belle s’aperçut de mon malaise



Elle se mit sur le dos, tendis la jambe en l’air et gardant sa robe retroussée, en me laissant totalement à vue le haut de sa jambe, le liseré de son bas et la dentelle de ce qui se trouvait encore plus haut.

Je continuai à shooter, imperturbable, mais les sourires de ma complice en disaient long sur sa compréhension de mon état anatomique durcissant.



Elle mit un peu plus de temps à revenir cette fois. Je m’étais occupé à positionner quelques sources lumineuses dans la pièce pour compléter un peu l’éclairage ambiant faiblissant et n’avais pas prêté attention à son retour.

Elle toussota, ce qui me fit me retourner, et piquer un fart : mon joli modèle avait détaché ses cheveux, elle portait un peignoir qui me laissait présager que la belle souhaitait monter d’un cran pour notre séance.

Je fis de mon mieux pour cacher mon trouble.



Un instant mon manque d’initiative sur la gestion de la séance me vexa un peu, mais ces pensées furent très vite chassées par la vue du peignoir glissant aux pieds de Laura. Elle portait un très joli ensemble rouge, en dentelle, composé d’un soutien-gorge qui la mettait parfaitement en valeur et d’un tanga qui ne recouvrait qu’une petite partie de ses fesses, d’une blancheur que je n’avais pas soupçonnée.

Elle resta un instant ainsi, face à moi et le regard un peu baissé, timide, et releva les yeux pour me demander



Le vague son qui sortit de ma gorge dut lui confirmer que le choix n’était pas mauvais.


Je tentai de reprendre rapidement la main sur la séance, et demandai à mon modèle de prendre les poses qui me traversaient l’esprit. Cela fonctionnait bien et je jubilais à l’idée des résultats qui seraient obtenus.

Ma partenaire me demandait régulièrement des cadrages précis :



J’obtempérais sans trop de difficultés.


Nous travaillions depuis déjà deux heures, quasiment sans interruption, je proposai donc une pause.



Et c’est le plus naturellement du monde, sans changer de tenue, qu’elle passa devant moi en me frôlant pour se rendre à la cuisine.

Nous bûmes notre thé en discutant et rigolant ainsi, toute trace de gêne avait disparu entre nous, et si je ne pouvais m’empêcher de balayer les courbes de ma comparse du regard, elle ne m’en tenait absolument aucune rigueur.



Elle se dirigea vers son armoire, et en sortit un petit sac.



La bosse de mon pantalon, qui avait disparu au cours de notre séance, reprit de plus belle. J’allais avoir bien du mal à garder mon calme à présent.



Le sourire qu’elle me lança alors me fit fondre totalement.



Se concentrer… Je tâchais de calmer mes pensées, de faire mes réglages, de vérifier le plan d’éclairage que j’avais prévu et de faire en sorte que tout soit prêt pour son retour.

Elle revint avec une robe boutonnée sur le devant, en talons, la couture de ses bas sur le dos de ses jambes ne laissait aucun doute sur le fait qu’elle avait sauté le pas.



Elle me sourit, les premières notes de la musique démarrèrent, « You can leave your hat on », Joe Cocker, la musique de strip-tease par excellence, je ne respirais plus.

Elle se mit en place, son corps ondulant doucement au rythme de la musique,


« Baby take off your shoes »


Ses doigts couraient sur les boutons de sa robe, les faisant sauter un à un, je shootais chacun de ces sauts qui me laissaient apparaître le magnifique bustier noir qu’elle portait dessous.


« Baby take off your dress »


Les boutons du bas avaient sauté à présent, la robe complètement ouverte laissait admirer le porte-jarretelles garant de la tenue d’admirables bas qui gainaient à la perfection les jambes de mon effeuilleuse improvisée.

Elle me tourna brusquement le dos.


« You can leave your hat on »


La robe tomba par terre, me tournant toujours le dos elle se pencha complètement en avant pour la ramasser, donnant à mon appareil photo un magnifique point de vue sur ses fesses que rehaussait son string noir.


« You can leave your hat on »


Toujours de dos, ses mains remontèrent le long de ses jambes, puis de son dos pour manipuler la fermeture qui maintenait son bustier en place et qui ne tarda pas à tomber, lui aussi.

Elle continuait d’onduler, effectua un très gracieux demi-tour, et me fit face en maintenant sa poitrine cachée par son bras, je n’en perdais pas une miette.

Elle avait le regard baissé, mais leva ses yeux pour les planter dans mon objectif.

Si ma position de photographe me tenait à une certaine rigueur, un homme est un homme, et je bandais à présent complètement. Je ne me préoccupais même pas de masquer ma gêne. Le souffle court, je détectais une petite hésitation de la belle.



Le bras cachant sa poitrine libéra alors deux très jolis seins blancs.

Ses mains descendirent jusqu’à la ficelle de son string, elle joua un moment à en baisser un côté, puis l’autre, puis se mit à nouveau dos à moi pour finalement le faire tomber à terre.

Elle ne portait plus qu’un porte-jarretelles et des bas, vision magnifique que je continuais d’immortaliser tant bien que mal.


La musique allait se terminer, nous touchions aux dernières notes, et c’est dans un élan sans pudeur qu’elle finit par se retourner pour m’offrir la vue de sa nudité à peine habillée. Un magnifique ticket de métro parfaitement soigné sur les derniers coups de trompette de Joe.

Elle me fit un salut parfaitement mignon pour terminer cette prestation improvisée, avant de se jeter sur sa robe pour s’en couvrir un peu.



Elle avait un sourire parfaitement entendu.


Je ne pouvais continuer ainsi, au risque de déraper, j’étais là pour réaliser une chouette séance photo, et je m’y tiendrais !

Je proposais donc de terminer la séance là-dessus, ce sur quoi elle fut tout à fait d’accord.



Je la laissai repasser à la salle de bains, en profitai pour reprendre mes esprits et faire le point.

Elle revint, vêtue uniquement d’un kimono qu’elle avait vaguement fermé à l’aide d’une ceinture un peu lâche.



Je lui souriais comme un benêt, j’en avais complètement oublié l’heure, et par ailleurs, un jour dans le kimono me laissait deviner l’aréole d’un sein dont je ne pouvais détacher le regard. Elle ne semblait pas m’en tenir rigueur outre mesure.


Cela me revint, comme un éclair.



J’avoue qu’une seconde l’idée m’a tenté, plus que tenté même, mais je m’étais fixé une éthique pour la journée, quoiqu’il en coûte.

Je refusai donc l’invitation, la remerciai très sincèrement pour ce magnifique après-midi et m’éclipsai au triple galop pour rattraper mon train.

Au moment de la quitter, me regardant dans les yeux, elle me dit :




À suivre…