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Temps de lecture estimé : 7 mn
07/06/16
Résumé:  Jeune étudiant en fac, je me retrouve en vacances en famille, non loin du lit de la Dordogne...
Critères:  fh extracon grosseins vacances
Auteur : Juliano            Envoi mini-message
L'été en short

Il fait chaud, c’est le début de l’été.

L’histoire se passe en Dordogne, dans les années 90.

J’ai alors dix-huit printemps, et mes parents, ma sœur aînée et moi-même sommes venus, sur invitation d’un collègue de mon père, dans la grande maison de campagne de celui-ci.


Un vaste terrain ombragé, une piscine, une terrasse pour une grande tablée, une baraque et ses nombreuses piaules ; bref, tout y est. Le propriétaire des lieux se nomme Pierre, sa femme Jeanne, et leur fille – qui, à quelques mois près a mon âge – Maude.


Maude, je la vois pour la première fois en arrivant dans leur demeure. Elle est plutôt jolie dans sa robe à froufrous, les cheveux au vent. On se salue timidement alors que nos parents font la visite des lieux. Pour son jeune âge, elle est déjà galbée comme une femme ; ses seins semblent faire leur poids, et ses fesses sont bien rondes et fières comme deux demi-lunes rousses.


Ma sœur commence à lui tenir la jambe, lui raconter ses turpitudes d’étudiante en lettres. De temps à autre, Maude me jette un coup d’œil en me souriant, l’air amusé par les monologues ininterrompus de la jeune femme.

En tous cas, je suis d’entrée de jeu ravi par la présence de cette demoiselle dans la demeure, moi qui avais peur de m’ennuyer à mourir aux abords de cette Dordogne quasi-sauvage. Il faut dire que partir en vacances avec nos parents est un peu une obligation, et ce sera sûrement la dernière année que ma sœur et moi y céderons.


Les jours passent. Le soleil ne cesse de cogner, on se baigne beaucoup ; Maude, ma sœur et moi passons les trois quarts des journées dans et au bord de la piscine. Nos parents, quant à eux, restent la plupart du temps à l’ombre autour de la table de jardin à refaire le monde, boire du rosé bien frais et semi-siester sur les chaises longues.


Un soir, alors que les parents s’affairent à préparer le barbecue et que ma sœur et Maude sont parties au village, j’en profite pour passer un coup de fil à ma petite amie en me baladant dans le parc. Après avoir raccroché, je me décide à rejoindre les adultes sur la terrasse.


En longeant la maison, je m’aperçois qu’une petite lumière émane du sous-sol ; cela éveille ma curiosité. La fenêtre est une petite meurtrière discrète, allongée le long du sol. Je m’accroupis sur la verdure derrière un buisson touffu pour jeter un coup d’œil. De nombreuses quilles de vin sont alignées là, sur des range-bouteilles en bois. Jeanne, la mère de Maude, entre alors dans mon champ de vision ; elle a dû descendre pour chercher le vin du soir. Elle porte une longue robe blanche que la lumière de la cave rend quasi-transparente, et en bon jeune homme en éveil, j’en profite pour me rincer l’œil de ma planque, d’autant que la mère de famille est bien gironde, avec des courbes assez affolantes.


Une surprise de taille m’attend : une silhouette qui ne m’est pas inconnue s’approche de Jeanne qui est penchée sur les bouteilles pour faire son choix. Stupéfaction : mon père l’attrape par les hanches. Elle se redresse, semblant surprise, mais se laisse embrasser dans le cou. Je suis sur le cul, incapable de réagir, j’ai envie de prévenir ma mère, Maude, tout le monde, mais je reste là, immobile et complètement déboussolé.


Mon père a empoigné les gros seins de Jeanne et les pétrit sans ménagement alors que je vois qu’elle semble faiblement tenter de le raisonner. Enfin, vraiment faiblement, car elle frotte lascivement son beau fessier contre le bas-ventre de mon père alors que ce dernier n’en finit plus de jouer avec ses mamelles lourdes tout en lui mordillant la nuque.


Malgré l’écœurement que provoque chez moi cette scène, il faut bien reconnaître que la vue de ce pelotage ne me laisse pas indifférent. Eh oui, je bande comme un ado en rut en voyant les gros seins déjà à moitié sortis de la robe et malaxés fiévreusement. Puis, sans crier gare, mon père fait se cambrer Jeanne qui prend appui sur le casier à bouteilles. Il trousse sa robe jusqu’au-dessus de la taille, fait descendre le string et commence à se débraguetter. Je n’en reviens pas : il va la baiser ! Il est maintenant en train de frotter sa queue contre les fesses de Jeanne qui écarte lentement les jambes, et d’un coup sec il entre en elle.


Je suis là, allongé derrière un buisson, à mater mon daron en train de tringler la femme de notre hôte dans la cave à vin ; il n’y va pas de main morte : il la besogne comme un fou, lui assène des coups de boutoir bien costauds. Je n’entends rien, mais à voir le visage de la dame quand mon père lui tire les cheveux, elle a l’air de miauler copieusement. Ses gros seins ballotent en tous sens et ses fesses font des mouvements de vagues sous la puissance de la charge. Il pétrit ce cul magnifique tout en pilonnant la belle sans relâche, et ça n’a pas l’air d’être fait pour lui déplaire.


Je suis partagé entre le sentiment d’injustice vis-à-vis de ma mère, la rage de voir cette scène peu équivoque, et l’excitation que provoque la vue de cette belle femme offerte et à moitié nue. Je vois mon père soudain se crisper, se tendre : il doit être en train d’éjaculer en elle, il déverse sa sève en levant la tête au ciel. Elle se retourne, offre sa bouche, et ils s’embrassent tendrement, langoureusement. La scène est intenable, et de plus j’ai mouillé mon short ; il va falloir que j’aille discrètement me changer. La mère de Maude remonte son string, se réajuste et prend une bouteille de vin avant de remonter. Mon père reste encore un moment dans la cave pour ne pas éveiller les soupçons. Je sors discrètement de ma cachette et entre sans bruit dans la maison par la baie vitrée entrouverte du salon, file à l’étage dans la chambre que je partage avec ma sœur, et change en vitesse de short.


La soirée se passe ; tout le monde est réuni autour de la table, Maude et moi discutons assez peu, c’est surtout ma frangine qui meuble de ses blablas incessants. Dans ma tête défilent les images de la scène à laquelle j’ai assisté, cette baise frénétique dont j’ai été témoin.


Le lendemain matin, Pierre et ma mère proposent à l’assistance d’aller faire le marché au village. Moi, ça ne me dit rien ; je vais aller tendre ma canne à pêche dans le petit bras de rivière situé non loin de la maison. Mon père propose de m’accompagner. Ma mère et Pierre emmènent donc les filles avec eux au village ; quant à Jeanne, elle reste à la maison, prétextant qu’elle doit s’affairer.


Mon père me pose la main sur l’épaule alors que je suis en train de préparer mon matériel de pêche dans le jardin et me dit : « Fiston, pars devant, il faut que je jette un œil au niveau d’huile de la voiture ; je te rejoins. » Je fais mine de partir, mais au bout du parc je planque mes affaires de pêcheur du dimanche derrière un arbre et je rebrousse chemin le plus discrètement possible.


Personne à l’horizon ; mon père et Jeanne ont disparu de mon champ de vision. Arrivé à proximité de la baie vitrée du salon, j’entends des murmures qui viennent de l’intérieur. Je me rapproche à pas de velours et je découvre au beau milieu de la pièce les deux amants debout, enlacés, qui s’embrassent goulûment. Jeanne a déjà le short baissé sous les fesses, et la vue de ses deux belles pommes blanches me colle instantanément une gaule de folie. Mon père les lui tripote avec gourmandise ; il ne perd pas une miette de ce cul sublime, tout en fourrant sa langue dans la bouche de Jeanne. Elle le repousse timidement un instant et lui dit : « On ne devrait pas faire ça ; si jamais ton fils revenait de la rivière pour une quelconque raison… » Mon père qui continue de la peloter lui répond : « Oh, ma chérie, tu me fais tellement bander… Je ne peux pas me retenir, il faut que je te fourre ! »


Sans crier gare, il la pousse sur le canapé où elle se retrouve allongée. Il lui enlève son short vivement, se défait du sien sans attendre, laissant apparaître une trique hors norme, et s’allonge sur elle. Il écarte ses cuisses à outrance et la pénètre sans plus attendre. Elle pousse un petit cri étouffé et s’agrippe aux fesses de mon daron alors qu’il commence à la limer sans ménagement. Le son des gémissements de Jeanne et le bruit provoqué par les va-et-vient puissants qu’assène mon père à sa partenaire me font bander comme un taureau ; je ne peux m’empêcher de me masser le sexe à travers le short.


Au bout de quelques minutes de ce traitement pour le moins bestial, mon père se redresse, demande à Jeanne de se positionner à quatre pattes, et l’enfile de plus belle en levrette sur le canapé confortable. Jeanne, la tête dans les coussins, se fait marteler par la pine de l’ancien qui, je dois l’admettre, a encore la santé. Il lui malaxe ses belles mamelles tout en la besognant comme un malpropre.


La vue de cette belle femme, le cul à l’air, pilonnée par derrière avec pour unique rempart ses baskets aux pieds me met dans un état de folie. J’adorerais être à la place de mon vieux et m’envoyer cette belle femme infidèle et gourmande.


Il lui tire les cheveux pour qu’elle se redresse un peu, qu’elle se cambre bien, et la tringle de plus en plus vivement. Il lui glisse à l’oreille : « Je vais juter dans ta jolie petite chatte ; je sens que ça monte, ma chérie… » Elle répond : « Oh oui, défonce-moi encore, je vais jouir ! » Et hop, feu d’artifice : mon père grogne, il envoie la purée dans l’antre chaud, de longs jets aspergent la grotte de Jeanne qui miaule sans discontinuer alors que les flots de sperme se déversent en elle.

Ils s’embrassent. Je m’éloigne discrètement. J’ai joui également ; encore un calbute de taché.


En ramassant mes cannes et mes hameçons derrière l’arbre, je me pose cette question pour le moins pertinente : « À cette cadence, aurai-je assez de shorts de rechange pour les vacances ? »