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Temps de lecture estimé : 8 mn
11/06/16
Résumé:  Notre première nuit à 4, dans la seconde chambre.
Critères:  2couples extraoffre cunnilingu anulingus fsodo échange
Auteur : Syl13Chris            Envoi mini-message

Série : Découverte des joies de l'échangisme

Chapitre 02 / 02
Soirée entre couples 2/2

Dans le premier volet de mes récits, mon amie Sonia vous a raconté notre première nuit à quatre où, après un repas bien arrosé, je l’ai laissée faire l’amour à Christophe, mon conjoint, du temps que je prenais plaisir à en faire autant avec son mari.



Dans ce second épisode, je vais vous décrire cette soirée telle que moi j’ai pu la vivre.

Tout d’abord, commençons par les présentations :


Je m’appelle Sylvie, j’ai 44 ans, je suis brune aux cheveux longs, je mesure 1,66 m, je suis assez sportive et j’ai la chance d’avoir une poitrine généreuse que je prends plaisir à mettre en évidence à chaque fois que j’en ai l’occasion. Je suis mariée à Christophe, mais ça vous le savez déjà si vous avez lu le premier récit. Nous nous sommes connus très jeunes, au collège, et notre relation amicale s’est rapidement transformée en relation amoureuse. De cet amour sont nés nos deux enfants que nous adorons.


Pour ce qui est de la partie intime, il faut savoir que toutes ces années nous sommes restés fidèles, et cela malgré le fait que nous n’ayons jamais connu d’autres partenaires avant le début de notre relation. Les occasions qui se sont présentées, aussi bien pour Christophe que pour moi, n’ont jamais pu rompre cette fidélité mais il est vrai que souvent, le désir de faire l’amour avec un autre partenaire nous a traversé l’esprit. C’est d’ailleurs pour cette raison que régulièrement nous pimentons nos rapports en fantasmant sur une présence qui nous accompagne dans notre lit. Je prends beaucoup de plaisir pendant nos ébats lorsque Christophe me raconte la façon dont il aimerait me voir faire l’amour avec tel ou tel voisin ou ami. Très souvent, lors de nos jeux intimes, ce sont Rémi et Sonia qui rejoignent nos fantasmes. Rémi et Sonia sont des amis de longue date, nous avons fait leur connaissance lorsque nous avons choisi Sonia pour être la nounou de notre premier. De fil en aiguille, nos relations sont devenues amicales, et régulièrement nous nous rencontrons pour passer d’agréables soirées festives ou des journées de détente.


Au fil du temps, Christophe marquait une certaine obsession vis-à-vis de Sonia, d’ailleurs je l’ai souvent soupçonné de se donner du plaisir solitaire en toute discrétion en pensant à elle. Lors de soirées arrosées, juste avant cette fameuse nuit où tout a basculé, j’avais remarqué que ses allusions étaient de plus en plus insistantes et ne laissaient aucun doute à nos amis sur son désir. J’avais également remarqué que cela ne gênait pas Rémi qui en profitait toujours pour surenchérir. De son côté, Sonia n’avait pas besoin de commenter : ses tenues vestimentaires et attitudes traduisaient largement son approbation. Et, en ce qui me concerne, je dois bien l’avouer, si j’avais cette chance de pouvoir découvrir une seconde anatomie masculine dans ma vie, Rémi aurait très bien fait l’affaire.


Ce soir-là, je ne saurais expliquer en détail de quelle façon nous nous sommes retrouvés tous les quatre sur le fauteuil du salon à regarder un film érotique. Je ne saurai encore moins vous dire comment j’ai pu oser prendre si naturellement le sexe de Rémi dans ma bouche alors que Sonia et Christophe étaient là, juste à côté de nous. Ce dont je suis sûre, c’est que lorsque nous nous sommes dirigés vers la chambre, Rémi et moi, mes jambes tremblaient, mon cœur battait la chamade et mes joues étaient brûlantes, tout comme mon intimité. À cet instant, je prenais conscience que j’allais pouvoir basculer vers l’interdit en toute impunité, j’allais enfin pouvoir m’offrir à un autre que celui qui m’a dépucelée.


J’ai entendu claquer la porte de la chambre vers laquelle Christophe et Sonia se sont retranchés avant que Rémi ferme à son tour la nôtre. Ce claquement m’a également fait réagir sur le fait que Christophe s’apprêtait lui aussi à découvrir une autre partenaire que celle qui l’avait fait devenir un homme, ce même homme qui est le père de nos enfants. Ces évènements bousculaient mon esprit, j’étais partagée entre jalousie et désir profond de réaliser un fantasme tant répété jusqu’ici. C’est lorsque Rémi s’est collé contre moi, dans mon dos, que j’ai pu faire totalement abstraction de ce que nos conjoints respectifs s’apprêtaient à vivre ensemble.


Ses bras sont venus entourer mon ventre pour mieux me serrer contre lui. Son jean ne suffisait pas pour m’empêcher de deviner sa vigueur persistante qui s’écrasait contre mes fesses. Son souffle chaud qui s’éparpillait sur mon oreille me faisait frissonner, ses baisers dans mon cou avaient pour effet de raidir mes tétons encore emprisonnés dans mon soutien-gorge.



Il m’a libérée pour s’écarter suffisamment de mon dos de façon à faire coulisser la fermeture Éclair de ma robe jusqu’en haut de mes reins. Après me l’avoir retirée entièrement, il a baissé ma culotte avant de défaire mon soutien-gorge. J’étais là, debout, immobile, entièrement nue, je l’entendais dans mon dos, il se déshabillait à son tour. Lorsque ses bras sont venus à nouveau entourer mon ventre, j’ai senti son sexe dur s’écraser contre le haut de mes fesses. J’ai basculé ma tête contre son épaule pour le laisser enchaîner de petits baisers humides dans mon cou. Ses mains sont venues attraper mes seins, il a pu découvrir la fermeté de mes pointes et deviner l’état dans lequel je me trouvais, avant de me chuchoter à l’oreille :



Pendant quelques minutes, il a alterné entre massage de mes ballons et torture de mes pointes dressées, puis sans un mot, sa main droite est descendue pour caresser ma toison épaisse avant que ses doigts se noient totalement entre mes lèvres humides. Avec son majeur, il a dessiné quelques petits cercles autour de mon clitoris avant de se perdre à l’entrée de ma grotte. C’est accompagné d’un soupir de soulagement que son doigt m’a pénétrée timidement. Son bâton écrasé dans mon dos ne cessait de gigoter sur mes reins, je devinais un filet de sécrétion que son excitation laissait s’échapper.



C’est sans réfléchir que j’ai exécuté sa demande. Je me suis allongée, mes fesses au bord du lit, mes pieds toujours au sol. De son côté, il s’est mis à genoux entre mes jambes qu’il maintenait largement écartées. Une nouvelle vague de frissons m’a traversé le corps lorsque sa langue a glissé de mon genou jusque sur mon bouton impatient comme jamais. Son bout de chair humide explorait le moindre recoin de mon intimité, la caresse était lente, il devinait ma jouissance proche, de ce fait, il prenait soin de ne pas s’aventurer trop longtemps autour de mon clitoris. Il a joué ainsi de longues minutes, à faire monter mon plaisir pour ensuite le faire redescendre à chaque fois que ma respiration s’intensifiait ou que mes gémissements devenaient incontrôlables. Sans m’avoir permis d’atteindre le point de non-retour, il m’a abandonnée pour se mettre debout devant moi.



À cette question, j’ai compris que son souhait était de me pénétrer sans préservatif.



Je me suis allongée plus confortablement sur le lit, il s’est allongé sur moi tout en dirigeant son sexe vers mon entrée. La première pénétration m’a électrisée, j’ai posé mes mains sur ses fesses pour pouvoir accentuer le contact de mon clitoris sur sa base à chaque butée. Ses premiers mouvements étaient lents, je comprenais qu’il cherchait à se contrôler pour pouvoir durer le plus longtemps possible. Chaque pénétration profonde augmentait le bouillonnement de mon bas-ventre, j’étais de plus en plus impatiente d’atteindre l’orgasme, je n’acceptais plus d’attendre. J’ai maintenu fermement ses fesses pour bloquer sa tige en butée au fond de mon vagin. Trois frottements de mon petit bouton sur sa base ont suffi pour me faire exploser. Une fois ses fesses libérées de mon emprise, ses allers-retours dans mon fourreau se sont fait plus énergiques, son souffle s’intensifiait et c’est accompagné d’un gémissement que son liquide chaud s’est répandu dans mon ventre. Nous sommes restés un instant emboîtés ainsi l’un dans l’autre, en échangeant de longs baisers langoureux. Lorsqu’il s’est retiré, trois mouchoirs en papier ont été nécessaires pour me nettoyer de tous ces plaisirs liquides.


Nous sommes restés allongés l’un contre l’autre de longues minutes en laissant nos mains se balader sur nos corps respectifs, je me sentais légère, j’appréciais l’instant. Rapidement, ces caresses mutuelles sur nos parties intimes ne sont pas restées sans effets. Le sexe de Rémi se tendait et se redressait par secousses à chaque passage de mes doigts autour de son gland.



Malgré la surprise de cette demande, je me suis une nouvelle fois exécutée. Après quelques bises humides sur mes globes, il a écarté mes fesses avec ses mains pour pouvoir glisser sa langue au milieu de façon à parcourir ma fente de haut en bas avant d’atteindre le point le plus intime de mon corps. Cette nouvelle caresse inattendue a eu un effet très agréable auquel je ne m’attendais pas. Deux doigts inquisiteurs sont venus visiter mon vagin du temps que la pointe de sa langue tentait de pénétrer légèrement mon petit anneau. Cette double caresse a eu pour effet de détendre mon petit trou qui s’élargissait à chaque poussée de sa langue. J’étais à nouveau inondée à la fois par cette salive déposée entre mes fesses et mon vagin qui libérait tous son désir. Soudain, Rémi s’est redressé, il s’est assis entre mes cuisses et tout en gardant mes fesses écartées à l’aide de ses mains, il a rapproché son sexe et l’a positionné à l’entrée de mon anus.



J’ai senti son gland me pénétrer lentement, contrairement à ce que j’avais pu penser, la douleur qui était malgré tout présente ne prenait pas le dessus sur le plaisir. Une fois le gland entièrement englouti, il est resté immobile un instant avant de poursuivre la pénétration. Sans doute la forte pression de mon anneau sur sa tige l’empêchait d’aller plus loin, mais rapidement, lorsque mon orifice s’est relâché, j’ai pu apprécier le glissement de chaque centimètre de sa verge dans ma caverne. Il n’a fallu que très peu de va-et-vient pour que Rémi libère une nouvelle fois sa semence en moi. Malgré la rapidité de l’acte, j’avais pu découvrir la possibilité que cette partie de mon corps puisse m’entraîner vers de nouveaux plaisirs jusqu’ici inconnus.


Cette nuit-là, nous n’avons pas renouvelé la sodomie, en revanche, nous avons multiplié les rapports en prenant un maximum de plaisir. Dans la chambre voisine, les bruits répétés de gémissements ou de lit qui cognait contre le mur à un rythme effréné n’avaient également laissé planer aucun doute : nos conjoints avaient eux aussi passé une nuit très agitée.


Le lendemain, lorsque nous nous sommes retrouvés en toute intimité, Christophe souhaitait que l’on se raconte en détail ce que nous avions fait chacun de notre côté. Sur le moment, je n’ai pas trouvé le courage de lui avouer mon dépucelage anal, mais, toujours excités par les évènements vécus la veille nous avons enchaîné les actes sexuels sans aucune retenue, et à sa grande surprise, je l’ai laissé accéder à mon petit trou en toute sérénité. Pour la première fois, je découvrais le plaisir que l’on peut prendre par la pénétration de cet orifice.


Depuis, notre amitié avec Rémi et Sonia s’est renforcée et nous programmons régulièrement des soirées coquines où les tabous tombent les uns après les autres.