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Temps de lecture estimé : 8 mn
11/06/16
Résumé:  Un cours d'informatique qui dérape...
Critères:  f h fh fplusag profélève grosseins fmast fellation fsodo confession
Auteur : MrLaurKir            Envoi mini-message
Cours d'informatique

Je sonne… un peu fébrile, un peu nerveux à l’idée de la voir.

Elle prend son temps pour venir ouvrir, j’ai peur qu’elle ait changé d’avis et n’ose pas venir ouvrir. Alors que je fais mine de partir, j’entends la porte s’ouvrir.


Je me présente : Laurent, 33 ans, châtain foncé aux yeux bleus, 1,90 m pour quelques kilos de trop.

Elle, Vanina, 42 ans, brune, sulfureuse et voluptueuse mais diablement sexy et envoûtante.


On se connaît depuis quelque temps et il y a toujours eu entre nous une sorte d’attirance électrique indescriptible mais nos situations familiales respectives ont toujours freiné nos pulsions.


Par ce mercredi matin de novembre, elle m’a demandé de passer la voir pour lui donner quelques cours sur l’utilisation d’Internet. J’ai de suite accepté sans véritable idée derrière la tête. Elle m’a assuré qu’elle non plus n’en avait aucune.


Voilà le décor planté.


C’est donc fébrile que je me retourne vers la porte et je la vois là, dans l’entrée de sa maison. Son mari travaille et ses enfants sont à l’école. Nous avons donc presque 3 heures pour nous concentrer sur notre travail.


Elle s’est habillée de façon classique mais je sens qu’elle a quand même fait un effort. Elle me sait terriblement attiré par ses formes, et spécialement par sa poitrine généreuse. Elle l’a donc mise légèrement en évidence.


Elle m’invite à entrer, je la suis à l’intérieur de la maison. Un rapide coup d’œil me fait remarquer une maison en ordre, décorée avec goût.


Elle m’invite à m’asseoir dans le salon. Elle a l’air nerveux et je ne peux cacher ma nervosité, même si j’essaie de la cacher en alimentant une conversation somme toute banale concernant la décoration de la pièce.


Elle me propose un café que j’accepte avec plaisir. Nous nous installons à la table de la salle à manger juste à côté afin de nous mettre au travail. Elle m’explique que ses connaissances internet sont relativement limitées et qu’elle souhaiterait pouvoir améliorer sa façon de faire des recherches.


Je souhaite la voir à l’œuvre afin d’évaluer son niveau. Elle s’installe donc sur la chaise face à l’ordinateur, je reste debout derrière elle.

Pendant qu’elle pratique quelques exercices, je laisse mes yeux vagabonder et je ne peux m’empêcher de regarder sa poitrine. Sa blouse est lâche et me laisse parfaitement voir la naissance de ses seins.


Mon sang ne fait qu’un tour, et je pense qu’elle a remarqué mon émoi et la bosse qui commence à se former dans mon pantalon. Ne faisant mine de rien, elle continue à tapoter sur son clavier. La question qu’elle me pose après commence à susciter ma curiosité. Elle me demande comment elle peut faire pour surfer sur certains sites sans que son mari ne s’en rende compte.

Ma question est toute naturelle :



Sa réponse est sans équivoque, et c’est en rougissant qu’elle me dit :



Notre complicité détend tout de suite l’atmosphère gênée qui s’installe et je la mets à l’aise directement en lui disant que moi-même de temps en temps je vais jeter un œil lubrique sur certains sites pornographiques.

Je lui propose de lui montrer… ce qu’elle accepte directement. La température vient de monter, et j’ai vraiment beaucoup de mal à cacher la bosse qui maintenant déforme mon pantalon.


Le fait de me pencher sur le clavier met en contact mon entrejambe avec son coude et son bras. Elle ne fait aucun geste pour se dégager et a même tendance à accentuer la pression.

Prétendant une grande soif, elle quitte sa chaise et va dans la cuisine. Ce que je vois à son retour me fait assoir : elle vient de retirer son gilet et est maintenant avec une blouse légèrement transparente qui lui moule particulièrement ses énormes seins. Son regard se pose sur la bosse de mon jean. Elle me dit :



Embarrassée, elle poursuit :



J’ose sur le ton de l’humour un :



Se prenant au jeu, elle me lance :



Ni une ni deux, elle ôte sa blouse et me montre ses deux magnifiques seins ; elle me dit :



Je détache mon jean et sors mon sexe de sa prison. J’ai rarement bandé aussi fort, et mon gland est particulièrement rouge. Elle semble désemparée par la vue de mon sexe et commence à se caresser la poitrine en gardant les yeux fixés sur mon sexe tendu à l’extrême.



Je tente de la faire craquer :



Elle m’installe dans un fauteuil et se place en face de moi, retire son pantalon et me montre sa culotte. Une belle tache humide est présente à l’endroit de son sexe.



Écartant sa culotte et ses cuisses, j’ai enfin une vue imprenable sur son sexe sur lequel quelques poils épars luisent de mouille.



Son regard se perd dans le vide et sa langue passe sur ses lèvres, me faisant comprendre qu’elle désire plus que tout mettre mon sexe dans sa bouche. N’en pouvant plus, j’ôte ce qu’il me reste de vêtements et me lève pour aller dans sa direction. Je me place à genoux dans le canapé en mettant mon sexe à hauteur de son visage.



Elle caresse toujours son sexe dans un bruit obscène et absolument stupéfiant. Ne me quittant pas des yeux, elle passe ses doigts trempés sur ses tétons et ensuite les lèche pour me donner encore plus envie d’elle.

Elle devient provocante et cochonne… Ne contrôlant plus rien, elle embouche mon sexe avec voracité et commence une fellation comme rarement j’en ai eue ! Notre mini-réunion de travail vient de basculer… et je sens que plus rien ne pourra nous arrêter !


Délaissant son sexe, elle prend mon sexe dans sa main et me suce avec vigueur, enroulant sa langue autour de mon gland et faisant glisser sa main tout le long de ma hampe. Ma main ne reste pas inactive et je commence à caresser ses seins que je désire depuis tant de temps. Je passe sur ses tétons que je m’emploie à faire pointer, et il ne faut pas longtemps avant que les premiers gémissements ne se fassent entendre. Elle est magnifique, offerte. Ma main descend vers son sexe et se fraye un chemin vers cet orifice trempé et suppliant de l’attention. Un, puis deux, puis trois doigts entrent en elle ; elle est comme dingue, et son premier orgasme se déclenche. Son bassin se soulève et elle est prise de tremblements incontrôlables ; la scène est surréaliste et terriblement excitante.


Vanina reprend ses esprits, me jette un regard ; je garde ce regard en tête, un regard fiévreux qui ne demande pas d’explication. Comme si cet orgasme est le premier qu’elle a eu depuis longtemps.


Ne me lâchant pas la verge, « Lèche-moi » me dit-elle. Je n’attends que ça. Je descends mes lèvres le long de son corps, nous échangeons notre premier baiser, il est langoureux et terriblement excitant. Ma bouche continue et s’attarde longuement sur ses seins et ses tétons. Mon chemin ne s’arrête plus et je plonge ma tête et ma bouche entre ses cuisses… Elle est trempée, et ma langue virevolte le long de son vagin jusqu’à son clitoris tendu. Ma langue entre et sort de son vagin comme si c’était mon sexe.


Elle place ses deux mains sur ma tête et me caresse les cheveux pendant qu’elle accentue la pression de ma bouche contre son sexe. Elle est déchaînée et se laisse aller à un deuxième orgasme. De son côté, elle ne laisse pas mon sexe en plan et reprend les choses en mains, et surtout en bouche. Elle s’applique à me rendre de la vigueur, ce qu’elle fait admirablement bien.


Elle se lève, prend mon sexe dans sa main et m’emmène dans la salle à manger. Elle se couche sur la table, me regarde et me dit : « Prends-moi ! Baise-moi ! »

Je guide mon sexe à l’entrée du sien, béant et coulant ; sa mouille coule le long de ses cuisses. J’enfonce les deux ou trois premiers centimètres, elle gémit… Je continue et m’enfonce en elle avec facilité.


Je commence des va-et-vient lents et profonds, ses deux mains caressent ses seins qui se balancent au rythme de mes coups de bassin. Elle gémit de plus en plus fort ; elle vient de jouir pour la troisième fois. Après 5 minutes de ce traitement, je sens que mon éjaculation n’est pas loin. Elle se lève, met ses deux mains sur la table, me tourne le dos et me présente sa croupe. La vue de sa chatte offerte qui coule sur ses cuisses me rend dingue ! Poussant mon sexe au fond de sa chatte, je recommence le même traitement avec la même vigueur, de plus en plus vite. Elle semble comme absente, son corps n’est qu’un orgasme duquel elle ne semble plus redescendre… L’agrippant par les flancs, mes coups de boutoir sont de plus en plus profonds et je sens que je ne vais pas tenir longtemps à ce rythme !


Tout à coup, elle s’arrête, agrippe mon sexe, le dirige vers son petit trou et me dit :



Me sentant particulièrement honoré de ce cadeau, mon doigt récolte un peu de mouille et je commence lentement à lubrifier son petit trou qui s’ouvre sous la pression de mon pouce que je rentre lentement. Lorsque je la sens prête, je dépose mon gland contre et le pousse doucement. Celui-ci entre facilement, mais je sens qu’elle se raidit.



Je n’en peux plus, je sens la délivrance proche…



Je me retire de son derrière. Elle m’emmène dans sa chambre, se couche sur son lit. Ses yeux ne quittent pas les miens. Elle écarte les jambes et m’invite à retourner en elle.



S’ensuit le baiser le plus langoureux et chaud que j’ai jamais eu, comme si nous venions de tomber subitement amoureux… Mon sexe entre naturellement en elle. Elle me susurre : « Laisse-toi aller, viens… » Ses jambes encerclent ma taille, je ne peux pas m’échapper. Deux ou trois allers-retours suffisent et je déverse en elle un flot incessant de sperme. L’orgasme est énorme, j’en tremble de tout mon corps. Cela semble naturel.


Elle me regarde encore et me parle tout bas :



Nos yeux vont directement se fixer sur l’horloge. Le temps nous est compté. Un regard complice nous fait réaliser que nous avons encore du temps devant nous.